- Oh Patricia tu aimes certainement tes enfants si tu en as, probablement ton mari, sans aucun doute tes parents, mais moi tu ne m’aimes pas ! On se connaît à peine depuis quelques heures ! Tu aimes l’aventure sexuelle avec moi, je veux bien le croire, mais je pense qu’il n’y a pas de sentiment profond entre nous à l’heure actuelle. - Ah Eric détrompe toi. Oui j’ai des enfants et je les aime, je les aime d’un amour maternel puissant. Oui j’ai un mari et je l’aime, je l’aime d’un amour profond et sincère depuis quinze ans maintenant. Hélas ma maman et décédé, mais oui j’aime mon papa. - Je suis désolé pour ta maman… - Eric mon chéri, ne te désole pas, tu n’y es pour rien ! Maman nous a quittés il y a vingt ans. Papa était dévasté, il n’avait plus que moi. Je suis resté sa fille et je suis devenu sa femme. Et je l’aime plus que tout au monde. - Tu es devenu sa femme ? Dois-je comprendre ce que je comprends ? - Oui, Eric mon trésor, lorsque maman est partie papa avait tout juste la quarantaine, encore vigoureux, mais cela était inconcevable pour lui de prendre une nouvelle épouse. J’étais très présente à ses côtés. Petit à petit de fil en aiguille nous avons noué une relation fusionnelle et charnelle. Face à son désarroi j’ai tout d’abord cherché à le soulager, au début un peu contre son gré. Des caresses vite devenues des branlettes, puis des pipes et naturellement nous avons fini par baiser ensemble régulièrement. - Mmmm Patricia tu ne cesses de me surprendre… - Avant j’avais eu des relations peu sérieuses comme toutes les filles de mon âge, avec Jacques mon papa j’ai découvert l’amour associé au plaisir physique. Dans ses bras j’ai eu mon premier orgasme avec un homme, chose que jusque là seule mes complices féminines avaient su me procurer. - Mmmm, tu m’excites… - Papa m’a tout appris, il m’a appris à sucer pour donner du plaisir aux hommes. Il m’a enseigné les relations anales, c’est lui qui m’a enculée le premier. C’est Jacques qui m’a donné le goût de la sodomie. - Ohhhhh continu, raconte et ne t’arrête pas de me caresser… Le pouce de Patricia électrise mon gland faisant reprendre peu à peu vigueur à ma bite. Elle glisse, caressant mes couilles au passage, jusqu’à mon cul. - Jacques m’a ouvert son cul pour m’enseigner à procurer du plaisir anal à mes amants.
Son index délicatement force le passage de mon anus et s’introduit dans le conduit soyeux. Les mots de Patricia associés à cette caresse ne font qu’augmenter mon excitation. - Oui j’aime Jacques, mon papa. Comme je t’aime toi, même si ce n’est que depuis quelques heures. - Oh n’arrête pas avec ton doigt, mmmmm c’est bon - J’aime tes cheveux, ton front, ton nez, ta bouche. J’aime ton cou, ton torse, ton ventre. J’aime tes jambes, tes pieds. J’aime tes épaules, ton dos, le creux de tes reins. J’aime tes jolies fesses et ta belle bite. J’aime le grain de ta peau sous mes doigts. J’aime tes odeurs. J’aime tes goûts, le gout de ton sperme, celui de ta pisse, celui de ton cul… Oui Eric je t’aime, définitivement je t’aime.Patricia libère mon cul, elle se redresse et me chevauche. Elle frotte sa chatte humide sur ma bite de nouveau raide.Je pose mes mains sur ses joues et l’attire à moi, ma bouche frôle la sienne. - Moi aussi je t’aime, j’aime tout pareil ta peau, ton parfum, ton goût. Nos lèvres se soudent, nous partageons un baiser passionné. Un baiser d’amants épris l’un de l’autre. Son corps pèse sur le mien, son corps appelle le mien à l’amour, au sexe. Lorsque nos bouches se séparent je lui demande - Tu me dis que tu aimes ton mari, tu ne crains pas sa jalousie pour ton père, pour moi et pour les autres s’il y en a ? - Oui des autres il y en a. Plusieurs que j’aime tout comme toi. Franck mon mari le sait parfaitement car je lui raconte tout. - Tu vas lui dire pour cette nuit ? - Bien sûr, c’est la première chose que je ferai en le retrouvant. Il va aimer que je lui raconte notre rencontre. A califourchon sur mon ventre Patricia me caresse les seins en me parlant de son mari. J’empaume ses fesses et je promène un doigt nonchalant dans la raie de son cul. - Et puis je suis certaine que lui non plus ne s’ennuie pas en ce moment. - ???? Mon regard interrogatif suffit à faire comprendre à Patricia que je veux en savoir plus, je m’attends désormais à tout maintenant que je sais pour son amour incestueux, pour son mari qui apprécie le candaulisme. - Je te parie qu’il est chez papa, nous baisons parfois tous les trois, Jacques et Franck se donne du plaisir l’un l’autre pour m’exciter. - Mmmm ton père et ton mari sont bi, moi aussi cela m’excite. Mon doigt devient inquisiteur entre les fesses de Patricia. Je sens sa chatte qui mouille collée à ma bite.
- Oui Papa est plutôt actif et Franck plutôt passif dans leur relation. Souvent nous nous mettons côte à côte avec Franck et papa passe du cul de l’un au cul de l’autre pendant que nous nous embrassons. - Mmmm je bande. - Alors tu prends le pari ? Si je gagne je te donne un gage de mon choix, si c’est toi tu me donnes un gage de ton choix. - N’importe quel gage ? - N’importe quel gage, si je perds tu peux demander ce que tu veux. Tu pourras même le demander sans pari. Si je gagne c’est moi qui te demande ce que je veux. - Ok. Comment on vérifie ? - Pas de souci, écoute bien... Patricia se relève, mon doigt et ma bite sont orphelins. Elle va jusqu’à ces habits, fouille dans son sac et reviens avec son téléphone portable. Je me suis tourné sur le côté, elle s’assoit sur le bord du lit vers moi, une jambe pendante, l’autre plié sur le genou de la première. Elle m’offre ainsi une vue magnifique sur sa conque rosée.Elle sélectionne son mari dans ses contacts et lance l’appel après avoir mis en mode haut-parleur.
- Il est près de deux heures, tu vas certainement le réveiller. - Cela m’étonnerait, je te dis qu’il passe du bon temps avec mon père, à cette heure-là s’ils sont au lit ce n’est sûrement pas pour dormir ! Une sonnerie. Deux sonneries. Trois sonneries... - Allo, Patricia ? - Allo, Franck. Oui c’est moi. Je ne te dérange pas ? - Non mon cœur, je suis avec Jacques. Patricia me jette un coup d’œil complice, son visage s’orne d’un sourire victorieux. - Je l’ai parié. - Tu vas bien mon amour, tu as besoin de quelque chose ? Comment se passe ta soirée, pas trop ennuyeuse ? - Oh non, rassure-toi je n’ai besoin de rien ! Je suis comblé ici, j’ai rencontré un homme charmant avec qui je viens de parier que tu étais chez papa. J’ai gagné donc ! - Un homme charmant ! Oh oh ! Il t’a baisé ? - Non pas encore mais ç’est sa prochaine promesse à tenir. Elle m’envoie un nouveau clin d’œil. Je me rapproche encore d’elle. Ma main sur sa cuisse remonte doucement vers son sexe ouvert et luisant. - Ici Jacques a déjà tenu deux fois la promesse ! Il se repose. Tu veux que je te le passe ? - Non, inutile, embrasse le pour moi. Partout où il aime. Je t’embrasse aussi mon amour. - Baisers. Patricia raccroche et pose son téléphone au sol. Je me penche entre ses jambes, entre mes lèvres j’aspire son clitoris gonflé, je le chatouille délicatement de la langue. Patricia glisse sa main dans mes cheveux et me plaque entre ses cuisses désormais grandes ouvertes. - Mmmmmmmmm , Eric, mmmm, tu ne comptes pas t’en tirer à si bon compte. Tu me dois un gage. Ohhhh continu, n’arrête pas.
Je descends ma langue entre ses lèvres jusqu’à l’entrée de son vagin, je me régale du petit goût salé de sa cyprine. Puis je reviens vers son bouton que je tète entre mes lèvres, sur lequel je roule ma langue comme je le ferai dans sa bouche pour un baiser. Les mains de Patricia s’agrippent à mes cheveux. Sa respiration s’accélère. - Mmmmmm… Aaaaaa…. Mmmmmm…. C’est bon… Mmmmm... Soudain elle hurle. Ses jambes se resserrent autour de mon crâne. Elle jouit une nouvelle fois et je suis heureux. Patricia relâche son étreinte et se laisse tomber sur le lit. Je me dégage du compas de ses cuisses et remonte vers son visage, elle me sourit quand je me colle à elle et que je l’embrasse fougueusement. Puis après quelques instants je m’approche de son oreille. - Quel sera mon gage mon trésor ? - Je veux te présenter à mon père, voilà ton gage. - Mmmm ce gage me convient, je suis à ta disposition. - On en reparle plus tard. Elle s’empare de ma bite bien bandé. Se tourne sur le côté, et m’attire à elle. Mes jambes se collent aux siennes. Elle guide ma queue entre ses lèvres, je pousse du bassin et je m’introduis enfin dans sa chatte jusqu’au couille.Patricia soupire.- Mmmmmmmmmmmmmmmm.
