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Pascale, de femme fidèle à dévergondée.

Chapitre 4

Erotique
Pascale raconte une histoire: panne de papier!
Au restaurant Pascale conte une histoire "vraie".Une fois, dit-elle, elle se trouvait aux toilettes d’un restaurant comme celui-ci, quand ayant fini "son gros besoin" elle constate qu’il ne restait qu’un petit carré de papier très fin! Pour le montrer, elle prend un mouchoir jetable et découpe un morceau de 8 cm. Comment m’essuyer?Elle découpe au centre un petit trou carré et passe son majeur dedans, elle me montre sa main ainsi recouverte avec le doigt qui traverse et fait un geste arrondi de la main comme un signe de se la passer "derrière"!Puis montrant encore son doigt ressortant du papier, elle m’interroge: "Qu’est-ce que je fais maintenant avec le petit bout carré qui reste?"Moi: "Oh, je vois c’est pour nettoyer l’ongle!"Elle: "Oui!" avec un regard malicieux.Tout le monde rit.
L’histoire me trotte dans la tête.Quelques jours, je rencontre Pascale dans un chalet et alors que nous nous embrassons, déjà nus, je lui propose: " je vais te masser avec de l’huile parfumée". Elle : "Oh oui d’accord".Je déploie une serviette sur le lit et elle s’allonge à plat ventre dessus. Je ne peux m’empêcher d’amirer son corps magnifique, ses jambes musclées interminables, des fesses sportives, son dos élégant, ses épaules minces et sans défaut, son cou fin et délicat, son chignon blond.Je prend dans mon sac, l’huile apportée en prévision et agenouillé à coté d’elle je commence à lui masser les épaules, le cou avec. Elle se laisse aller, yeux fermés. Je prends plaisir à laisser mes mains aller sur son corps et cela dure un peu, lui arrachant des soupirs d’aise. Mes mains vont et viennent sur son dos descendant sur les fesses, remontant aux épaules. Sa peau est luisante, elle apprécie les pincements roulements de sa peau et se décontracte totalement. Je prend ses fesses à pleines mains et les malaxe: elle apprécie et le dit: "j’aime ça!"Je continue sur les cuisses et descends puis remonte en massant le long de chaque jambe. Arrivé en haut je redescend puis remonte. Après plusieurs passage, je vais chercher sa bouche de mes lèvres et l’embrasse, elle répond avec ardeur, ma main est remontée sur ses fesses et mon majeur glisse entre-elles, vient s’appuyer sur son anus. La regardant dans les yeux, toujours en baisant sa bouche, je le fait doucement coulisser dedans, son muscle serre mon doigt, ses yeux chavirent, elle est concentrée sur la sensation. Comme je fait aller et venir mon doigt maintenant, elle m’embrasse goulûment."C’est comme aux toilettes, quand tu manquais de papier" lui dis-je."Oh oui ... en mieux, continue!".
Je suis tenté de la baiser aussi sec, mais je pense soudain à mes petits accessoires "surprise" …J’ouvre un paquet et en sort les boules de geisha que j’ai pris soin d’apporter. « Ha! » S’exclame Pascale en la voyant. Pascale retient sa respiration au fur et à mesure qu’elle voir sortir les objets.
« Viens mon bébé, tu vas adorer. », lui dis-je, elle relève ses hanches vers moi, en me regardant d’un air semi narquois, semi résigné, comme si elle me mettait au défi de l’étonner, de ne pas la décevoir. Je sens bien sa confiance en moi, sa curiosité, son envie certaine, mais aussi une inquiétude d’être déçue, souillée, de voir l’image que j’ai d’elle diminuée, rabaissée. Elle m’expose ses fesses, tout en restant appuyée sur les épaules et me fixant. "Veux-tu écarter tes fesses?" lui demandé-je. Elle acquiesce et des deux mains expose son bel anus à la lumière, dégageant à mon regard, toute une géographie érotique : ses fesses, deux collines arrondies blanches et tendres, définissent une sombre cuvette en entonnoir, au fond de laquelle, cerclé de quelques poils châtains, se découvre l’orifice rose de ma convoitise, un peu en avant l’abricot fermé de ses grandes lèvres.La suite se passe en silence, je déploie le collier et en enduit les boules de quelques touches d’huile parfumée, puis je glisse deux doigts bien gras entre les fesses de Pascale.L’instant est plein d’une excitation bizarre. L’image de mes doigts, pressant la première boule brillante de vaseline sur l’anneau délicat de Pascale, son silence, sa docilité attentive, son excitation silencieuse, sont marqués pour toujours dans ma mémoire comme des photos de vacances qu’on connaît par coeur. Devant la première boule, l’anus ne s’ouvre pas mais les chairs élastiques reculent. Je masse l’anneau de chair de mon doigt graissé et ré-introduit un peu d’huile à l’intérieur. J’appuie de nouveau la boule et c’est très lentement qu’elle pénètre, écartant la muqueuse luisante du petit orifice. Cela fait penser à une petite bouche qui s’ouvrirait pour gober un œuf. La boule est avalée et disparaît, Pascale, réagit par une minime secousse du bassin, et sa respiration devient sonore, je vois le duvet de la peau de ses fesses et de l’arrière des ses cuisses se hérisser: c’est magnifique! L’anus s’est refermé sur le petit cordon de soie noire, je presse ensuite la seconde boule et successivement introduit la totalité du collier. Pascale et moi-même sommes silencieux comme dans l’attente de quelque chose, elle est concentrée sur les sensations nouvelles qui la parcourent, tandis que je suis saisi par l’esthétique du moment et un peu éberlué par sa transformation érotique, ses désirs nouveaux et son acceptation de mes envies.
J’imprime une traction sur le cordon et voit les chairs de Pascale bomber en arrière, sous la traction de la dernière boule, je continue et voit apparaître la boule à travers l’anneau entrouvert. Je relâche le cordon et l’anus se referme brusquement sur sa proie, Pascale lance : « Hhouu, je les sens se cogner dedans ! Houfff. C’est fort ! « Cela m’incite à recommencer. Pascale reste immobile, et se contente de respirer plus vite, je tire, je relâche, je tire, je relâche, au rythme de sa respiration, après une dizaine de fois elle souffle plus fort émettant un cri à la fin de chaque expiration, un peu comme: « hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie … ».Je fais durer et plusieurs minutes se passent ainsi, sans autre bruit ni mouvement, juste mes doigts qui tirent le cordon puis relâchent. Je suis assis sur le lit, ma verge est douloureuse à force d’être raide, pourtant je ne ressens pas d’urgence. Pascale, gémit alors régulièrement quand soudain, je ne relâche pas le cordon mais d’un coup sec fait ressortir la dernière boule : elle crie à voix si haute, qu’on peut sans doute l’entendre hors de la chambre, ce dont je me moque : « AYAAaaa ! Ah !» Dans le même mouvement je réintroduis l’objet, elle frémit, et c’est tout, ne bouge plus, toujours offerte, repliée en avant, passive. Et je reprend mais toutes les cinq ou six fois je ressors la boule, et le cri de Pascale ébranle le silence de la chambre. Une minute ou deux se poursuivent ainsi et je retire puis réintroduit deux ou trois boules toutes les cinq, six mouvements. Pascale est en sueur, le bas de son dos est trempé, elle gémit en permanence et crie très fort lorsque les boules sortent et entrent de nouveau dans son anneau assoupli et consentant. Puis brusquement elle se cambre, tend les cuisses emprisonnant les boules entre ses fesses, roule à plat ventre sur le drap : « Ah … je viens, ahh … c’est boon … c’est … ahhh ». Je la vois se tordre, avec ses jarretelles et ses bas, entre ses fesses serrées : le cordon noir des boules de geisha, quel tableau ! C’est obscène et dans cet instant d’une délicatesse extrême : c’est comme une politesse. Un érotisme animal se dégage de la femme impudique, qui offre son postérieur en silence, c’est du pur langage des corps. Dans la faible clarté, au sommet des deux cuisses écartées, je vois sa chatte et son anus, innocents occupants de ses fesses. Cette chair impudique et humide me raconte sont désir, je comprends tout de l’orage qui va passer sur ces muqueuses rosées et de l’émoi qui les anime. Et pourtant, ce con, ce cul me disent: «Bienvenue, à toi de jouer de nous. Fais ta musique.»Je ne peux plus tenir, dès qu’elle s’arrête, je la saisis aux hanches, la ramène brutalement vers moi et la pénètre en levrette.Sa chatte est inondée, je la fourre bien profond, et se sens le long du dos de ma bite le chapelet des boules qui s’entrechoque, Pascale crie quand je la pénètre et à chaque fois que les boules gigotent sous mes coups de reins. Je lui baise le dos avec délectation. Elle se tend vers ses lèvres. « Viens chéri, je suis toute à toi. Viens … Oh » Dit-elle d’une voix sourde. Je saisis le cordon et retire le collier de boules, elle frissonne.Elle : «Chéri. Ah Chéri, fais-moi jouir! Sois doux. Chéri, oh, Chéri … Ah … Fais, fais-moi … ce que tu veux … ». Mes mains caressent son dos, ses épaules, je m’incline sur son dos, lui baise les épaules. Elle adore. Par le côté je cherche sa joue, sa bouche, l’embrasse fiévreusement. Ma main droite vient devant trouve son ventre, sa toison, son clitoris. Les caresse tendrement. Pascale répète de cette voix étrangement assourdie : «Ah chéri, fais-moi tout ce que tu veux ». Elle insiste « Oh, Chéri, Chéri, je t’en prie . Oh Chéri, je t’en prie, viens derrière … viens! »Elle est toujours à genoux, très belle, les cheveux défaits, les épaules basses, les mains à plat sur le couvre-lit. Je l’embrasse encore. « Merci ma chérie, oh Merci! » Pascale, soupire. Mon cœur bat à tout rompre : "Je vais te sodomiser Pascale! — Oh Oui!". Je soigne ce seigneur des anneaux magiques, si malmené tout à l’heure. J’approche son vit tendu de cette cible désignée et le met au contact. Mes gestes sont lents, je pousse doucement. La chair anale palpite contre mon gland. Pascale contracte et décontracte volontairement son anneau rose. « Chéri ».Jel la tiens aux hanches et exerce une poussée continue. Je vois sa bite progresser entre les deux globes fessiers. L’huile aide bien, l’envie de Pascale aussi. Je sens l’ouverture de sa porte secrète, c’est une bouche qui s’ouvre et dit ’O’. Mon gland est plus qu’à moitié enfoui dans la muqueuse. Je prie Pascale de pousser comme pour aller au cabinet « Fais comme au toilettes. Autant que tu peux ». Cela durci momentanément le passage, mais elle doit ensuite se relâcher et le muscle se détend. Pascale : « Chéri Je ... ooooh! » J’imprime quelques coups de reins saccadés : ’ tac, tac, tac, tac, tac ’ et ça y est, le gland a passé! « Ooohh, ooohh, chériii! ». L’anneau serre délicieusement la hampe. Pascale n’a pas souffert, j’entends sa joie. Il reste immobile. «Ca va maman? Tu n’as pas mal?Oh non, non, au contraire chéri! C’est bien. Mais ne bouge pas de suite, c’est épais, c’est très étiré!Tu la sens bien ? Elle est bonne ?Oooh que oui, je la sens bien ! Bonne mais un peu grosse, va doucement …Un peu grosse seulement ? Pas plus ?» Demandé-je en faisant jouer mes reins en rond.«Hein Pascale ?— Oooh si, bien bien grosse !Tu veux la sentir plus ?— Oh ouiii vas-y!» Je m’enfourne plus profond d’un seul mouvement, emplissant ses reins, lui donnant toute la longueur de mon organe.Elle « AaaaaaH ! Ha ! Aaaaaaaahhh !»Je me lance dans un va et vient incessant, Pascale crie et couine sans arrêt. «Arrête, Oh ahh, Ho ho ohhhh ! Arêêête, ahhh ahhh ahhh oho oho oh, Ouiii, ooooh ohohoho Arêêête , Aaaaahaaaaha aaah aha aha aha». Maintenant elle souffle en rythme, je la perfore sans cesse, de grands allers et retours dans son cul . Elle crie « aaah aha aha aha» selon le ryhthme que j’applique. Je lui demande : « Tu jouis Pascale?— Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , continueeeee!» Et je continue, fort la soulevant à chaque fois avec mon pubis. « Tu jouis ma beauté ?— Oooh ouiiii ! « Tu jouis ma salope ?— Ooooh ouiiii , continueeeee!— Tu aimes ma bite dans ton cul ?- — J’adoooore !— Tu aimes te faire enculer ?— Ooh ouii ! C’est trop bon !» Je chante la chanson de Gainsbourg : « Je vais et je viens, je vais et je viens … entre tes reins!— Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , continueeeee!— Tu vas aimer te faire enculer maintenant !— Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , c’est trop booooon !— Par ton mari?— Oh non! Oooh non , pas lui! — Par des grosses queues de mecs?— Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii !— Dis-le !Pascale approuve :— Je … je . .. vaiiiis aimeéééeeuh me faiiiire enculééééér ! Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii !— Par toutes les grosses queues d’inconnus, dis le!— Ouii ! Oui !! Par toutes les grosses queues d’inconnus!!! Oooh ouiiii ! Oooh, oui, c’est ça! Oh Viens, Ooooh … mais j’a-dO-RE! Que c’est bon… ». Je cherche une bonne position et entreprends de coulisser de toute ma longueur, à un rythme soutenu. J’entre au fond, ressort presque tout, revient, ressort, au bout d’un moment je la sors en entier et m’enfourne aussitôt jusqu’au tréfonds de cette femme. Je suis en train de perdre le contrôle. Que dire de Pascale qui crie sans interruption : « Ohh ououi, oohhh, mon Diiieu! oui oui oui ohhh, je meurs! Ooooh va, va, tu me tues! Encore … encore!» Tous ces cris qu’on lit dans les récits pornos sans y croire. Eh bien, c’est à ce moment, sous les assauts de leurs amants , qu’elles les poussent vos tendres et chères, croyez-moi! "Je crie maintenant : « Enculée, enculée, salope de maman enculée ! Tu aimes ça te faire enculer !— Ouii ! Oui !! Par les grosses queues des jeunes !!! oooh ouiiii !»— Salope d’enculée, les queues de tout le monde, n’importe laquelle ?— Ouii ! Oui !! Par n’importe laquelle queue de jeunes !!! oooh ouiiii , celles des vieux, toutes, ohhh toutes!— Dans ton cul de salope maman ?— Ouiiii ! Dans mon cuuuuuulll grosses … ooooh, queues oohhh toutes , aha aha aha oooh ouiiii !» Je termine par une salve de violents coups de reins qui poussent Pascale, à plat ventre, le visage contre la tête de lit, toujours frémissante et hurlante, et m’effondre sur son cul pour terminer en jouissant à grand coup de bite. Puis je m’immobilise tandis qu’elle gémit de façon aigue en trémoussant son cul contre moi.Puis contenté, je sors lentement de son conduit avec un floc, ma bite flaccide, souillée de sperme et autres.
J’embrasse un moment les cheveux et le cou de Pascale, puis je roule sur le flanc face à son visage et croise son regard un peu vague, elle mime un baiser avec les lèvres.
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