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Parties de jambes en l'air avec une Miss

Chapitre 3

Inceste
Sans que j’aie le temps de répondre quoi que ce soit, sa langue retrouva le chemin de mon entrejambe, et elle recommença à me lécher dans tous les sens, comme elle l’avait fait quelques heures plus tôt. Je me cambre aussitôt de plaisir, puis glisse mes mains sous mon tee-shirt pour me caresser les seins. Cette fois-ci, je pouvais également laisser mon plaisir s’exprimer à haute voix, et je ne me gênai pas à laisser échapper des gémissements qui en disaient long sur le bien que me procurait Romane. De temps en temps, tout en me fouillant le sexe, je voyais Romane me regarder en souriant, et cela m’excitait encore plus.
Au bout de quelques secondes, elle m’écarta davantage les jambes, comme si elle voulait ouvrir davantage mon antre, et je me laissai faire sans broncher, le corps secoué de décharges électriques. Quand elle se mit à faire tournoyer sa langue sur mon clitoris, j’eus beaucoup de mal à tenir en place, et elle le remarqua aussitôt puisqu’elle s’attarda davantage sur cette partie de mon anatomie pendant de longues secondes, comme si elle voulait me rendre folle.
— Tu sais ce que j’ai envie de faire ? me demanda Romane.— Non ?
D’un coup, elle me resserra les deux jambes puis, elle les plia doucement vers moi et me fit signe de les attraper. J’obéis aussi et, une fois que je les maintins entre mes deux bras, je me rendis compte qu’à présent, mes deux orifices étaient offerts à la vue de Romane.
— J’ai envie de te bouffer intégralement, fit Romane.
Elle recommença aussitôt à me manger et, cette fois-ci, sa langue descendit plus bas, jusqu’à atteindre mon petit trou plissé qu’elle lécha également avec application, à ma plus grande surprise. Moi qui avais assez peu d’expérience concernant cette partie de mon corps, je dois dire que les coups de langue que me prodiguait ma cousine n’étaient pas désagréables du tout, au contraire, j’étais peut-être même en train de découvrir que cette zone était également érogène.
— Ça te plaît ? me demanda-t-elle.— Oui, c’est... original !— C’est la première fois ?— Que je me fais lécher le cul ? Oui, c’est la première fois...— J’adore faire ça, désolé. On me l’a fait une fois et, depuis, j’ai du mal à m’en passer.— Je comprends...
Comme si elle voulait que je m’habitue davantage à cette nouvelle pratique, Romane s’attarda pendant quelques secondes sur cette zone ; puis elle recommença ensuite à alterner les deux orifices. Cependant, même si j’étais sur un petit nuage, j’avais envie de donner moi aussi de ma personne. Du coup, je repose doucement mes jambes à même le sol et, avant que Romane n’ait le temps de les écarter pour me brouter à nouveau l’entrejambe, je me redressai.
— A mon tour, dis-je.
Je me mis donc à genoux sur le duvet, Romane m’imitant aussitôt, et nos bouches se scellèrent à nouveau avec passion. J’empoigne ensuite ses petits seins à pleine main, puis j’embrasse son cou, sa clavicule, puis son buste avant de lui lécher ses petits tétons tout durs que je prends un malin plaisir à aspirer et à mordiller. Quand j’en ai fini avec sa poitrine, je reprends possession de sa bouche pour mélanger sa langue avec la mienne et, en sentant les mains de Romane se glisser sous mon tee-shirt, je me débarrasse de celui-ci que j’envoie valdinguer quelques mètres plus loin.

Je suis à présent totalement nue devant ma cousine qui, elle, ne porte qu’un léger short de nuit. Je la regarde ainsi pendant quelques secondes puis je retourne l’embrasser, tout en glissant doucement une main dans son short pour palper son sexe bouillant. Quelques secondes après, je la retire, puis j’aide Romane à s’allonger sur le dos, et je lui retire son dernier vêtement. Son sexe est rasé de frais, comme le mien, et j’ai terriblement envie de le manger, mais je préfère prendre mon temps.
Du coup, alors que Romane me regarde en souriant, je me mets à quatre pattes au-dessus d’elle, et je recommence à l’embrasser. Notre baiser dure de longues secondes puis je retourne m’occuper de sa poitrine, lui léchant d’abord le téton droit, puis le gauche, puis encore le droit, tout en faisant exprès de prendre mon temps pour la faire bouillir. Ensuite, je descends ma langue jusqu’à son bas-ventre puis, alors que je suis à quelques centimètres de son mont de Vénus, je remonte jusqu’à sa poitrine, puis jusqu’à sa bouche que j’effleure du bout de la langue.
— Tu me rends folle, me soupire Romane en souriant.— Toi aussi tu m’excites...— Dans ce cas-là, occupe-toi de moi, ma jolie !
Je lui réponds par un petit sourire, puis ma bouche redescend jusqu’à son entrejambe et, cette fois-ci, après avoir passé mes mains sous ses jambes pour les soulever légèrement, je m’empare enfin de son sexe que je lape à grands coups de langue.
Je sens aussitôt Romane se cambrer et, très rapidement, ses mains passent derrière ma tête et elle pousse dessus, comme si elle voulait que j’y aille plus franco dans la dégustation de son antre. Du coup, je ne me fais pas prier et intensifie mes coups de langue. J’arrive même à glisser mes mains qui étaient occupées par ses jambes jusqu’à son sexe pour pouvoir écarter ses fines lèvres et mieux lui fouiller l’intérieur. Quant à son petit bouton de chair, je le titille, le mordille et l’aspire doucement, avalant au passage quelques gouttes de son nectar, bref, si son sexe était un restaurant, ce serait un quatre étoiles, et je me régale.
Après quelques secondes, je repose ses jambes, me couche doucement sur Romane, puis, tout en recommençant à l’embrasser avec frénésie, je frotte mon sexe contre le sien. Nous nous mettons aussitôt à gémir à l’unisson pendant que nos corps ondulent l’un sur l’autre puis, une fois terminé, Romane me pousse gentiment sur le côté, et se met à quatre pattes en me tournant le dos.
— A toi d’y goûter, ma grosse salope !
Comprenant où elle veut en venir, je me mets, moi aussi, à quatre pattes, m’approche d’elle, puis, après quelques coups de langue sur son sexe humide de nos deux semences, ma langue remonte légèrement pour s’attaquer à son petit trou. Je le lèche d’abord timidement, assez réticente à la sensation que cela doit procurer, puis, une fois plus à l’aise, j’agrippe ses petites fesses et mets davantage d’application dans cette nouvelle pratique. Finalement, ce n’est pas si désagréable que cela et, quand j’entends les gémissements de Romane s’intensifier d’un iota, je me dis qu’elle doit être très sensible de cette zone, ce qui me donne une idée.
Discrètement, je plonge mon index dans ma bouche et l’humidifie puis, sans plus tarder, je le dirige vers l’anus de Romane et le titille légèrement. Après quelques secondes, je le pousse doucement et, en le voyant s’enfoncer petit à petit, je commence à faire de légers va-et-vient.
— T’aimes ça, te faire doigter le cul, cochonne ?— Oui, je... j’adore !— Tant mieux...
Tout en continuant de m’occuper de son petit trou, je recommence à lui lécher le sexe de bas en haut, comme s’il s’agissait d’une grosse sucette ; puis, rapidement, un deuxième doigt s’ajoute dans le fondement de Romane qui, après un petit cri de surprise, se retourne pour me regarder avec un sourire crispé.
— Tu disais que j’étais... entreprenante, mais... toi aussi ! s’exclame-t-elle.— Ça te dérange ?— Non, mais... ma vengeance sera... terrible !
Je rigole aussitôt, puis augmente la cadence de mes doigts pendant quelques secondes, avant de les retirer pour les remplacer par ma langue. Quand je suis rassasiée, mes mains glissent sur son dos, puis sur son ventre, et une fois qu’elle est redressée et à genoux, je colle ma poitrine contre son dos pendant que je lui malaxe ses petits seins.
Nous restons ainsi collées l’une à l’autre pendant deux minutes ; moi, me délectant de son cou que je recouvre de baisers, et Romane, penchant la tête en arrière comme pour m’en offrir davantage l’accès. Je glisse ensuite doucement une main vers son bas-ventre puis, lorsqu’elle se pose sur son sexe, je le tripote doucement, ce qui la fait aussitôt se crisper de plaisir. Je continue cette caresse pendant quelques secondes puis je ressors mes doigts humides de son entrejambe et les mets dans sa bouche pour qu’elle se délecte de son jus. Une fois que c’est fait, Romane se défait doucement de mon étreinte puis, elle se tourne vers moi, et m’embrasse rapidement avant de s’emparer de mes seins pour me sucer les tétons.
— J’adore tes gros nichons, dit-elle.
Je lui réponds par un sourire puis elle me fait signe de me recoucher sur le dos, et j’obéis. Quand ce fut fait, elle se coucha tête-bêche sur moi, et nous entamons rapidement un 69 endiablé. Nous nous broutons ainsi mutuellement le minou pendant les minutes qui suivent et, en sentant un doigt de Romane s’insérer dans mon antre, j’ai un rapide sursaut de surprise qui se transforme rapidement en plaisir. Tout en continuant de me lécher, elle se met donc à me doigter la chatte d’abord avec un doigt, puis rapidement deux, et je suis tellement submergée de décharges électriques que je suis incapable de faire quoi d’autre. Je ferme donc les yeux et, alors que j’ai du mal à me retenir de gémir, des gouttes de cyprine s’échappent du sexe de Romane et tombent sur mes lèvres. Je les récolte d’un coup de langue puis je replonge ma bouche dans son sexe que je dévore, tout en dérapant de temps en temps sur son petit trou.
— Mets-toi sur le dos, m’ordonne Romane au bout d’un moment, et après s’être redressée.
Ni une ni deux, je lui obéis et, après avoir senti ses lèvres me déposer une multitude de baisers sur mes épaules, puis tout le long de ma colonne vertébrale, elles retrouvent l’accès de mon cul. Rapidement, la langue de Romane tournoie à l’entrée de mon anus puis je sens qu’elle humecte mon orifice avec de la salive. Comprenant aussitôt quelle va être la suite du programme, je respire un grand coup, essaye de me décontracter et, quand je sens une première phalange s’insinuer doucement dans mon conduit, je pousse un petit cri de douleur.
— Ça va ? me demande aussitôt Romane.— Oui, t’en fais pas...— Si tu veux pas que je fasse ça, je...— Si si, j’en ai envie...
Elle recommence aussitôt à me lécher le petit trou puis, rapidement, je sens à nouveau une phalange qui, cette fois-ci, rentre plus facilement. La douleur laisse alors place à une autre sensation qui n’est pas déplaisante et, quand le doigt s’enfonce davantage et qu’elle commence des va-et-vient, je finis enfin par éprouver du plaisir.
— Alors, t’aimes ça ? me demande Romane en entendant mes gémissements reprendre.— Oui, c’est... pas... désagréable !— Tant mieux...
Elle insère doucement un deuxième doigt qui rentre plus facilement que les précédents, puis accélère rapidement la cadence, tout en crachant de temps en temps un peu de salive dans mon conduit pour que cela glisse plus facilement. Au fur et à mesure que je sens l’entrée de mon orifice se dilater, le volume de mes gémissements augmente, et j’ai l’impression qu’elle va réussir à me faire jouir du cul, ce que je ne pensais pas être possible ni même imaginable quelques heures plus tôt.
Quand elle retire ses doigts quelques minutes après, elle m’attrape une jambe et me fait comprendre que je dois me remettre sur le dos, chose que je fais aussitôt. Elle se recouche ensuite sur moi pour m’embrasser goulûment puis elle me mordille à nouveau les tétons avant de replonger, la tête la première, dans mon entrejambe, pour se délecter de ma minette et de mon jus. Elle s’y prend une nouvelle fois très bien et je ne sais plus où donner de la tête, mais comme si cela ne suffisait pas, elle glisse rapidement deux doigts dans mon antre avant de les faire aller et venir doucement, tout en me caressant le clitoris de sa main libre.
— Dommage que je n’ai pas un jouet avec moi, car sinon, je te goderais bien la chatte, me dit-elle en affichant un grand sourire lumineux.— Oui, c’est... pas... de chance !— Remarque, on peut faire autrement...
Rapidement, un troisième doigt s’insère dans mon sexe et, après m’avoir titillé le bouton de chair du bout de la langue, un quatrième se mêle à la fête. Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de vivre : non seulement, je suis à un doigt de me faire fister, mais en plus par ma cousine, et surtout, putain que c’est bon ! En plus d’être imprévue et totalement incroyable, cette partie de jambes en l’air risque de devenir rapidement la meilleure expérience de toute ma vie.
Une nouvelle fois, Romane me mit des grands coups de langue sur le sexe tout en continuant de me doigter puis, quelques secondes après, sa main entière glissa dans ma caverne.
— Oh putain, dis-je.— Ça va ? Tu veux que j’arrête ?— Non, continue, c’est... trop bon !— Pas de problème, ma chérie.
Je sens ses doigts se renfermer doucement à l’intérieur de moi et, dès que sa main s’enfonça davantage, elle reprit un doux va-et-vient, tout en agrémentant tout cela de quelques coups de langue bien placés. Quand elle ne me lèche pas, c’est moi qui me caresse le clitoris du bout du doigt, tout en la regardant et, comme si elle prenait cela pour de la provocation, c’est à ce moment-là qu’elle décide d’accélérer la cadence de son poing.
Je reste alors couchée sur le dos, cambré au maximum, et incapable de faire quoi que ce soit d’autre tant ce qu’elle me fait me procure des sensations inédites et incroyables.
— Je vais... bientôt... jouir !— J’y compte bien !
Elle continue donc de me pilonner le sexe avec son poing, puis, je continue de hurler de plaisir dans la pénombre de ce champ, elle finit par retirer sa main. Aussitôt, dans un cri de jouissance, des jets de cyprine s’échappent de mon antre et vont s’écraser sur la poitrine et le bas-ventre de Romane qui en récolte quelques gouttes de sa main sèche pour s’en abreuver.
— Je savais pas que tu étais une femme-fontaine, me dit-elle en souriant.— Moi non plus ; à vrai dire, et je...
Je ne peux pas finir ma phrase, car, très rapidement, la main de Romane reprend possession de mon sexe, et elle recommence à le fouiller à toute vitesse, sans me laisser la moindre seconde de répit. Une fois de plus, je me laisse tomber sur le dos, gémis de tout mon être et, moins de deux minutes après, de nouveaux jets de mon nectar vont recouvrir le corps nu de ma cousine.
— Tu m’as fait jouir deux fois, petite salope, dis-je, essoufflée.— Et alors, c’est grave docteur ?— Non ; mais il va falloir que je te rende la pareille, et pas qu’un peu !
Je me jette alors sur elle pour la prendre dans les bras, et nous nous embrassons fougueusement, nos corps collants de transpiration et de mouille, lovés l’un contre l’autre, puis, une fois ce baiser terminé, je redescends jusqu’à sa poitrine pour suçoter ses tétons dressés d’excitation.
— Couche-toi sur le dos, dis-je.
Romane m’obéit aussitôt, puis, sans plus tarder, je vais à nouveau me délecter de son abricot bouillant et juteux avec un appétit débordant, le léchant d’abord de haut en bas, puis ensuite de gauche à droite, tout en lui agrippant les seins de mes mains libres. Je me régale tellement que j’ai du mal à m’arrêter et, quand je sens ma cousine cambrer son échine, j’enfonce davantage ma bouche entre ses belles jambes. Quelques secondes après, dans un long râle de plaisir, c’est avec ma langue que je fais jouir Romane et, après avoir léché quelques gouttes de cyprine qui s’échappent de son sexe, je remonte jusqu’à son visage pour l’embrasser tendrement.
— Tu me rends folle, me murmure Romane.— Et c’est pas fini...
Sans qu’elle ait le temps de répondre, je reprends possession de sa bouche pendant que ma main droite redescend jusqu’à son antre pour l’enfourner de trois doigts. Dès que je commence à les secouer dans tous les sens, Romane se cambre à nouveau et est incapable de répondre à mon baiser. J’en profite donc pour lui mordre le lobe de l’oreille, puis pour l’embrasser dans la naissance du cou avant de lui reprendre la bouche. J’accélère rapidement la fouille de son sexe puis, après quelques minutes, Romane jouit une deuxième fois.
— C’était trop bon, me dit-elle, avant d’attraper ma main trempée de son nectar et de me lécher les doigts.
Nous nous couchons ensuite toutes les deux sur le dos, le souffle haletant, et nous passons les deux minutes suivantes silencieuses à regarder les étoiles.
— Je m’attendais pas à ça, que je finis par dire.— À quoi ?— Bah, à cette soirée, et à ce que tu me fais découvrir autant de choses...— Ça t’a plu ?— Tu m’as entendu me plaindre, peut-être ?— Non, c’est vrai...
Nous rigolons toutes les deux, puis nous passons l’heure suivante à discuter de tout et de rien, tout en restant nues, et en agrémentant nos paroles de quelques baisers volés. Ensuite, alors que la température ne cesse de baisser, nous décidons qu’il serait plus raisonnable de finir notre nuit à l’abri. Du coup, nous nous rhabillons, ramassons le duvet et la lampe, puis quittons le champ pour regagner la maison.
— Heureusement que le week-end n’est pas terminé, dit Romane, alors que nous marchons, main dans la main.— Tu penses qu’on va avoir d’autres occasions comme celle-ci pour remettre ça ?— J’espère, j’aurais du mal à m’en passer, en tout cas...— Pareil, je pense.
Arrivées devant le portail, nous l’escaladons à nouveau puis, après nous être grossièrement nettoyées grâce à un robinet situé sur le côté de la maison, nous nous embrassons une dernière fois à l’abri d’éventuels regards indiscrets.
— Bonne nuit, ma jolie...— Bonne nuit, ma salope préférée.
Je lui réponds par un sourire puis l’embrasse une dernière fois avant de prendre la direction de ma tente, pendant que Romane s’engouffre silencieusement dans la maison. Quelques minutes après, je suis couchée sur mon matelas, juste à côté d’Anaïs qui dort innocemment, sans se soucier la moindre seconde de ce qui vient de se passer entre Romane et moi.
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