Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 6 Commentaires

Passions et Douleurs

Chapitre 2

Erotique
Passions et Douleurs


Comme la toute première fois... Oui, maintenant qu’il la voyait, là, juste devant lui dans ce déshabillé, il avait l’impression de la voir pour la première fois. Il sentit naître au fond de lui une émotion nouvelle, différente de toutes celles qu’il avait ressenties jusque-là lorsqu’il se trouvait près d’Élisabeth. Une douce chaleur apparut au niveau de son ventre. Elizabeth lui tournait toujours le dos. Ses mains glissèrent alors lentement des épaules nues de la jeune femme pour descendre au niveau des hanches. A ce contact, Darcy sentit la peau de son épouse se couvrir de frissons. Leurs respirations se synchronisèrent en un seul souffle, leurs cœurs dans leurs poitrines s’unirent en un seul battement.
— Elizabeth... murmura-t-il en un souffle.
Il se rapprocha doucement d’elle. Ses bras entourèrent la taille de la jeune femme. Celle-ci prit les mains de son compagnon dans les siennes en souriant.
— Oui... Fitzwilliam ?
Elizabeth pencha légèrement sa tête sur le côté pour pouvoir le regarder du coin de l’œil. Darcy en profita pour approcher son visage du cou mis à nu. Sous le souffle chaud de Fitzwilliam, Elizabeth ferma les yeux. Jamais encore, elle ne pensait être aussi bien. Elle devait bien admettre que maintenant qu’elle était la maîtresse de Pemberley, elle se sentait vraiment à sa place. Jamais elle n’aurait imaginé, quelques mois plus tôt, se retrouver un jour dans ce château, encore moins dans les bras de Darcy. Vu comment leur relation avait commencé, elle aurait même plutôt pensé le contraire. Elle repensa alors à ce fameux soir lorsque ce dernier avait blessé la fierté de la jeune femme en refusant de danser avec elle. Par la suite, leurs rencontres avaient étés plutôt froides. Respectueuses, mais froides. Avec le temps, Darcy avait révélé une autre partie de son caractère, prouvant ainsi qu’il était un véritable gentleman. Petit à petit, il avait su gagner le cœur d’Élisabeth.
— Je voulais vous dire qu’il n’y a personne d’autre que vous avec qui je voudrais me trouver ce soir.— Je le sais, dit-elle en se tournant pour lui faire face avant de lui caresser tendrement la joue de la main. Et moi il n’y a personne d’autre avec qui je voudrais être ici et maintenant. Personne d’autre que toi.
Darcy écarquilla les yeux en entendant ce tutoiement. Il était loin d’être choqué, plutôt surpris. Encore une fois, il était victime de son éducation aristocratique. Certes ses parents avaient été des gens très ouverts, étant très proches de leurs enfants et leur père jouant très régulièrement avec Fitzwilliam et Georgiana lorsque ceux-ci étaient enfants. Ils avaient pour habitude de se tutoyer, chose qui était très rare dans cette classe sociale. Mais depuis la mort de ses parents, Darcy avait été recueilli par sa tante, Lady Catherine de Bourg, qui avait rétabli les bases de son éducation pour que le jeune homme puisse facilement s’intégrer dans la société mondaine d’Angleterre. Il avait dû réapprendre l’étiquette, à vouvoyer ses proches, en dehors de sa sœur, à maintenir une certaine stature pour que tout le monde puisse voir qu’il leur était supérieur.Et voilà qu’Elizabeth, par un simple tutoiement, arrivait encore à le décontenancer. Il la trouvait vraiment merveilleuse.
— Tu... es magnifique, dit-il avec émotion, ses yeux se mettant à briller de bonheur.
A la lueur tamisée des lampes, il vit que les joues d’Elizabeth venaient de se colorer d’un léger rouge alors qu’elle abaissait la tête pour le cacher. Sans attendre, Darcy releva doucement le visage de son épouse et la regarda avec tendresse avant d’approcher son visage du sien.
— Je t’aime Lizzie.


Il unit alors ses lèvres à celles de la jeune femme avec douceur. Celle-ci lui rendit son baiser avec une légère timidité. Mais sentant les battements de son cœur s’accélérer, son baiser s’enhardit. Elle ferma les yeux pour s’abandonner lentement à la chaleur naissante en elle. Les mains de Darcy entourèrent de nouveau la taille d’Elizabeth. Celles de la jeune femme se placèrent autour du corps de Darcy. Elle chercha doucement à lui enlever sa veste de costume. Bougeant légèrement les épaules pour l’aider, il réussit à ôter l’habit qui commençait à lui tenir chaud. Au fond d’eux, un feu semblait brûler de plus en plus chaud, de plus en plus vif.
Leurs lèvres ne cessaient de se chercher l’une et l’autre. Sans prévenir, Fitzwilliam recula la tête pour venir les poser au creux du cou de son épouse. Un puissant frisson, prenant naissance sur les lèvres de Darcy, parcourut le corps de la jeune femme. C’est alors que le feu qui était en elle éclata pour de bon. Ses mains se mirent à tirer rapidement sur la chemise de Darcy tandis que lui continuait de dévorer le cou de sa belle de baisers fiévreux.
Mon Dieu... mais que m’arrive-t-il ?
Elle était littéralement submergée par les émotions et les sensations qui traversaient son corps. C’est alors qu’elle sentit que, sous les caresses de Darcy, son déshabillé venait de glisser de sur elle. Elle sut qu’elle était nue devant lui lorsque ses doigts parcoururent sa peau à des endroits qui étaient précédemment recouverts par le léger tissu. Elle avait l’impression de sentir un courant d’air frais à la place des mains de son cher et tendre.
Darcy lui prit tendrement la main et la mena en direction du lit qui trônait au milieu de la chambre. Il l’aida à s’allonger sur le drap de satin et se plaça près d’elle après avoir retiré le restant de sa tenue. Ses lèvres trouvèrent à nouveau celles d’Elizabeth avant de glisser lentement le long du cou de celle-ci. Leurs doigts s’entrelacèrent et les corps se touchèrent pour sentir au mieux cette chaleur qu’ils partageaient tous deux. La bouche de Darcy quitta le cou de la jeune femme pour venir se poser sur sa poitrine haletante. Il put voir au passage les seins qui se tendaient sous le désir qui envahissait le corps de sa partenaire et les mamelons qui pointaient de plaisir et d’excitation. Sa bouche vint entourer l’un d’entre eux et il fit jouer la pointe de sa langue sur ce dernier.
Il n’avait jamais eu d’expérience charnelle auparavant, tout comme elle, et il avait un peu peur de son inexpérience. Mais en écoutant son cœur battre en communion avec celui de Lady Darcy, il fut rassuré. Ce qu’il faisait était chose tout à fait naturelle vu qu’il ne se sentait pas gêné et qu’elle ne le repoussait pas. Il calma alors les petites appréhensions soudainement apparues en lui et reprit ses caresses. La respiration d’Elizabeth devint plus saccadée, entrecoupée de légers gémissements qui naissaient sous les coups de langue habiles de Darcy.
— Tu me rends fou Lizzie... dit ce dernier en relevant la tête pour la regarder.— Et toi donc... mais je t’en prie, ne t’arrête pas, murmura-t-elle dans un souffle avant de fermer les yeux à nouveau.
Il se mit à sourire devant la confession de ce plaisir. Il reposa sa ses lèvres sur le sein gauche de la jeune femme. Sa main droite descendit le long des hanches. En de longs et lents mouvements qui semblaient une danse, le bassin d’Elizabeth réclamait les mains de son homme. Darcy répondit à l’invitation que ce corps lui lançait. La main, qui se trouvait à hauteur des fesses de sa compagne, glissa alors sur la courbe du bas-ventre. Les cuisses s’écartèrent, laissant le passage pour la dextre de Darcy qui céda à l’appel. Les doigts coururent dans la douce toison qui s’y trouvait. Il poursuivit son exploration alors que sa langue, elle, venait de se placer autour du mamelon gauche. Il fut surpris de sentir la main de Lizzie se saisir de la sienne pour venir la guider au plus profond de ses cuisses. C’est alors qu’il sentit une douce tiédeur naître soudainement sous ses doigts.
— HAN !
Il releva la tête, surpris du cri qui venait de résonner dans la chambre.
— T’ai-je fait mal ?— Oh non du tout... bien au contraire... c’est... hmmmm... merveilleux...

Lentement, il commença à faire danser ses doigts sur le mont de Vénus d’Elizabeth qui se mit à gémir de nouveau. Au fur et à mesure de cette danse, il sentit ses doigts se recouvrir du plaisir de la jeune femme.
— William... j’ai envie de toi... là... en moi.
Sans se faire prier, Darcy se redressa pour se placer avec douceur entre les cuisses de sa bien-aimée. Pendant qu’il caressait son corps, il avait pu sentir que son sexe avait durci sous l’excitation qu’il partageait avec sa partenaire. Il saisit son membre avec sa main et se caressa lentement pour maintenir son érection. Il avança son bassin vers celui d’Elizabeth, leurs sexes entrant en contact l’un et l’autre.
— Viens..., supplia-t-elle en un gémissement plaintif.
Darcy poussa légèrement sur ses hanches et fit pénétrer son vit au-delà des nymphes de sa partenaire. Élisabeth poussa un gémissement plus appuyé lorsqu’elle sentit le sexe de son compagnon la pénétrer. Il y eut une légère résistance lorsque William poussa sur ses jambes pour entrer en elle. Il ressentit une douce chaleur entourer son membre. La sensation qu’il eut était divine. Il vint embrasser Elizabeth avec passion. Ses hanches ainsi que son bassin se mirent alors en mouvement. Les corps des deux amants semblaient unis dans une danse du plaisir et de l’amour, une danse qui avait pour rythme le battement de leurs cœurs. Le torse de Darcy frôlait la poitrine dardée d’amour d’Elizabeth. Il pouvait sentir les pointes des seins caresser ses puissants pectoraux. Avec les mains, il lui releva les jambes autour de sa taille pour qu’il se sente comme prisonnier de cette passionnante et fougueuse étreinte.
— Lizzie... je... han... je suis en toi.— Oui William... prends-moi ! Prends-moi fort !— Han oui mon amour ! — Je t’aime William !
Ils pouvaient sentir leurs peaux se couvrir de sueur. Darcy avait la tête qui tournait tandis que son bassin s’activait de plus en plus vite au creux de cuisses d’Elizabeth. Le souffle commençait à lui manquer et il sentit qu’il arrivait à un point de non-retour. En un long gémissement témoignant de ce désir partagé, Darcy sentit sa semence envahir le sexe brûlant de Lizzie. Couvert de sueur et haletant encore de ce qu’ils venaient de vivre, les deux conjoints s’embrassèrent une ultime fois. Épuisé et enivré de plaisir, Darcy s’allongea sur le dos pour reprendre son souffle. Elizabeth vint aussitôt se lover contre le corps de son époux. Elle passa une jambe au-dessus du bassin de celui-ci et entoura le torse de Fitzwilliam avec son bras. En fermant les yeux, elle murmura avant de s’endormir :— A toi... Pour toujours et à jamais.
Diffuse en direct !
Regarder son live