Je quitte Patricia et rejoins discrètement ma chambre à l’étage du château. Aussitôt arrivé je quitte mes chaussures, ma chemise, mon pantalon, mon boxer, j’abandonne tout dans la salle de bains et passe sous la douche. Je ressors quelques minutes après, propre. Je reste nu, j’allume les deux lampes de chevet qui diffusent une faible lumière et je vais jusqu’à la grande fenêtre de la chambre qui donne sur le parc. Je rêvasse en contemplant le ciel étoilé quand j’entends la porte s’ouvrir et se refermer. C’est Patricia, me dis-je. Ses talons claquent sur le plancher, je me retourne et je la vois face à moi à quelques pas. Elle s’arrête et m’examine de la tête au pied en prenant particulièrement son temps à mi examen !
Elle me sourit, sa langue doucement caresse sa lèvre supérieure. Lentement elle défait un à un les boutons de son chemisier, ce dernier finit au sol. Puis passant les mains derrière son dos elle dégrafe son bustier libérant sa magnifique poitrine. Le soutien-gorge rejoint la mousseline à ses pieds. Elle offre ses seins à mon regard, j’admire ses auréoles brunes d’où pointent les tétons érigés.
Ma main glisse sur mon ventre et agrippe ma verge qui commence à bander. - Continue…
Elle ne se fait pas prier, promptement elle libère ses pieds de ses escarpins et c’est désormais sa jupe qu’elle détache et qui va elle aussi au sol rejoindre le reste de ses vêtements. Elle est ainsi nue devant moi, enfin presque nue puisqu’elle conserve ses bas. Délicatement elle saisi le bas de la jambe droite et le roule jusqu’à sa cheville avant de le propulser sur le tas de ses vêtements, elle fait de même avec la jambe gauche.
- Mmmm
Je soupire en caressant doucement ma bite maintenant bien raide. Je me masturbe ainsi devant elle.
Elle me regarde, lubrique. Les jambes légèrement écartées, elle aussi glisse une main vers son sexe, l’autre étant déjà sur son sein à pincer son mamelon.
- Mmmm Eric quelle queue prometteuse, je suis toute mouillée à l’imaginer me prendre, me fouiller, m’empaler… - Vas-y ma chérie branle toi, toi aussi… - Ouiiiii
Je vois sa main en mouvement, je devine ses doigts entre ses lèvres. Elle ondule en se masturbant. J’augmente la cadence de ma main autour de ma queue, je passe mon pouce sur mon gland gonflé, de l’autre main je me caresse les couilles.
- Regarde ma queue toute raide pour toi, regarde mes couilles toutes pleines pour toi… Tu aimes me voir me branler ? - Ohhhhhh oui, branle-toi au jus, je veux voir ta jouissance jaillir pour moi… - Mmmm j’adore comme tu es salope.
J’entends le clapotis sous l’accélération de ces doigts dans sa chatte. Elle se cambre pour mieux aller profond en elle. Je suis au bord de l’explosion.
- Ahhhhh Patricia je jouis pour toi.
A peine ai-je dis ces mots que mes cuisses se contractent, ma bite expulse un jet de sperme qui vient s’échouer sur le plancher entre Patricia et moi. Suivi immédiatement d’un deuxième, puis d’un troisième. Je flanche un peu sur mes jambes et je libère ma bite qui regarde maintenant vers le sol. Patricia libère sa chatte et se met à quatre pattes devant moi, elle se penche en avant et lèche consciencieusement ma semence sur le plancher. Je la regarde émerveillé par son application et par son cul dressé vers le plafond. Lorsqu’elle à tout récupéré au sol elle se relève et vient se coller à moi. Je sens sa poitrine écrasée contre la mienne, sa main le long de ma cuisse, sa bouche soudée à ma bouche. Je plonge la langue dans sa bouche partageant ainsi avec elle mon foutre récolté au sol. Sa main monte de ma cuisse en tournant vers ma fesse qu’elle caresse avec fougue.
Patricia s’écarte légèrement de moi et me murmure :
- Tourne-toi mon chéri, je veux goûter ton cul.
Je n’hésite pas, j’effectue un demi-tour sur place. Les bras légèrement levés je pose les deux mains sur la vitre de la fenêtre et me campe les deux jambes écartées. Je sens le souffle de Patricia sur ma nuque, puis en parcours de légers baisers elle descend le long de ma colonne vertébrale jusqu’à atteindre mon sillon postérieur. Une main sur chacune de mes fesses elle m’ouvre le cul et continu son chemin avec sa bouche jusqu’à mon anus. Je sens ses lèvres humides l’enrober, sa langue pointue s’immisce dans mon conduit anal.
- Mmmm oui lèche moi le cul
Patricia s’applique de la langue à faire frétiller mon trou du cul. Ma bite doucement se redresse une nouvelle fois. Je profite d’un instant où Patricia s’écarte légèrement pour effectuer un nouveau demi-tour et je lui présente mon sexe. Ses lèvres aspirent mon gland, sa langue le cajole. Son index pointe à l’entrée de mon cul.
- Oui caresse moi le cul, masse-moi bien. Sens comme je bande pour toi.
Elle a maintenant les deux tiers de ma bite dans la gorge, je sens son doigt s’insérer dans mes entrailles et venir adroitement caresser ma prostate. Elle ressort ma queue de sa bouche, s’en empare de sa main libre et fait glisser sa langue sur toute sa longueur, la soulève et gobe mes couilles qu’elle suce. Puis elle les libère et refait le parcours dans l’autre sens jusqu’à revenir sur mon gland titiller le méat suintant de jouissance à venir.
Elle garde ma queue en main, continu à me baiser le cul et lève le visage vers moi, plonge son regard dans le mien.
- Mmm Eric, tu aimes que je te baise le cul. Crache encore ton sperme, branle-toi sur mon visage.
Ma main remplace la sienne sur ma queue et je me branle frénétiquement tandis que Patricia agenouillé devant moi, le visage à quelques centimètres de mon sexe, accentue ses caresses sur ma prostate. Une nouvelle fois je me cabre et de ma bite plusieurs nouveaux jets de sperme viennent maculer ses cheveux, son joli visage, sa poitrine.
Aussitôt son doigt quitte mon cul est elle vient avec récupérer mon foutre sur ses seins, son front, ses joues avant de le glisser entre ses lèvres et de le sucer avidement.
- Mmmmm il a bon le goût de ton cul et de ton foutre, mon chéri. Quel merveilleux dessert. J’espère qu’il te reste encore de la vigueur et des réserves pour venir me remplir la chatte et le cul… - Tu vas m’épuiser ! Ne t’inquiète pas j’ai pris ce qu’il faut avant ton arrivée tout à l’heure pour pouvoir te combler comme tu le souhaites. - Oui j’en veux encore et encore et encore… - Tu auras tout ce que tu voudras mon amour, mais d’abord il va falloir que je vidange ma vessie, tu m’accompagnes si tu veux. - Mmmm me proposes tu de me désaltérer ? - Evidemment, je t’ai goûté tantôt. Je devine que comme moi tu aimes ces jeux et je te propose de profiter de mon besoin présent.
Patricia se relève et se colle contre moi. Sa main enrobe ma bite maintenant complètement débandée. Elle m’embrasse tendrement dans le cou et sa bouche s’approche de mon oreille :
- J’ai très soif…
Elle me prend par la main et m’entraîne à sa suite...
