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Patricia fête ses 20 ans avec moi, et sa sœur.

Chapitre 2

Hétéro
J’ai soixante ans et Patricia, ma voisine, s’est arrangée pour que je la baise pour ses vingt ans. Je lui dis qu’elle est une jeune chienne en chaleur et elle me fait une proposition inattendue:— Oui tu as raison, il faut vraiment que je sois chienne pour accepter de baiser avec un vieux comme toi. Mais si tu aimes les jeunes chiennes j’en connais une encore plus jeune que moi, majeure si ça peut te rassurer, mais cent fois plus salope que moi, une vraie pute, gratuite.— Je vois que tu as de bonnes fréquentations!— Qu’est-ce que tu veux, comme dit la chanson: on ne choisit pas sa famille.— Attends, tu veux dire que c’est ta sœur, Emma?— Oui, tout à fait.— Et tu n’as pas honte de parler d’elle comme tu le fais?— Non, parce que c’est la vérité et qu’elle ne s’en cache pas, elle en est fière. C’est la putain de la cité, et tous les jeunes lui sont passés dessus.— Les jeunes, donc peut-être qu’elle n’aime pas les vieux.— Tiens, tu as moins de scrupules tout d’un coup. Elle te plait ma frangine, salaud.— Oui, elle est très jolie. Dis lui qu’elle vienne me voir un de ces jours si elle est en manque.— Elle peut venir maintenant si tu veux.— Oh non, je ne veux pas te laisser tomber pour elle. On commence à peine à s’amuser tous les deux, et je tiens à aller jusqu’au bout.— Mais qui te parle de m’abandonner?— Tu veux dire que, non, tu me fais marcher.— Non, je te propose une partie à trois, à moins que tu aies peur de ne pas assurer.— Pour ça pas de problème, je me suis branlé deux fois avant que tu ne viennes, pour ne pas jouir trop vite, et là je peux bander des heures avant d’éjaculer à nouveau.-Bon, alors, je l’appelle?— Comme tu veux.Elle se dégage de dessus moi, récupère son portable, et contacte Emma. Je comprends qu’elles avaient tout manigancé: la flute renversée, Patricia sans aucun dessous pour m’allumer, attendre l’occasion pour me parler de sa sœur. Elle raccroche et me dit que sa frangine est d’accord et qu’elle va arriver. Puis elle se repenche sur la table pour m’inviter à la reprendre par derrière. Cela ne fait pas deux minutes que je suis en elle, que l’on sonne.
Je vais à la porte, à poil, le sexe au garde à vous, et je regarde par l’œilleton avant d’ouvrir. C’est bien elle, je la fais entrer rapidement et referme à double tour. Elle fixe ma queue et je vois son regard s’illuminer:— Ouah, la bite! Trop bien!— Elle te plait?
— Oui, génial. Je croyais que les vieux ça bandait mou, mais elle a l’air bien dure la tienne.— Elle n’a pas que l’air, viens et demande à ta sœur.Elle me suis, et je vois Patricia toujours penchée sur la table et qui écarte ses fesses en attendant que je revienne. Je ne la fais pas attendre une seconde de plus et je l’embroche d’un coup sec. Emma nous regarde, visiblement très intéressée, en même temps qu’elle se déshabille. Elle est toute nue, encore plus belle que sa sœur avec ses superbes boites à lolo qui m’en mettent plein les yeux. Elle s’approche de nous et s’agenouille pour mâter de plus près:— Ca te plait de voir ta frangine se faire enculer?— Oui, mais ça me plairait encore plus d’être à sa place.— Tu n’as pas peur que ma queue soit trop grosse pour ton petit cul?— Fais la voir, je vais te dire.Je me retire pour exhiber ma trique et elle la prend à pleine main avant de se jeter dessus pour n’en faire qu’une bouchée. Elle la suce quelques secondes puis la libère pour la remettre où elle était:— Elle est belle ta bite, mais j’en prend des plus grosses, tu n’as pas à t’inquiéter pour mon petit trou. Donne me la encore, c’est bon de la sucer.— Tiens, prends la, salope. Elle est parfumée au cul de ta sœur. Tu l’aimes son cul?Elle ne me répond pas, fais signe que oui avec la tête, puis me délaisse pour enfouir son museau dans la raie de Patricia. Je n’y crois, quand la grande m’a parlé d’un plan à trois je n’aurais jamais pensé qu’elles se gouinaient en famille, salopes. Elle lui bouffe le cul tout en me branlant la queue, puis une fois encore elle la remet en place:— Salope, tu aimes son cul petite cochonne, et le cul des hommes, tu aimes?— Jamais essayé, pourquoi? Tu veux que je te bouffes le tien?— Oui, à voir comme vous aimez quand on vous bouffe le votre, je me dis que ça doit être bon. Mais pas de suite, avant j’ai envie d’autre chose; tu embrasses?Elle me répond oui, se relève, et on se roule des pelles tandis que je lui fouille le cul et continue à sodomiser Patou: — Tu es une chaude toi, tu aimes tout. Vous vous bouffez la chatte avec ta sœur?— Oui, quand on est seules il faut bien passer le temps.— Vous êtes des salopes, venez, on va aller à la chambre.Je les fais s’allonger sur le lit, sur le côté, en 69. Elles soulèvent leur jambe de dessus pour bien ouvrir leurs cuisses et offrir leur minou. Elles se lèchent en toute impudeur, et je m’allonge derrière Emma. Je frotte mon gland dans sa raie, à la recherche du passage pour le paradis. Mon gland est comme gobé par son anus vorace, puis tout mon manche, jusqu’aux couilles:— Salope, il est trop bon ton cul. Tu as dû en prendre des bites pour être aussi accueillante. C’est bon de t’enculer, autant que ta sœur. Je vais vous matraquer petites putes, je vais vous casser le cul,.....Je passe de l’une à l’autre pour ne pas faire de jalouse, je les défonce, je les insulte, je leur dit comme c’est trop bon de voir des frangines se gloutonner la moule.Je sodomise la grande et lui dit que l’on n’a pas fait le troisième problème, le lui énonce à l’oreille (je lui donne la dimension de mes grosses couilles bien pleines, la dimension de la flute de champagne, et elle doit trouver combien il va y avoir de liquide après qu’elle m’ait pompé à fonds, agité mon jus dans sa bouche en salivant, et tout recraché dans le verre). Elle me traite de salaud, mais calcule de tête tout en dévorant sa petite frangine; elle trouve six centimètres, pourquoi pas.A force de leur en mettre je me fatigue, j’ai mal aux reins, mais ma queue reste dure comme du béton. Je m’allonge sur le dos et leur dit que j’ai envie de leur chatte. Elle me disent de faire gaffe, de ne pas les mettre enceinte, et je leur jure qu’elles ne risquent rien. Elles sont rassurées et viennent sur moi, une me chevauche la queue et l’autre la gueule. Je sens ma queue disparaitre puis coulisser dans un des plus fabuleux écrins à bite que j’ai connu, tandis que ma bouche et mon nez sont à la merci d’une huître de rêve. Elles me baisent avec toute l’énergie de leur jeunesse, elle jouissent à répétition, elles dégoulinent à flots. J’ai leur mouille partout sur mon sexe, mes boules, mon ventre, mes cuisses, ma gueule, et pour mon plus grand plaisir, ma bouche. J’entends les clapotis de leurs vas et viens, leur bruit de ventouse qui se détache lorsqu’elles se décollent de mon pubis, ou me laissent respirer.Elles changent de place plusieurs fois, et au bout d’une longue chevauchée, elles sont épuisées, me demandent s’il m’arrive de débander. Je leur dis que je ne vais pas tarder à jouir, et elles s’installent pour me sucer. Je me redresse un peu, m’adosse à la tête du lit, pour mieux les voir faire. Elles sont adorables et je n’en reviens de mon incroyable chance. Elles me lèchent pour récupérer leur cyprine et je les vois s’embrasser à pleine bouche. Je suis bouche bée, admiratif, sur un nuage, et je me fous de ma queue dont elles ne s’occupent pas. Leurs lèvres se dessoudent et l’une engloutit mon gland tandis que l’autre me gobe les couilles, me ramenant à la réalité. Elles me sucent à deux et leurs langues se rejoignent sans cesse lorsqu’elles passent des boules au bourgeon, et inversement. Elles me turlutent à merveille, se roule des pelles enflammées, et je sens ma sève qui monte.Je suis dans la bouche de Patricia et l’agrippe par les tifs:— N’oublies pas notre problème ma chérie, je vais gicler et tu gardes tout. Je sens l’intérieur de mes couilles qui bouillonne, et je vais cracher ma lave dans des éruptions explosives. Je la maintiens contre moi et elle prend tout, qu’elle le veuille ou non. Je me suis bien soulagé, la laisse se dégager, et me montrer sa bouche bien garnie. Je lui dis d’agiter mon foutre dans sa bouche, de saliver, et de venir à la salle à manger. Je lui tends une flute et elle recrache tout dedans; plus de cinq centimètres.Je lui demande de tout boire, mais elle refuse disant que c’est écœurant. Sa petite sœur vient à son secours et se propose de vider le verre. J’accepte à une condition, elle ne doit pas tout avaler et en garder pour embrasser sa frangine, lui faire partager ma semence. Elles sont d’accord et on se satisfait de cet arrangement.
Notre séance est terminée et on se félicite pour cette bonne baise, on parle déjà de recommencer. Patricia doit partir se préparer, elle a un repas de prévu le soir, toujours pour ses 20 ans. Elle pense ne pas finir trop tard, 23h, et propose que l’on remette ça le soir même. On est d’accord et elle s’en va tandis qu’Emma souhaite rester avec moi.J’ai la queue qui pendouille lamentablement et lui dit que je ne vais pas pouvoir faire grand chose pour elle. Elle m’entraine à ma chambre, me dit de ne pas m’en faire, qu’elle va s’occuper de moi; j’ai 60 ans, elle 18, et j’ai l’impression d’être un gamin entre ses mains.Je suis allongé sur le dos et elle me caresse partout, me couvre de bisous:— Tu veux que je te bouffes le cul?— Non, je disais ça comme ça, mais tu n’es pas obligée.— S’il te plait, j’en meurs d’envie. C’est bon le cul.— Ok petite salope, puisque tu insistes je serais bien con de refuser. Je me mets comment?Elle me dit de la laisser faire. Elle place un oreiller sous mes reins, s’agenouille entre mes jambes, les relève et me demande de les maintenir en l’air. Je suis en position, offert:— Ouah, cette raie que tu as, elle est pleine de poils!— Excuses moi, je ne pouvais pas prévoir. Si j’avais su.— Oh non, c’est trop bien comme ça. Il est magnifique ton cul, je crois que je vais me régaler.Elle écarte mes fesses et je sens son nez qui me renifle, sa langue qui me balaie; je l’entends gémir. Elle me lèche de bon cœur, s’attarde sur me rondelle, essaie de la transpercer me faisant beaucoup de bien; je gémis moi aussi. Elle se dégage, salive, et crache entre mes fesses. Elle me titille l’œillet avec son doigt:— Tu aimes?— Oui ma puce, c’est bon. Continues.— Tu veux que je mette un doigt.— Tu fais ce que tu veux, si ça ne va pas je te le dirais.Je sens quelque chose me pénétrer, j’ouvre la bouche mais aucun cri ne sort, j’ai le souffle coupé puis je sens un grand bien-être; hum, c’est bon, c’est bon son doigt qui me visite avec délicatesse. Je gémis plus fort et elle le prend pour un encouragement à continuer. Elle me lèche à nouveau puis remet son doigt, me relèche, recommence. Sa langue s’enfouit dans mon anus avec délice, et je sais qu’elle m’a bien ouvert, m’a foutu bien plus qu’un doigt, en douceur pour que j’accepte. Je suis aux anges:— Oh, Emma, qu’est ce que tu me fais petite, c’est bon. Tu as un gode ceinture, toi ou ta sœur?— Non, on aimerait mais on a peur que les parents le découvrent.— Dommage, j’aurais bien aimé que tu me baises.— Tu te fais enculer?— Non, pas encore, mais tu me donnes envie d’essayer. Tu voudrais me prendre si j’en achetais un? Et puis tu pourrais t’en servir avec Patricia, et je le cacherais chez moi.— Oui, si ça peut te faire plaisir; Je lui avais dit à ma sœur que tu étais un vicieux. — Je connais un sex-shop où je vais de temps en temps. La prochaine fois j’en achèterai un.— Pourquoi attendre, on a peut-être le temps d’y aller maintenant.
A suivre...........................
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