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Parties de jambes en l'air avec une Miss

Chapitre 6

suite et fin

Inceste
Après une nuit peu agitée, Anaïs et moi, nous nous réveillons quasiment en même temps, et c’est en m’embrassant sur le coin des lèvres qu’elle me dit bonjour. Nous restons ensuite couchées sur le dos à discuter pendant quelques minutes puis, en entendant du bruit dehors, nous enfilons rapidement nos vêtements avant d’aller rejoindre tout le monde. Nous retrouvons aussitôt nos parents, notre oncle et nos tantes qui prennent le petit-déjeuner sur la terrasse et, après les avoir salués, nous nous installons à leur côté pour manger.
— J’espère que Romane va bientôt se lever, car j’aimerais bien qu’on soit parti avant midi, dit notre tante en regardant sa montre.— Tu veux que j’aille la réveiller ? demandais-je.— Non, laissons-lui encore un petit quart d’heure...
Je réponds par un signe de tête puis je continue de manger, tout en regardant ma sœur qui, à mon avis, a eu la même idée que moi. Au bout d’un quart d’heure, ma tante m’autorise à aller m’occuper de Romane, et je quitte aussitôt la table avant de monter à l’étage. Une fois arrivée devant la porte de la chambre, je colle mon oreille contre le chambranle et, n’entendant, je l’ouvre silencieusement. Je devine aussitôt dans la pénombre de la chambre la silhouette de Romane, allongée en travers du lit, sur le dos, une jambe dépassant de la couette et ses cheveux étalés sur son oreiller. Je referme la porte derrière moi, m’approche du lit puis, je pose ma main sur sa jambe nue, et la fais glisser jusque le haut de sa cuisse. N’observant aucune réaction de sa part, je fais le tour du lit, puis je vais m’allonger à côté d’elle et je l’embrasse délicatement.
Aussitôt, Romane se relève d’un coup en rigolant puis, elle me fait basculer sur le côté, jusqu’à se retrouver à califourchon sur moi, la poitrine nue, les traits du visage encore engourdis par la nuit, et sa belle crinière rousse lui recouvrant les épaules.
— Tu croyais vraiment que je t’avais pas entendu ? J’ai eu l’impression qu’un troupeau d’éléphants montait l’escalier ! me dit-elle en rigolant.— Tu sais ce qu’il te dit l’éléphant ? répondis-je avant de lui attraper les tétons et de les pincer.
Elle me répondit par un nouveau sourire avant de m’embrasser fougueusement.
— Il faut que tu ailles manger, lui dis-je, ta mère voudrait que vous soyez parties avant le déjeuner.— Elle m’emmerde...
Elle m’embrasse à nouveau, laissant ses mains se balader sous mon tee-shirt puis, elle est interrompue par une voix qui résonne à quelques mètres de nous.
— Bah alors, les filles, on s’amuse bien ?
Nous regardons toutes les deux en direction de la porte et, en voyant Anaïs qui se tient juste devant et qui nous regarde d’un air amusé, Romane lui adresse un grand sourire.
— Salut, ma jolie ! lui dit-elle en lui faisant signe de s’approcher.
Après avoir vérifié que la porte était bien fermée, ma sœur s’approche de ma cousine puis elle l’embrasse tendrement, tout en posant ses mains sur ses hanches nues.
— Bien dormi ?— Oui, et toi ?— Après la soirée d’hier, je ne pouvais que bien dormir...
Anaïs lui répond par un petit sourire puis, après l’avoir embrassé à nouveau, elle attrape ses seins qu’elle soupèse dans ses mains avant de les lécher délicatement et, une fois de plus, je la regarde faire, toujours étonnée par autant d’initiative.
— J’ai pas envie de partir, dit Romane après quelques secondes. — Tu vas nous manquer...— Vous aussi, mes beautés, et je n’oublierais jamais ce beau week-end en votre compagnie.— Nous non plus, à mon avis...— Vous allez faire des cochonneries sans moi ?— On y a pas encore réfléchi, répond Anaïs.— Si vous en faites, j’espère que vous me raconterez.— Promis...
Anaïs m’adressa ensuite un sourire lourd de sens puis nous passons les deux minutes suivantes à nous embrasser mutuellement toutes les trois, tout en nous tripotant sans débordement et en tendant l’oreille.
— Il faut pas qu’on tarde, les filles, sinon, on pourrait se faire griller, finis-je par dire à contrecœur.— Rabat-joie, grogna Roman en souriant.
Après un dernier baiser, cette dernière se leva, enfila rapidement un soutien-gorge qui traînait sur une chaise ainsi qu’un débardeur et un short et, après qu’elle ait coiffé rapidement sa crinière de feu devant un miroir, nous quittons la chambre et allons rejoindre notre famille sur la terrasse, comme si de rien n’était.
Après avoir avalé un rapide petit-déjeuner, Romane et sa mère se succèdent dans la salle de bains et, après avoir rassemblé et rangé leurs affaires dans le coffre de leur voiture, c’est déjà l’heure des adieux.
Quand nous nous étreignons avec Romane, c’est avec le cœur lourd que nous nous disons au revoir et, alors que tout le monde en fait de même autour de nous, elle me glisse quelques mots à l’oreille.
— J’ai adoré baiser avec toi...— Moi aussi, ma Miss Cochonne préférée...
Elle me répond par un sourire, m’embrasse sur la joue puis, en la voyant enlacer Anaïs et lui parler à l’oreille à elle aussi, j’imagine qu’elle doit lui tenir à peu près le même discours. Une fois les embrassades terminées, et les sanglots maladroitement contrôlés, nous les regardons partir en leur adressant de grands signes de main.
Ensuite, après le repas de midi, mon oncle et ma tante s’octroient une sieste d’une petite heure avant de prendre la route à leur tour. Une fois que nous nous retrouvons plus que tous les quatre, Anaïs, mes parents et moi, nous avons le cœur lourd à l’idée de savoir que ce beau week-end est déjà terminé. Nous passons donc le reste de la journée à ranger les tentes, faire le ménage dans la maison puis réinvestir nos chambres et, une fois le repas du soir passé, nous regardons un film avant d’aller retrouver nos lits.
Dès que j’ai enfilé ma tenue de nuit, à savoir un simple tee-shirt un peu long, je me couche sous ma couette et attrape un bouquin pour me changer les idées. Après vingt minutes de lecture, j’entends du bruit dans le couloir et, quelques secondes après, ça frappe à ma porte.
— Oui ?— C’est moi...
J’invite aussitôt ma sœur à rentrer dans ma chambre et, quand je la vois arriver, simplement vêtue d’un soutien-gorge et d’un short, mon cœur bat à la chamade.
— Ça va ? me demande-t-elle en s’asseyant sur le rebord du lit.— Oui, et toi ?— J’arrive pas à dormir...— Viens là.
Après avoir reposé mon bouquin sur la table de nuit, je lui indique la place à côté de moi, et elle vient aussitôt me rejoindre. Une fois que j’ai passé mon bras autour de sa taille, Anaïs pose sa tête sur mon épaule, et nous restons ainsi pendant quelques secondes, silencieuses, avant que ma sœur ne reprenne la parole.
— C’était un super week-end...— Oh que oui...— Et surtout une super soirée !— C’est le moins qu’on puisse dire, on s’est bien amusées...
Anaïs me répond par un petit sourire puis nous restons silencieuses pendant quelques secondes, comme si nous nous remémorions les meilleurs moments de la nuit passée.
— Je peux te poser une question ? Me demanda Anaïs au bout d’un petit moment.— Je t’en prie.— Quand Romane a demandé si on allait refaire des cochonneries sans elle, on lui a répondu qu’on y avait pas réfléchi, mais...— Mais quoi ?— T’y as réfléchi, depuis ?
Un nouveau silence s’installe, mais, cette fois-ci, je le romps rapidement.
— Oui...— Et ?— Écoute, ma chérie, ce qu’on a fait hier soir, c’était... agréable, très agréable, même, seulement...— C’était une bêtise, c’est ça ?— Exactement, et il vaut mieux s’arrêter-là avant que cela ne gâche nos relations entre sœurs, d’accord ?— D’accord...
Une fois de plus, nous restons silencieuses pendant quelques secondes et, même si je suis soulagée de lui avoir dit ce que j’avais sur le cœur, j’ai l’impression que, de son côté, elle est loin d’en avoir terminé. Lorsque je sens une de ses mains se poser délicatement sur mon ventre, avant de redescendre petit à petit jusqu’à mes cuisses, j’en ai la confirmation.
— Qu’est-ce que tu fais, Anaïs ? Pas la peine de...
Sans que je n’ai le temps de terminer, sa main passe sous mon tee-shirt puis, elle se pose sur le devant de ma culotte qu’elle caresse pendant quelques secondes avant de passer en dessous. Dès que je sens ses petits doigts se poser sur mon sexe, des bouffées de chaleur envahissent mon bas-ventre, et je sens rapidement que je vais avoir du mal à lutter.
— Pas la peine de quoi ? Me demande ma sœur avec un air de coquine.— On vient de dire que...
Une fois de plus, elle ne me laisse pas finir puisque, tout en continuant de me regarder, elle se met à me caresser le sexe de bas en haut, tout en faisant glisser de temps en temps un doigt à l’entrée de mon antre.
— Que quoi ? Insiste une nouvelle fois ma sœur.— Tu m’emmerdes !
Je lui attrape aussitôt la tête et l’attire vers moi pour l’embrasser fougueusement, nos langues se mélangeant à toute vitesse dans un ballet effréné. Dès que le baiser est rompu, Anaïs retire sa main de mon entrejambe puis, après avoir légèrement relevé mon tee-shirt, elle attrape ma culotte par les extrémités et me l’enlève avant de la balancer dans un coin de ma chambre. Ensuite, elle m’embrasse une nouvelle fois puis, après m’avoir écarté les jambes, elle va se positionner entre elles. Dès qu’elle plonge sa bouche dans mon antre et que sa langue rentre en contact avec mon abricot, je me cambre en arrière, la respiration haletante et le corps parcouru de milliers de décharges électriques. Alors qu’elle m’aspire et me suçote le clitoris, je me retiens difficilement de gémir, de peur que cela s’entende jusqu’au rez-de-chaussée, et c’est encore plus compliqué quand je sens un doigt aller et venir dans ma fente.
Tout en continuant de m’occuper de mon intimité, je sens une main d’Anaïs remonter jusqu’à mon ventre, puis passer sous mon tee-shirt avant de m’agripper doucement un sein. Comprenant le message, je me débarrasse de ce dernier vêtement et, aussitôt, je vois le visage de ma sœur émerger de mon entrejambe, puis remonter jusqu’à mon visage pour m’embrasser tendrement avec ses petites lèvres trempées de mon jus d’amour, avant de redescendre jusqu’à ma poitrine pour me lécher les seins, tout en continuant de me fouiller la minette avec ses doigts.
— Je t’aime, sœurette, me dit-elle au bout de quelques secondes.— Moi aussi, ma jolie...
Elle me répond par un nouveau baiser puis, alors qu’elle s’apprête à retourner se repaître de mon sexe bouillant, je l’interromps.
— Mets-toi dans l’autre sens...
Anaïs me répond par un sourire puis, quelques secondes après, nous nous retrouvons en position de soixante-neuf, et elle me présente son joli fessier. Alors qu’elle retourne s’abreuver de mon sexe, je lui baisse son short jusqu’aux mollets puis, constatant sans surprise qu’elle ne porte rien en dessous, je lui lèche la fente pendant quelques secondes avant de lui écarter doucement les fesses pour m’attarder sur son petit trou. Je sens aussitôt un léger sursaut de surprise de la part de ma sœur puis, en voyant cette dernière se retourner pour me regarder en souriant, je suis rassurée.
— On dirait que Romane a déteint sur toi, dit-elle.— Ça te dérange ?— À ton avis ? J’ai l’air de me plaindre ?
Je lui réponds à mon tour par un sourire puis je recommence à lui manger la rondelle, pendant que ma sœur en fait de même avec mon sexe. Très rapidement, j’insère doucement un doigt dans son conduit, bien humidifié au préalablement par mes coups de langue puis, quand la première phalange est entièrement entrée, j’entame un va-et-vient. Une nouvelle fois, Anaïs se retourne pour me regarder, un sourire un peu crispé illuminant son beau visage puis, quand deux doigts de ma main libre s’insèrent dans son sexe, elle ferma les yeux et baissa la tête, incapable de dire quoi que ce soit pendant que je lui fouillais les deux orifices.
— T’aimes ça que je te branle le cul et la chatte en même temps ? — Oh que... oui ! me répondit-elle.
Ravie d’entendre ça, j’accélère aussitôt la cadence de mes gestes et, comme pour se retenir de gémir, Anaïs plongea à nouveau sa tête dans mon entrejambe pour s’abreuver de mon sexe avec encore plus de fougue que précédemment. Nous continuons de nous manger mutuellement pendant quelques minutes puis, tout d’un coup, j’ai envie d’autre chose.
— Allonge-toi sur le dos, ordonnais-je à ma sœur.
Cette dernière me répondit par un signe de tête puis, quelques secondes après, elle m’obéit et reposa sa tête sur mon oreiller. Quant à moi, je me mis à califourchon sur elle pour l’embrasser tendrement, et ma bouche redescendit jusqu’à ses tétons que je suçotai délicatement avant de reprendre le chemin de sa bouche.
— Il y a un truc que Romane m’a fait l’autre soir et que j’ai envie de te faire, dis-je à Anaïs.— C’est quoi ?— Tu vas vite comprendre...
Je l’embrasse une nouvelle fois puis je redescends jusqu’à ses jambes nues que j’écarte délicatement. Pendant les deux minutes qui suivent, je lui lèche le sexe dans tous les sens, m’attardant de temps en temps sur son petit bouton de chair que je prends un malin plaisir à torturer puis, rapidement, je l’enfourne de deux doigts que je remue doucement. Sans m’arrêter, ma bouche remonte jusqu’à celle de ma sœur et nous recommençons à nous embrasser alors qu’un troisième doigt s’invite à la partie.
— Tu vas quand même pas me...— Détends-toi, lui répondis-je doucement.
Je ressors mes doigts dégoulinants de cyprine de sa fente, lui enfonce dans sa bouche puis, une fois qu’elle les a bien léchés, je les réenfonce dans son antre en en rajoutant un quatrième. La sentant aussitôt se cambrer, je lui titille le clitoris de ma main libre pendant que continue d’aller et venir entre ses jambes et, tout doucement, ma main entière disparaît entre ses jambes. Je vois aussitôt Anaïs me regarder d’un air étonné puis, rapidement, elle m’affiche un sourire crispé avant de fermer les yeux, la respiration haletante. Quand je commence à aller et venir doucement dans son antre, elle a tellement de mal à se retenir de gémir qu’elle est obligée de mordre à pleines dents dans mon oreiller pour cacher son plaisir. Je la regarde donc faire avec satisfaction puis ma bouche redescend jusqu’à son petit bouton de chair que je lèche délicatement, tout en continuant de la fouiller avec ma main.
Soudainement, je sens une jambe d’Anaïs s’agiter et, lorsque je vois qu’elle essaye de se glisser doucement sous mon ventre, je me redresse légèrement pour la laisser passer. Rapidement, elle retrouve l’accès de mon antre et, pendant que je continue de lui lister l’intérieur, elle me caresse le sexe avec ses doigts de pied. Trouvant cela assez excitant, je lui redresse le pied en l’air de ma main libre puis, après lui avoir légèrement replié la jambe, je m’empale délicatement dessus. Dès que je commence à remuer légèrement le bassin, des décharges électriques m’envahissent la totalité du corps et, pendant que j’accélère la cadence de ma main dans l’antre de ma petite sœur, c’est avec son pied que je prends un malin plaisir à me défoncer la chatte.
— T’es... complètement... folle ! Me dit Anaïs d’un air amusé en me regardant faire.— Je sais, mais putain... c’est bon !
Anaïs me répond par un sourire puis elle se remet à mordre mon oreiller en sentant que j’accélère la cadence de ma main dans son sexe. Nous nous baisons ainsi mutuellement pendant quelques minutes puis, en sentant Anaïs se cambrer au maximum, je me retire d’elle, et je suis aussitôt aspergée d’un jet de cyprine qui m’éclabousse le menton avant de dégouliner sur ma poitrine.
— Pardon, me dit-elle.— T’excuses pas, ma chérie, j’aime bien quand tu me jutes au visage...— Espèce de petite salope, va !
Je lui réponds par un sourire puis, après m’être retiré de son pied, je me couche sur elle pour l’embrasser tendrement.
— T’as aimé te prendre mon pied ? Me demande-t-elle entre deux baisers.— Ouais, c’était... original ! Et toi, t’as aimé que je te fiste ta petite chatte ?— Ouais, tu m’as bien défoncée...
Je l’embrasse à nouveau puis, en un mouvement rapide, je me retrouve à mon tour sur le dos et, aussitôt, Anaïs reprend possession de ma bouche.
— J’aime t’embrasser, m’avoue-t-elle après quelques secondes.— Moi aussi...
Notre baiser dure quelques secondes supplémentaires puis sa bouche descend jusqu’à mes seins qu’elle pelote et mordille doucement et, quand elle arrive à mon entrejambe, elle ne tarde pas avant de glisser deux doigts dans mon antre.
— T’es bien ouverte, me dit-elle en me regardant en souriant.— Pas étonnant...
Elle continue de me fouiller le sexe avec ses doigts puis elle les retire pour y déposer de grands coups de langue, s’attardant sur mon petit bouton qu’elle prend un malin plaisir à suçoter, avant d’y replonger quatre doigts pour me secouer l’intérieur.Cette fois-ci, c’est à mon tour de mordre l’oreiller pour retenir mes cris et, comme pour faire durer le plaisir, elle s’arrête à nouveau pour me bouffer la minette avec application. Quand elle a terminé, c’est toute sa main qu’elle enfonce doucement dans mon entrejambe et, rapidement, elle entame une série de va-et-vient, tout en me regardant droit dans les yeux.
— Ça te plaît ? Me demande-t-elle.— Oh que... oui !
Elle m’adresse un nouveau sourire puis elle accélère la cadence. Quant à moi, je ferme les yeux, le bas-ventre secoué dans tous les sens grâce aux bons soins de ma sœur et, quand je sens sa main libre se poser sur mon clito pour le caresser, j’ai l’impression que l’oreiller ne va pas être suffisant pour étouffer mes cris. Me voyant me cambrer de plaisir, Anaïs m’adressa un nouveau sourire puis elle accéléra encore la vitesse et, quand je lui fis signe que j’allais jouir, elle eut à peine le temps de retirer sa main de ma chatte qu’un jet de cyprine lui éclaboussa le visage.
— Putain...— Désolée, ma chérie !— Pas grave...
Je la vis ensuite récolter quelques gouttes de ma semence d’un grand coup de langue autour de sa bouche puis elle en fit de même avec mon sexe qu’elle nettoya avec application. Dès qu’elle eut terminé, elle vint s’allonger à mes côtés, et nous restons silencieuses pendant quelques secondes, comme pour nous remettre de nos émotions.
— C’était... wahou ! S’exclama Anaïs au bout d’un moment.— Ouais, tu t’es bien débrouillé, ma chérie...— Toi aussi, et je suis sûre qu’on fera encore mieux la prochaine fois !
En l’entendant dire ça, je me redresse légèrement avant de me tourner vers elle.
— Il n’y aura pas de prochaine fois. On l’a fait une fois pour s’amuser, c’est tout, mais il ne faut pas que ça devienne une habitude, ce serait... malsain !— Tu as sûrement raison...
Je sens dans sa voix une pointe de déception, mais, cette fois-ci, je suis bien décidée à ne pas céder. Cependant, en entendant ce qu’elle me dit ensuite, je pense qu’elle a bien compris le message.
— Même si ce n’était qu’une fois, ça valait quand même le coup, non ? demanda-t-elle.— Oh que oui...
Elle me répond par un sourire puis, après m’avoir déposé un rapide baiser sur les lèvres, elle se leva, récupéra ses affaires qui traînaient au pied du lit puis, sans même se rhabiller, elle quitta ma chambre.
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EPILOGUE :
Quelques années ont passé depuis ce week-end en famille où tout a basculé et, malgré ce qui s’était passé entre Anaïs et moi, notre relation n’avait pas changé. Comme nous nous l’étions promis, nous n’étions jamais repassées à l’acte toutes les deux et, ainsi, cela avait préservé notre complicité ainsi que l’amour que nous nous portions réciproquement.
Désormais, j’ai vingt-quatre ans, je suis en couple avec Jérôme depuis trois ans et demi et, d’ici la fin de l’année, nous accueillerons notre premier enfant, une petite fille qui, j’en suis déjà persuadée, nous comblera de joie. Anaïs, elle, enchaîne les histoires d’amour, mais, depuis quelques mois, elle est en couple avec Geoffrey, et ça a l’air d’être du sérieux, pour une fois. De temps en temps, elle me raconte ouvertement leurs aventures sous la couette et, quelque part, je ne peux m’empêcher de penser que c’est probablement Romane et moi qui l’avons en quelque sorte dévergondée.
D’ailleurs, en parlant de Romane, elle aussi va très bien. Elle est maman depuis peu d’une petite Maya et, quand nous nous revoyons aux repas de famille, nous ne reparlons évidemment pas de nos aventures de cette fameuse soirée. Cependant, vu les regards qu’elle me lance de temps en temps, il est évident qu’elle a l’air d’en avoir gardé un très bon souvenir.
Quant à nos parents, ils ne se sont jamais doutés de ce qui s’était passé entre nous, preuve que nous devons être toutes les trois de bonnes comédiennes.
Bref, tout ça pour dire que, même si nous avions passé du bon temps toutes les trois, c’était de l’histoire ancienne, et il était évident que nous ne remettrions jamais le couvert. Nous n’avions pas de regrets, et c’était ça le principal, c’était juste une erreur de jeunesse, et encore, je ne suis même pas sûre que le mot « erreur » corresponde à ce que nous avions commis.
En tout cas, en plus de tous ces bons souvenirs, il y a une autre chose que je retiendrais pendant toute ma vie, mais que, hélas, je ne pourrais pas partager avec mes futurs enfants et petits-enfants. Quelque chose qui, au fond de moi, était difficile à croire, mais était pourtant bel et bien vrai, et cette chose, elle était simple : je m’étais envoyé en l’air avec une Miss.
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