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Le passé de John

Chapitre 7

Les débuts au Glory Hole

Voyeur / Exhibition
Une de nos pratiques courantes, ou en tout cas qui l’était devenue à la longue, avait commencé de la plus étrange des manières. 
 Un soir, alors que nous étions de sortie, dans une sorte de discothèque, si je ne dis pas de bêtises car mes souvenirs quant au lieu sont flous, nous nous sommes rendus dans les toilettes. Je me souviens qu’il y avait un concert de métal, plusieurs groupes amateurs ou semi-pro, mais pas trop connus, se succédaient. Même si aujourd’hui j’ai oublié l’endroit exact où s’est passée cette soirée et les groupes venus, je me souviens encore très bien d’une foule de détails marquants, ce genre de souvenirs s’ancrent dans la mémoire.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Les esprits sont échauffés et l’ambiance est vraiment bonne. L’espace est un peu étouffant avec la fumée de cigarette des clopeux comme Justine et moi, mais ce n’est pas grave. La musique résonne et fait vibrer les murs comme s’ils allaient s’effondrer. Nous nous déchaînons sur la piste en sautant et nous poussant les uns les autres encore et encore. Parfois nous reculons pour nous reposer un petit peu, c’est aussi l’occasion de boire une bière ou deux et de parler à d’autres personnes venues passer une bonne soirée comme nous. C’est un plaisir de sortir et de se défouler ensemble, Justine aime bien venir passer son weekend en ville et quitter un peu son chez-elle.    La nuit avance encore un peu et nous soufflons avant la seconde partie. Il est déjà presque minuit et nous ne sommes qu’au début. Nous faisons une remontée en surface pour prendre notre dose d’air frais avant de retourner danser et s’amuser sur des rythmes terribles. Nous continuons de nous enivrer et les inhibitions tombent de plus en plus pour un peu tout le monde. Dans une ambiance embrumée, alors que le chanteur fait une sorte d’appel au public féminin, Justine se met à frétiller et je la vois retirer son soutien-gorge et le lancer en direction de la scène, comme d’autres filles.    Justine est rayonnante, souriante et déchaînée, mais surtout, excitante. Elle continue de sauter sur place en transe, portée par la musique. Elle porte un T-shirt troué qui, en l’absence de soutien-gorge, laisse parfois apparaître ses tétons lorsque ses seins ballottent. Ils me narguent encore et encore, je n’arrive très vite plus à me contenir. Je l’attrape dans mes bras, la soulève, mais c’est pour agripperson téton qui dépasse, dans son téton qui dépasse, bandé par le frottement contre le tissu, avec mes dents. Je lui suce le téton, me fichant bien d’être vu ou non par les autres, quelle importance.    Quand je la pose au sol, je vois son sourire euphorique se transformer en sourire coquin. Elle fait un mouvement de sourcil lourd de sens avant de me saisir par la main et m’entraîner vers les toilettes. Nous entrons ensemble dans la même cabine et elle m’installe sur la cuvette avant de retirer mon bouton et faire glisser mon pantalon et mon caleçon sur mes chevilles. Elle a un sourire gourmand qui m’excite énormément et ne fait qu’aider mon sexe à durcir encore plus. Elle l’attrape du bout de ses doigts collants de bière et commence à le caresser. Quand ma queue est assez raide, elle approche la langue et commence à la lécher, puis elle fait entrer mon gland dans sa bouche. Après m’avoir pris en bouche, elle se libère , elle se libère et me suce comme une vraie furie déchaînée. Elle commence à avancer un doigt vers mon cul et caresse doucement ma rondelle.   — Oui vas-y vas-y ! que je lui souffle en gémissant.    Elle engouffre ce doigt dans mon cul sans aucun mal, habitué que je suis à l’exercice, et elle m’arrache un grognement fort d’excitation.    On n’a pas fait attention en entrant dans la cabine, mais il y a une sorte de trou dans le bois cassé et alors que nous étions en plein dans le feu de l’action, nous avons vu à peu près en même temps, Justine et moi, un sexe tendu émerger de ce trou. Sur le coup, Justine retire ma queue de sa bouche et pousse un petit rire un peu gras et amusé, celui d’une fille un peu ivre et joyeuse comme elle en a, et qui est très attendrissant.    Elle porte sa main qui me caressait jusque-là les bourses sur cette queue non identifiée et commence à la caresser. De son autre main, elle reprend ce massage de la prostate qu’elle me prodigue si bien, et met à nouveau mon sexe en bouche. Devant le traitement et avec l’excitation de la situation additionnée à celle que j’avais déjà en arrivant, je suis le premier à jouir. Je remplis la bouche de Justine en plusieurs salves de sperme accompagnées de cris rauques. Elle me montre son butin avant qu’on ne s’embrasse passionnément pour nous le partager comme deux voleurs. Puis, elle se met à sucer l’inconnu avec vigueur et entrain pendant que je la stimule au niveau des tétons. Je la sens frémir, mais c’est lui qui commence à pousser des gémissements sonores et nous savons qu’il est sur le point de jouir. Au moment de l’explosion de l’inconnu, Justine se pousse et sa giclée file d’un bout à l’autre de la petite cabine pour tapisser le mur en face. Nous échangeons des rires ivres avant de quitter les lieux au plus vite.    Cet événement imprévu a stimulé Justine et la semaine suivante elle revient chez moi pour passer le weekend, mais elle veut reproduire ce qu’on a vécu. Nous ne sommes pas incultes. Nous regardons du porno, nous savons donc qu’il nous faut juste trouver un Glory Hole et il y en a dans les sexshops que nous fréquentons. Je ne résiste pas face à son envie, elle a ce regard convaincu et convainquant, ce regard qui dit “je ne te demande pas ton avis, on y va”. A peine son choix fait, nous nous habillons et passons en ville pour prendre des sandwichs et une bouteille d’eau avant d’aller au sexshop qui n’est pas loin de là où je vis. C’est là où nous allons le plus souvent ; les vendeurs et propriétaires nous aiment bien.    
Justine, à peine la porte franchie, me passe un collier autour du cou. C’est une habitude qu’elle a prise, depuis peu de temps, quand nous arrivons dans des lieux de luxure. Puis, elle s’avance vers le comptoir derrière lequel se trouvent deux vendeuses.    — Salut les filles ! dit-elle. On aimerait tester, enfin, vos cabines pour Glory Hole. C’est possible ?   — Oui évidemment. Il n’y a pas de problèmes.   Elles nous accompagnent et nous guident. Elles nous parlent de plusieurs cabines très différentes, celles avec une seule cloison, deux cloisons ou trois cloisons. Justine leur répond rapidement que ce sera trois cloisons. Elles nous conduisent jusqu’à ladite cabine et nous présentent les différents trous. Nous remarquons des trous qui peuvent clairement laisser passer un bras.   — Vous voulez choisir le porno qui est diffusé dans la cabine les amoureux ?  — Un porno gay ça sera bien ! répond Justine avec aplomb.    Nous prenons pleinement possession des lieux. Il y a une sorte de coffre contre une des cloisons, en l’ouvrant nous comprenons vite que c’est le meilleur endroit où ranger nos affaires. Justine ne perd pas de temps.     — À poil !    Nous retirons tous les deux intégralement nos vêtements et les plaçons dans le coffre. Le porno met un peu de temps à changer, mais l’écran se met bien à diffuser, au bout d’un moment, du porno gay. Justine s’installe sur le coffre et c’est à ce moment qu’un mat jaillit d’un des trous. Elle me regarde et me fait un signe des yeux en direction de la bite, c’est à moi cette fois-ci de faire.    Je me mets à genou et empoigne cette bite, la caresse et très vite à la sucer je la suce, pendant que Justine me regarde et se touche avidement ses lèvres et son clitoris. Une autre queue arrive et la surprend, elle commence à s’en occuper à son tour. Toutefois, elle ne me quitte pas des yeux une seule seconde.   Les yeux inquisiteurs de Justine me paraissent chauds et excités par ce qu’elle voit. Même avec ce chibre ? souvent dans sa bouche, je peux voir son sourire en coin, parce qu’elle me voit sucer cet inconnu à travers la cloison, comme je peux le faire avec Baptiste lorsqu’il passe. Je suis galvanisé par son regard qui ne me quitte pas et m’invective de poursuivre ma besogne sans m’arrêter. Une autre verge sort de la cloison opposée à celle devant laquelle je suis. D’un geste de l’index, Justine me la désigne et je m’en saisis en tendant le bras pour entreprendre de la caresser.   Justine est bien plus à l’aise et experte que moi, je ne tarde pas à entendre des cris rauques, des grognements derrière sa cloison et l’homme jouit en abondance sur ses seins. Elle secoue le pénis pour faire perler les dernières gouttes de jus avant de venir vers moi. Elle se glisse dans mon dos et sort un tube de gel avant d’en étaler une grosse noisette sur ma rondelle. Rapidement, elle me masse l’anus. J’accélère mon rythme et l’inconnu commence à exulter son plaisir. Je le sens frétiller dans ma bouche et je le retire rapidement, avant de prendre la sauce en plein sur le menton et le cou. C’est à ce moment-là que Justine fait entrer ses doigts en moi et me fait énormément de bien, m’incitant à passer à l’autre verge tendue pour moi.   — C’est ça suce ! T’aimes ça hein ! dit-elle en me fessant.— Oui Maîtresse… Justine est très excitée par la situation, elle mouille énormément et frotte sa chatte ruisselante sur mes fesses. Elle fait couler sa cyprine dans ma raie et s’en sert de lubrifiant pour faire coulisser trois de ses doigts à l’intérieur. Elle me met au supplice, mais mes gémissements sont étouffés par le chibre qui occupe ma bouche. Ma maîtresse sort une capote, j’entends le sachet qu’elle déchire, le son provient de derrière moi. Elle me fait ensuite me dresser sur mes jambes, m’oblige à me plier en deux pour pouvoir continuer de sucer. Très vite, elle m’empale sur ce nouveau joueur, son gros gland distend mes chairs, bien qu’il ne soit pas monté sur une hampe bien longue. J’entends que ça tape derrière la cloison en face de moi et Justine me fait cesser la fellation quelques secondes après en voyant que je ne le fais pas  ; juste à temps pour prendre une giclée sur une partie de la joue et le reste dans le dos.  Je me demande aujourd’hui si elle n’avait pas déjà fait quelques essais de son côté pour arriver à anticiper. — Doucement mon gourmand ! dit-elle. Justine retourne sur le coffre et se touche alors qu’une nouvelle perche se dresse à travers la cloison contre laquelle elle s’appuie, celle devant moi. Elle la branle, la suce et finit même par s’empaler dessus dans la position identique à la mienne depuis un moment. Elle se pince avec force les tétons et gémit fort. — Tu aimes ce que tu vois John ?— Oui maîtresse !— C’est mieux que le film ?— Oh oui maîtresse !— C’est bien, regarde-moi ! On n’a pas fini ! Je ne sais pas exactement combien de temps nous restons, mais nous voyons plusieurs autres inconnus se succéder. Lorsque nous sortons de la cabine, nous sommes souillés, elle comme moi, et je me sens connecté à elle une fois encore...
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