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Partouze à sens unique

Chapitre 1

Gay
Un jour je rencontrai le pointeur du bus qui gardait un bon souvenir de notre relation homosexuelle impromptue. Nous discutâmes autour d’un pot. Il m’invita chez lui. Nous nous y rendîmes. Dès que nous avions pénétré dans son domicile il me sauta dessus et me roula une pelle. Le baiser dura longtemps. Nos deux langues étaient jointes. Il se hâta de me déshabiller, il me tâta les couilles et commença à me sucer. Il faisait ça bien. Tout en me suçant il gémissait de plaisir. Il me signifia en se plaçant dans le position du 69 qu’il faille qu’on fasse cela simultanément. Je le suçai bien car j’ai fait des progrès entre-temps et nous éjaculâmes en même temps. Chacun de nous deux ayant goûté aux spermes. Je lui demandai de m’enculer profond parce que j’aime ça. Je ne conçois pas qu’une relation entre deux hommes se limite à des sucions et autres préliminaires qui sont superficiels. J’aime la force de la baise. J’aime me faire mettre. Il me dit que je vais être largement satisfait parce ce que ce soir avec une bande de copains on fait faire une partouze. Je lui ai dit que j’ai tellement envie de tâter de la bite que je le ferai toute la journée sans m’arrêter, une sorte de nymphomane. Il me baisa considérant cela comme un hors d’oeuvre. J’étais en manque. Vers huit heures du soir nous dirigeâmes vers un terrai vague isolé et nous y trouvâmes les amis du pointeur qui nous attendaient, les queues bien dressées impatientes de rentrer en fonction. Il demandèrent à leur ami si j’étais la lopette qui baise bien. Il faut dire que le pointeur avait dressé un tableau élogieux de mon cul. Ils me demandèrent de me mettre à quatre pattes parce que la rondelle se dilate mieux permettant à un zob de pénétrer sans difficulté. Ils étaient huit garçons fougueux. Alors se posa la question de savoir qui commencera le premier. Ils ne s’entendirent pas entre eux. Puis l’un d’entre eux me demanda qui je voudrais qu’il me baise en premier. Je leur ai dit que celui qui a la plus petite bite commence, ensuite par ordre croissant jusqu’à la plus grosse bite. Le premier commença par me lécher le cul pour le lubrifier. Il me pénétra avec son zob qui n’était pas si petit que ça. Il me fourra longtemps faisant perdre patience aux autres qui attendaient leur tour. Je demandais alors au deuxième de s’approcher et je commençais à le sucer , il éjacula prématurément. Tandis que l’autre me crachait son sperme dans le derche, celui que je suçais prit sa place. Il me pénétra facilement, mon cul était largement lubrifié et dilaté. Il me baisa tout en hurlant comme un ours en rut. Il faisait un va et vient rapide si bien qu’à force de toucher violemment mes fesses, on dirait qu’il battait le tambour. Il céda son tour au suivant qui se mit à me tapoter les fesses. Que dis-je me taper les fesses. Me donner des coups. Je ne sentais pas la douleur. Je me rendis compte que j’aimais ça. Plus il tapait plus il enfonçait son zob en criant. Je suçais toujours le suivant mais j’ai demandé deux autres pour les masturber. J’avais une bite dans le cul, une dans la bouche et enfin deux autres dans les mains. J’étais comblé car sailli comme une vache. Enfin arrive le dernier. Celui dont le zob est imposant. On dirait le sexe d’un cheval. En le voyant j’effectuai un recul, comme si j’avais peur qu’il me déchire. Puis je me ravisai et commençais à trembler d’excitation de voir cet engin me défoncer. Je me posai des questions métaphysiques. Comment le bon dieu a-t-il fait pour parer ce jeune homme d’un pareil engin. Comment le portait-t-il? Il commença à l’échauffer en me tapotant les fesses. Il se raidit multipliant aussi bien le volume que la longueur. Je me dis qu’il doit mesurer au moins trente centimètres. Quant à la circonférence je ne peux pas donner une estimation. il me fourra progressivement. Il ne se souciait pas des préliminaires. Il me pénétra donc en douceur, profitant de la dilatation du cul et de sa lubrification. Puis il enfonça son engin complétement. Il prospecta la profondeur de mon cul. Je me dis : autant dieu l’a doté d’un zob monumental, autant il m’a attribué un cul accueillant et pouvant abriter de malheureux sexes dressés et joyeux de donner du plaisir. Ce baiseur était doué.Il exploitait sa bite intelligemment. Elle est entraînée et se frottait avec les parois du cul lequel répond au va et vient par des ouvertures et des fermetures. Pendant que je lui disais quel zob! il me répondait quel cul. Dès qu’il eut terminé en éjaculant abondamment dans ma caverne il poussa un cri de satisfaction qui exprimait sa satisfaction de dominateur qui a dompté la bête.Tout le monde ayant pris son pied. Les baiseurs et le baisé comblés, mais l’enculé était plus comblé, le cul était rempli de sperme qui dégoulinait. Puis, il me demanda de rester à quatre pattes et fit marcher sa voiture et braqua ses phares sur mon cul qui était bien visible, bien ouvert. Tous se délectèrent de cette vision féerique. Puis le bienheureux propriétaire du gros zob demanda à ses camarades de faire la chenille. Pendant qu’il me fourrait de nouveau les autres se mirent derrière lui et chacun enculait l’autre. Mais le plus dur à effectuer c’est de marcher tout en maintenant le zob dans le trou du cul.C’était une touze mémorable. Se faire baiser par plusieurs à tour de rôle, dans une partouze ou tournante m’a comblé de joie. J’ai atteint le summum de l’extase. J’ai voyagé dans le paradis. Bref le nirvana. Vive la baise.
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