Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 1 Commentaire

Le passé de John

Chapitre 5

Pour vous Maîtresse

Gay
À partir de cette fois durant laquelle je me suis abandonné à Justine, elle a commencé à prendre l’ascendant sur moi, sur nos relations sexuelles en général. Nous avons cessé de pratiquer le sexe de façon « traditionnelle » car elle ne voulait plus inscrire nos ébats que dans une dimension de domination et de soumission. Elle se montrait inventive et surtout passionnée par cet univers, au point de prendre contact ici et là avec des gens sur certains forums pour pouvoir être une bonne maîtresse. C’était assez excitant de la voir toujours faire ses recherches ou planifier sa liste de course pour pouvoir avoir tous les trucs de base. 
L’un de ses premiers achats a été une cage pénienne. Le but était de me frustrer un maximum et surtout de m’interdire la masturbation. J’étais à plus de soixante kilomètres d’elle, enfermé plusieurs jours de suite dans cette cage qu’elle me fixait et cadenassait avant qu’on ne se sépare. Autant vous dire que lorsqu’elle me libérait de cette entrave, j’étais un amant plus passionné que jamais avec elle. Mais au fil du temps elle a commencé à annuler des rendez-vous pour me frustrer plus encore, et à me faire patienter des heures, lorsqu’on se retrouvait, avant de me libérer. Elle voulait me dompter totalement et a bien réussi son jeu, m’obligeant parfois à prendre soin d’elle de longues heures durant. Il lui arrivait souvent également de me baiser et me faire jouir avant d’enfin retirer la cage et elle jubilait car je n’étais plus en état de la prendre.  --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- J’arrive chez elle le vendredi soir. Enfin je passe saluer mon ami avant et nous parlons longuement car Justine m’a envoyé un message au dernier moment pour me dire qu’elle aurait du retard et que je devais attendre un peu. Je suis sûr qu’elle a attendu que j’arrive pour me faire languir un peu plus. Je suis enfermé dans ma cage depuis une longue semaine et Justine n’a pas arrêté de m’envoyer des messages, des photos ou des vidéos d’elle en train de se masturber pour me donner envie. Elle m’a demandé de mettre un plug anal de bonne taille toute la durée du trajet en voiture, alors je suis un peu au bout de ma vie.  Pendant que je parle avec mon meilleur ami de certains projets, je reçois un message de Justine qui me dit qu’elle vient d’arriver et qu’elle monte. Je dois venir dans quinze minutes, le temps qu’elle se change. J’entends en effet des bruits de pas à l’étage, mais elle ne semble pas toute seule. C’est une maison un peu ancienne et on entend bien quand des gens marchent à l’étage qui sert actuellement de logement à Justine. Je commence déjà à bander et à me sentir serré dans ma cage. 
Je ne rate pas l’heure à laquelle je dois me présenter et Justine m’ouvre. Elle porte une chemise à carreaux de couleur rouge et noir avec un jean troué. Elle a ses grosses Démonia de chaussées à ses pieds, ce sont des chaussures à semelles compensées.  — Bonjour maîtresse. — Hm. Entre et retire tes vêtements.  Je m’exécute sans un bruit, sans réfléchir. Elle m’ordonne. J’espère une fois nu qu’elle va vite retirer ma cage car je n’en peux plus.  — A genoux. Je m’exécute sans piper mot. Je sais ce que j’ai à faire maintenant. Nous avons déjà fait ça avant. Je commence à faire descendre la fermeture éclair de ses bottes afin de les lui retirer ensuite. Puis, je retire ses chaussettes et je découvre qu’elle a enfilé des bas. Mon excitation monte d’un cran encore. D’un geste du menton, elle m’invite à me relever à sa hauteur et je déboutonne sa chemise avant de la faire glisser au sol. Je découvre en dessous une guêpière des plus sexy, soutenant ses seins à merveille. Je lui retire ensuite son jean pour découvrir ses bas pincés à un porte-jarretelles assorti à la guêpière.  Elle s’allonge sur le lit, écarte ses cuisses et me dévoile ses parties qui me hantent depuis la dernière fois.  — C’est ça que tu veux ? — Oui maîtresse. — Il faut le mériter ! dit-elle en refermant ses jambes d’un coup et s’asseyant sur le bord.  Elle va vers le fond du lit, tout contre le mur et prend une posture stricte mais en même temps détendue.  — Viens ! dit-elle en tournant la tête contre le mur. Soudainement, Baptiste fait son entrée dans la pièce, totalement nu, et déjà bien dur. Il pose ses vêtements pliés sur le côté et donne un papier à Justine qu’elle lit rapidement. De loin je ne vois pas bien, mais ça ressemble à une feuille de tests pour les MST. Elle porte ensuite son regard vers moi.  — Occupe-toi de lui comme tu le ferais avec moi, maintenant !  Je suis étonné et je n’ai jamais fait ça. Je vois son regard autoritaire, ses lèvres qu’elle se mord d’excitation à l’idée que j’obéisse à son ordre. Je m’avance vers Baptiste et le fais s’allonger sur le lit à son tour. Je ne m’approche pas de sa bouche, j’attaque directement par son torse pour me donner du courage. Je dépose des baisers sur son torse imberbe et descends. Je m’arrête sur les îlots rose que je mordille doucement avant de continuer ma descente. Je sens sa turgescente virilité glisser dans ma raie, taper mes bourses et glisser sur mon ventre à mesure que je continue ma route. Je me remémore alors la technique de ma douce Justine lorsqu’elle le fait pour moi. Je franchis la forêt sombre au pied de ce piton rocheux que je gravis à grands coups de langue.  Je contemple ce sexe qui m’attire irrésistiblement, pour une raison qui m’échappe. Ce sexe dur, que j’arrive à trouver beau de mon regard avide, galvanisé par celui que ma maîtresse pose sur moi. Je porte à nouveau mon regard sur lui, sur ces veines gonflées, pareilles à un tracé de signalisation. Je remonte mes yeux vers Baptiste que je vois, se mordant les lèvres avant de revenir sur son sexe. Je comprends qu’il se dresse pour moi, qu’il se gonfle pour me séduire, qu’il durcit pour me fasciner et qu’il se fait de braises pour m’attraper. Je dois l’avouer, pour une raison tout à fait en dehors de ma compréhension, ce sexe d’homme a tout, dans sa forme, son aspect, sa couleur, son odeur, pour me captiver. Un liquide translucide s’en échappe. Il brille telle une goutte d’eau cristalline. Une larme du ciel perle à son front lisse et rond. Une fente hypnotique s’offre à moi. Je ne peux plus m’empêcher d’y poser mes lèvres, pour goûter à cette perle nacrée. J’avance ma bouche sur sa lame, l’envoyant à l’aventure trouver ma langue qui l’attend. Il y a une langueur océane qui vient à moi en effluves marines, avec ses embruns iodés. Tout se nappe sur la grève de mon palais dans un tumulte de sensations nouvelles. J’ai ce désir d’aller encore plus loin. Je pompe ce magnifique phare, j’avale au plus profond de ma gorge chaude et accueillante, le massant avec l’intérieur de mes joues et ma langue en guettant ses derniers instants suppliciés.  Je mets ma main à l’ouvrage également et empoigne son sexe comme une dague dont je me sers pour suriner ma bouche. Il commence à faire de gros cris rauques tandis que mes gémissements sont étouffés par son membre. Je sens dans ma bouche son gland qui gonfle encore un peu et l’embrun de la mer à nouveau revenir titiller mon palais. Je tourne mon regard vers Justine qui est en train de se doigter sans ménagement et me lance simplement en retour quelques mots pour savoir à quoi m’en tenir.  — Avale !  Je continue ma besogne jusqu’à ce que ce sexe nourricier décharge en une poussée vertigineuse un tsunami qui gagne tout mon être. Tout s’infiltre en une tumultueuse liquéfaction. Tout s’enfonce dans les profondeurs humides de mon corps. Une coulée brûlante envahit ma gorge, un liquide visqueux comme de la soude caustique descend dans mon tube digestif. Je siphonne ce dard crachant ce délicieux venin jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte en son sein de ce poison qui est maintenant en moi.  — Lèche bien !  Je m’applique selon la volonté de mon amour à bien nettoyer la queue de Baptiste. Je sens que le goût n’est pas près de partir, mais pour l’instant la nuit n’est pas finie...
Diffuse en direct !
Regarder son live