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Pas le bon frère

Chapitre 1

Inceste
Mon frère et moi sommes des jumeaux identiques. Ainsi, il est très difficile pour les personnes extérieures à notre entourage proche (c’est-à-dire nos parents et quelques amis) de nous distinguer tant nous nous ressemblons. Nous avons d’ailleurs souvent joué de cette ressemblance pour faire tourner en bourrique nos professeurs quand nous étions à l’école, et cela nous faisait bien rire. Toutefois, jamais je n’aurai imaginé en faire usage de la façon dont je l’ai fait durant l’été de nos 18 ans...Dans notre famille, il était de tradition de passer les grandes vacances dans une immense maison (qui nous appartenait depuis plusieurs générations) au bord de la mer. Hormis les fêtes de fin d’année, il s’agissait de la seule occasion de voir nos oncles et nos tantes, et plus particulièrement notre cousine Clara, une jolie blonde toute mince et toute mignonne à peine plus âgée que nous. Sa chambre, ainsi que la mienne et celle de mon frère, se trouvaient à l’étage. Cela nous permettait, notamment lorsque nous étions enfants, de pouvoir vivre notre vie loin des problèmes plus "matures" de nos parents. Le premier soir, en allant boire un verre d’eau dans la salle de bains, je me surpris à entendre quelques gémissements étouffés provenant de la chambre de Clara. Par curiosité, je me suis donc précipité vers elle pour en connaitre la cause. Et c’est alors qu’à travers l’espace laissé par la porte mal fermée, je pus assister à un spectacle qui me terrifia. La lumière si vive de la Lune éclairait les corps nus de mon propre frère et de notre cousine Clara ! Ils s’adonnaient tout deux à un acte sexuel profondément immoral qui ne manquait toutefois pas de sensualité. Mon frère tenait fermement par la taille notre cousine qui, à genoux sur le lit, encaissait ses coups de reins. Elle semblait aimer ça mais se retenait de crier pour ne pas se faire entendre de nos parents. Elle en fermait même les yeux de douleur, ou de plaisir, voir les deux. Le pénis fraternel frappait avec force les parois vaginales de Clara qui, régulièrement, se cambrait pour exprimer son plaisir. Elle me parut pour lors plus désirable qu’elle ne l’avait jamais été.
Par décence, je préférais quitter les lieux.Le lendemain matin, je repensais à cette scène irréaliste. Comment mon frère et ma cousine avaient-ils pu se livrer à de telles obscénités au sein même de la demeure familiale ? Fallait-il mettre ces actes sur le compte d’un moment d’égarement ou bien avaient-ils été planifiés ? En observant Clara tout au long de la journée, je pris conscience qu’elle veillait à se tenir à distance de mon frère, probablement pour ne pas éveiller les soupçons. Ce comportement, que j’avais déjà innocemment constaté auparavant, m’interrogea sur la longévité de leur relation. Peut-être faisaient-ils cela depuis des mois, voir des années ! Je ne savais pas si je devais éprouver du dégoût ou du plaisir, car en y repensant, cette vision incestueuse m’avait quand même plu ! 
Le soir-même, une consommation un poil trop excessive de joints me donna une idée folle : prendre la place de mon frère dans le lit de notre cousine ! Après tout, elle était pratiquement incapable de nous distinguer, et la confusion serait encore plus grande dans le noir complet ! Peu m’importait l’éthique puisque Clara et mon frère avaient déjà transgressé les règles de la morale ! Pour assurer le bon fonctionnement de mon plan diabolique, j’avais versé une dose de somnifère dans le verre d’eau que mon frère jumeau buvait chaque soir avant d’aller se coucher. Il dormirait au moins jusqu’au matin !Quand minuit sonna sur mon téléphone portable, je me dévêtis et quittais ma chambre dans la plus grande discrétion. En arrivant devant celle de Clara, je fus saisi d’une appréhension. Une fois que j’aurai franchi cette porte, je ne pourrais plus revenir en arrière. Coucher avec ma cousine allait changer à jamais nos rapports, et l’image que j’avais d’elle. La drogue présente dans mon organisme écourta mes questionnements, et je me décidais à franchir le seuil de la porte. Dans l’obscurité bleutée fournie par la Lune, ma cousine m’attendait (ou plutôt attendait mon frère), nue, et allongée sur son lit. Jamais je n’avais vu son corps d’aussi près, à part à la plage mais elle n’était jamais nue. J’avais plus que jamais envie de déguster son corps si mince et fragile et de porter à ma bouche ses petits seins juvéniles.
— Tu es en avance... Me dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.— Je ne pouvais attendre.— Alors ne perdons pas de temps !
A peine avait-elle prononcé ces mots que je me jetais sur elle et entamais un léchage corporel. Son cou, ses épaules, sa poitrine et son ventre étaient d’une extrême douceur et je pris plaisir à mordiller ses minuscules tétons. 
— Oh oui, vas-y... caresse-moi comme si j’étais ta chienne... Murmurait-elle sensuellement.
Ma langue léchait avec passion sa chair qui frissonnait de plaisir devant tant d’attention. Ma salive humidifiait ses petits tétons qui se dressaient avec fermeté, les rendant encore plus agréable à déguster. Je les malaxais avec les dents, souhaitant plus que tout les croquer comme de petites friandises. Puis, ma bouche abandonna cette zone pour se diriger lentement mais surement vers son entrejambe qui me parut minuscule. Je me demandais comment le sexe de mon frère, qui de fait était aussi imposant que le mien, pouvait y pénétrer sans difficultés ! En attendant, ce fut ma langue qui, la première, explora l’antre dont les conventions sociales m’interdisaient l’accès. Je caressais de mes lèvres celles de son vagin, en effleurant au passage quelques poils pubiens. Le cunnilingus que j’entamais alors s’annonçait divin. Je me délectais des parois humides de ma cousine qui laissa s’échapper de sa bouche un soupir.
— Oh, mon dieu, je crois que...
Je n’eus pas besoin de connaître la fin de cette phrase puisque quelques secondes plus tard, un jus sucré octroya à sa chatte une nouvelle saveur. Ce fluide régalait mes babines et je remerciais la nature d’avoir fait de Clara une femme aux éjaculations si facilement déclenchables. La bouche débordante de ce jus que je m’efforçais pourtant d’avaler, je pris la décision de me relever et de diriger mon pénis, fortement en érection, vers cette caverne suintante. 
— Puis-je ?...— Oh oui, fais-le cousin...— Mais je n’ai pas de préservatif...— Tant pis...
Ma cousine était excitée au point de ne pas se soucier des risques d’un rapport non-protégé ! Je ne voulais pas la mettre enceinte mais emporté par une ivresse érotique, j’introduisais mon membre en elle. Ses ruissellements servirent de lubrifiant à ma verge qui vint se loger sans problème. Je sentais toutefois ses lèvres vaginales s’étirer, et Clara devait le sentir aussi puisqu’elle porta l’une de ses mains à sa bouche pour étouffer ses gémissements. Son sexe absorbait totalement le mien qui gagna encore en vigueur. Mon gland suintait tout autant que ses lèvres, mélangeant ainsi quelques gouttes de pré-sperme à ses fluides vaginaux. Poussé par mes instincts les plus primitifs, j’entamais des mouvements de va-et-vient qui déchiraient les entrailles de ma cousine. De toute évidence, ses rapports précédents avec mon frère avaient du eux aussi être un somptueux mélange de plaisir et d’intense douleur. La tête dans l’oreiller pour ne pas se faire entendre, Clara encaissait mes coups de reins avec une retenue notable.
Quand je ressortis ma vigoureuse bite de son vagin pour la première fois, elle dégoulinait de nos jus respectifs. Puis, comprenant que sa chatte réclamait de nouveau mon engin, je n’eus aucun remord à le lui ré-introduire. Ce processus se répéta inlassablement pendant plus d’une demi-heure. Aux alentours d’une heure du matin, je séparais nos organes sexuels et introduisais le mien dans la bouche de Clara. D’abord surprise par cette initiative si osée, elle débuta par la suite une fellation des plus mémorables. Elle aspirait mon gland avec la puissance d’un aspirateur, allant jusqu’à lui faire heurter le fond de sa mâchoire ! Je craignais que cette pratique ne la fasse vomir mais visiblement, elle adorait s’infliger cette gorge profonde ! Ses lèvres si douces limaient la chair de mon sexe mouillé de sa salive avec amour et ses dents mordillaient mes testicules quand elles les atteignaient occasionnellement. Pour rien au monde, je n’aurai souhaité arrêter cette pipe effectuée avec tant de professionnalisme.
— Oh oui... Gémissais-je... Clara, je vais jouir...
En entendant ces mots, Clara fit sortir de sa bouche mon membre et l’empoigna à pleine main. J’avais l’impression qu’elle voulait le faire éclater.
— Vas-y, décharge-toi mon salaud...
Mon corps se raidit sous l’impulsion d’un premier spasme de jouissance qui déversa une quantité de sperme phénoménale sur le visage et la poitrine de Clara. Elle se laissait asperger de mon foutre visqueux qui vint décorer sa chevelure blonde et ses yeux de petite fille. Puisqu’elle ne s’était pas démaquillée avant d’aller se coucher, son mascara coula le long de ses joues, accentuant son apparence de traînée. Il me fallait constater que désormais, elle ne ressemblait plus du tout à la jeune femme bien élevée qu’elle prétendait être en public. Le sperme blanchâtre qui dégoulinait le long de son corps lui donnait l’allure d’une actrice pornographique en fin de scène. Et même si elle en avait probablement conscience, elle ne se priva pas de recueillir le long de ses doigts manucurés quelques gouttes de mon éjaculation pour les porter à sa bouche. Elle avalait ma semence sans aucune pudeur.Le lendemain matin, quand vint le petit déjeuner, il se déroula une scène des plus amusantes. Alors que je ne m’étais pas encore totalement remis de mes émotions et que l’intégralité de notre famille mangeait dans la plus grande tranquillité, mon frère déclara :
— Et bah, je ne sais pas ce qui m’est arrivé cette nuit mais j’ai dormi comme une masse !
Notre cousine Clara, qui était en train de déguster une tranche de pain recouverte de confiture, laissa sa tartine lui échapper. Paniquée, elle regarda avec insistance mon frère qui ne comprenait pas le message qu’elle voulait lui faire passer. Elle tourna alors la tête vers moi et m’adressa un regard teinté de craintes. Je lui répondis par un clin d’œil et c’est alors que les deux amants comprirent l’un et l’autre ce qui s’était passé. Nous venions tout trois de nous avouer indirectement que nous avions couché ensemble, et ceci sous le nez de nos parents qui ne se doutaient absolument de rien...
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