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Le passé de John

Chapitre 10

Le début de la descente en Enfer

SM / Fétichisme
Notre quotidien a beaucoup changé après la soirée au club BDSM. Nous y sommes retournés de temps en temps, pour expérimenter toujours plus loin. Justine est devenue très proche de cet autre maître et, par effet ricochet, moi de sa soumise. Entre nous, dans l’intimité, tout n’était que rapport de domination, soumission et jeuxsexuels permanents; enfin, c’est l’impression que cela me donnait encore à ce moment-là, mais ce n’était plus un simple jeu… Pas pour elle.  Nous sommes à quelques semaines, mois de notre rupture, de cette cassure définitive qui se fera dans la fureur et les cris, mais c’est bien ce jour-ci que l’ultime virage a eu lieu…  -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Nous nous rendons chez Aude, une amie de Justine. C’est la fille un peu forte et très grande qui nous a prêté ses vêtements à l’époque de nos soirées déguisées lycéennes. Cela fait un moment que je ne l’ai pas vu à cause de mes études et de la distance à laquelle je vie d’elle et ma copine. Toutefois, cela ne nous a pas empêché de baiser à de multiples reprises ; à trois ou à quatre, avec son copain. Pour vous la décrire sommairement, elle n’est pas très loin de faire ma taille, sans doute un mètre quatre-vingt, quatre-vingt-cinq ; mais, elle, est ensurpoids. Elle pèse sans doute plus de quatre-vingt-dix-kilos, voire même dépasse la centaine. Elle a un certain style avec ses vêtements gothiques, punk ;elle arrive à se mettre clairement en valeur et au final : à être très attirante. — T’es sûre Justine ? Parce que là quand même c’est un peu spécial non ? — Oh John, franchement ? De quoi t’as peur ? C’est juste des copines. En plus, elles savent, pour la plupart, ce qu’on fait. Elles viennent pour parler cul et sextoys, c’est bon quoi. Nous sonnons et Aude nous ouvre sans tarder. Elle affiche un large sourire, bien qu’elle soit rapidement surprise de me voir aux côtés de Justine. Ma maîtresse salue et elle me passe le collier autour du coup, dès le pas de la porte franchi, pour marquer son ascendance sur moi. — Je croyais que c’était juste entre filles Justine, les autres ne sont pas au courant, dit Aude.— Ne t’inquiète pas, John n’est pas un homme aujourd’hui ; c’est juste ma chose. Et puis, il pourra nous servir de testeur pour les jouets ! — Quoi ?! dis-je. — Ta gueule John ! Justine fouille rapidement dans son sac et en sort un bâillon qu’elle me passe sur l’instant pour me faire taire ; la grosse boule venant se loger dans ma dentition. Sur le coup, Aude est gênée, mais elle me lance ensuite un sourire tendre et amusé, avant de nous inviter à passer dans son salon. Juliette et Oriane sont déjà arrivées, assises dans le canapé à fumer et boire du café. La tasse et la clope qu’Aude a abandonnés sont également présentes sur la table basse en bois massif. Une chaise vide se trouve à l’opposé de celle d’Aude, et Justine y prend place en tirant d’un coup sur la laisse pour me faire asseoir par terre, à ses côtés. Les filles se saluent, mais Juliette et Oriane restent interloquées, pendant un petit moment, par la situation qui se déroule et leur parait surréaliste. Juliette est une jeune fille très sensuelle, avec un look de dingue ; en tout cas de mon point de vue. Elle porte une robe, dentelles et broderies, dans un style très victorien, gothique, avec ces longues mitaines qui remontent jusqu’au coude. Ses lèvres sont peintes dans un rouge très sombre flirtant avec le noir, et tranche avec son visage d’un blanc porcelaine, naturel, incroyable. Les traits de son visage sont fins, délicats, et se marient à merveille avec ses yeux émeraude d’une profondeur intense. Ses cheveux tombent en cascade jusqu’à ses épaules et soulignent sa nuque enfermée dans un sert-cou de dentelle munit d’un petit bijou. C’est elle qui a été la plus choquée par la situation et j’ai bien vu ses regards fuyants dans ma direction, me forçant à moi-même détourner les yeux.Oriane est celle que je connais le moins autour de la table. Je l’ai déjà vu une fois auparavant. Elle tranche avec l’ambiance et le look des autres filles. Elle est habillée d’un tailleur qui souligne incroyablement la forme de poire du bas de son corps. Ses hanches sont particulièrement larges et sa poitrine très discrète, au contraire. Son visage est plutôt rond et avenant, elle a un joli sourire mit en valeur par un rouge-à-lèvres pétant. Ses cheveux sont coupés court, à la garçonne, comme Justine, mais de couleur vert sombre ; ce qui dénote totalement du reste de l’image qu’elle renvoie. De ce que je sais, Oriane a essayé de monter un projet de Sexshop en ville, mais ce n’est pas vraiment l’ambiance ici, au bord de mer, et ça ne s’est simplement pas fait. Elle a fini par tenter de faire de la vente ici et là, dans des réunions sextoys, mais là encore cela n’a pas beaucoup marché. Elle a gardé de bons contacts avec les fournisseurs et c’est elle qui obtient de sacrés rabais aux filles pour leurs folies. 
— Vous en faites pas les filles ! On va bien s’amuser aujourd’hui, je vous l’assure ! Il est très docile et obéissant. En plus, je l’ai désarmé. Elle me fait un signe de tête. Je suis bloqué pendant un moment. Je n’ai pas envie d’enlever mes vêtements devant ces filles, pas dans cette situation. Justine durcit le ton et se munit de sa cravache dans son sac pour la faire claquer sur l’accoudoir. Les filles sont abasourdies et me regardent me lever avant de retirer mes vêtements. Je me dévoile dans le plus simple appareil, enfin presque, car je porte ma cage de chasteté autour de mon sexe. — Vous allez voir, il va bien s’occuper de nous aujourd’hui, on va être aux anges. En plus, si Oriane t’a ramené tout ce que je t’ai commandé on va pouvoir se mettre bien !— Oui, oui, j’ai tout ce que tu m’as demandé Juju.— Cool ! En plus, je l’ai bien dressé récemment, il adore lécher et il le fait même à la sortie des chiottes, franchement c’est économique niveau papier pour juste une petite envie. Attendez, je vous montre les filles ! Elle tire ma laisse pour me faire venir avec elle jusqu’aux toilettes de l’appartement et s’y enferme en me laissant devant. Elle finit par sortir, sans rien en bas, devant tout le monde, et me retire le bâillon. — Allez John, tu sais quoi faire, t’attends que ça en plus. J’approche ma bouche et je commence à la lécher doucement, sensuellement, lui faisant échapper, en quelques coups de langue habiles, de petits gémissements. Un nettoyage intime complet, me repaissant des restes de son passage aux toilettes, non sans une certaine délectation et excitation. J’oublie un bref instant que les filles sont là, cela m’excite un peu même, mais c’est de courte durée, car une fois que j’ai terminé et que Justine s’éloigne, je vois le regard de Juliette et cela m’attriste. — John, je t’ordonne d’être à disposition des filles aujourd’hui comme pour moi. Tu te mettras exactement au même endroit si l’une d’entre nous va aux toilettes. Mais surtout, au moindre ordre de leur part, tu dois le considérer comme venant de moi ; c’est bien clair ? — Oui maîtresse. C’est Aude qui se laisse prendre au jeu la première et qui n’y va pas de main morte avec ça.  —John,viens ici. Je m’exécute sans piper mot. Je connais bien Aude depuis le temps, c’est une amie et c’est presque amusant quelque part que ce soit avec elle que ça commence. C’est une sorte de jeu de « Jacques a dit », un peu étrange en somme. Elle me fait me mettre à quatre pattes, dans un premier temps ; avant de m’invectiver de coller mon visage au sol, les fesses bien hautes vers elle. Je suis à côté de son accoudoir, je n’ai pas vu sur grand-chose, et je crois que la seule qui ne doit pas me voir avec son angle de vue, c’est Juliette.  — Woah Justine, tu l’entretiens bien dis donc ! David n’a pas le cul aussi lisse ! Même moi je l’ai pas aussi lisse ! Elle crache sur ses doigts et vient lustrer ma rondelle avec un agréable mouvement. Elle finit par faire entrer ses doigts à l’intérieur de mon anus sans mal et reste à me titiller comme ça, tout en fumant sa clope et en papotant avec les autres.Oriane se lève avant de dire qu’après son passage aux toilettes, il sera temps de commencer un peu le déballage des commandes de chacune. Sur le coup je ne percute pas, trop concentrer sur les attouchements d’Aude, mais une violente fessée à coup de cravache de la part de ma maîtresse me rappelle à l’ordre. Je me lève rapidement et vais m’installer à la sortie des toilettes tandis qu’Oriane y pénètre.  — C’est la première fois que tu la vois John. J’espère que tu vas aimer le goût, dit-elle en sortant. Elle pointe son bassin vers moi, sa jupe relevée. Son pubis est recouvert d’une fine toison, s’étalant en un gros triangle mais laissant sa vulve glabre. Ce qui est plus étonnant, ce sont ses lèvres intimes qui sont très développées et pendantes, comme les babines d’un bulldog. Son goût est aigre et acide, ce n’est pas très agréable mais ces caresses buccales de ma part semblent être largement appréciées.  — Gentil, dit-elle avant de retourner au salon. Je croise Juliette qui se rend aux toilettes aussi, ce qui me fige ; mais avant que je ne puisse me retourner pour aller à ma place, elle me dit que ce n’est pas la peine et qu’elle n’aura pas besoin de moi. Je reprends ma place à côté d’Aude, comme si je ne l’avais pas quittée, et ses doigts reviennent se loger dans mon cul. — Bon Justine je vais commencer par ce que tu m’as demandé et qui a mis le plus de temps à être disponible vu que ça doit être idéal pour aujourd’hui ?— Oui, je veux bien. Oriane sort de l’un des sacs un carton qui que Justine déballe rapidement. Il s’agit d’une sorte de boxer couleur chair, en latex. Je ne comprends pas bien sur le coup étant donné l’angle de vue que j’ai sur la chose. Lorsqu’elle se tourne vers moi, elle a le sourire aux lèvres et je vois qu’il y a une vulve en bas de ce boxer. Elle ne tarde pas à me le faire enfiler. C’est très près du corps et serré. Ma queue se retrouve totalement camouflée derrière ce rideau de silicone et de latex reproduisant le sexe féminin. L’avantage de ce truc, c’est l’effet gainant qu’il a et qui aplatit un peu mon ventre.   — Franchement, tu as bien choisi Justine, la couleur est vraiment raccord, ou tout juste différente quoi, mais ça passe carrément. Tu ne vas pas regretter ton investissement là, c’est de la top qualité. La chatte est même prévue avec un tuyau pour être pénétrée ; ça ne sert pas à grand-chose, mais voilà, t’es prévenue, explique Oriane. — C’est top putain ! Ça fait vraiment illusion ce truc ! T’as l’autre qui va avec ? demande Justine.— Oui, oui, ne t’en fais pas, il est là. Tiens, répond Oriane. Elle tend à Justine une autre boite, qui ne résiste guère plus longtemps que l’autre. C’est un haut, un top qui s’enfile, en silicone et latex également et qui est là pour me donner une poitrine. Elle a choisi un 90D pour aller avec ma stature en général. Je me sens totalement honteux d’enfiler un truc pareil, mais je vois le désire qui monte dans les yeux de ma compagne. L’effet entre les mains est néanmoins assez bluffant, je dois bien l’avouer ; et c’est vachement mieux que de simples morceaux de nichons en silicone à mettre dans un soutien-gorge. — Ça va être trop bien John ! Nos soirées déguisées vont être géniales grâce à ça ! En plus, tu m’excites vachement comme ça, me chuchote Justine. Pendant cet intermède, Aude a déballé un gode ceinture qu’elle s’est pris pour elle et David, voulant découvrir un peu autre chose. Mais elle se tourne vers moi rapidement.  — Tu vas me dire si j’ai bien fait de le prendre John ! En selle ! dit-elle. Elle me tartine le cul de gel avant de plaquer son gros engin à l’entrée et de le pousser à l’intérieur. Ce gode suffit à me faire gémir, mais rapidement je sens le gland qui s’agite et tourne à l’intérieur, me faisant pousser de petits cris. Les vibrations sont tellement fortes, en prime, qu’elles résonnent dans mes couilles.  — Tu aimes ça John ? me demande-t-elle.— Oh oui putain, c’est trop bon ! — Je crois que j’ai fait un bon choix d’achat dans ce cas ! Elle m’arrache un puissant orgasme en très peu de temps, ce qui lui donne le sourire aux lèvres, impatiente qu’elle est de le tester avec son homme. Les filles déballent les unes après les autres leurs quelques jouets qu’elles se sont offertes. Plusieurs passent dans mon cul pour montrer à quel point ils sont performants. Le reste du temps, je sers de repose-pieds pour les filles, de langue pour les essuyer et les lubrifier lorsqu’elles en font la demande. A part Juliette, toutes sont quasiment nues en l’espace de deux heures, prenant le rythme de leur réunion et goût à m’humilier. Au fil du temps, je suis de plus en plus habillé, à l’inverse de ces dames. Justine a commandé pas mal de nouveautés en lingerie, si bien que je suis rapidement passé de « nu » vêtu d’un collant fendu au niveau de ma pseudo-vulve et de mon cul, ainsi que d’une nuisette bustier assortie. Cela fait vraiment illusion, au point que Justine me baptise officiellement Mathilde devant ses copines. — Juliette, tu n’utilises pas Mathilde ? demande Justine. — Heu, non ça va t’inquiète pas, profitez. répond-elle — Allez, franchement, vas-y ! — Okay… John, viens me masser les pieds, s’il te plaît.— Hey ! C’est Mathilde maintenant, faut pas oublier. Et pas besoin de politesse avec elle.— Mathilde, masse-moi les pieds, reprit Juliette. Je m’avance près d’elle et me saisis de ses petits pieds recouvertspar ses bas de dentelle fine et délicate. Je sens un frisson lorsque mes mains se posent sur Juliette et le traitement que je réserve à ce pied ne la laisse pas de marbre. Elle est très expressive et gémit avec ce simple massage, c’est incroyable l’effet que cela peut avoir sur elle. Cela la gêne rapidement et je m’arrête selon sa demande. L’après-midi se poursuit et la réunion s’achève. La honte est toujours grande, mais Justine n’a pas encore tout donné, car elle sort une robe et des escarpins, qu’elle m’oblige à passer. Après quoi, vient le temps du maquillage pour achever la transformation. Mais ce n’est pas pour les filles qu’elle fait tout ça, non ; c’est pour le retour, car elle m’ordonne de rentrer avec elle dans cette tenue, de traverser la ville à pied jusqu’à l’autre bout de celle-ci, pour nous rendre dans l’appartement qu’elle occupe au-dessus de chez mon meilleur ami...
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