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La passionaria de l'île de Ré

Chapitre 1

Erotique
— Vous avez les honneurs de la presseme dit l’infirmière en me tendant l’édition locale de Sud-Ouest - Regardez en pages intérieures Le titre me sauta aux yeux et je m’empressai de lire l’article:
UN VACANCIER SECOURU PAR MIRACLE
Hier soir vers 18h, deux pêcheurs de palourdes qui, retournaient vers leur voiture, après une récolte fructueuse ont eu le choc de leur vie. Mais laissons la parole à Monsieur Raymond M. "- Avec mon copain Jojo, on était à la pêche à la palourde. Comme on en trouvait pas mal, on s’était attardé, et la marée montante nous léchait les pieds quand on s’est décidé à remonter. En passant près du parc à poisson, il m’a semblait apercevoir des jambes qui dépassaient du muret. On s’est approché, et là, il y avait un homme, allongé sur le dos. On l’a cru mort, mais en s’approchant on a vu qu’il respirait faiblement. On l’a vite porté sur la plage car la marée le recouvrait à moitié. Il était écorché de partout à cause des vagues qui le jetait dans les débris de coquillages......."Les pompiers ont transporté l’inconnu, qui serait un vacancier ayant fait une chute dans les rochers, à l’hôpital de La Rochelle. où il est resté en observation.Intrigué par le fait que l’eau n’est pas réveillé le malheureux, nous avons interrogé le Docteur Maufront, spécialiste réputé des traumatismes - "Dans certains cas , une syncope résultant d’un choc à la tête ou d’une très violente douleur peut être assimilé à une anesthésie générale comme l’ont démontré les travaux de Francis Crick et Christof Koch. En effet, certains types de traumatismes du rachis cervical interférant dans la zone du cortex cérébral peuvent entrainer immobilité, amnésie et inconscience, ou, en d’autres termes, la perte de mobilité de mémoire et de conscience - Voulez vous dire par là, docteur, que le vacancier était en état d’anesthésie totale et n’aurait pas été réveillé par l’eau qui le recouvrait et aurait pu se noyer? - C’est hélas une possibilité tout à fait envisageable - L’intervention des deux pêcheurs à pied l’a donc sauvé? -Absolument!Je rejetai le journal et me remémorai la suite des évènements qui m’avaient amené sur ce lit d’hôpital
A cette époque, avec mon épouse, nous partions en vacances en caravane. Notre destination estivale était l’Ile de Ré. Les campings que nous fréquentions faisaient parte de la chaîne des GCU (Groupement des campeurs universitaires), autrement dit, des campeurs de la MAIF, en d’autre termes des profs et des instits en short et tongs. C’était typiquement " militant CAMIF / MAIF" avec ses avantages et ses inconvénients. Parmi les avantages, il y avait la solidarité inter-générations: par exemple: les petits étaient pris en charge par les ados, soulageant d’autant les parents. Par contre il était attendu une participation de chacun aux taches administratifs et fonctionnelles, voire à l’animation de conférences ou autres moments "récréatifs" et oui!!! (j’ai vu une fois une affiche d’un campeur qui proposait un débat en soirée sur la dernière réforme du programme de maths en collège). Ce militantisme n’étant pas trop dans nos mentalités, nous nous intégrions difficilement, mais les superbes emplacements, hérités des "campeurs pionniers" d’avant guerre nous incitaient à quelques sacrifices. Fuyant une ambiance un peu trop "Educ-Nat", je partageais mes activités entre la plage, la pêche (à marée montante) et la recherche d’appâts (à marée descendante). De nombreux profs, par contre, passaient leurs journées , au camping, à corriger des copies (sans doute des cours par correspondance qui étaient en vogue à l’époque). C’était le cas de notre voisin, regard sévère et triste, petit collier de barbe, sacoche Camif en cuir sur l’épaule , short Camif, tennis à scratch sur ses chaussettes noires en nylon, quand il partait acheter la baguette quotidienne. Installé à l’arrière de la caravane , il épluchait avec délectation des montagnes de copies ( je l’ai toujours soupçonné de "saquer" les étudiants. ). Sa femme, par contre était physiquement son opposé: Belle blonde bronzée , très souvent en bikini minimaliste, joli cul bien rond, cuisses fermes et poitrine généreuse dont elle savait user. elle attirait regard concupiscents et suscitait certainement envies et fantasmes
Tout ce petit monde avait l’habitude de se retrouver à la traditionnelle soirée dansante chaque samedi soir. A ces occasions , j’étais toujours volontaire pour tenir le bar et assurer le nettoyage en fin de soirée. Cela me permettait de faire ma part hebdomadaire de travail, et ainsi, de me dispenser de participations plus intellectuelles. Dés le premier samedi, servant consciencieusement mes "rouge limé" et mes "diabolo", je remarquai vite le manège de la belle blonde qui dansait avec son mari. A chaque série de slow, elle se rapprochait du bar, et me fixait avec insistance. Leur danse était même curieuse puisque dés que les nécessités chorégraphiques l’obligeait à me tourner le dos, elle faisait opérer au correcteur de copies une violente rotation pour se ramener en bonne position.... Cela dura la soirée: elle, me fixant, moi lui adressant des petits sourires que j’estimais charmeurs voire irrésistibles. Rien d’autre cependant ne se passait: des regards quasi lubriques mais pas un échange, malgré quelques tentatives de ma part. En fin de soirée, alors que tout le monde était parti et qu’avec deux acolytes, je balayais consciencieusement les mégots , voilà madame qui revient....chercher , soit disant, son pull!....Cette fois elle s’approche et me dit: - suivez moi, il faut que je vous demande quelque chose!"Tout guilleret, le jean déjà trop étroit, j’’arrive avec elle derrière le local à balais et là, me fixant dans les yeux,, elle me glisse: - Pourquoi m’avez vous regardée toute la soirée?
Un peu désarçonné, ne sachant que répondre et ne pouvant lui dire, vu l’ambiance intellectuelle qui régnait en ces lieus, " j’ai envie de te baiser", je la serre dans mes bras et lui roule une pelle d’enfer. Aussitôt elle balance sa main entre mes jambes et me pétrit le sexe, tout en frottant ses seins contre moi.je me dégage, et, jouant mon va tout, je la prend par la main, et lui dit -" viens" avec l’idée d’aller m’enfermer avec elle dans la première douche venue. A ma grande surprise , elle se dégage et dans un souffle: - non je ne peux pas ...Et se sauve en courant.......Très contrarié, admirant ses superbes fesses, mises en valeur par le jean moulant, qui s’éloignaient dans la nuit ,je retournai à mes mégots. Ma frustration s’accompagnait de la sensation bien triste qu’une masturbation solitaire allait remplacer un accouplement sauvage sur le caillebotis de la douche, entrevu deux minutes plus tôt
Le lendemain, alors que je revenais de la corvée de vaisselle, elle me croise et ,.me regardant fixement, laisse tomber un papier juste sur mon passage.Je vois immédiatement qu’il s’agit d’un rendez vous pour le lendemain après midi, en un lieu de la côte que je crois connaître .L’après midi correspondant à la marée basse, j’annonce donc à la cantonade, mon attention de renouveler dès demain, mon stock d’appâts.Je calcule également que l’horaire fixé est, maritimement parlant, tardif, car il correspond à la fin de la marée descendante. Comme il est hors de question d’aller aux appâts AVANT ( je jus d’arénicole ou de crabe mou n’est pas à proprement parlé un aphrodisiaque), il faudra que j’y aille APRES , ce qui me laissera peu de temps pour des coquineries, bref c’est compliqué.
Le lendemain , me voilà donc parti, avec pelle et habits de pêcheur , pantalon de toile et tee-shirt plus avenants, dissimulés. J’arrive au lieu dit, légèrement en avance pour me changer et repérer l’endroit idéal pour s’adonner au plaisir de la chair, sans perdre de temps à chercher. Voiture un peu cachée en retrait de la route, j’attends. 10 minutes passent et j’en suis à me dire qu’elle m’a bien eu quand soudain, je vois passer son break en trombe. Aucun doute!, il y a erreur sur le lieu du rencart. Je remonte en voiture , démarre, mais le temps d’arriver sur le goudron , elle a disparu. Je fonce dans la même direction qu’elle, essayant désespérément de l’apercevoir à l’horizon quand soudain elle arrive à tombeau ouvert dans l’autre sens, elle me voit au dernier moment , me fait des signes que je ne sais comment interpréter. Je fais à nouveau demi tour. et repars dans l’autre sens. Un véritable gag. . Je n’ais pas fait 500 m que je l’aperçois dans un sentier en retrait de la route. Lancé à 120 , j’écrase le klaxon mais ne peut m’arrêter . Au premier petit parking je fais demi tour une nouvelle fois et au loin, je vois le capot de sa voiture qui sort à nouveau du chemin. Je coupe la route,’ écrase les freins, monte dans le sable du bas côté et réussit à la bloquer , insulté par le mec qui me suivait et que je venais de doubler .Epuisé, en sueur, j’ai une demi heure de retard sur mon planning. J’ écourte les explications et l’entraîne sous le premier pin, à quelques mètres de la route. Heureusement, je constate avec plaisir qu’elle souhaite autant que moi , abréger les préliminaires. J’ai à peine le temps de détacher deux boutons de son chemisier qu’elle m’a déjà enlevé le tee-shirt et s’acharne sur mon pantalon. j’en suis à chercher l’agrafe du soutien gorge qu’elle a sorti ma queue et entreprit de rapides va et vient pour en apprécier la taille et la dureté. Sans doute énervée par ma lenteur à la déshabiller, elle me lâche quelques instants pour retirer prestement son short et sa culotte et m’aider à retirer le soutif. Me reprenant la bite à pleine main, elle se cambre en écartant les cuisses, offrant une vision d’anthologie de la femelle en chaleur. Ses seins, malgré cette position sur le dos, restent imposants , de grandes aréoles rose foncé entourent des tétons incroyablement longs et durs. Dés que je les serre , tout son corps vibre , si j’insiste, elle gémit en se passant la langue sur les lèvres et son corps se courbe d’avantage. sa chatte est très peu fournie: un mince ticket de métro de petits poils blonds agrémente sa vulve luisante de cyprine. J’ ai à peine le temps d’esquisser quelques caresses, Qu’elle m’intime d’ une voix rauque - Prends moi" N’allant sans doute pas assez vite, elle insiste: - Baise moi comme une chienne D’un naturel doux et gentil, j’essaie d’y aller avec tendresse, mais ça ne lui convient décidément pas. J’ai à peine dirigé ma queue vers l’entrée de son vagin que , dans un même mouvement , elle s’empale violement en m’enserrant avec ses cuisses et surtout , me plante ses ongles dans le dos. Déjà durement affecté par un coup de soleil, je ne peux retenir un gémissement de douleur. Elle doit interpréter ça comme une manifestation de plaisir intense car elle entreprend de me labourer le dos!!!! Insupportable! Bloqué dans l’étau de ses cuisses, je ne peux me dégager et c’est au prix d’un formidable travail d’abdominaux, digne d’un champion olympique de cheval d’arçon, que je réussi à me redresser , attraper ses bras et retomber sur elle en les plaquant au sol. Elle doit apprécier cette mâle violence car , alors que je pense à mon dos torturé, elle m’attrape l’oreille et la mord à pleine dents. Je suis obligé de lui balancer un coup de tête pour la faire lâcher...une vraie chienne en furie. Elle râle gémit, s’insulte, s’interroge - Est ce que je suis une bonne salope.."s’ensuit un dialogue haut en couleur entrecoupé de râles et de grognements - tu est pire qu’une salope , une vraie chienne - oh oui...c’est bien vrai!!! fait moi tout ce que tu as envie! - je vais te baisser comme une pute , te prendre par tous tes trous !!! - oui!!!! baise moi, encule moi, fait moi sucer!!Contrairement à ces promesses, je n’ais qu’une idée , conclure au plus vite pour soigner mon dos torturé. Hélas je ne peux user d’autres expédients que de la vigueur de mon sexe pour l’amener à l’orgasme . Cambré à l’extrême , j’essaie d’éviter ses dents meurtrières et il est hors de question de lâcher une main pour accélérer son plaisir par quelques habiles caresses. Je n’ai donc d’autre ressource que de la pilonner avec fureur. Ces coups de boutoirs nous ont sorti de la serviette de bain et je commence à labourer le sous bois avec son dos...La furie ne semble cependant pas parvenir à l’orgasme et, mes abdominaux commençant à faiblir, je crains de retomber à portée des dents meurtrières. Quand elle repart dans ses délires verbaux et je comprends enfin qu’elle a besoin de fantasme et d’imaginaire pour jouir. - Si mon mari , voyait ça , ca le tuerait - Ca te plait de le faire cocu, salope!!! - Oh non ..... oh oui!! - Tu es vraiment une chienne ! pour t’exciter avec ça - Tu aimerais qu’il te voit en train de te faire baiser comme une pute? - Oh oui!!!!!!Cette étreinte sauvage et brutale, les aiguilles de pin qui lui rentrent dans les fesses et quelques allusions supplémentaires quand à sa moralité et la mauvaise fortune de son époux doivent lui plaire car elle se déchaîne - -- - bourre moi bien - défonce moi plus - fais moi jouir ! - je te sucerai jusqu’aux couilles, j’avalerai tout ton jusJ’accélère encore plus le mouvement et enfin, je sens une contraction puissante m’enserrer la queue, son corps se raidit , un sourd grondement semble sortir de ses entrailles avant d’éclater en une sorte de cri bestialMalgré la douleur atroce de mon dos j’imagine les scènes les plus érotiques possibles afin de jouir à mon tour car je n’envisage pas une seconde , vu la violence de la dame ,le final en bouche qu’elle me propose, bien qu’elle vante ses compétences en terme très crus. Cette perspective à le mérite cependant d’accélérer ma montée en sève et nous sort définitivement de la serviette grâce aux derniers coups de reins qui suivent mon éjaculation D’un seul coup, rassasiée, elle redevient câline et douce , s’excuse , regrette. Nous en rions, je lui explique mes obligations liées à la marée et nous nous quittons bons amis. Pour moi ce n’est cependant pas fini Au prix de contorsions devant le rétroviseur, j’aperçois mon dos. L’horreur absolue : on voit très nettement que ce sont des traces de griffures. Je n’ai qu’une solution. Je fonce sur la grève et ramasse quelques arénicoles afin de justifier mon absence. Il ne me reste plus qu’à masquer mes griffures en en rajoutant d’autres afin qu’elles justifient la chute malencontreuse dans les rochers dont je vais me plaindre à mon retour. Surveillant que l’on ne me voit pas, serrant des dents je m’allonge sur des coquilles d’huitres et me frotte allègrement. Une douleur épouvantable irradie mon dos meurtri, le ciel s’obscurcit, ma tête part violement en arrière, un voile noir couvre mes yeux, je ne sens plus rien....................
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