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Passions éternelles

Chapitre 4

Les soins prodigieux de ma petite sœur – Première partie

Inceste
Comme tous les matins depuis ma sortie de l’hôpital, Daniela me réveille vers 10 heures et m’aide pour aller à la douche et me laver. Elle me déshabille, enlève aussi ses vêtements et protège mes plâtres. Elle est derrière moi et commence à me laver le dos. Puis lorsqu’elle a terminé, elle passe devant moi, c’est la première fois qu’elle fait ça, d’habitude elle reste derrière. Je ne dis rien et elle reprend mon lavage. Après avoir lavé mon torse et mon ventre, elle s’agenouille. La vision de son visage angélique à quelques centimètres de mon pénis m’excite ; mais c’est ma sœur, je ne peux pas bander devant elle et encore moins dans cette situation. J’essaie de résister mais son souffle chaud sur mon sexe ne m’aide pas à empêcher que mon érection vienne. Elle finit ma jambe droite et commence à laver mon pénis. Ses caresses sont venues à bout de mes efforts de résistance, mon érection commence et Daniela le remarque :
— Eh bien, ce n’est que maintenant que tu te réveilles.— Finis vite de me laver !— Je ne vois pas pourquoi je devrais me dépêcher.— Ne fais pas l’idiote, je ne veux pas être en érection devant toi.— Si c’est pour ça ne t’en fais pas, je l’ai déjà vu dans cet état la nuit ou tu m’as réconfortée.
Je reste bouche bée, elle m’avoue ça sans gêne. Elle continue ce qu’elle a entrepris et je trouve même qu’elle prend tout son temps. Arrive ce qui devait arriver, ma bite est devenue raide, elle me décalotte et, par réflexe, je recule :
— Qu’est-ce que tu fous ? Arrête ça tout de suite !— Il faut bien que je lave ton petit gland si tu veux être propre.
Elle me réponda avec un tel aplomb. Je me demande comment ma douce petite sœur peut être transformée à ce point. Je ne bouge plus, stupéfait par sa réponse et elle, comme si de rien n’était, continue de laver mon phallus. Quand elle a terminé, elle me rince, me passe une serviette autour de mon corps et me ramène dans ma chambre. Là, elle me sèche et finit par mon sexe qui avait un peu débandé. Quand elle a fini de le sécher, elle le recalotte. Le reste de la journée se passe paisiblement.Le lendemain, au moment de la douche, rebelote, elle me fait la même scène que la veille mais, cette fois-ci, je la laisse faire étant donné qu’elle l’avait déjà fait. C’est au moment de me sécher que nos relations changent car après m’avoir entièrement séché, elle, nue à genoux devant moi, et moi avec la bite en érection, elle choisit ce moment pour me faire un second aveu :
— Il faut que je t’avoue quelque chose, Toni...— Vas-y, je t’écoute.— Je t’ai vu à la crique quand tu as baisé avec la fille rousse.— Quoi ?!— J’avais besoin de ton aide et comme je ne te trouvais pas sur la plage... Bah... J’ai repensé à la crique dont tu avais parlé. Et quand je suis arrivé, je t’ai trouvé en plein ébat sexuel.— Et ça ne t’est pas venu à l’esprit de partir ?— J’ai essayé mais voir la relation d’une jeune femme avec un jeune homme, qui de surcroît est mon frère, c’était plus fort que moi et je suis restée admirer le spectacle.— Et qu’est-ce que t’as vu exactement ?— Tout. La levrette, le 69, la position d’Andromaque, ses seins et tes couilles qui se balançaient, tes baisers sur sa poitrine et, le plus excitant, vos cris de jouissance. J’en suis même venue à me toucher.

Je n’en reviens pas, en plus d’avoir tout vu, la scène lui a procuré assez de plaisir pour l’amener à sa masturbation.
— C’est pour ça que tu dois, certainement, ou plutôt sûrement, me trouver bizarre dans ma façon de me comporter.— Tu fantasmes sur moi ?— Oui.— Je suppose que tes envies ne se calmeront pas avec le temps. Alors, vas-y, je te laisse me faire une fellation.— Tu es sérieux ?!— Oui, mais c’est exceptionnel. Il n’y aura pas d’autre fois, si je le fais c’est uniquement pour éviter que tes fantasmes ne ruinent notre amour fraternel.
Je voyais des étoiles dans les yeux de ma petite sœur. Elle est restée immobile pendant quelques secondes devant ma bite dressée et donnée à elle. C’est d’abord timidement que sa bouche s’est approchée de ma queue. Et après avoir réalisé qu’elle ne rêvait pas, elle donna des petits coups de langue au niveau du frein. Puis elle l’a mise dans sa bouche ; elle exécutait de lents va-et-vient, comme si elle voulait goûter à ma chair le plus longtemps possible. Elle me suçait depuis un quart d’heure lorsque je sentis mon éjaculation venir et avec ma jambe droite, je reculai afin de faire sortir mon sexe de sa bouche :
— On s’arrête là, je vais éjaculer.— Non, si c’est l’unique fois que je peux te faire ça alors je veux aussi recevoir ton sperme.
J’acquiesçai de peur que si je refuse sa requête, ses fantasmes reviennent. Alors je m’avançai vers elle et la laissai finir ce qu’elle venait d’entreprendre. Après moins d’une minute, j’envoyai six grosses giclées de ma semence dans sa bouche. Il y en avait tellement qu’une partie dégoulina sur son menton puis sur ses seins. Sa bouche en était remplie, elle rapprocha les deux monts qui constituaient sa poitrine et en rejeta une bonne quantité dessus et avala le reste. Elle étala le sperme qui était sur ses seins, me remercia et partit dans la salle de bain. Elle revint une dizaine de minutes plus tard, je lui demandai de me relaver mon pénis, elle exécuta cet ordre sans débordement puis elle m’habilla. Le reste de la journée c’est télé, ordi, téléphone et jeu de société avec Daniela. Le soir, couché dans mon lit, je repensai à ce qui s’était passé ce matin. Cette nuit, je n’arrivais pas à dormir, hanté par les images de la fellation que m’a faite ma petite sœur. Le lendemain, elle vint dans ma chambre, en nuisette noire :
— C’est l’heure de se lever !— Je suis fatigué, je vais rester dans mon lit, aujourd’hui.— Pas de problèmes. Si tu as besoin de quoi que ce soit tu m’appelles. Ah, j’ai oublié de te dire que maman va travailler de nuit.
Sans chercher plus d’explications, elle sortit de ma chambre sans me reparler des événements de la veille. Durant la journée, j’arrivai par moments à grappiller quelques petites heures de sommeil et les moments où j’étais réveillé, je revoyais, encore et toujours, les images de ma petite sœur me faisant la fellation. À 16 heures, elle est venue dans ma chambre alors que je venais à peine de me réveiller. Elle est montée sur le lit et s’est blottie contre moi :
— Je m’ennuie sans toi, ta musique et nos parties de jeu.— Ne t’en fais pas, demain, après une bonne nuit de sommeil, je me rattraperai.— Je peux rester ? Ici je me sens moins seule.— Si tu veux alors, reste ici.
Elle posa sa tête sur mon torse et s’endormit rapidement. À 19h, je la réveillai :
— Allez ! On se réveille.— Mmmhhh.— Alors ? As-tu fait une bonne sieste ?— Mais pourquoi tu m’as réveillé ?— Parce que le dîner ne va pas se faire tout seul.— Eh bien si, justement, je vais commander des pizzas.
Elle se releva, prit son téléphone et passa la commande. Elle revint dans la chambre avec une table en plastique carrée que l’on utilise pour manger dehors, puis avec des gobelets jetables et la roulette pour couper les pizzas :
— Voilà, comme ça, on ne mange pas tout seul dans notre coin.
Une vingtaine de minutes plus tard, la sonnette de la maison retentit et ma sœur se précipita à la porte. Elle revint à peine une minute après avec les pizzas. Une demi-heure plus tard, nous avons fini de manger, ma sœur débarrasse la table et la ramène à sa place puis revint dans ma chambre, sur mon lit pour être plus précis :
— Qu’est-ce qu’on regarde, ce soir ?— Il y a une série policière.— Oh oui ! Ça va être trop cool !— Mais elle commence dans une heure, alors qu’est-ce qu’on fait en attendant ?— Je sais. Attends-moi, j’en ai pour quelques secondes.
Elle sortit de ma chambre et revint avec une montagne d’habits :
— Mais qu’est-ce que tu comptes faire avec tous ces vêtements ?— Je les ai depuis un certain temps alors je vais vérifier s’ils me vont encore.— Ah OK ! Alors vas-y commence le défilé !
Ma sœur se déshabilla et resta en string, comme d’habitude elle ne porte pas de soutif, puis ce fut le début de la ronde de toutes les affaires qu’elle avait apportées. Ses essayages se terminèrent environ une cinquantaine de minutes plus tard. Elle enleva le dernier T-shirt qu’elle a essayé puis se dirigea vers mon armoire :
— Tu fais quoi ? Je n’ai pas planqué d’affaires à toi dans mon armoire.— J’espère sinon je vais devoir te gronder grrr (elle me fit le geste d’une tigresse qui griffe).— Dommage pour toi, tu n’auras pas ce plaisir-là.— Sans déconner, qu’est-ce que tu peux être bête parfois. Je veux juste me couvrir, je n’ai pas envie d’être malade.
Elle ouvrit la porte de l’armoire, sortit un T-shirt et l’enfila. Il lui allait jusqu’en bas des fesses. Elle revint sur mon lit, prit la télécommande au passage et alluma la télé. Elle mit la chaîne qui diffusait la série. Elle commença 10 minutes après. Après la fin du dernier épisode, elle déposa un petit baiser sur ma joue puis elle partit dans sa chambre. Le lendemain, je me réveillai avant ma petite sœur. Je me levai et allai dans sa chambre. Elle dormait encore, ses draps étaient en bas du lit et mon T-shirt, qu’elle a mis hier, était remonté jusqu’à rendre visible des bouts de chair de sa poitrine. Elle était tout simplement sublime, je croyais voir une déesse. Sans faire de bruit, je pris sa chaise de bureau, la plaçai près de son lit et m’assis tout en continuant de la regarder dans son sommeil. Je n’avais pas vu le temps passé lorsque sa voix rompit le silence qui régnait dans la pièce :
— Coucou ! Depuis combien de temps es-tu là, à me regarder ?— Je ne sais pas... depuis une éternité je dirais.— Petit voyeur, tu aimes regarder ta sœur quand elle dort.— Tu connais beaucoup d’hommes qui ne déposent pas leur regard sur les charmes d’une déesse.— Arrête de parler, tu commences à me faire regretter d’être ta sœur.— Ah bon ! Pourquoi ?— Tu es l’homme le plus formidable qui existe et si on n’était pas frère et sœur je t’aurais déjà sauté dessus.— C’est vraiment dommage. Et maintenant, tu sautes hors de ton lit pour aller dans la salle de bain avec moi.— Bravo ! T’as cassé l’ambiance.— Tu n’as qu’à rêver de la tournure que tu aurais voulu que ça prenne. Mais tu feras ça ce soir, je te signale, qu’en ce moment, il y a un frère qui attend sa petite sœur chérie pour prendre une douche.
Sur mes mots, on se retrouva dans la salle de bain. Vingt minutes plus tard, elle avait fini de me doucher. Elle m’habilla, partit s’habiller puis elle revint pour m’aider à aller dans le salon. La journée s’écoula paisiblement entre rires et chamailleries. Le soir, vers 21 heures, ma sœur, se sentant fatiguée, alla se coucher et je la suivis. Quelques minutes plus tard, le tonnerre gronda. Je m’attendais à voir Daniela débouler dans ma chambre, étant donné qu’elle a peur des orages, mais elle ne vint pas. Je décidai donc de me rendre dans sa chambre ; elle était assise, recroquevillée dans un angle de son lit. Je m’assis sur le matelas et elle vint se blottir contre moi (depuis toute petite, Daniela a peur des orages ; dès qu’il y en a un, elle est tellement affolée que le seul moyen pour qu’elle se calme est qu’elle soit dans mes bras) :
— Pourquoi tu n’es pas venue dans ma chambre ?— Je ne voulais pas te déranger.— Mais tu sais très bien que tu ne me déranges jamais. Et encore moins s’il y a de l’orage.— T’es trop gentil avec moi. Tu ne mérites pas d’avoir une sœur comme moi.— Ne dis pas de conneries ; je ne peux pas rêver meilleure sœur que toi.— Tu te trompes. Tu mérites une sœur qui ne pense pas à toi de manière lubrique.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Mais tu le sais très bien. Ce qu’on a fait il y a deux jours n’a pas eu l’effet que tu voulais, même pire, je crois que ça l’a accentué.
(Sa révélation commençait à me faire bander.)
— Je vois. Il faut que je t’avoue que... ça m’a fait de l’effet. Et ça m’a appris que les mecs qui te larguent sont vraiment cons.— T’es sérieux ?!— Oui, et si t’en veux la preuve, tu n’as qu’à regarder mon boxer.
Son regard se plongea en direction de mon bassin et elle remarqua une magnifique bosse se former.
— C’est interdit. Tu peux m’expliquer pourquoi a-t-il fallu que le mec parfait soit mon frère.— Parce que l’amour fraternel est un lien qui est indestructible. Tu vois, si un couple se dispute, il peut se séparer ; alors que si un frère et une sœur se disputent, ils s’aiment encore.— Mais c’est ce même amour fraternel qui nous empêche de...— Chut ! Dans amour fraternel, il y a le mot « amour ».
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