Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 0 Commentaire

Le passé de John

Chapitre 11

Ivresse (manipulée) d'une sissy

Travesti / Trans
Je ne peux pas dire que la ville d’où je viens soit connue pour être un modèle d’acceptation des genres ou looks un peu originaux. Ville de taille respectable du bord de mer, elle n’en n’est pas moins moribonde au niveau de ses commerces et de son activité, mis à part le tourisme. On ne voit pas souvent de travestis en ville, même des aussi convainquant que moi au moment fatidique, qui sonnera le glas de notre relation, où nous quittons le demeure.
Au début, il y a quelque chose d’amusant. Je suis habitué aux jeux de rôles, d’autant plus que depuis deux ans, avec les amis nous organisons des Murder Party, une sorte de cluedo grandeur nature en costume d’époque si vous préférez. Alors il y a cette sensation de jouer un rôle et de vouloir se montrer au mieux dans ce dernier pour l’instigateur de la supercherie, en l’occurrence Justine. Ce haut en silicone est d’une grande qualité, je m’en rends compte lorsque je marche ; à l’ondulation assez naturel que les seins ont malgré le fait qu’ils soient pris dans un soutien-gorge. Les hommes que nous croisons se retournent sur nous et je commence à comprendre, un peu, ce que les femmes habillées de façon un peu moulante peuvent éprouver en se promenant, c’est assez gonflant. 
Plus nous avançons et plus ma tension monte car je me rends compte que pour rentrer chez Justine, il faut nous rendre sur la falaise et donc passer à travers tout le centre-ville d’abord pour ensuite remonter une longue pente. C’est bien ce passage dans la foule d’un mercredi après-midi qui me fait un peu peur, et l’idée d’être reconnu malgré le déguisement. 
 Justine décide de ne pas mettre fin à mon calvaire rapidement, c’est même tout le contraire. Elle me déclare qu’elle a soif avec un aplomb qui me fait peur ; je suis en sueur et le silicone épousant autant la surface de ma peau n’aide absolument pas à améliorer mon état. Comme nous sommes sur cette grande voie piétonne, axe principale d’une ville dont l’activité première n’est autre que le tourisme de bord de mer, il y a beaucoup de cafés et de bars, autant que de boutiques et il n’y a que l’embarras du choix.
Elle se fixe sur un café qui a une terrasse au centre de la rue, histoire de véritablement me faire chier je pense. Nous nous installons et les passants vont et viennent tout près de nous. Je ne suis étrangement pas dévisagé et je me rends alors compte que le déguisement fait vraiment illusion. Cela doit être grâce au maquillage affinant mes traits plutôt bruts et peu féminins.J’allais prendre un simple café, mais au moment de commander Justine dit, avec un nouveau sourire, au serveur qu’elle désire prendre une pinte de bière. Contraint de rester plus longtemps que prévu, je me décide à faire de même.
 — Tenez mesdemoiselles, nous dit le serveur.
Je suis vraiment étonné que la supercherie marche autant, ou alors c’est que le serveur ne sait pas trop comment réagir devant un travesti. Cependant, Justine ne me laisse pas réfléchir très longtemps à la question et se penche au-dessus de la table pour me parler tout bas.
— Tu vois, je t’avais dit qu’il n’y avait rien à craindre. Tu es parfaite ma petite Mathilde. On y voit vraiment que du feu. Faut juste pas que tu parles fort ou alors tu fais comme dans tes jeux de rôles et t’essayes de prendre une autre voix.— Hum… Je ne suis pas sûr que ce soit si facile. dis-je en m’essayant à l’exercice.
 J’ai une voix grave, donc autant dire que tenter d’en faire une plus fluette est vraiment très compliqué. Justine tombe assez d’accord avec ça et nous rions ensemble de ma nullité à ce niveau. Toutefois, le rire est de courte durée pour moi. Justine se redresse, sourit et fait un grand geste avec le bras, celui type pour attirer le regard de quelqu’un. Je ne me trompe pas, un mec se rapproche également souriant. Ma moitié se lève de son siège et lui fait la bise sans tarder.
— Hey ! Ça fait plaisir de te croiser ! Qu’est-ce que tu fous là ? dit ma blonde.  — Bah et toi alors ? répondit l’homme en souriant. — Bah écoute je bois une bière avec une copine avant de remonter chez moi avec elle. Je te présente Mathilde, elle est de passage et reste dormir chez moi ce soir.   — Oh c’est cool ça ! Bah enchanté ! Benoît. Je suis dans la même classe que Justine cette année, enfin seulement en sport. 
Justine et Benoît ont un échange de regards qui me laisse un instant perplexe à l’annonce du “sport”. Je comprends vite qu’il fait partie de ces gars que j’ai vu en vidéo. Ma copine a en effet tourné de mec en mec dans sa classe de sport au moment des vestiaires, et fait quelques vidéos gang bang pour me faire bander un max pendant que je vivais seul loin d’elle. Je resitue parfaitement le lascar et je me sens très à l’étroit dans ma cage. Ma bite aimerait bien pouvoir se déployer et j’ai ce un mouvement pour calmer la douleur. De la part d’un mec ça passerait pour un léger grattage de couilles en bonne et due forme, mais accoutré de la sorte et avec mon expression légèrement excitée sur le visage, ça passe pour une caresse entre mes cuisses. Je ne dis pas grand-chose et je me contente de sourire d’un air niais ne voulant pas trop me trahir. Benoit nous informe que plusieurs amis à Justine et lui sont encore au lycée et vont se déplacer un peu plus sur la falaise pour vider un pack de bière, ce qui semble beaucoup intéresser ma maîtresse. 
Nous arrivons enfin au lycée après avoir terminé cette énorme côte montant la falaise. Je sens dans ce genre de moments que je ne suis pas très sportif et définitivement fumeur. Benoît n’a pas menti, il y a bien le reste de leur groupe qui se trouve encore sous l’abri à scooters en train de fumer et discuter. Ils nous attendent depuis le fameux message envoyé, ils sont prêts à bouger vers le bord de la falaise où se trouvent quelques vieux abris de béton sous lesquels les jeunes se réunissent souvent pour picoler sans être vus.
L’endroit s’aménage de mieux en mieux d’années en années, comme une sorte de leg qui se transmet de génération en génération de lycéens. Il s’agit de récupérer de vieux meubles mis sur le bord des trottoirs du coin principalement, mais cela permet d’avoir au moins quelques sièges sur lesquels se poser pour boire ou fumer. L’endroit reste cependant assez crade dans l’ensemble, puisqu’il est évident que des sans-abris le squattent la nuit de temps en temps.  
Benoît est collé à moi et laisse ses mains se balader sur mes genoux, remonte vers mes cuisses en glissant sous ma robe. Je feins un soupir chaud et excité alors qu’il atteint son sésame sur mon mont de vénus en silicone, avant de me mettre à genoux entre ses jambes, devant tout le monde, et faire sortir sa queue épaisse déjà gonflée par l’excitation. C’est ce que veut Justine, que je passe après elle, je me montre aussi entreprenante qu’elle. En réalité, une fois devant sa bite, je n’ai qu’une seule envie, m’y amarrer au plus vite. Devant ce sexe je me remémore la vidéo de Justine avec ses amis qui nous entourent et lui ; je me transforme, je deviens une petite chienne qui joue de sa langue sur ce chibre tendu. Je titille l’urètre de ce beau mâle comme un fourmilier fouillant sa termitière. Il gémit des mots doux, me dit combien il me trouve sexy, belle et cochonne, alors que ses potes glorifient mon attitude de salope. Telle une athlète galvanisée par les cris de ses supporters, j’enfourne cette queue au fond de ma gorge et le suce comme une déchaînée. Il ne met pas longtemps à convulser et à se déverser en moi. Je me délecte de son nectar au parfum de marée comme une sirène satisfaite de son enchantement.  
Justine propose que l’on se dirige vers chez elle pour pouvoir profiter à fond de la fin d’après-midi:  — Autant ne pas nous arrêter là les gars. Quand Mathilde est lancée, on ne l’arrête plus. En plus, elle vous a déjà vus à l’œuvre avec moi et je crois bien qu’elle aimerait être le centre de l’attention aujourd’hui ! dit Justine.  
Justine trouve une excellente façon de faire passer ma situation comme un rien une fois chez elle. Elle crée une ambiance tamisée et sombre tout en m’invitant à garder les dessous sexy que j’ai et qui cachent les jonctions des prothèses en silicones, cela rend le tout assez crédible. De surcroît, elle veut offrir un show à ses invités et nous nous lançons dans des ciseaux endiablés elle et moi, devant les mâles en rut qui s’amassent de part et d’autre. En réalité, elle frotte tellement sa chatte contre ma vulve en plastique qu’elle l’humidifie et la lubrifie avec sa cyprine. 
Elle se penche vers moi au bout d’un moment et elle me souffle à l’oreille quelques mots qui viennent attiser mon désir : — Tu m’as déjà vu me faire prendre par un groupe d’hommes, c’est à ton tour ma chérie. Ce soir tu es Mathilde la salope, c’est compris ? Tu ne voudrais pas que je demande à ton pote de passer de toute façon hein ? Et puis, tu me dois bien ça depuis l’autre soirée en club après tout. Je sais que tu adores te branler sur les petits films que j’ai fait avec les gars dans les douches des vestiaires, alors tu peux bien me rendre la faveur ici et maintenant hein...
 Je suis tellement excité que j’attrape la première bite venue et je l’avale goulument, comme une sucrerie des plus délicieuses. Je la travaille tellement vite et fort que ce jeune homme ne tarde pas à se laisser aller dans ma bouche et sur mes seins d’apparat. C’est le coup d’envoi de ce match sur mon terrain et l’un d’eux s’invite bien vite à flirter avec cette chatte factice, huilée aux extraits naturels de Justine et n’y voit que du feu. Il s’allonge sur le dos et m’invite à m’empaler dessus, sa queue coulisse dans ce tube ayant tout d’une vaginette, comme s’il s’agissait d’une vraie. De l’autre côté mes mains sont prises d’assaut ainsi que ma bouche à nouveau, mais entre deux bouffées d’air, j’en appelle de mes vœux pour que l’un se dévoue pour me prendre le cul avec force. Je n’en peux plus et je veux éprouver ce que ma moitié a éprouvé. Son regard chaud et excité me galvanise encore plus et la voir se toucher pendant que je m’occupe de ces hommes est à la limite de me faire jouir sur l’instant. 
La sensation est très étrange car même si je n’ai pas de chatte, je sens tout de même que cette bite qui ramone la fausse appuie contre ma queue encagée et vient me stimuler légèrement. En ajoutant celui qui me pilonne le cul, j’ai l’impression d’effleurer la double pénétration féminine. Ce n’est pas comparable bien entendu, mais j’ai un gros frisson intense lorsque celui qui fourre cette vulve synthétique se décharge à l’intérieur, car je sens jaillir du tube jusqu’à mon ventre son foutre chaud. L’un d’eux, au bord de l’éjaculation, se rapproche de moi, me tirant de la bite que je suis en train de sucer avec envie et appétit et se termine sur mon visage, ma langue que je sors par réflexe. J’ai vu beaucoup de porno comme ça, mais aussi Justine le faire quelques fois par le passé ; j’essaye de coller à l’image qu’elle veut voir, celle d’une chienne à bite qui se déchaîne. Mais plus je joue le jeu, comme un rôle qu’elle m’a donné, plus je suis pris par l’ambiance et les événements. Je n’arrive plus à dissocier ce dont j’ai envie de ce qu’elle a envie que je fasse et je jouis à mon tour malgré la cage. Ces coups de pistons ont raison de mon cul alors qu’il se vide entièrement dedans et que d’autres font de même un peu partout. 
Une farandole de chibres se fait autour de moi, je les branle, les suce et les fais jouir sur moi ou en moi selon mon appétit. Cela dure encore et encore, jusqu’à ce que leurs couilles se retrouvent totalement vidées de tout contenu. A ce stade, je n’ai plus rien en commun avec celui que j’étais le matin en me levant. Cette tenue et le fait d’être pris pour une fille m’a permis de me lâcher et de passer à un niveau supérieur de ma sexualité, acceptant la part de salope qui se trouvait peut-être en moi depuis toujours. 
Justine, plus coquine et salope que jamais, est tellement excitée par la situation qu’elle vient téter mes faux seins pleins de sperme et jouer de ses doigts dans ma fausse chatte tout aussi souillée. Elle me nettoie comme je ne l’ai jamais vue faire, alors que les gars commencent à remettre leurs vêtements et à quitter un à un les lieux, jusqu’à ce que nous soyons seuls elle et moi.  — Putain qu’est-ce que j’ai envie que tu me baises ! me crit Justine. Vas-y retire ça je vais chercher la clé mais garde le haut !
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je trouve ma lame dressée, bandée à l’extrême, déjà souillée par le jus des autres hommes qui a coulé dessus. Elle s’allonge au sol, se vautrant dans la semence qui s’y trouve et se masturbe avec après en avoir raclé un peu avec sa main. Je n’attends pas et je m’insère en elle d’un coup pour la pilonner comme je n’ai plus eu l’occasion de le faire depuis un moment. Mes reins cognent contre ses fesses et mes seins ondulent au gré de mes mouvements. Elle ne peut pas s’empêcher de les empoigner comme s’ils étaient vrais, comme elle le fait avec ceux d’Aude ou d’Oriane. Je suis tellement excitée de pouvoir la baiser à nouveau que je jouis en elle très vite, mais ça ne lui va pas du tout… la suite, et bien vous la devinez, je me suis fait prendre à nouveau par ma femme jusqu’à ce qu’elle arrive à jouir grâce à son double jouet coulissant en moi et en elle. 
Je ne boude pas le plaisir que j’ai pris lors de cette session. J’ai adoré sucer et avaler ce foutre autant que j’aime voir une femme dans cette situation également. Je crois que quelque part, jouer la sissy pour ma maîtresse est une chose qui me plaît, enfin, qui m’a plu il fut un temps. Aujourd’hui ce n’est plus le cas, mais je ne peux pas me mentir à moi-même. J’ai aimé la sensation de porter une fausse poitrine et une fausse chatte aussi qualitative l’une que l’autre. Toutefois je sais aujourd’hui que son plaisir et son envie de ma queue ce soir-là étaient feints du début à la fin. En réalité, elle ne voulait plus de ma queue depuis longtemps et ce n’était qu’une récompense pour me faire rester docile et obéissant.
Diffuse en direct !
Regarder son live