Nous descendons l’escalier et nous nous éloignons du château main dans la main. - J’ai repéré ce tantôt une petite clairière pas très loin dans le parc, il suffit de suivre cette allée, la lune nous éclaire assez pour ne pas trébucher. - Je l’ai vu aussi, avec une charmante tonnelle, n’est-ce pas ? - Oui c’est bien cela. Nous y serons tranquille mon cher Eric. - Mmmm Patricia, ne perdons pas de temps. Je veux prendre mon dessert. - Ohhhh coquin ! Quel est donc ce dessert que tu espères ? - C’est de ton fruit que je veux me délecter, goûter son arôme, boire son jus… C’est ainsi qu’en badinant nous avons remonté l’allée au clair de lune et rejoint la clairière. Nous voilà sous la tonnelle, un magnifique banc en chêne couvert de coussin moelleux nous tend les bras. Patricia s’arrête et s’accroche à mon cou, sa bouche avide contre la mienne. Je sens sa langue demander le passage, je lui ouvre volontiers, elle m’embrasse, elle me baise. Elle est collée contre moi, je plaque mes mains sur son derrière. Sa langue quitte ma bouche, elle colle sa tête sur mon épaule, couvre mon cou de petits baisers en soupirant. Je ne reste pas inactif. Ma main quitte son cul et glisse sur sa cuisse jusqu’à pouvoir remonter sous sa jupe. Je franchis la limite de son bas, mes doigts sont au contact de sa chair. Patricia frémit. Je m’écarte légèrement de son corps pour donner l’accès de son sexe à ma main. - Ohhhhh Eric… - Mmmm Patricia, tu es trempée ! - Oui trempée de désir, viens, viens, viens déguster ton dessert.
Patricia recule d’un pas, lève sa jupe et d’un mouvement rapide fait glisser son string jusqu’à ses pieds, elle sort une jambe puis de l’autre elle jette son sous vêtement dans ma direction. J’attrape le string au vol et le met dans ma poche. Elle s’allonge dans les coussins sur le banc, sa jupe remonte, elle pose une jambe au sol l’autre sur le dossier du siège, nous offrant ainsi à la lune et à moi le merveilleux paysage de sa chatte totalement imberbe et luisante de mouille. Je m’approche du banc, pose un genou à terre devant la coquine. De la main je caresse son genou. Je penche mon visage et dépose un baiser à l’intérieur de sa cuisse. Patricia passe sa main dans mes cheveux en soupirant. Lentement ma bouche remonte vers ses lèvres, j’atteins enfin son sexe. Je respire. J’aime son odeur. De la pointe de la langue je fouille entre ses lèvres, pénètre son vagin. Je goûte son fruit pas défendu. En levant les yeux je vois la seconde main de Patricia passée sous son chemisier de mousseline. Elle se caresse les seins pendant que je lui dévore la chatte. Je remonte ma bouche jusqu’à son bouton, je l’aspire, je le tète, je le lèche, je le suce. Patricia se trémousse à chacun de mes coups de langue. Elle gémit, elle soupire. J’adore l’entendre ainsi dans le calme de la nuit. - Oooooh Eric, mmmm lèche moi, remplie moi la chatte, branle moi… Je ne me fais pas prier plus, immédiatement je plonge mon index jusqu’à la dernière phalange dans sa caverne humide. Je caresse doucement l’intérieur de sa chatte tout en continuant de lui sucer le clitoris. Elle se pâme.J’ajoute le majeur à l’index et je la branle d’abord doucement puis de plus en plus vite. Maintenant ce ne sont plus des caresses dans mes cheveux, elle me plaque des deux mains le visage sur son sexe dégoulinant. Je retire mes doigts juste à temps, mon index ripe sur son anus. Je sens ses doigts se crisper sur mon crâne. Ma langue est déchaînée sur son clitoris gonflé, je force à peine et j’ai le doigt dans son cul. - Aaaaa n’arrête pas Eric je vais jouir Oh non je n’arrête pas, j’aspire son clitoris, l’embrasse, le prend entre les lèvres pour le branler. Comme pour sa chatte mon deuxième doigt s’est associé au premier et je lui branle maintenant le cul. Elle relâche la pression de ses jambes autour de ma tête, j’en profite retirer mes doigts et lui dire - Tourne toi chérie que je goûte aussi ton cul Immédiatement elle s’agenouille sur le banc, les coudes sur le dossier, les jambes écartées, elle me tend son derrière.Des deux mains j’écarte bien ses jolies fesses et plonge de mon visage au cœur de la cible. Après sa chatte, son cul a un goût plus amer, cela ne me déplait pas. Comme pour sa chatte je pointe ma langue et pénètre son anus.Elle glisse une de ses mains jusqu’à ses lèvres trempées, elle s’enfile trois doigts dans la chatte tandis que je lui suce le cul. Soudain je sens tout son corps se relâcher, elle exhale un long soupir. Elle jouit. Je la laisse savourer l’instant puis je passe le bras sous sa taille et la tourne sur le banc. Elle est assise, sa poitrine se soulève lentement au rythme de sa respiration qui s’apaise. Elle me regarde et me sourit. Je saisi sa main gluante de son plaisir et lentement, mes yeux plongés dans les siens, je lèche un à un ses doigts. - Mmmmm Patricia, quel merveilleux dessert tu m’as offert. - Tu as su en extraire le meilleur… - Oui chacun de tes fruits ma ravi. J’aime ta chatte, j’aime ton cul. Je crois que mon pantalon va exploser. - Ecarte toi un peu que je me soulage, puis moi aussi je veux du dessert. A ces mots Patricia écarte grand les cuisses et un jet d’urine jaillit, je n’ai pas le temps de m’éloigner suffisamment, je reçois sa miction sur ma chemise et mon pantalon. Je suis surpris et en même temps je sens dans mon boxer une recrudescence de vigueur à voir Patricia pisser ainsi sans retenue. Puis petit à petit le jet diminue pour cesser complètement. - Mmmm j’adore pisser comme ça dehors après avoir pris mon pied. J’espère ne pas t’avoir choqué. - Surpris certainement, mais choqué non ! Maintenant que tu m’as souillé je ne peux pas faire autrement… Sur ses mots je m’agenouille entre ses jambes écartées et je passe ma langue sur sa chatte pisseuse. - Oh cochon, lèche bien tout. J’adore. Je nettoie avec application sa jolie chatte, puis je me redresse et je l’embrasse. Cette fois c’est moi qui dirige, ma langue force ses lèvres à la recherche de la sienne. Elle répond avec entrain à mon baiser.Après un long baiser, je me sépare d’elle, me redresse et constatant l’état de ma chemise et de mon pantalon je dis : - Excuse moi, Patricia, mais je vais devoir aller jusqu’à ma chambre me changer… - Tu as une chambre au château ? - Oui, mon frère m’a réservé une chambre pour cette nuit. Elle est très spacieuse, bien trop spacieuse pour moi seul. Elle est au deuxième étage, numéro 4. Je vais y aller, tu veux bien m’y rejoindre ? - Bien sûr voyons Eric chéri, je veux avoir moi aussi du dessert !
