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Le passé de John

Chapitre 1

Mise en contexte

Divers
Bonjour, comme vous le savez peut-être, je vis une aventure extraconjugale avec Aurélia, ma meilleure amie et amante. Comme ce n’est pas simple d’écrire ensemble, d’autant plus qu’elle jongle pas mal avec sa propre vie, j’ai décidé de parler un peu plus de moi et de vous raconter mon histoire, mes expériences.
Avant d’être avec ma compagne actuelle, j’étais avec une fille que nous appellerons Justine pour cacher son identité. J’ai fait sa rencontre au lycée et cela a duré cinq ans entre nous. Je profite de l’anonymat du site d’écriture pour coucher noir sur blanc un gros morceau de ma vie, mais aussi une forme de traumatisme sur la fin de notre relation, mais nous y reviendrons à ce moment-là. Je ne nie pas avoir grandement apprécié les jeux auxquels nous nous adonnions elle et moi ou avec d’autres personnes.
Cette histoire va être consacrée à ma relation avec Justine. Du commencement plutôt banal, jusqu’à la fin où j’étais devenu plus sa chose que son copain. Je tiens à souligner que toute cette histoire est vraie, même s’il se peut que certains souvenirs soient un peu vagues et soient retranscrits ici avec tous les biais que le temps impose à des souvenirs parfois lointains.
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J’ai rencontré Justine au lycée, lorsque j’étais en première. Elle était en filière littéraire et moi en économie. Nous nous sommes très vite captés, car au lycée, il n’y avait que quelques élèves dans le genre métalleux, cheveux longs et forts en gueule. Je me suis intégré à son petit groupe d’amis et nous avons tous enchaînés les soirées plutôt animées dès que nous le pouvions. Ce n’était pas simple en ce temps-là en plus, car nous n’avions pas le permis et Justine comme bon nombre des membres du groupe étaient des pensionnaires. Donc le soir, Justine devait être de retour ainsi que les autres au pensionnat et le weekend ils rentraient dans leurs villages de campagne.
À cette époque, je faisais déjà 1.91m pour 90 kilos, je n’avais pas encore pris la brioche d’aujourd’hui. Mes cheveux étaient moins longs, me tombant seulement au niveau des épaules. Enfin, je portais le bouc et non la barbe. Justine quant à elle faisait 1,72m, svelte, les cheveux blonds comme les blés au début de notre relation, très longs, lui tombant jusqu’à la naissance des fesses, ce que j’ai toujours trouvé sexy lorsqu’elle était nue. Des fesses parfaitement sculptées par le sport qu’elle fait et des seins galbés à souhait, un jolie 90C. Elle avait le teint pâle, la peau de nacre ce qui donnait à sa personne une grande beauté. Lorsque j’arrivais à la rejoindre par chez elle pour passer le weekend chez ses parents, nous aimions particulièrement nous poser dans un champ et Justine adorait se mettre nue dans l’herbe, moments que je garde encore en mémoire.
C’est assez vite après qu’on se soit mis en couple que nous avons sauté le pas et commencé à faire l’amour. Oui je dis bien faire l’amour, car au début, autant le dire, ce n’était pas bestial. C’était toujours très doux, très tendre, amoureux que nous étions et nouveau que cela était entre nous. Toutefois, j’ai vite vu qu’au bout de trois ou quatre mois après que nous ayons commencé à pratiquer le sexe, Justine voulait plus. Je tiens à souligner qu’au début de notre relation, elle n’était pas branchée préliminaire, en tout cas, pas fellation. Elle a toujours été une grande féministe de l’âme et elle trouvait ça vraiment dégradant pour elle et n’avait jamais sucé quelqu’un avant moi. Pour ma part, j’ai toujours adoré pratiquer le cunnilingus et ce n’est pas la toison dorée qu’elle arborait fièrement qui m’a fait reculer. Justine voulait plus, elle voulait essayer de nouvelles choses et elle a voulu que nous passions à l’étape suivante. Voyant que je prenais beaucoup de plaisir à la lécher, elle s’est décidée à sauter le pas et prendre mon sexe en bouche. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce n’était pas fameux au début, mais comme pour tout le monde. Elle a vite développé sa technique et a commencé à prendre goût à cela au point d’initier la chose sans que je ne lui demande si elle voulait bien me sucer. Après cela, Justine et moi avons décidé de faire nos tests de dépistages divers, dans le but de nous assurer que nous pouvions passer à l’étape suivante de notre sexualité.
Comme vous vous doutez bien, ce n’était pas facile de pouvoir donner libre court à nos fantasmes et nos envies qui étaient très importantes. Nous ne pouvions profiter l’un de l’autre que le mercredi après-midi où elle venait chez moi, seulement si nous ne sortions pas entre potes, ou le weekend lorsque l’un ou l’autre arrivait à se libérer de ses parents.
Ce n’est qu’au bout de plus d’un an de relation, alors que nous étions devenus majeurs et surtout que le lycée approchait de la fin que nous avons encore progressé dans notre sexualité. Entre-temps, nous avions déjà une sexualité plus normale, banale aux yeux de beaucoup mais qui nous contentait amplement. Justine faisait l’expérience de la sodomie depuis peu et nous avons essayé à de nombreuses reprises de tester les différentes positions du Kamasutra dans le but de voir ce qui était du domaine du possible ou non et surtout du bon ou du mauvais. En revanche, rien n’aurait pu me préparer à ce que Justine avait en tête. Elle est du genre à bien cacher son jeu jusqu’au moment de l’abattre et bien que nous fussions l’un comme l’autre très ouvert, nous ne parlions que très peu de sexe. Lorsque nous nous sommes ouverts l’un à l’autre, Justine m’a avoué qu’elle voulait du sexe plus brutal, plus bestial. Elle voulait se sentir possédé et que je me lâche un peu plus avec elle et sur elle. C’est à partir de ce moment que nous avons commencé à parler de plus en plus de ce que nous voulions expérimenter.
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