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Patron chanceux pour une vierge

Chapitre unique

Hétéro
Depuis mes dix-huit ans, je travaille dans une entreprise à quelques kilomètres de la maison familiale. Jusqu’à présent mes parents m’ont toujours beaucoup surveillée. Je n’ai jamais pu sortir avec un garçon, aller seule dans un endroit. Cela me pèse, alors que je vois mes amies avoir des relations plus libres. Mes parents sont des immigrés de deuxième génération. Ils ont à cœur de respecter les traditions de leur pays d’origine. Pour eux, une fille digne et honorable doit arriver vierge au mariage arrangé par ses parents. J’ai donc envie de faire tout le contraire.
Quand j’ai débuté mon emploi, j’ai tout de suite remarqué mon patron. Il a environ 55 ans. Il n’est pas le plus bel homme, mais ses yeux sont ardents. Il n’arrête pas de me regarder. Il me suit. Alors quand il me convoque dans son bureau pour un rien, je joue les innocentes. Je fais mine de ne pas sentir ses attouchements discrets sur mes fesses ou ma poitrine. Alors cela n’a pas été une surprise quand il a sorti son intimité de son pantalon. C’est le premier membre masculin que je vois. Vincent me demande de le goûter, de le lécher et de le prendre en bouche. J’ai fait ce qu’il me demandait. Depuis cet instant, je suis régulièrement convoquée dans son bureau.
Evidemment, mes parents ne connaissent pas ce changement dans ma vie.
oOo
Je suis au travail, mais je ne suis pas bien. Je suis bouleversée et inquiète. Dès que Vincent est présent dans l’entreprise, je me précipite dans son bureau. Je n’y suis jamais venue de ma propre initiative. Ne suis jamais entrée sans sa permission avant ce jour. Il est donc surpris de me voir.
— Ma douce, que se passe-t-il ? Est-ce mon jour de chance ? me demande-t-il.”
Il n’attend que mon signal pour mettre son sexe en moi et me prendre sur son bureau.
— Monsieur Vincent, j’ai besoin de votre aide. S’il vous plaît, je n’ai plus nulle part où aller. Vous seul pouvez m’aider, lui dis-je émotivement.”
Les larmes me montent aux yeux. Sans que je m’en rende compte, elles dévalent mes joues. Victor s’est levé. Il me prend le visage en coupe. De ses lèvres, il essuie les traces humides. Il est d’une grande douceur. Il m’amène à lui dire que j’ai besoin d’une grosse somme d’argent. Ma famille a besoin de cet argent.
Il m’entoure de ses bras. Mon visage se retrouve contre sa poitrine. Mon nez est chatouillé par sa toison épaisse qui s’échappe de l’encolure ouverte de sa chemise. Cela me fait sourire. Je me sens bien dans ses bras. Je me rends compte qu’il va m’aider et qu’il y aura une contrepartie. Il m’embrasse le front.
— C’est une grosse somme. Je peux m’arranger. Pour toi, je peux trouver cette somme, il y aura une condition. Jusqu’où es-tu prête à aller pour cet argent ? m’interroge-t-il.
J’accepte n’importe quelle condition venant de toi, lui assuré-je avant d’embrasser ses lèvres.”
Une main glisse sur mon dos pour empoigner mon derrière. Je sens son sexe durcir contre moi. Je me mets sur la pointe de mes pieds pour me presser contre cette bosse dans son pantalon. Nous nous embrassons avec passion. Vincent n’est pas mon genre alors j’imagine un homme beaucoup plus jeune à sa place.

Vincent ouvre son pantalon. Il sort son membre. Il n’est pas circoncis. Il me la met en main. Sa bite est plus dure que la pierre. Des veines sont déjà saillantes. Je laisse mes doigts parcourir sa longueur. Il n’est pas grand. Je peux presque joindre mon pouce et mon index. Quand mes ongles touchent sa peau, il grogne et son membre se redresse dans un soubresaut. Je n’ai pas le temps de faire plus de quelques mouvements de haut en bas.
Il me soulève par les fesses pour me poser sur une chaise. Je ne fais que le regarder pendant qu’il laisse tomber son pantalon à terre. Son membre est toujours bien raide. Je pose un baiser à son sommet. Je lève les yeux pour le regarder pendant que j’ouvre mes lèvres pour le faire entrer dans ma cavité humide. Ma langue tourne autour du gland. Cela semble lui plaire mais être trop doux. Ses hanches donnent une poussée qui l’enfonce profondément. Il me maintient la tête pendant ses mouvements. Il me baise littéralement la bouche. Je le tiens par les fesses et accompagne chaque mouvement.
— Veux-tu devenir ma pute ? me demande-t-il.”
Je laisse sortir son membre. Il vient frapper ma joue, pendant que j’assimile sa demande. Très clairement, c’est ce qu’il attend de moi pour l’argent qu’il va me donner.
— S’il te plaît Vincent, fais de moi ta pute parfaite, lui répondis-je.”
Il m’a parfaitement entendu, car il me prend le visage, appuie sur mes joues pour m’ouvrir la bouche avant d’y remettre son intimité. Ma phrase doit vraiment lui avoir fait un grand effet... Il décharge une grande giclée que je tente d’avaler comme il me l’ordonne. Avec ma langue, j’attrape le sperme qui est au coin de mes lèvres. C’est visqueux et salé, pas particulièrement bon mais pas mauvais non plus. Je le nettoie avant de le regarder, attendant la suite.
A ma surprise, il remonte son pantalon et le remet en place. Il s’installe derrière son bureau et me fait signe de venir sur ses genoux. Son sexe est encore en semi-érection. Il appuie sur mon entrejambe. J’ai envie de me déhancher pour frotter nos intimités à travers le tissu.
— Parlons affaires, dit-il.”
C’est inattendu. Est-ce qu’il n’est pas satisfait de moi ? Je le suce de plus en plus depuis mon arrivée dans l’entreprise. Je m’améliore à chaque fois.
— Tu as accepté de devenir ma pute, comme contrepartie de l’argent dont tu as besoin, m’explique-t-il. Je veux aller jusqu’au bout.
Au bout ? Souhaites-tu me baiser ? demandé-je pour confirmation.Je veux mettre ma bite dans ta chatte, me confirme-t-il.Es-tu sérieux ? lâché-je surprise. Tu as l’âge d’être mon père. En plus, je suis vierge. Ne devrais-je pas perdre ma virginité avec un garçon de mon âge qui m’aime ?Tu as accepté ma condition, maintenant tu as trois jours pour décider si tu es prête. Appelle-moi quand tu sauras, me fait-il en m’embrassant avant de me ramener à la porte de son bureau.”
oOo
J’ai 21 ans. Je suis toujours vierge. Mes parents me laissent aller seule au travail. Maintenant, je vais utiliser cette liberté.
Vincent a 55 ans, presque le même âge que mon père.
J’ai vraiment besoin d’argent et très rapidement. Vincent est un homme que je connais, alors... je lui envoie un SMS. Je n’ai pas à attendre pour recevoir mes instructions. Je dois porter une tenue spécifique pour cette rencontre et me rendre à une adresse.
A la maison, je prends une douche rapide car je dois être prête dans une heure. Je suis pleine d’interrogations. J’ai déjà eu trois petits-amis à l’insu de mes parents. Ils m’ont embrassé et j’ai sucé leur bâton. Mais aucun d’eux n’a pu s’approcher de ma chatte. Aujourd’hui, je vais laisser un vieil homme me prendre ce cadeau que j’ai conservé avec passion.
Si nous nous étions trouvés en pays musulman, j’aurais porté une burqa pour protéger mon identité. Là, je porte une robe longue tenue à mes hanches par une ceinture. C’est très couvrant et traditionnel. J’informe mes parents que je vais travailler mais ne sais pas quand je rentrerai. Personne ne semble s’apercevoir que je suis nue sous ce fin tissu. Une fois hors de la maison, je mets un foulard autour de mes cheveux et un masque chirurgical sur mon visage. Ainsi personne dans cette petite ville ne me reconnaîtra, enfin j’espère. Je suis excité et j’ai peur.
Arrivée à l’adresse, je frappe à la porte. Vincent ouvre rapidement. Il m’attendait. Il me prend les mains, me faisant entrer, et verrouille la porte derrière moi.
— Tu es magnifique dans cette tenue, me complimente-t-il.”
J’enlève mon masque. Je libère mes cheveux. Son compliment me fait plaisir. Je lui souris, il me sourit. Il me prend par la taille pour m’embrasser. Ce baiser est passionné, presque violent.
— Les relations sexuelles sont la meilleure chose, tu vas voir. Ne t’inquiète pas ! tente-t-il de me rassurer.”
Ses mains se déplacent sur mon dos. Je suis collée à sa poitrine. Je sens son excitation qui se presse contre mon pubis. Mes fesses sont prises à pleine main. Il les caresse. La fessée me surprend. Elle me fait mal, tout en m’excitant. Mon cri est avalé par sa bouche. Nos langues se mêlent dans et hors de nos cavités buccales.
Il me retourne pour avoir un meilleur accès à ma poitrine. Se faisant, je me retrouve avec sa bosse entre mes jambes. Je repose dessus. Ma poitrine opulente semble parfaite dans ses mains. Il tord mes tétons, me faisant gémir et me tortiller.
Il défait la ceinture qui cintre ma robe et me la retire. Je suis totalement exposée à son regard, que je sens brûlant. Toujours de dos, il vient me lécher le cou. Il continue de tenir mes globes. Un moment, il passe gentiment les doigts sur mes tétons, fait le tour de mes mamelons. L’autre, il les malaxe et tire dessus.
J’ai les jambes qui tremblent. Je ne sais où donner de la tête entre les deux sensations contradictoires que je ressens. Une chaleur semble prendre place dans mon bas-ventre. Je mouille et je gémis.
— Redis-moi ta part de notre accord ! m’ordonne-t-il doucement.
Je serais ta pute, Vincent ! répété-je.”
A ces mots, il se déshabille. Son membre se détache clairement dans une toison brun foncé. Sa peau est d’une couleur cuivrée. Ses origines indiennes sont bien visibles. Ses yeux me paraissent noirs, tellement ils sont pleins de désir. Il m’appuie sur une épaule et je me laisse tomber à genoux, les yeux toujours fixés sur son visage.
Une main vient sous mon menton pour lever un peu plus mon visage vers lui. Je n’ose penser à l’image que je donne dans cette position. Son sexe vient se poser sur ma joue. Je me penche dessus, comme je le ferais avec une main me touchant de la même façon. Mes lèvres parcourent timidement sa petite longueur. Il serait possible de croire qu’il s’agit de ma première fellation. Du bout de la langue, je le goûte. Je passe sur son gland après l’avoir décalotté. J’appuie légèrement sur sa fente. Il y a un goût salé. Je le prends en bouche. Ma langue tourne autour de ce mat. Je pompe, l’aspirant le plus possible. Je ferme les yeux pour me concentrer sur mes mouvements et les vibrations de ce membre.
Je reviens à la réalité quand sa main caresse ma joue. J’ouvre les yeux quand je le sens me prendre sous les bras pour me lever. Je suis obligée de laisser le jouet s’échapper de ma bouche. Il me porte jusqu’au lit où il me dépose délicatement avant de me faire m’allonger. Son regard se porte sur mes jambes. Il les caresse, semblant apprécier l’absence de poils et leur pâleur. Elles sont laiteuses. Il prend en bouche mes orteils. Cela me chatouille, me sortant quelques instants de l’ambiance de luxure et de supe de la pièce. Bien vite, il remonte le long de ma jambe tantôt en déposant des baisers, tantôt en laissant courir sa langue. A certains endroits, il m’envoie des décharges électriques qui me font me cambrer et doucement gémir.
Mes jambes s’écartent lors de sa progression, lui donnant un meilleur accès à toutes les parties qu’il désire. Il embrasse mon pubis, dont j’ai rasé les poils. Un doigt se permet d’aller tâter mon intimité pour découvrir l’humidité que je dégage.
Son doigt est remplacé par quelque chose de chaud et humide. Il me mange le pubis. Il lape le liquide qui sort de mon corps. Sa langue passe sur le petit bout de chair dans mon intimité. Cela me rend folle, mais pas autant que lorsqu’il écarte mes lèvres pour s’insérer dans mon conduit. Sa langue tourne en moi. Il la pousse aussi profondément que possible. Le contraste entre cette chaleur et les poils de sa barbe naissante qui m’aiguillonne la peau, me fait appuyer sur sa tête pour obtenir plus de sensations. J’ai l’impression de ne plus contrôler les muscles de mon bas-ventre. Ils se contractent. L’humidité se fait plus présente. Je m’affale sur le matelas. Était-ce un orgasme ?
Tremblante, je me redresse pour embrasser Vincent. Sa respiration est rapide. Il est déjà luisant de sueur. Il me tire sur le bord du lit et écarte mes jambes, largement. Son membre est gros comme lorsqu’il est prêt à m’exploser au visage. Il le frotte contre mes lèvres intimes. Elles s’écartent. C’est une sensation totalement nouvelle pour moi. Il ne se frotte pas longtemps, avant de trouver mon trou. Il y présente son gland. Lors de sa première poussée, je ne crie pas de douleur, plus de surprise. J’aime me sentir m’écarter sur son passage.
Vincent m’embrasse alors qu’il donne une grande poussée, pour entrer entièrement à l’intérieur de mon corps de vierge. Bien qu’humide et assez glissante pour lui permettre d’avancer facilement, c’est la rupture de la membrane de mon hymen qui est douloureuse. Je crie. Je mords même Vincent. Le sexe d’un homme de 55 ans est en moi et m’a pris ma virginité.
Vincent reste immobile un certain temps. Juste ce qu’il me faut pour que la douleur diminue. En attendant, il m’embrasse parcourant toute la surface de sa langue. Ses mains massent ma poitrine. Cela me distrait.
Sentant mon corps se relâcher, Vincent commence ses mouvements. Son membre est rougi par mon sang. Je l’entends murmurer sur mon étroitesse. Je le sens sur toute sa longueur. La douleur laisse place à du plaisir. Je pourrais aimer avoir un membre masculin en moi.
Mon patron augmente sa vitesse. Il me bouge pour s’enfoncer de plus en plus profondément. Ses gémissements sont bruyants. Plus il est brillant, plus il se démène, plus il y va fort et plus j’aime ça. Je laisse mes hanches accompagner ses mouvements. J’apprécie de plus en plus de me faire baiser. Du liquide s’écoule de moi, je ne regarde pas, ne voulant pas savoir si c’est mon excitation ou du sang ou un mélange des deux.
Il soulève mes fesses pour me prendre toujours plus loin. Dans cette position, il peut sucer ma poitrine. Je réponds à chacun de ses coups en bougeant mes hanches.
Je me perds dans toutes ses nouvelles sensations. J’agrippe ses cheveux quand mon corps se met à trembler. Lorsque les tremblements s’arrêtent je suis fatiguée. Vincent tient pourtant la cadence. Même si ce qui vient de se passer, le pousse à me retourner. Il sort, je me sens tout d’un coup vide.
Je suis sa chose. Il lève mon postérieur pour se repositionner et me pilonner encore plus vigoureusement. Je suis en levrette. Je grogne autant que lui à chaque pénétration. Il est comme un animal sauvage. Il me bourre sans aucune douceur.
Il me mord l’oreille et tire sur mes mamelons. Je hurle et me contracte. Nous atteignons le sommet du plaisir. Nous sommes hors de contrôle. Aucun de nous n’a pensé au préservatif. Quelques poussées bien amples et Vincent me recouvre l’intérieur de son sperme.
Je reste allongée sur le lit, la respiration rapide et hachée. Vincent se retire et se pose à côté de moi. Des contractions agitent mon intimité. Cela expulse les liquides présents dans mon intérieur. Je sais qu’il attend de moi qu’il le nettoie. Alors je me redresse pour l’embrasser. Je parcours son corps, jusqu’à arriver à son membre. Il est couvert de nos sécrétions et de mon sang de vierge. Je le lèche. Il est totalement vidé et devient de plus en plus flasque.
Nous nous couchons, sous les couvertures, complètement épuisés. Vincent recommence à jouer avec mes seins. Ils sont extrêmement sensibles face à ces caresses.
— Merci ma belle. Merci d’avoir réalisé mon rêve de mettre ma bite en toi. Tu m’as donné plus que je n’espérais avec ta virginité, me remercie Vincent.”
Alors je lui confesse que j’ai aimé perdre ma virginité avec lui et que je suis prête à retenter l’expérience avec de nouvelles conditions.
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