J’entame un lent mouvement dans la chatte de Patricia, j’en sors ma bite plusieurs fois. Un coup de rein la remet vivement dans le canal des plaisirs. D’une main je caresse la fesse de Patricia, de l’autre je lui palpe le sein. Je pince son téton entre mon pouce et mon index, elle réagit immédiatement. Son téton se durcit et son sexe se colle à mon pubis.Je ne bouge pratiquement plus le bassin. Patricia se baise littéralement sur ma bite, je sens les contractions de ses muscles internes autour de ma tige plantée en elle.- Mmmmm tu es bonne.- Mmmmm oui reste bien à fond dans ma chatte, je sens ta bite et j’aime ça.Je pose ma tête contre son cou et je mordille son oreille. Je souffle contre elle au rythme de ses contractions. Puis n’y tenant plus je lâche son sein, je l’attrape à la hanche et exerce une pression. Elle comprend immédiatement ma demande, d’un mouvement agile elle se tourne, s’appuie sur ses coudes et ses genoux. Je suis son mouvement solidement ancré en elle et me retrouve à genoux moi aussi derrière elle. Je pose les mains sur ses hanches et je lui bourrine la chatte. Elle se pâme. Je vois ces doigts qui s’accrochent au drap, son visage sur le côté droit est écrasé sur l’oreiller. Quand je semble faire un mouvement trop ample et quitter son vagin, elle pousse son cul en arrière, comme si elle voulait garder ma queue happer en elle.- Aaaaaa Patricia salope tu m’aspires la bite.- Ouiiiii remplis moi mon salaud.- Mmmmmm j’aime quand tu me traites de salaud pendant que je te laboure la chatte. Chienne.- Ohhhh oui je suis une chienne. Ta chienne. Je te veux encore, encore et encore.Elle bouge son bras droit et sa main vient caresser me couilles.- Mmmmmm elles sont bien pleines. Tu vas me remplir de ton jus. Crache, crache, crache !- Mmmmmm je me retiens, je veux garder le jus qu’il me reste pour ton cul de putain. Tu me l’as promis tout à l’heure, n’oublie pas !- Ouiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiii, ouiiiii. Regarde…Elle s’affaisse sur sa poitrine et balance son bras gauche vers l’arrière, je lâche ses hanches dans le mouvement ainsi engendré. Je pose une main sur chacune de ses fesses et je les écarte pour bien ouvrir son cul. J’ai une vue magnifique sur son œillet brun fripé. Elle pousse son majeur dans son anus. - Mmmmmm regarde mon amour je m’ouvre le cul pour toi. Viens, viens m’enculer. Fais-moi jouir de mon cul de putain. Prends-le, il est tout à toi.Je me recule, ma bite glisse de sa chatte trempée. Elle est gluante de mouille. Patricia retire son doigt de son cul et attrape ma bite qu’elle dirige d’un geste sûr vers son trou du cul ouvert. Quand mon gland entre au contact de son anus elle lâche ma queue, repasse ses deux bras sur le chaque côté et se dresse sur ses mains. Son cul est à la hauteur de mon pubis, je pousse violement, je la pénètre d’une seule poussée. Elle s’effondre sur le lit, je la suis encastré dans son cul. A mon tour je m’appuis sur mes mains et je lui baise profondément le fion.- Aaaaaaa mon salaud, j’ai mal… Ne t’’arrête pas c’est trop bon…- Ohhh oui c’est bon, je sens ma bite vibrer dans ton cul, tu aimes ça salope.- J’adooooooooore, bourrine-moi le fion, éclate moi l’oignon, rempli mon trou à merde…- Mmmmmm- Je suis à toi, prends-moi. Défonce-moi. Fais-moi mal à en jouir. Mmmmmm….- Ahhhhh….Ahhh. ohhhh, mmmmm- OuiiiiiiiiiiiiiiiLa chambre résonne de nos gémissements, de nos cris.Je ressors complètement ma bite de son fion, son trou reste large ouvert. Je constate quelques souillures sur ma tige.
- Mmmmmm sale trainée tu n’es pas très propre, j’ai des traces de merde sur ma bite…- Mmmmmm continu à m’enculer, je te promets de te sucer quand tu m’auras rempli au jus. Ta bite sera propre comme un sou neuf.Elle me rend fou. Toute raison quitte mon cerveau. Tout mon sang se concentre dans l’irrigation de mon sexe. Je ne pense plus que par ma bite. Ma bite dans son cul. Je me plante de nouveaux jusqu’aux couilles dans son cul. Je sens la sève monter dans ma tige.- Oooooo je vais exploser dans ton cul merdeux. Mmmmmm, ahhhhhhJ’ai un spasme et le sperme fuse de ma queue pour inonder ses parois anales. Plusieurs jets puissants. Puis je me retire de Patricia et m’effondre sur le lit à ses côtés. Aussitôt elle se redresse, mon foutre perle à son cul et coule sur sa cuisse. Elle n’en a cure. Elle attrape ma queue à la base et je jette dessus de la langue. Elle glisse tout le long de la tige, remonte jusqu’au gland, titille le méat, redescend vers les couilles. Recommence plusieurs fois. Enfin elle vient positionner son visage rayonnant au-dessus du mien, elle sourit. J’ouvre la bouche. Un filet de bave, de sperme et de quelques traces de merde quitte ses lèvres pour venir irriguer mon gosier. Elle se penche encore et sa langue suit le même chemin. Nous échangeons un long baiser ou nos langues se mélange dans nos souillures. Puis Patricia s’effondre à mon côté. Nos respirations se font plus calme. La main de Patricia pèse comme une plume sur mon ventre. Je suis apaisé, je ferme les yeux et me laisse aller…
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Je sens la douce chaleur du soleil sur mon visage. Le jour s’est levé. Je me tourne sur le côté, la place dans le lit est vide, la trace du corps de Patricia marque cependant les draps.J’entends la douche couler dans la salle de bains. Ma partenaire de jeux de cette nuit est en train de se nettoyer des traces de nos ébats. A ce souvenir je soupire d’aise, quels bons moments passés ensemble. Patricia est vraiment une salope et c’est bon, mmm le souvenir de sa bouche sur ma queue, son plaisir quand je l’ai baisée, quand je l’ai enculée… Voilà que je bande… Je ne résiste pas, je descends la main jusque sur mon sexe et je me masturbe lentement, les yeux fermés je revis notre nuit torride. Je sens au bout de ma verge le doux chatouillement annonciateur de jouissance, je râle et j’éjacule. Mon sperme s’étale sur mon ventre. Je laisse ma queue retomber sur ma cuisse, je passe mes mains derrière ma nuque et j’attends.Enfin le bruit de l’eau cesse dans la salle de bain, après quelques minutes je vois Patricia émerger de la salle de bains, la démarche chaloupée, le corps enrobée dans une petite serviette éponge tendue par ses seins et qui arrive à peine à masquer son pubis. Elle rayonne, souriante, ravissante.- Bonjour mon chéri.- Bonjour.- Oh mais je vois que tu t’es fait plaisir…- Oui, excuse-moi, je ne t’ai pas attendu. J’ai entendu l’eau couler sous la douche, je t’ai imaginer offrir ton corps magnifique à la tiédeur des jets, j’ai repensé à ta bouche me suçant, ta chatte inondée quand je t’ai baisée, le plaisir que j’ai eu à te prendre le cul… et j’ai fini par me branler comme tu le constate !- Et maintenant je vois que tu es tout mou ! Laisse-moi effacer les traces de ta jouissance.En disant cela Patricia me rejoint sur le lit, agenouillée contre moi elle se penche sur mon abdomen et avec la langue récupère mon sperme avant de l’avaler.- Mmmmmm quel bon petit déjeuner. Mais tu ne vas pas t’en tirer comme ça mon salaud…- Ah oui, tu vas faire quoi, me punir ?- Certainement, tu mérites une correction.- Mmmm continu tu m’intéresses.- Ah ah monsieur aime la punition.- Ouiiiii punis moi.- Allez retourne toi, à genoux, et tends-moi ton derrière.J’obéis aussitôt, à genoux sur le lit, la tête entre les bras, je lève mon cul en offrande à Patricia. Je sens sa main se poser sur ma fesse, délicatement, elle me caresse. Soudain elle claque fortement mon postérieur. C’est douloureux mais en même temps très excitant.- Mmmmm Je n’ai pas le temps de me ressaisir, qu’une deuxième claque retentit dans la chambre, puis une autre, puis encore une… Après une dizaine de fortes gifles sur mon cul Patricia se calme et cesse les coups.- Ooooo c’est déjà fini…- Mon salaud tu aimes ça, le cul chauffé.- Ouiiii ça brûle, c’est bon…Patricia s’empare de mes fesses et les écarte, le visage au-dessus de mon trou du cul elle laisse couler un filet de salive.- Tu aimes avoir le cul douloureux, je vais te combler.Je sens son doigt sur ma rosette qui étale sa salive et force pour pénétrer des trois phalanges.- Mmmm ouiiiiiElle ressort son doigt et immédiatement en présente deux soudés à l’orifice. De nouveau elle me perfore. Elle effectue un mouvement de rotation en forçant sur mon anus. Je me crispe sur ses doigts et pousse pour ouvrir le passage à mon rectum. Patricia introduit un troisième doigt en continuant son mouvement. Son autre main agrippe mes couilles pendantes et les serres en imprimant en même temps une forte torsion.- Oh salope tu me défonces le cul et tu m’arraches les couilles… Mmmm merveilleux, encore, encore, plus, plus fort…- Ouiiii ma pute tu vas tout prendre.Le quatrième doigt et maintenant dans la place. Je ressens une bienheureuse souffrance, je ne sais pas ce qui me fait le plus mal, les couilles qu’elle me tord où le cul qu’elle m’éclate. Alors Patricia relâche mes burnes, qui pendent à nouveau et retire ses doigts de mon anus. Je ne vois pas mais je sens bien que mon cul reste grand ouvert.- Ne bouge pas trainée.J’entends Patricia retourner dans la salle de bain, elle ouvre le robinet, j’entends l’eau couler. Moins de deux minutes après elle est de retour.- Vas-y tend moi ton cul, écarte bien tes fesses, ouvre-toi en grand.Je n’hésite pas ayant deviné ce que Patricia compte faire. Je sens contre mon œillet grand ouvert son poing qui force. Je pousse sur mes sphincters pour m’ouvrir le plus possible. - AaaaaaaahJe poing est passé, mon anus se referme sur son poignet. Alors Patricia reprend son mouvement de rotation avec cette fois son poing fermé dans mon conduit à merde. La douleur est sublime. Je pleure de souffrance et de plaisir. Je sens dans mon ventre des éclairs de jouissance me foudroyer. Patricia recule son bras, son poing fermé ressort de mon cul. Je ressens un vide immense.- Noooooon encore- Oh putain de salopeElle replonge son poing toujours fermé dans mon conduit, certainement plus profondément d’après la sensation que j’en ai.- MmmmmmmSans même que je bande j’ai un liquide séminal qui s’écoule de ma bite.- Oh cochon tu jouis. Tu aimes le fist, vas-y lâche toi.- Ouiiiiiiiiiiiiiii tu m’éclates le fion, c’est trop bon.Alors Patricia retire une nouvelle fois son poing et avant que je puisse dire quoique ce soit elle m’envoie une nouvelle volée de claques sur le cul. Je m’effondre sur le lit, ma queue écrasée par mon bassin patauge dans mon foutre. Patricia me tire par les cheveux me forçant à tourner mon visage vers elle, elle me tend sa main les doigts savonneux et couvert des traces de mon cul.- Lèche.Je me jette sur ses doigts la langue en avant et je les nettoie un par un, consciencieusement. - Mmmmmm
