MaëlysJe retourne dans le salon, Solène et Joelle se caressent en s’embrassant, elles sont insatiables, elles finissent par se lever pour aller dans leur chambre, Patrice et Marie sont dans notre chambre, je les laisse seuls, ils en ont besoin de temps en temps. Fatna a pris la main de Maëlys et se dirige vers une chambre du fond. Murielle est allongée sur un divan, elle me regarde en souriant, je vais vers elle pour m’allonger sur elle et l’embrasser. Ses mains courent sur ma peau en insistant sur mes fesses qu’elle adore. Je me laisse glisser le long de son corps, j’arrive entre ses cuisses pour plonger sur son clitoris qui sort un peu de son capuchon, je l’aspire, le mordille, le suce, le masturbe jusqu’à ce qu’elle explose dans un sublime orgasme. Quand je la sens calmée, je me redresse pour aller chercher de l’eau, j’ai soif, c’est à ce moment que j’entends Camille hurler son plaisir de jouir pour la première fois avec un homme. Une fois notre soif étanchée, nous nous allongeons l’une à côté de l’autre, juste pour sentir la peau de l’être aimé contre la sienne. Maëlys et Fatna sortent de la chambre du fond, elles semblent très heureuse du moment passé ensemble, je pense que Fatna s’occupera d’elle de temps en temps. Paul et Camille sortent de leur chambre, elle est resplendissante de bonheur, je me lève en la voyant venir vers nous, elle se jette dans mes bras pour m’embrasser, elle me câline, me caresse, elle est heureuse.–Margot ma chérie, je crois que j’ai trouvé la personne qu’il me fallait, merci de m’avoir amené ici, je vais vivre une vraie vie de femme aimée, merci.–De rien ma chérie, mais je n’y suis pour rien, se sont tes parents qui ont décidé de vous envoyer en France, au risque d’avoir des problèmes avec la famille de ton père.–Je crois qu’il saura les remettre à leur place, je ne me fais pas trop de soucis pour ça. –Ça va, tu n’as pas trop mal ?–Pas du tout, c’est passé comme une lettre à la poste, j’en ai été la première étonnée. Je n’ai senti aucune douleur, juste le sexe de Paul qui s’enfonçait dans le mien en le dilatant comme si j’avais fait ça des centaines de fois, c’était génial. Je n’ai ressenti que du plaisir, j’adore faire l’amour avec un homme.–Fini les femmes ?–Pas du tout, je garderai toujours une place dans mon cœur pour les femmes, surtout pour ma douce Maëlys.–Et pas moi !!–Toi aussi bien sûr, ne suis-je pas venu d’abord t’embrasser pour te remercier ?–Et bien, recommence.Nos bouches se soudent une nouvelle fois, elle me pousse vers le divan et me fait basculer dessus. Ses lèvres se retrouvent sur mon sexe, je sens sa langue batifoler dedans, elle est très agile. J’essaye de la faire basculer pour lui bouffer son sexe, mais en reste dans sa position, elle veut me faire jouir en solo. Murielle monte sur le divan pour me présenter sa vulve bien mouillée, je me jette dessus, j’ai envie de me goinfrer de cyprine, je la prend là où elle est. Camille ne reste pas inactive, sa langue me titille le clitoris pendant qu’un doigt s’enfonce dans mon anus après s’être lubrifié dans mon vagin. Je suis prise d’une frénésie de sexe, je me déchaine sur le sexe de Murielle pendant que je sens monter en moi un gigantesque orgasme. Je sens Camille avoir des secousses, je réussi à regarder vers mon sexe pour voir Paul derrière Camille en train de lui faire l’amour en levrette, elle va vite apprendre avec lui. Murielle se raidi lentement, elle va jouir, je le sens, je suis moi-même au bord d’exploser, ce qui arrive au moment où Murielle m’asperge de sa cyprine en se raidissant. Je sens mon corps exploser dans un énorme orgasme, suivi des cris de joie de Camille qui jouit une fois de plus. Une fois tout le monde calmé, je peux voir à la forme flasque de sa bite que Paul a aussi jouit. Tout le monde se lève pour aller prendre une douche, nous accélérons le mouvement car nous avons entendu des bruits venant de la chambre des enfants. Ils sont debout sur leur lit à nous attendre, quand nous entrons, ils nous tendent les bras, je prends Capucine, Maire prend Jules et Fatna Margot. Nous leur donnons leur goûter, nous nous installons dans le salon, les enfants nous abandonnent, ils ont mieux à faire avec leurs jouets. Paul s’occupe d’eux, nous pouvons discuter tranquillement avec une boisson fraîche. Camille est avec nous, je vois qu’elle pense à quelque chose.–Quelque chose t’inquiète Camille ?–Pas du tout, je pensais à vos avions, je me disais qu’il serait sympa d’organiser des voyages à la demande pour un petit nombre de personnes.–Je ne vois pas la différence avec ce que l’on fait.–Simplement laisser les clients organiser leur voyage, faire des mini charters, pour dix personnes au lieu de trois cents dans les avions de ligne. Je crois avoir compris que le sept X peut transporter douze passagers.
–Oui, douze passagers et deux pilotes.–Avec onze clients, une hôtesse, il est plein, ça ne reviendrait pas très cher par personne je présume.–Sauf que pour les très longues distances, il faut quatre pilotes, ça réduit le nombre de passager et augmente considérablement le prix.–On supprime l’hôtesse, elle sera remplacée par les pilotes de réserve.–Tu sais que ton idée n’est pas si mauvaise que ça.–Je dirais même que c’est une excellente idée, il faut approfondir.–Je pense la même chose.–Ok Marie et Fatna, puisque vous adhérez, étudiez ça avec Camille, il faut approfondir tu as raison, ça peut nous orienter vers un autre métier.Les filles se lèvent et vont vers le bureau au fond de la villa, Camille n’oublie pas d’embrasser très longuement Paul en passant à côté de lui. Maëlys vient s’assoir à côté de moi, elle semble elle aussi songeuse.–Toi aussi tu as une idée ?–Non, je regarde cette magnifique piscine et enrage de ne pouvoir me baigner dedans. A Jakarta, on se baigne toute l’année, même pendant la mousson.–Il faudrait la couvrir, mais j’ai peur que ça casse l’harmonie de la villa.–Sauf si c’est rétractable, replié en été et déployé en hiver, je sais que ça existe, je l’ai vu sur des revues française.–Oui, moi aussi, mais les dimensions de la piscine sont hors normes, les abris commercialisés sont trop petit, il faudrait en faire faire un sur mesure, qu’en dis-tu Joelle.–Et bien, c’est justement ce à quoi je pensais, téléphonons à Marlène, elle devrait connaitre quelqu’un capable de le faire.Joelle se lève pour aller téléphoner, Marlène lui dit qu’elle arrive, elle est libre. Un quart d’heure plus tard, elle sonne à l’entrée, elle arrive nue dans le salon, elle connait les habitudes des lieux. Nous discutons toutes les sept avec Paul pour déterminer comment organiser cette abris de piscine. Nous arrivons à une conclusion simple, il faut modifier la façade de la terrasse pour pouvoir y inclure l’abris une fois replié pour la belle saison. Marlène nous donne l’adresse de deux entrepreneur spécialisés dans ce genre de travail, elle en profite pour aller inspecter la couverture de la piscine, Maëlys la suit, elle semble très intéressée par les courbes de Marlène, elles sont nues malgré les douze degrés extérieurs. Arrivées à un angle de la piscine, Marlène s’arrête et se retourne face à Maëlys, celle-ci s’arrête contre sa peau, l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Les bras de Marlène enlacent le corps de Maëlys, leur baiser dure un petit moment, les mains prospectent le corps de l’autre, elles semblent bien aimer ce qu’elles font. Marlène s’écarte un peu pour faire basculer Maëlys sur la bâche de la piscine, elle a un réflexe de survie, elle tente de se redresser.–Ne t’en fais pas, on peut être plusieurs sur cette bâche, elle est étudiée pour supporter cinq cent kilos, nous sommes loin de les faire.Maëlys se détend, Marlène se couche sur elle, elle s’embrassent de nouveau, elle roulent sur la bâche toujours bouche à bouche. Une fois immobiles au milieu de la bâche, la bouche de Marlène descend lentement sur le corps de Maëlys, elle arrive sur son pubis sur lequel elle s’attarde pour finir entre ses cuisses déjà bien ouvertes. Je vois qu’elle lui bouffe la moule avec plaisir, Maëlys se tortille dans tous les sens, Marlène lui passe les jambes par-dessus ses épaules, elle plonge sur sa rondelle brune, Maëlys ne sait plus où donner de la tête, quand la bouche de Marlène remonte sur son clitoris, elle explose dans un énorme orgasme, et s’exprime comme d’habitude.–Oh oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.Elle est raide comme un bout de bois, Marlène continue de s’abreuver à sa source de cyprine, elle se goinfre. Lentement le corps de Maëlys se détend, Marlène remonte le long de son corps, leurs bouches se soudent une nouvelle fois, mais cette fois, c’est Maëlys qui la fait basculer sur le dos et descend le long de son corps pour finir entre ses cuisses. Marlène se laisse faire, je vois à son sourire qu’elle aime ce que lui fait Maëlys, elle soulève ses fesses pour lui donner plus d’espace. Maëlys glisse ses mains sur ses fesses et la plaque contre sa bouche, Marlène se tend de plus en plus, elle finit par jouir en un long soupir de bonheur. Quand son corps se détend, elles s’enlacent pour rouler sur la bâche en s’embrassant, elles arrivent au bord et se lèvent pour venir nous rejoindre en se tenant la main. Leur corps et hérissé de pointes, elles ont la chair de poule. Nous fermons vite la baie vitrée derrière elles, elles s’enlacent pour se frictionner, elles se détendent lentement.–Nous voyons que vous avez fait connaissance.–Oui, et j’espère que Marlène reviendra souvent ici, j’aimerais bien la voir souvent.–Elle habite juste à côté, il ne tient qu’à vous de vous voir souvent.Elles s’immobilisent pour s’embrasser une nouvelle fois, ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage !!–Bon en attendant, Joelle a téléphoné aux boites que tu nous a indiqué. Il n’y en a qu’une que ça intéresse, un de leur commercial arrive, il sera là dans peu de temps, il faudra s’habiller, soyons présentables la première fois. Marie, Fatna et Camille sont sorties du bureau, elle n’ont pas l’air très enjouées, mais vers seize heures, on somme au portail, c’est le commercial de la société qui va faire un devis pour les travaux. Nous discuterons ultérieurement de leur projet, d’abord la piscine. Nous allons tous nous habiller, nous accueillons un homme d’une cinquantaine d’années assez avenant et qui semble très intéressé par les courbes non dissimulées par nos jupes ou robes moulantes. Marlène lui explique ce que nous attendons de lui, il prend des mesures, inspecte le mur, sonde la terrasse, fait le tour de la piscine le tout en prenant des notes. Il vérifie l’installation des canalisations d’eau et le chauffage déjà prévu dans l’installation. Les enfants le suivent partout en lui posant des questions, il semble très à l’aise avec eux et leur répond en leur expliquant ce qu’il fait. Ça dure une bonne heure, il termine peu après dix-sept heures, juste l’heure du thé. Nous nous installons dans le salon, il nous explique ce qu’il compte faire si nous acceptons son devis. Joelle, Solène et Murielle sont en face de lui, évidement les cuisses ne sont pas très serrées, il a une vue imprenable sur leurs vulves qu’il ne se prive pas de regarder. Il se met d’accord avec Joelle pour les travaux à effectuer, il les fait chiffrer par le service technique et nous donne le devis demain, c’est un affaire rondement menée. L’abris sera haut de trois mètres, laissera quatre mètres de chaque côté de la piscine et huit au fond de manière à laisser suffisamment de place autour de la piscine l’hiver. Le commercial s’en va assez rapidement, il a peut-être peur de devenir fou. En fait, pas de travaux sur la maison, l’abris se rétractera côté parc, en faisant une sorte de véranda sous laquelle on pourra s’allonger, ça fera un second abris l’été. Le système sera complètement électrique, l’étanchéité avec la maison se fera par des joints souples, il nous a prévenu que ça n’allait pas être donné, il pense entre trente et quarante mille euros, mais tout le monde s’y attendait. Marlène et Maëlys ont disparues, elles se sont enfermées dans une chambre, je suppose que ce n’est pas pour enfiler des perles. Marie, Fatna et Camille prennent le relai pour nous exposer leur idée.–A toi Camille, expose nous ton idée.–Je crois que mon idée était un peu optimiste. Je voulais créer des charters plus petits pour permettre à un petit nombre de personne d’aller où ils veulent, mais quand nous avons calculé les prix de revient, ça nous amène à des factures ahurissantes. Marie a fait les calculs, c’est irréalisable à des prix raisonnables, les prix obtenus par les compagnies charters sont possibles grâce au nombre important de passager, avec Fatna, nous n’avions aucune idée du coût d’utilisation d’un avion comme le neuf cent où le sept X.–Je dois dire que j’étais un peu septique, mais il ne faut pas avoir peur d’exprimer ses idées, on va finir par tomber sur la bonne. Marie sait très bien que seules les entreprises ont les moyens d’utiliser nos avions, le temps n’a pas de prix pour elles.Camille nous sourit et va rejoindre Paul avec les enfants, ils s’embrassent devant eux, ça les fait rigoler, je pense qu’ils ont compris ce qui se passait entre eux, ils les laissent tranquilles. Quand ils se séparent, Capucine vient vers Camille pour se mettre entre ses jambes et jouer avec elle, qu’elle le veuille ou pas, il va falloir assurer, mais j’ai l’impression que ça lui plait beaucoup. –Je crois que nous avons trouvé quelqu’un de plus pour garder les enfants quand nous sommes absentes.–Tu n’es pas la seule à le croire. Je vais dans ma chambre pour prendre une veste, j’ai envie de manger des huitres ce soir, je vais en acheter, en passant devant la chambre où se sont enfermées Marlène et Maëlys, j’entends des soupirs de bonheur, elles se font plaisir, j’espère que ça durera un peu entre elles. Fatna m’accompagne, elle a envie de se dégourdir les jambes. Nous prenons la Camaro pour aller à La Cabane du Pécheur à Colomiers, nous prenons quinze douzaines d’huitre, tout le monde en mange et certains ne se contente pas d’une douzaine. Nous réussissons à trouver du pain de seigle et nous n’oublions pas le beurre salé et les citrons, tout est là pour se régaler.De retour à la villa, il est juste l’heure de l’apéritif, nous nous installons dans les divans, Capucine se jette sur moi, Roxane prend Margot sur ses genoux, Jules est dans les bras de Marie. Une demi-heure plus tard, il est temps d’ouvrir les huitres, nous sommes quatre et c’est fait en vingt minutes. Paul et Camille s’occupe des enfants dans leur chambre, ils peuvent y foutre le bordel, ça n’a pas d’importance, c’est chez eux. Murielle et Marie ont préparé la table, elles nous attendent allongées sur un divan tête bêche à se bouffer la cramouille.–Bon les filles, laisser vos moules tranquilles, il va y avoir des huitres, on dit que c’est meilleurs.Je n’ai pas fini ma phrase qu’elles se figent chacune dans son orgasme en s’abreuvant de jus d’amour. Fatna n’est pas là, je m’en étonne.–Quelqu’un peut me dire où est Fatna ?–Dans notre chambre, elle n’est pas très bien, tu sais qu’elle a des règles très douloureuses, comme d’habitude, elle est partie s’allonger. Je vais voir Fatna, elle est allongée sur le lit, elle somnole dans le position du fétus m’exposant ses fesses sublimes, je m’approche mais je remarque une boite de somnifère ouverte sur la table de nuit, elle veut dormir, je ne la dérange pas bien que j’ai une envie folle de me jeter sur son cul d’enfer, je retourne au salon. –Elle dort, essayons de ne pas la réveiller.Paul et Camille ont fait manger les enfants, ils sont prêt à aller se coucher, ils viennent nous embrasser et vont dans leur chambre. Nous les attendons en sirotant nos apéros, je suis entouré de Maëlys et Marlène, elles me caressent les seins de temps en temps, quand leur main ne se disputent pas mes lèvres intimes. Je suis bien au milieu de mes deux amies. Une fois tous réunis, les huitres subissent un sort néfaste et sont exterminées en à peine un gros quart d’heure. Soudain, je sens deux mains m’écarter les jambes et une bouche atterrir sur mon sexe, quelqu’un veut bouffer une moule après les huitres. En faisant le tour de la table du regard, je constate qu’il manque Joelle, Solène, Marie, Murielle, Roxane et Paul. Je vois Camille bouger bizarrement, Paul doit s’occuper d’elle, Patrice bouge lui aussi comme Louis, Murielle et Roxane s’occupent d’eux. Maëlys et Marlène se trémoussent elles aussi, mais ne perdent pas le nord et continuent de me caresser les seins. Je sens l’orgasme monter en moi lentement, je me laisse aller, une boule gonfle dans mon ventre, j’attends qu’elle explose et m’entraine au paradis. C’est Marlène qui ouvre le bal des orgasmes, suivi par Patrice et Louis que je vois se raidir, Maëlys, moi, c’est Camille qui clos le bal par un long cri roque. Une fois tout le monde calmé, Roxane va chercher l’énorme rôti de bœuf qu’elle nous a préparé, nous nous régalons, mais tout le monde n’a pas joui, une fois la viande finie, je me glisse sous la table pour aller me glisser entre les jambes de Solène, je suis accueillie par un sexe très odorant et très appétissant. Patrice s’occupe de Marie, Louis de Roxane, Camille de Paul, Maëlys de Murielle et Marlène de Joelle. Je reste un bon moment sur le sexe de Solène, je sais la faire languir, elle joue le jeu et se laisse faire. C’est la dernière à jouir, mais pas la moins expressive. Après une longue discussion sur l’avenir de la société, nous rejoignons tous nos chambres respectives, Marlène est toujours là avec Maëlys, elles se tiennent la main, je pense qu’elles vont finir par s’installer ensemble, c’est en tout cas bien parti. Il ne restera plus de chambre libre, mais je pense que nous sommes vraiment au complet, il ne faut pas que la villa se transforme en colonie de vacances.Le lendemain, tout le monde se retrouve dans le salon, sauf Fatna. Je vais dans sa chambre, elle est toujours dans son lit recroquevillée sur elle-même. Je me penche sur elle pour poser mes lèvres sur sa joue gauche, elle se redresse et m’attrape par le cou pour me plaquer sur elle. Nos bouches se soudent un long moment, ses mains parcourent ce qu’elles peuvent de mon corps. Quand nos têtes se séparent, elle me sourit.–Ça va mieux ma chérie ?–Pas vraiment, tu sais que j’en ai pour trois jours au total, mais cette fois, je déguste sérieusement.–Tu veux que je t’emmène chez la gynéco ?–Non, mais j’aimerais bien que ton doigt s’occupe un peu de mon clitoris, j’ai envie de jouir, mais pas de me masturber.–Bien sûr chérie, je suis là pour ça.Elle se met sur le dos en écartant légèrement ses cuisses, elle fait un peu la grimace, mais se détend quand elle sent ma main se poser sur son pubis. Mon majeur se glisse entre ses petites lèvres, il tombe sur un terrain assez humide, suffisamment pour le lubrifier et qu’il puisse aller chatouiller son clitoris. Mon doigt tourne lentement sur son bouton d’amour bien dur, je sens son corps se tendre lentement vers le plaisir, elle pousse de petits soupir de bien être, elle me regarde en souriant.–Oui ma chérie, comme ça, j’aime, tu vas me faire jouir comme une bête, continu, je veux sentir mon corps exploser grâce à toi.–Je peux même faire mieux.Je retire mon doigt et viens m’agenouiller entre ses jambe, elle semble avoir un mouvement de recul mais se laisse faire, je me penche sur son sexe très odorant, je pose ma bouche sur son clitoris, elle a un sursaut de plaisir.–Oui ma chérie, oui.Ma langue se déchaine sur son bouton, je passe mes mains sous ses fesses pour la plaquer encore plus contre ma bouche. Je sens son corps se tendre de plus en plus, elle se donne à moi, elle se donne à son plaisir qu’elle sent monter en elle. Au bout d’un instant, elle explose dans un gigantesque orgasme qu’elle exprime bruyamment, tout le monde est au courant. Je continue de lui titiller le clitoris, je ne la lâche que quand je sens son corps de nouveau calme, je redresse la tête pour voir celle de Joelle sur la sienne, elles échangent un long baiser. Solène est à côté du lit avec un plateau qui contient une tasse de café, deux tartines et un croissant.–Après l’exultation des sens, il faut nourrir le corps, tu n’as rien mangé hier soir, il faut se nourrir ma chérie. Nous installons Fatna sur le lit, nous la faisons manger comme un enfant, elle se laisse faire avec un plaisir évident, d’autant que nos bouches se posent régulièrement sur ses seins pour titiller ses tétons. Quand elle a fini son petit déjeuner, je la sens au bord de l’orgasme, nos attouchements ne l’on pas laissée indifférente. Je la libère de son plateau, Joelle la prend par les pieds et la fait glisser sur le lit pour l’allonger et se jeter sur son clitoris. Elle ne met pas une minute à jouir comme une folle. Quand elle a repris ses esprits, elle nous regarde avec un grand sourire.–Si vous vous occupez de moi comme ça à chaque règles douloureuses, je veux bien souffrir un peu.–Ce que nous venons de faire va rester exceptionnel, mais je te promets que tu n’as pas besoin de tes règles pour que je revienne m’occuper de ton petit minou.–J’en accepte l’augure.Je retourne dans le salon pour prendre mon petit déjeuner, je suis la seule encore à jeun, tout le monde sait ce qui s’est passé et me sourit en me voyant entrer, Marie et Murielle vont la voir, je présume que nous allons l’entendre jouir de nouveau. En fait, elle va jouir quatre fois car Maëlys et Marlène sont allées la voir aussi. Le temps a passé, nous sommes maintenant en deux mille vingt-deux, exactement le huit juillet, jour anniversaire de Margot. Nous avons décidé de fêter la majorité de tous les enfants aujourd’hui, tous en même temps, pour pouvoir faire une énorme fête. La société a grossi, nous sommes maintenant quarante-cinq, elle possède huit jets, tous des Falcons, deux neuf cent EX, deux neuf cent LX, trois sept X et un huit X, que des tri réacteurs. Nous sommes maintenant douze pilotes, toujours que des femmes, normal pour une société que s’appelle Womenair. Marlène et Maëlys ont quitté la villa, elles se sont mariées en deux mille seize et dirigent ensemble la société de Marlène. Camille a fait l’ENAC, elle fait partie de l’équipe de pilotes de la société depuis six ans. Elle s’est mariée à Paul en deux mille treize, ils ont deux enfants, Clément né en deux mille quatorze et Iris, née en deux mille quinze, ils se sont installés dans une villa à côté de Fenouillet, nous les voyons assez souvent. Capucine et Margot vont faire L’ENAC, elles veulent elles aussi devenir pilote. Jules a pris une toute autre voie, il s’est inscrit aux beaux-arts il veut devenir sculpteur, c’est l’artiste de la famille, Marie et Patrice l’on encouragé quand il a commencé à parler de vivre de son art. il a déjà fait quelques statues dont un magnifique buste de Marie. Nous sommes tous là pour tout mettre en place, les enfants sont partis faire une randonnée à vélo, ils savent que nous préparons une fête, ça va chauffer dur, mais ceci est une autre histoire à suivre bientôt.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.