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Pascale, de femme fidèle à dévergondée.

Chapitre 2

Erotique
Ca fait 1 mois que j’ai conquis le cul de Pascale.Nous nous voyons au moins 3 fois par semaine, discrètement dans le chalet d’un ami absent qui m’a laissé les clés.J’adore cette fille, qui se révèle très différente. Loin de la femme prude qui soignait sa réputation, je découvre une amante chaude et insassiable.
Elle m’épuise, nous baisons des heures durant, elle veut me déshabiller elle-même, en commençant par une pipe, puis alors que je suis nu, elle me fait un strip tease langoureux, le haut d’abord puis en soutien rouge à dentelle, elle se tourne pour baisser sa jupe ou son jean, dévoilant son string assorti.Elle défait alors ses bretelles et agite ses fesses devant mon nez, avant de souplement faire glisser son string en me montrant son entrefesse délicat alors que penchée en avant elle ôte le minuscule bout de tissu.
Sa beauté me subjugue. Je bande comme un cerf, en général, elle décide de s’asseoir sur moi, sa chatte engouffrant ma verge. Nous nous embrassons et nous caressons un moment puis elle se redresse pour redescendre sur ma queue en s’empalant l’anus dessus. Elle a tant apprécié sa première sodomie que maintenant nous ne pouvons pas baiser sans que son petit trou y passe et reçoive sa fête. Plutôt deux fois qu’une.Elle est très demandeuse et très active, elle se moque de son mari et pendant l’acte commente son plaisir en disant: "Vas-y encule-moi! Ca, il ne l’a jamais eu ce crétin! Oh, que c’est bon".Je ne manque pas de lui demander de dire sa jouissance à haute voix, pour eviter ce qui est fréquent chez les femmes, qu’elle "oublient" la partie de sexe après l’avoir faite pour se focaliser sur le côté tendre et câlin.J’insiste:" Tu aimes?— Oui, oui — Dis-le ...— J’aime.— Tu aimes quoi?— Ta queue ta queue ...— Où ça?— Dans mon cul ta ... queue dans mon cul ...— Tu aimes que je t’encule?— Oui . j’aime ...— Dis-le chérie ...— J’aime ... que .. tu ... m’encule.— Oui dis-le encore ...— J’aime que tu m’encule, m’encule.
— Demande-le encore.— Encore, encore,— Encore quoi?— Encule-moi, encule-moi, encule-moi!— Tu aime ça maintenant te faire enculer!— Oui oh oui j’aime ça!— Tu aimes sentir passer une grosse queue dans ton cul?— Oui oh oui j’aime ça!— Tu en veux encore?— Oui oh oui encore!— Dans ton cul?— Oui oh oui dans mon cul"!Je la retourne sur le lit et continue de la bourrer dans le cul, ses jambes sur mes épaules, c’est fou ce qu’elle est souple. Je lui fait un ramonage complet de cheminée pendant un quard d’heure avant d’y aller à fond et de me lâcher.Elle jouit tout du long en gémissant: "Encule-moi, oh oui oh oui, encore , c’est bon ta bite dans mon cul, encule-moi, aah, oho aah!".Ensuite on se douche on prend un verre et on y retourne, deux ou trois fois chaque après-midi. On est devenus très amicaux, on plaisante, on se taquine.Entre deux coups, je lui fait parler d’elle de sa vie sexuelle, ses amants avant le mariage (très peu) et pendant (aucun). Je lui demande ce qu’elle aime comme position ou comme pratique (tout dit-elle mais elle a peu d’expérience). Elle aime se faire lécher longuement, se faire caresser tout le corps et surtout, les seins, les seins qui peuvent lui donner des orgasmes. Elle m’avoue qu’elle avait des orgasmes secrets en allaitant.Je lui demande de préciser ses fantasmes. Elle n’ose pas, j’insiste, lui demande de prendre ça comme un jeu, lui propose de m’avouer un fantasme de jeunesse à échanger contre un à moi. Elle finit par avouer qu’elle révait d’un homme très membré qu’elle avait vu dans un "film". Je lui avoue avoir le fantasme de l’amour pluriel, elle confesse qu’elle l’a eu aussi, cette envie "étant jeune" d’avoir deux ou plusieurs hommes pour elle; mais elle ajoute de suite: "Que penseraient-ils de moi"? Je lui dis: "Que du bien ma chérie!— Tu crois?" me questionne-t-elle avec un regard en coin. On baise alors avec frénésie. Elle est échevelée et crie son plaisir.
Je lui propose de diner un soir en ville. C’est difficile pour elle mais elle s’arrange pour avoir une "sortie entre fille".On se donne rendez-vous au restaurant d’un hotel du centre-ville. Je suis arrivé depuis 10 mn quand elle entre, elle est splendide, chignon planté très haut, robe noire hypercourte, très légère, sans rien-dessous, que des bas-noirs, comme elle se dirige vers moi les regards masculins la suivent sans la lâcher. Elle m’embrasse sur la bouche.Elle est affolante, et je le lui dis. Elle fait une moue incrédule: "tu crois?— Regarde autour de toi"!En effet une demi-douzaine de messieurs la fixent dans vergogne tandis que leurs compagnes semblent boudeuses. Pascale semble apprécier la circonstance et sourit en cercle à ces hommages muets.Nous prenons un apéritif, nos cuisses se touchent sous la table. Nos plats arrivent au bout d’un moment, tandis que nous savourons le repas et le plaisir d’être ensemble, je remarque qu’un convive solitaire nous contemple et me fait un clin d’oeil complice.Je signale à Pascale l’intérêt qu’elle suscite, elle éclate de rire: "Qui ça?— Sois discrète. En arrière de toi à gauche.". Un peu plus tard elle fait mine de faire tomber sa serviette côté gauche et la ramasse l’air de rien, croisant le regard de l’inconnu qui ne l’a pas quittée des yeux. "Il est bel homme", pouffe-t-elle de rire.Nous rions tous les deux et continuons notre repas. Au moment du dessert, le serveur nous informe qu’un monsieur nous offre une bouteille de champagne. Pascale me regarde énigmatique, surprise. Je me demande si la bonne épouse que j’ai connu récemment est déjà prête pour des ébats plus sulfureux.Après une seconde d’incertitude je réponds : "Quelle bonne idée. Veux-tu qu’il se joigne à nous, ma chérie?— Pourquoi pas" répond-elle ingénuement. Je demande au serveur de transmettre l’invitation au monsieur. Celui-ci vient vers nous, un homme de 37-38 ans environ. Un peu plus jeune que Pascale semble-t-il.Il se présente, par son prénom :Pascal. Pascale pouffe de rire, il se méprend: "Pardon, qu’ai je dit?— Rien , mais ... moi ... ha ha ha ... aussi ...— Elle aussi s’appelle Pascale" dis-je avant qu’elle n’ait pu le dire. Il se met à rire aussi. "Mais que nous vaut l’honneur de cette bouteille?" le questionnais-je. "Oh, tout et rien, la beauté d’un couple" dit-il, les yeux rivés sur le corsage de Pascale, "La beauté de la soirée, l’Amour, enfin le plaisir, les bulles". Pascale semble encore plus lumineuse et épanouie qu’en entrant.Elle semble très bien s’entendre avec son homonyme. Elle me lance de longs regards brillants. Plus on boit ce champagne et plus on rit. Sans que nous sachions une seconde bouteille est arrivée. Alors que Pascale rit en s’appuyant sur son nouvel ami, celui-ci nous lance: "... et si, et si on la finissait dans ma chambre"? Conscient de l’ambiguité de la question, je dis oui de la tête en regardant Pascale, tandis qu’elle éclate de rire: "au point ou en est"! Nous montons. Un belle chambre au 8e étage. Pascal qui a porté le seau et les verres nous ressert copieusement et met des slows. Pascale boit debout, et danse seule sur le rythme de la musique. Nous la comtemplons et échangeons quelques mots sans intérêt. Elle nous tourne le dos et se déhanche à un mètre de nos fauteuils. Elle a posé sa flute sur la tablette. A un moment elle retrousse sa jupe et découvre le bas de ses fesses, tout en continuant de danser de dos. Puis en riant aux éclats, elle fait passer sa robe par-dessus ses épaules et entièrement nue se retourne vers nous. Elle danse maintenant uniquement vêtue de ses talons-hauts et de se sbas. Pascal se lève et la rejoint, la serre contre lui et continue le slow collé-serré. Elle rit et se frotte à lui. Ils s’embrassent. Il l’a appuyée contre le mur, il la cajole elle se laisse faire, la tête rejetée en arrière. Pascal la prend dans ses bras et l’emporte sur le lit, nue sauf ses chaussures et ses bas-jaretelles. Il se déshabille en trois mouvements, elle regarde son bel engin bandé pour elle, puis et lui fait une langue. Elle respire fort en soufflant: "oho ouiii, oui, ouiiii". Mais sans trop s’y attarder il a attrapé une capote et la pénètre. je trouve qu’il y va fort sans trop de nuances, mais je vois qu’elle y prend plaisir car elle ne cesse de gémir: "Oui, oui, ouiiiii, oooh Pascal"! Je trouve la scène bandante.En quelques minutes les amants jouissent, fort, tous les deux. Je suis resté sur ma faim et après une minute Pascale s’en rend compte, elle vient vers moi et m’embrasse : "j’ai été égoiste, viens".Elle descend et commence à me sucer en beauté. Pendant ce temps Pascal se balade la queue à l’air et se sert un nouveua verre de Champagne, tout en regardant Pascale s’activer sur mon engin. je suis assez excité et n’ai pas envie de jouir dans sa bouche. aussi je m’allonge et lui fait signe de monter sur moi. Elle me chevauche et me prend dans sa chatte, c’est jouissif. Je la vois sur moi, longue et fine ses seins ronds et fermes agités par les secousses. Je les saisis et les malaxe, en lui pinçant les bouts, ce qu’elle adore. Je veux la prendre au cul, comme nous avons l’habitude, mais elle me dit: "Non, lui"! Pascal qui suit les manoeuvres avec attention comprend l’invitation impérieuse. Remettant une capote il vient se placer derrière ma beauté et la penche contre ma poitrine. Sa joue contre la mienne, je la sens recevoir l’hommage viril de Pascal dans son fondement. Elle gémit à mon oreille: "Oh comme il est gros, oh comme il est gros". Après une minute de répit, Pascal entièrement abutté à ses fesses se met à enculer et déculer comme un bucheron, je sens son pénis heurter le mien à travers la fine membrane de Pascale. Je bouge moi-même aussi mais étant sous les deux autres je me contente de mouvements du bassin moins amples. Soudain Pascale crie: "Surtout, surtout ne t’arrête pas! Ne t’arrête pas, Ne t’arrête paaaaaAAAAAAHHH! AaaAHHHH! AHHHH! AAAH! Aha! Aha! AHHHH! Encore!". Pascal redouble de vigueur et enchaine des mouvements de toréador pour finir par arracher des cris inarticulés à notre maitresse. Je crois entendre frapper à la cloison. Elle crie à tue-tête. Pascal jouit dans son cul, elle hurle, je jouis aussi, elle ne cesse pas...
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