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Patricia, la mère de mon meilleur ami

Chapitre 1

Erotique
L’été dernier, alors que je sortais du travail aux alentours de 13 heures et que je rentrais chez moi en auto, j’ai aperçu la mère de mon meilleur ami, Serge. Serge est militaire et était parti en mission. Sa mère, divorcée, vivait d’ordinaire avec lui dans leur grande maison, et quand il s’absente, cette dernière reste seule plusieurs semaines. Vu qu’avec Serge on se connaît depuis le primaire, et qu’on est âgés de 23 ans aujourd’hui, je connais très bien sa mère qui a toujours été très gentille et avenante avec moi. Ce jour-là il faisait très chaud comme depuis le début de l’été du reste. Elle marchait, revenant du marcher, chargée de deux paniers bien remplis, aussi, je me suis arrêté et l’ai invitée à monter. Elle ne refusa pas. Assise à mes côtés, tout sourire, on se mit à discuter. Patricia est une très belle femme ayant la quarantaine bien entamée, brune aux cheveux courts et aux yeux verts, assez petite de taille et avec de jolies formes. Je n’ai jamais compris pourquoi cette belle femme n’a pas refait sa vie après son divorce. Serge m’a dit qu’elle avait été déçue par les hommes, sans entrer dans les détails. Je suppose qu’elle a tout de même dû avoir des aventures depuis le temps. En tout cas, en ce qui me concerne, j’avoue que depuis quelques années, je fantasme sur elle. Vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupe longue rouge, je l’écoutais me raconter ses nouvelles, regardant la route et lorgnant sur ses mollets dès que je le pouvais. Arrivés chez elle, j’ai pris les deux paniers et les ai posé dans la cuisine. J’allais me retirer mais Patricia m’invita à rester un peu. Elle m’offrit un jus de fruit. Attablé, on discutait de Serge, du travail, de tout et de rien, de ma fiancée et des préparatifs de mon mariage un mois plus tard. En même temps, je la regardais qui me tournait le dos, pieds nus sur le carrelage froid de la cuisine, lavant ses légumes dans l’évier. J’avoue que j’avais envie d’elle et je me suis levé pour passer à l’action. Je voulais tenter ma chance, au moins une fois avant de passer la bague au doigt. Je me suis approché d’elle et ai posé mes mains sur ses hanches. Elle cessa son activité et brisa le silence de sa voix douce :"- Qu’est-ce-que tu fais Bastien ? Retire tes mains s’il-te-plaît."Je ne l’écoutai pas et les descendis sur ses fesses. Elle se retourna promptement, me regardant dans les yeux."- Sors d’ici Bastien !"Dit-elle d’un air faussement autoritaire. Je ne bougeai pas et commençai à l’embrasser. Patricia se laissait faire puis retira ses lèvres :"- Non, on peut pas faire ça !— J’ai envie de vous Patricia. Vous me plaisez.— Pense à Serge ! Pense à ta fiancée !— Laissez-moi vous aimez rien qu’une fois."Je recommençais à l’embrasser et elle se laissa faire. Je sentis ses mains déboutonner mon short. Cette fois c’était gagné. On s’embrassait à pleine bouche, passionnément. Elle me poussa, me faisant reculer jusqu’à ce que je sois stoppé par la table de cuisine où je pris appui. Patricia s’accroupit et sortit ma queue durcie d’excitation qu’elle se mit à sucer et branler. Je la laissais faire, regardant sa chevelure brune bouger d’avant en arrière dans le plus grand silence qui soit. De temps en temps elle levait ses beaux yeux vers moi, tout me léchant les bourses, puis revenait à son ouvrage. Au bout d’un instant je la fis se relever. On recommença à s’embrasser en se pelotant mutuellement puis, me prenant par la main, elle dit :"- Viens, on va dans la chambre."On se déshabilla tout en se regardant. Nue devant moi, j’étais comme fou et pris place près d’elle sur le lit. Je la couvris de baisers et de caresses. Allongée, elle se laissait faire, s’abandonnant tout à moi et ferma les yeux. Ma bouche se posa sur ses seins. Je me mis à la téter longuement tandis que ma main découvrait son entre-jambe. Patricia était rasée. Le contours de sa fente était lisse et doux. Mes lèvres prirent le chemin de son bouton, dévalant doucement sa poitrine, son ventre, jusqu’au fruit défendu. Je me mis à la déguster comme on déguste une friandise, savourant mon plaisir et celui que je lui procurais. Elle gémissait. Je sentais sa main caressait ma tête et appuyait dessus par moment pour me signifier de continuer ainsi. Ma langue fouillait maintenant sa fente trempée. Je léchais sa cyprine, le visage enfoncé entre ses cuisses que je maintenais de mes mains. Je voulais la faire jouir ainsi et j’allais parvenir à mes fins. La belle se crispa de tout son long et ses gémissements s’intensifièrent pour devenir un long cri de délivrance. L’un de ses pied me caressait l’épaule alors que j’embrassais son clitoris en remontant vers son visage. Couché sur elle on se roula une pelle. Son visage souriant, ne me quittait pas des yeux tandis que sa main dirigeait mon sexe vers le sien. Entré en elle, je commençais à bouger, lui parcourant le corps de mes mains. Le téléphone se mit à sonner, mais nous sommes restés imperturbables, profitant de ce moment intime. Elle referma ses jambes sur moi, enlaçant mon bassin, ainsi "encastrés" l’un dans l’autre" nous ne faisions qu’un. Puis elle prit place sur moi, me chevauchant comme une belle écuyère. Je la laissais bouger à son rythme, ondulant son bassin, moi, je me contentais de la tenir par les hanches, la regardant me dominer. Enfin, on termina par la levrette. Cette fois ce fut plus bestiale, je ne retenais pas mes coups, excité par cette croupe et les cris encourageants de ma maîtresse :"- C’est bon ! Vas-y mon chéri ! Je te sens bien ! Han ! Han !"Les craquements du lit accompagnaient en cadence le mouvement que j’imposais. Cette fois, je dominais Patricia pour son plus grand plaisir. Sentant la jouissance toute proche je le dis à ma partenaire qui se libéra de mon emprise et se tourna, m’offrant sa poitrine :"- Jouis sur moi !"J’éjaculais sur ses seins en lâchant un cri à peine étouffé de satisfaction. Un premier jet s’écrasa sur ses deux montagnes rondes, un second moins puissant atterrit sur son ventre. Patricia, souillée, passa ses doigts sur cette crème blanchâtre et tiède et les porta à sa bouche. Elle les lécha du bout de la langue, ne me quittant pas des yeux. Je continuais à me branler machinalement achevant de tout lâcher jusqu’à la dernière goutte. Elle étala le foutre sur son corps jusque sur sa fente, puis se releva. Elle prit un peignoir, l’enfila, m’embrassa et dit :"- Merci Bastien. C’était très bon."Puis elle fila dans la salle de bain. J’avais eu ce que je voulais. Tout émoustillé je rentrai retrouver ma fiancée. Je revis Patricia 2 semaines plus tard en rendant visite à Serge, rentré de mission. Il était mon témoin et on parla du mariage. Patricia, fidèle à elle-même m’accueillit comme d’habitude. Mais on a pas eu l’occasion de parler de notre aventure amoureuse. Puis je me suis marié. Patricia était présente avec Serge. Lors du bal après le repas, je l’ai invitée à danser. Dans le brouhaha ambiant, elle glissa à mon oreille :"- Si un jour t’as envie qu’on se voit tous les deux, n’hésite pas.— J’en prends note. J’en ai très envie aussi."
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