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Le passé de John

Chapitre 8

Légère mise au point

Divers
À ce stade de confessions au sujet de mon passé, il faut que je vous informe de plusieurs choses qui permettront de mieux comprendre la suite, mais qu’il aurait été compliqué d’ajouter à l’un des chapitres précédents. 
 A l’époque du lycée, comme beaucoup de gens, en tout cas comme c’était le cas de notre cercle d’amis, nous faisions des soirées déguisées. Avec Justine, une idée nous est venue assez rapidement :se travestir dans le sexe opposé. C’est un élément important qu’il faut vraiment que j’introduise à un moment, et c’est le plus approprié compte tenu de ce chapitre, pour faire le point. Nous étions à l’époque de grands fans du film “The Rocky Horror Picture Show” et de son personnage travesti, le Dr Franck-N-Furter. C’est un film un peu barré mais qui était très prépondérant dans notre culture cinématographique de l’époque. Nous empruntions des vêtements à une amie un peu forte et grande, ce qui lui permettait parfaitement de me déguiser, mais avec le temps elle a poussé un peu plus loin le délire avec du maquillage ou deux trois détails supplémentaires. Ce n’était pas compliqué en plus de ça. Je ne portais pas le bouc ou la barbe de façon régulière car ça ne ressemblait à rien encore, quand je laissais pousser, et je n’ai pas vraiment les traits du visage trop brutes, mis à part mon nez plutôt développé. De surcroît, j’avais les cheveux jusqu’aux épaules, ce qui m’évitait de mettre des perruques trop facilement identifiables comme étant fausses. Avec le temps, ma copine a préféré que nous fassions quelques achats pour éviter de dépendre de nos amis qui nous prêtaient leurs vêtements. Une robe et des chaussures à talon par-ci, des dessous sexy par-là, costume trois pièces et mocassins pour elle.  Avec le recul et le dialogue avec certaines personnes, je me rends compte que cela a peut-être fait partie d’une manipulation à très long terme de sa part. Je ne veux pas voir le mal partout, mais impossible de ne pas y penser étant donnée la manière dont nous nous sommes séparés. L’idée lui est peut-être venue au fil du temps et de l’évolution de notre couple repoussant toujours plus ses limites, de façon bien innocente, mais peut-être pas. Une chose est sûre, c’est qu’à l’époque j’étais amusé par la situation et j’avais envie d’aller plus loin car pour moi ce n’était qu’un jeu de rôle de plus. Mais Justines’imposa comme ma maîtresse, a dictéles règles d’un nouveau jeu dans lequel je tenais le rôle de la femme. Maîtresseallait finir par se lasser de la sobriété de notre jeu de déguisement.Les chaussettes étaient destinées à devenir de faux seins, mais pas seulement ; elle avait à dessein d’aller bien plus loin, mais pour ça il lui fallait encore franchir quelques étapes et surtout me les faire franchir à moi également.  Ce que je ne vous ai pas dit, c’est qu’en plus d’être bisexuelle, Justine était très amoureuse de la fille avec qui elle partageait sa chambre à l’internat du lycée : sa meilleure amie. Cependant, cette fille, qui n’est pas du tout bisexuelle ou lesbienne, n’a jamais répondu favorablement aux désirs de Justine. Je ne suis pas réellement certain que cela a eu une quelconque incidence sur le comportement de mon ex, mais mon ressenti est que c’est le cas. Au cours de notre histoire, et avec le tour que prenait notre relation, je ne me rendais pas compte de ce genre de choses. De mon point de vue, ma moitié avait toujours été une petite amie parfaite qui, certes, savait ce qu’elle voulait et me dominait au lit, mais qui m’aimait profondément et dont je partageais l’amour.  En parlant avec la colocataire d’internat, qui était l’amour impossible de mon ex, j’ai pu beaucoup en apprendre. Nous étions, et nous sommes toujours, de bons amis elle et moi ;elle m’a confié qu’au fil des années, Justine avait tenté des approches, à plusieurs reprises, dans l’espoir de voir leur relation dépasser le stade de l’amitié et tendre vers quelque chose de plus charnel. Elle n’a jamais répondu favorablement à ces avances, mais quand elle m’a donné les dates approximatives auxquelles Justine avait fait ses tentatives ; j’ai eu une sorte de révélation. À chaque fois que Justine a essuyé un refus de la part de son amie, sa volonté de me dominer est montée d’un cran sur l’échelle du hard, et ses comportements avec. Selon toute vraisemblance, ses désirs de me prendre au gode-ceinture et de me faire porter une cage de chasteté, avaient été engendrés par le premier refus de son amie. Lorsqu’elle a essuyé son second refus, elle a orchestré la soirée durant laquelle Baptiste m’a sodomisé pour la première fois. Le troisième refus, je l’ai su, et c’est là que notre couple, notre relation en général, a pris son plus gros virage. Justine a changé presque du jour au lendemain. Pas de façon profonde, ses goûts n’avaient pas changé, mais son attitude envers moi, sa façon d’être dans l’intimité, ainsi que de gérer son corps. Elle s’est coupée les cheveux à la garçonne tout en se faisant une couleur, ce qui a jeté un froid entre elle et ses parents, creusant plus encore le fossé entre eux et la rapprochant encore plus de moi. Personnellement, j’ai trouvé que ce nouveau look, bien que surprenant, lui allait vraiment bien, et si cela l’aidait à se sentir un peu mieux dans sa peau, alors c’était parfait finalement.  Au début de notre relation, j’avais fait comprendre à Justine que cela ne m’attirait pas trop les poils en abondance qu’elle avait au pubis. Cela ne l’avait pas dérangée de se raser et, sans être spécialement coquette, elle prenait vraiment soin de son corps.  Juste après ce changement de look, Justine a commencé à cesser de s’épiler ou de se raser. Elle s’est toujours sentie investie par les combats que portent les femmes au grand jour et m’a fait la morale sur le fait qu’il était, selon elle, oppressant de souhaiter à ce point que les femmes soient glabres et de les presser à l’être. Ne sachant pas trop quoi lui dire d’autre, mis à part qu’elle avait raison, je suis resté plutôt silencieux. Si c’était son choix après tout, il fallait bien que je le respecte, je n’allais pas me séparer d’elle simplement à cause d’une histoire de poils.  J’étais profondément amoureux d’elle. Vraiment. Je n’ai pas vu d’intentions cachées derrière ses actes alors que j’étais plongé dans la situation. Ce que je voyais à ce moment-là, c’était une femme forte qui s’affirmait encore un peu plus, mais tout ce que nous faisions restait dans notre cadre intime.Jusqu’à ce que ce ne soit plus le cas et que ça ne commence à devenir public pour certaines personnes.
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