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Pas de vrai anniversaire sans surprise!

Chapitre 1

Lesbienne
La fête bat son plein chez Lila et de petits groupes sont en train de s’organiser. Cécile indique à qui le veut comment se rendre chez elle (c’est tout près) continuer la soirée au bord de la piscine.D’autres ont déjà investi les chambres que d’ordinaire elle loue comme gîte.
Mina m’a prise par la main et m’entraîne vers chez elle. Elle a une autre idée en tête et tient absolument à ce que nous soyons seules cette nuit.Il est vrai que c’est une occasion très spéciale. D’abord elle veut me souhaiter mon anniversaire, que j’ai passé seule cette semaine. Et aussi parce qu’à quelques semaines près cela fait un an que nous sommes ensemble…
J’avais prévenu que je ne voulais pas de cadeau, elle n’a pu s’empêcher de commander des fleurs (le fournisseur de Lila a toujours de magnifiques fleurs de saison).Trois roses, qui me vont droit au cœur, rouge, rose et jaune, embaument la petite pièce.Et une composition où se mêlent lys, arums, pivoines et asters. J’adore la composition des couleurs. Elle est aux anges.
Tout à l’heure elle a dansé devant les convives. Je vais enfin pouvoir la remercier de toutes ses attentions. D’abord sentir son odeur, à sa sueur se mélangent les fragrances des fleurs. Et c’est elle la plus belle.
Elle s’est changée après la danse, je n’ai aucun mal à trousser sa légère robe d’été pour saisir ses somptueux globes qui frémissent et s’offrent pendant que nous échangeons un long baiser, d’amour et d’envie.Elle chuchote à mon oreille une litanie, mi-arabe, mi-française (elle a fait de gros progrès et je serai curieuse de savoir où et comment elle a appris ceux qui me font le plus d’effet…).A mon tour je l’informe des sévices que je vais lui faire subir, sans ordre particulier, elle glousse du plaisir anticipé.
Ces hors-d’œuvres ne nous ont pas coupé l’appétit. Sa robe est tombée comme par enchantement, de même que mon boléro (qui ne fermait que par un bouton) et nous roulons sur le lit.Les yeux dans les yeux nous nous observons, chacune enserrant le visage de l’autre, nous luttons sournoisement à qui fera craquer l’autre.J’ai beau émettre de petits bruits mouillés elle reste sérieuse comme une papesse. Je suis hypnotisée par ses grands yeux… qui me fixent sans ciller et imperceptiblement se mettent à loucher.J’éclate de rire, elle, a juste le sourire du vainqueur…
Et donc, forte de sa victoire, elle me bascule et m’immobilise les bras. Dans le mouvement elle redresse le buste exhibant les plus belles tétasses de ma soirée.Je meurs d’envie de jouer avec, mais j’ai perdu, alors je me contente de les sentir sur ma poitrine aller et venir, dresser mes tétons en frottant leurs larges aréoles brunes.
Tu aimes? dit-elle lascivement. Qui répondrait non?  …Bon anniversaire… Me maintenant bras écartés, elle se laisse aller doucement à peser sur moi, aux mouvements de sa poitrine elle a joint ventre et hanches, faisant de mon sexe, toujours prisonnier dans son short, l’endroit le plus chaud de la terre après l’enfer.
Elle, elle peut prendre du plaisir à frotter son minou qui s’est ouvert. L’heure de ma délivrance approche car elle a susurré en arabe, preuve de son intense excitation.Le petit jeu dure et puis, dans un éclat de rire, elle me saisit le visage, m’embrasse goulûment et déboutonne enfin mon short.
Je peux la renverser, me couler, embrassant au passage tout ce qui est à portée de ma bouche, vers sa source. Mon short a dégagé. Je bois, mordille, lappe, lèche, aspire, hume, fouille. Mes mains libérées jouent avec les grosses mamelles. Il fait encore chaud mais je vais rechercher leur chaleur, celle d’en-dessous, et puis celle d’entre…
La Belle n’est pas insensible… elle soupire, son ventre tente désespérément  de résister et puis lâche prise… Mais je ne suis pas rassasiée. Mes mains abandonnent ses seins et saisissent ses cuisses pour les lever, mettre à ma portée son petit bijou. Ma langue peut aller sans obstacle du clitou à son anus. S’immiscer où bon lui semble. La pénétrer.
Bouffe-moi!(/i].Ce n’est pas moi qui lui ai appris, mais elle s’en sert pour m’encourager. J’aspire son bouton en fourrageant avec le menton. Je sais ce qu’elle attend…
Son ventre ondule avec plus d’amplitude. Son cul majuscule se lève… J’y glisse le majeur qui est immédiatement happé, Jonas dans la baleine. Elle a un “HHHAHH!“ de satisfaction lorsque ma langue laisse la place au pouce sur son bouton. Trois petits tours juste au-dessus et puis elle part. Elle feule. Comme je ne relâche pas mon activité elle prend une grande respiration et recommence.
Une pression de sa main sur la mienne m’indique qu’elle veut faire une pause.
Quelques douzaines de baisers-papillon plus tard, elle pose sa main sur ma chatte. J’adore lorsque nous nous masturbons réciproquement. Je peux voir ses yeux se voiler, sa bouche s’ouvrir à l’approche du plaisir. C’est comme ça que je nous sens les plus intimes.
Mais elle interrompt ce plaisir naissant et me renverse à nouveau. Couchée sur moi elle préfère utiliser sa cuisse.A l’accélération du rythme et de sa respiration je sens son excitation monter. Il lui arrive d’être une furie, dans ces moments-là je ne suis qu’un bout de viande. J’adore quand elle pète les plombs!
Me culbutant fesses en l’air elle dépose son minet sur le mien avec délicatesse, puis accélère le frottement, stoppant de temps en temps pour souffler et replacer en claquant vigoureusement son bas-ventre sur le mien. L’abondance de mouille parle pour moi, j’en éclabousse les draps. Je jouis, elle jouit et choit sur moi, j’ai toujours les miches en l’air! Elle me serre fort contre elle, je ne risque pas de partir en courant! Pje aume ouverte caresse son dos, j’allonge les jambes dans une position moins inconfortable et nous somnolons un moment de tendresse.Et bien, pour un anniversaire, ça a été ma fête!
J’ai soif. Je me hisse sur un bras pour attraper la bouteille qui est en général posée à côté.J’ai une sensation bizarre. Impossible à définir. Je me tourne pour faire un bisou à Mina et sursaute. Quelqu’un est assis à côté de la porte.
— Bonjour!
fait elle avec un sourire avant que j’aie dit quoi que ce soit.Mais qu’est-ce que vous faites là? je réalise que nous sommes à poil devant une inconnue qui nous a maté! (ok, ce n’est pas la première fois!) Vous êtes là depuis longtemps?— Assez, oui…— Mais… comment?Mina s’est mise sur un coude et ouvre ses grands yeux, épatée.Ben, je vous ai remarquées ce soir, au buffet. Quand vous êtes parties, je vous ai suivies, j’ai attendu un peu et je me suis glissée ici…— Ecoute, je vais pas faire la sainte Nitouche, mais tu es gonflée! C’est quoi ton prénom?— Zoé.— Bon. j’imagine que tu ne vas pas me demander de te dessiner un mouton!
Elle rit de bon cœur. Elle est jeune, disons 22 ans… ce qu’on appelle gentiment un petit boudin, visage mignon, plutôt dodue.Dans d’autres circonstances, qui sait… mais là, et bien, c’est notre soirée!
Nous sommes crevées. Tu as pu nous observer perdre des calories, maintenant nous allons dormir sagement, vois-tu. Alors rentre chez toi ou va voir les autres. On se parle demain dans la matinée au bar. D’acc?
Pas de problème elle sort en nous soufflant un bisou narquois. Mina me regarde avec un sourire en coin. Elle jure ne pas être au courant.Elle se love contre moi et bientôt s’endort. Après tout, la curiosité n’est pas toujours un vilain défaut…
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