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Paul

Chapitre 1

Hétéro
I – INTRODUCTION
Claude est docteur urologue. Elle avait 17 ans quand elle tomba enceinte. Issue d’une famille de paysans fortunés et ultra-conservateurs du nord de la Beauce, son éducation l’avait tenue éloignée du sexe et des garçons. Il faisait chaud dans ce début d’été 1976, quand elle partit en vacances avec deux copines plus âgées et plus délurée qu’elle. Claude se laissa guider et entraîner dans une chasse au beau mec. Arrivée prude et vierge, elle découvrit la vie, les garçons et le sexe durant quinze jours de frénésie incontrôlée. Comme elle ne prenait pas la pilule et que ses multiples partenaires ne se protégèrent pas, elle se retrouva avec un polichinelle dans le tiroir. Par crainte de son père, elle avait d’abord caché son état et la réaction de ses parents n’en fut que plus violente. Quand ils le découvrirent, ils rentrèrent dans une rage terrible. Elle fut frappée par son père et chassée, sans autre forme de procès, de la ferme familiale.
Claude se retrouva à la rue. Elle se rendit à Paris pour faire son inscription universitaire et entreprit de trouver un petit boulot à côté pour se payer un logement et de quoi vivre. Comme elle se destinait à une carrière médicale, elle commença à démarcher les médecins pour un poste de secrétaire médicale à temps partiel. C’est comme ça qu’elle fit la connaissance de Philippe Durant de Saint-Jacques, un fortuné professeur en gynécologie-obstétrique dont le cabinet très sélect était situé rue Guynemer, face aux jardins du Luxembourg et qui fut le seul à lui prêter attention.
Philippe était un homme distingué, attentif et généreux. Il lui offrit de travailler à son service quelques heures par semaine aux heures où sa secrétaire personnelle n’était plus là et pour l’encourager à rester inscrite en faculté de médecine, il alla jusqu’à inclure les heures de cours dans le contrat. Il s’occupa également du suivit de sa grossesse et devint finalement l’amant de Claude et le parrain de Paul qu’il mit au monde. Philippe avait vingt ans de plus que Claude, il était marié à une femme issue du même milieu que lui qu’il n’avait pas vraiment choisie et qu’il n’aimait plus depuis longtemps, si tant est qu’il l’ait aimée. Il y avait longtemps qu’il ne faisaient plus l’amour ensemble, que sa femme le trompait avec le jardinier, le major d’homme et nombre de leurs amis et que lui même en faisait autant. La seule chose qu’ils ne pouvaient envisager était le divorce. « Dans notre monde, nous ne divorçons pas ! » disaient-ils l’un comme l’autre à qui osait leur poser la question, et ça, c’était, pour Claude, la meilleur des choses. Elle voulait bien d’un amant, le satisfaire sexuellement autant qu’il le désirait et comme il le désirait, mais elle ne voulait pas d’un mari. A 18 ans à peine, il n’en était pas question !
A la naissance de Paul, Claude prit un petit appartement pas trop cher qui lui imposa une grande promiscuité avec son fils. Il n’y avait qu’une chambre qui ne permettait pas de mettre plus d’un lit, une petite salle d’eau équipée d’une douche et d’un wc, une petite cuisine et un salon où elle avait son bureau pour travailler, sa bibliothèque, une petite télé et un vieux canapé récupéré sur un trottoir. C’était petit mais c’était chez eux et elle n’y recevait personne. Seule Virginie, la fille de Philippe, y venait quelques fois pour garder Paul. C’était un arrangement qu’elle avait passé avec son père et qui était sensé justifier son train de vie de petite bourgeoise parisienne. Virginie était de deux ans la cadette de Claude et les deux filles devinrent très vite les meilleures amies du monde et amantes à l’occasion. Philippe, quand à lui, n’y venait que très rarement, à l’occasion des anniversaires de son filleul ou pour prendre Claude avant une soirée.
De fait, Paul avait grandi uniquement dans le giron de sa mère et de Virginie, il était « l’homme de la maison », sa mère n’avait jamais eu de secret pour lui, il n’en avait pas pour elle. Jusqu’à son adolescence, la tenue d’intérieure était celle d’Eve pour Claude et d’Adam pour Paul. Ils passaient leur temps collés l’un à l’autre, se câlinaient pendant des heures, elle était son doudou et inversement. C’était leur équilibre, leur temps de repos après le travail, car Paul, comme sa mère, était un garçon travailleur et très avancé. Virginie lui ayant appris à lire, écrire et compter avant son entrée au cours préparatoire, il avait rapidement sauté deux années scolaires. Isolé, du fait de son âge, Paul avait un grand besoin affectif que satisfaisait cette promiscuité avec sa mère.Tant qu’il était petit, ses érections d’enfant amusaient Claude qui ne disait rien, mais quand il se mit à grandir, ce fut différent. Elle se rendit rapidement compte que son fils la regardait parfois autrement et que ses sentiments à son égard n’étaient plus tout à fait aussi « purs ». Elle même se sentait troublée quand elle le voyait devenir homme et en ressentait souvent une excitation coupable.
Comme elle était installée et avait acquis une certaine renommée, elle avait d’avantage de moyens. Elle acheta un logement à deux pas du cabinet médical qu’elle partageait maintenant avec Philippe. C’était un vaste appartement situé sur l’île de la cité, face à la seine, dans lequel chacun avait sa chambre, où elle avait son bureau, il y avait également deux salles d’eau et des wc indépendants. Ainsi, elle espéra mettre un peu de distance entre elle et son fils, elle mit fin aux douches en commun, instaura le port du slip ou de la culotte obligatoire et ne parue plus nue devant lui. Elle fit également part à Philippe des difficultés qu’elle avait avec Paul dans l’espoir qu’il réussisse à détourné le garçon de ses fantasmes incestueux. Cela ne fonctionna pas comme elle l’avait espérée ; Philippe trouva cette situation très excitante. Il encouragea le garçon dans ses délires et comme celui-ci souffrait de brimades à l’école, il tenta sur lui un traitement contre le syndrome de micro-pénis, sur lequel Claude et son équipe travaillaient. Le médicament en était encore aux essais cliniques et encore non-agrémenté. Cela eut pour effet de surdévelopper le pénis de Paul et d’accroitre considérablement ses besoins sexuels. Pour aider son filleul à faire face à cette situation nouvelle, il incita le garçon à subtiliser les culottes sales de sa mère pour se masturber dedans et lui donna également des photos d’elle nue et dans des mises en scènes érotiques. Quand Claude s’aperçût que son fils lui volait ses culottes, elle troua ça excitant et l’avoua honteusement à Philippe qui confessa sa faute. Leur couple connut une crise passagère mais Claude pardonna à son amant son manque de conscience professionnelle. Elle reconnut avoir sali volontairement des culottes pour Paul qui était rentré en hypokhâgne à Henri IV et qui ne quittait plus sa chambre et son bureau et Philippe lui conseilla de continuer. Du coup, elle le fit avec beaucoup de sérieux en ne retirant jamais ses dessous sans s’être masturbée dedans ou y avoir lâché quelques gouttes d’urine. Ensuite, elle allait la poser sur le bureau de son fils où sur son lit en lui demandant de la mettre au sale quand il aurait fini avec. C’est dans ce climat d’attirance mutuelle retenue que Paul se prépara pour le concours des écoles normales. A l’aube de ses 18 ans, il intégrait brillamment l’école de la rue d’Ulm.

II – DÉCOUVERTE DE L’AMOUR
En septembre Paul rentra en hypokhâgne à Henri IV. Pendant ses deux années de prépa, il travailla plus qu’il ne l’avait encore jamais fait et trouva le moyen, par ailleurs de suivre des cours de droit en parallèle. Il s’imposa un rythme démentiel que seul le jeu des culottes lui permit de tenir. Claude les « préparait » avec soin avant de les déposer, non pas dans le bac à linge sale mais directement sur le bureau de Paul ou sur son oreiller. À 17 ans, il intégrait l’école normale supérieure de la rue d’Ulm et validait sa deuxième année de droit. Il signa son contrat de normalien et pour la première fois de sa vie, il allait avoir de l’argent à lui, le gagner, recevoir un salaire. Il en conçut une certaine fierté. Pour la première fois dans sa vie, également, il se retrouva avec d’autres jeunes gens « comme lui », des premiers de la classe. Il n’était plus forcément le meilleur partout et n’était pas non plus le plus jeune. Il se sentait enfin normal et se fit tout de suite quelques amis. Il y avait d’abord Stéphane, un grand garçon assez maigre qui avait deux ans de plus que lui et Véronique, une petite brune sympa et un peu rondouillarde et très dynamique. Elle avait, à un mois près, le même âge que lui. Ils ont flirté ensemble lors de leur première soirée à l’école. Il l’avait accompagnée dans sa chambre d’étudiante, mais quand elle découvrit le « monstre » qu’il avait entre les jambes, elle poussa un cri. Véronique était encore vierge et elle ne voyait pas cet engin la pénétrer. Le fait que Paul soit puceau également n’était pas fait pour la rassurer. Durant ses autres flirts, elle s’était contentée de caresses et de rapports buccaux, elle allait donc en rester là une fois encore. Elle constata assez vite que Paul n’avait jamais touché une fille. Ses gestes étaient maladroits. Même si sa langue lui fit de l’effet, elle ne pu cacher sa déception. Leur aventure n’alla pas plus loin, mais ils restèrent bons amis. Paul en acquit, cependant, une certaine renommée qui alimentait quelques conversations féminines. Il le découvrit, par hasard, un ou deux mois plus tard, alors qu’il faisait la queue au resto U. Il y avait deux pimbêches de sa promo devant lui. Un genre de filles auxquelles il ne prêtait généralement pas beaucoup d’attention car, selon Paul, elles rentraient, avec leurs homologues masculins, dans le vaste groupe des crétins vulgaires. C’était un reste de ses années d’isolement et de souffrance au collège et au lycée. Durant cette longue période, il avait défini tout un tas de groupes, avec des critères précis, pour classer les gens qu’il rencontrait ou côtoyait. Ce classement, purement subjectif, reposait uniquement sur des a priori injustifiables. Il le savait, mais ne voyait pas la nécessité de le remettre en cause. C’était l’expression de sa prétention et de sentiment exacerbé de supériorité. Les deux jeunes filles, devant lui, discutaient et passaient en revue les mecs de la promo.
− … Y’a les sportifs aussi, Grégoire, Karim, Manu et Julien. Ils sont pas mal ceux-là, non ?− Sur le plan physique, Julien et Karim, ça passe encore mais les deux autres, je te les laisse... et pour le reste, non merci ! D’abord, ce ne sont pas des sportifs, ce sont des fans de foot : PSG par là, OM par ci, et chez eux l’Ajax ça ne sert pas à nettoyer. Ce sont des sportifs de la bibine et du petit écran... ça n’a rien de bandant pour moi.− On s’en fout du moment qu’ils font du sport avec nous...− On voit bien que tu n’as pas l’expérience de ce genre de mec, ma chérie. Y’a rien de plus chiant. J’ai été avec un gars comme ça pendant six mois et bien plus jamais ! Non franchement y a d’autres mecs intéressants dans cette promo.− Oui, enfin... il n’y en a pas des tonnes non plus, trois ou quatre à tout casser. Il reste, de potable, Aurélien que je trouve trop mignon, Laurent, avec ses putains d’yeux bleus on croirait Thierry Lhermite, Maxime qu’est marrant, Osman, dans le genre grand black baraqué, je goûterais bien et puis c’est tout. Si, on pourrait peut-être rajouter Brice et l’autre Manu mais, pour moi ça s’arrête là...
− À mon avis t’en oublie un.− À bon qui ça ?− T’oublies Paul, le copain de Jérôme, Véronique et Stéphane. Il est beau comme un ange tu ne trouves pas ?− C’est vrai qu’il est mignon avec ses cheveux frisés, mais bon, j’ai entendu dire que c’était pas le bon plan. En plus il est encore puceau à ce que j’en sait− Dis donc ma chère t’es pire que les espions du KGB ma parole ! Qui peut bien te dire des trucs comme ça ?− J’ai mes sources, top secret !− Bon en tout cas moi je le rajoute à ma liste car je le trouve canon. (Paul derrière souriait et espérait que sa présence ne se remarque pas). Car j’en ai rien à faire qu’il soit puceau, au contraire, ça peut-être amusant...− Ben moi, les puceaux, j’ai pas envie. J’aime bien qu’un mec ait de l’expérience.− Pourquoi ? T’as jamais été vierge toi ? Il y a bien un couillon qui s’est dévoué pour te déflorer j’imagine. C’est pas venu tout seul... Alors moi, je t’avouerai que ce petit puceau là, tout mignon, tout beau, avec sa démarche de félin et bien je m’en ferai bien mon quatre heures.− Moi je le trouve trop prétentieux. (Paul encaissa la critique qu’il savait justifiée). Mais si tu veux y aller, ta ma bénédiction. Par contre je te souhaite bien du courage car si ce qu’on m’a dit est vrai...− Qu’est-ce qu’on t’a encore raconté ?− Il paraît que Paul à une bite monstrueusement grosse... Un truc à faire peur d’après mes sources... (Pour Paul, la surprise était totale. « Comment peut-elle savoir ça ? » pensa-t-il).− Arrête, tu vas me donner envie d’aller voir... Qui t’as dit ça ?− C’est Bérengère, elle le tient de Magalie ou d’Aurélie qui aurait surpris une conversation sur le sujet entre Justine et Véronique. Comme quoi...− Comme quoi, si toutes tes sources sont comme ça, il va falloir que j’apprenne à me méfier de ce que tu racontes... (« Voilà une remarque sensée. Cette fille n’a pas l’air si nul finalement... », se dit Paul). Et elle aurait quelle dimension cette bite monstrueuse ? Parce que j’imagine que t’as des détails croustillants pour aller avec...− D’après Bérengère, ça fait peur... elle serait longue de plus de 30 cm et large de 6 ou 8. Une vraie bite de cheval !!− Mais n’importe quoi ! T’as déjà vu ça quelque part ? Même s’il en a une grosse, je suis prête à parier que cette information est complètement bidon. Ce que je pense, c’est que Bérengère devrait arrêter de fantasmer et de dire des conneries et toi du devrais arrêter de croire tout ce qu’elle dit à la virgule près... (Paul ne tenait plus, il décida d’intervenir dans cette conversation).− Ton amie à raison Marjorie, tu devrais vérifier tes sources ou faire du recoupement d’information. Tu éviterais de dire des horreurs sur mon dos... Salut Chloé, content de voir que tu prends ce genre de ragots avec un peu plus de retenue.− Oups, Paul ! T’étais là ? On ne t’avait pas vu, désolée... (Marjorie reste sans voix, rouge de honte à l’idée que Paul ait pu entendre tous ses potins)− Vous savez, à cette heure là, à par la queue au resto U, il n’y a pas grand chose d’autre à faire... On mange ensemble, ça vous dit ? Comme ça je rétablirai quelques vérités... parce que franchement, au rythme où grandit mon organe dans les potins, je pourrai bientôt m’en faire une écharpe !− Ahahaha ! Ouai, c’est cool, viens avec nous... ça ne t’ennuie pas Marjo ?− Non, non, c’est bien... (Marjorie ne savait plus où se mettre, elle n’avait pas trop envie de s’asseoir à la même table que Paul mais d’un autre côté, il fallait qu’elle se rattrape...)
Les trois jeunes gens se trouvèrent une table un peu tranquille, la plus éloignée possible des oreilles indiscrètes. Paul ne souhaitait pas rengager la conversation sur le sujet glissant de sa bite qui, il venait de le découvrir alimentait plus d’une conversation. Mais c’est Chloé qui s’en chargea.
− Alors, Paul, est-ce qu’il y a des choses vraies dans ce que Marjorie à dit sur toi ?− Très honnêtement, oui, certaines choses sont vraies, mais les dimensions de ma verge sont fausses, fort heureusement pour moi...− Mais moi, on ma dit que Véro avait eu peur en la voyant !− Je ne sais pas ce qui me pousse à le faire car franchement, j’ai l’impression que, surtout toi Marjorie, tu as du mal à tenir ta langue. Mais bon, il est vrai que Véronique a eu peur en la voyant et ce n’est pas allé tellement plus loin avec elle. Deux choses l’ont arrêtées. La première, je viens d’en parler. La seconde est que nous étions inexpérimentés tous les deux et moi bien plus qu’elle. C’était donc sans doute mieux ainsi... Je suis donc, effectivement, encore puceau. Mais je n’ai que 17 ans ; il n’y a pas de quoi en rougir. J’ose espérer que dans un autre contexte, avec une autre personne, les choses auraient été différentes.− Tu vois Marjorie, il y a des gens raisonnables sur cette Terre : un puceau ne dépucelle pas une pucelle ! C’est la règle numéro une !− Oui mais je n’avais pas menti ! Mes sources étaient bonnes ! T’es bien puceau et ta bite a bien des dimensions terrifiantes...− Il n’a pas dit ça ! Il n’a pas dit qu’elle avait des dimensions terrifiantes...− Non, je n’ai pas dit ça et je ne crois pas que mon sexe, même au mieux de sa forme, soit si effrayant... Il est imposant mais de là à en parler comme d’une chose monstrueuse, il y a des limites à ne pas franchir. Si encore tu parlais d’expérience, mais tu ne l’as pas vue ! Alors j’aimerai bien, Marjorie, que tu ne participes pas à ce type de racontars, surtout ceux qui me concernent. Ce serait sympa de ta part.− Promis Paul, je... je n’en parlerai plus mais alors, si elle n’est pas si grosse... elle fait combien ?− Marjo !!! Tu peux pas décrocher avec ça ?− C’est pas grave Chloé, Marjorie est curieuse... Elle veut savoir. En plus c’est toi qui a ramené ça sur le tapis en voulant séparer le vrai du fau de ces ragots. Il se trouve que je connais très précisément mes mensurations parce que j’ai fait l’objet, pour des raisons personnelles, d’un suivi médical complet, notamment à ce niveau-là. Mon sexe, en érection, mesure exactement 23,6 cm de long et 4,7 cm d’épaisseur ; c’est peut-être impressionnant, je n’en sais rien, mais j’espère bien que ce n’est pas si effrayant.− Ah, quand même ! C’est pas rien ! Je... j’ai quand même du mal à imaginer...− Waow... ça doit faire un sacré morceau... Pardon Paul, je ne voulais pas...− C’est rien Chloé... Cette partie d’anatomie théorique étant terminée, je propose qu’on change de sujet. On a deux cours qui sautent cet après-midi. Du coup, on fini à quinze heures... ça vous dirait un plan cinoche ou d’aller boire un truc quelque part ? J’en profiterai pour tordre le coup à mon arrogance...− Moi, non, je suis à la bourre pour la disserte sur Platon... une autre fois peut-être.− Tant pis pour toi Marjo ! Moi ça me branche bien. Mais attention, le sujet c’est pas ça...− Ah bon ? C’est quoi alors ?− C’est Platon et le platonisme...− Ben c’est pareil...− Non, ce n’est pas exactement la même chose... Tu peux pas te cantonner à l’antiquité, faut au moins arriver à la distinction entre mathématiciens platoniciens et réalistes…− Ahaha ! Paul à raison, c’est différent... T’es pas couchée a ce que je vois ; c’est à rendre demain en première heure.
Paul et Chloé allèrent au cinéma, puis au café où ils échangèrent un premier baiser. Paul appela sa mère pour lui dire qu’il ne rentrait pas dîner. Il invita Chloé dans une pizzeria du quartier latin puis il rappela sa mère pour lui dire qu’il rentrerait sans doute très tard. Claude était inquiète et, surtout, assez fâchée. Paul n’était pratiquement jamais sorti et elle ne s’attendait pas à ce qu’il le fasse sans lui avoir préalablement demandé l’autorisation. Elle détestait l’imprévu et ce qui la mettait devant le fait accompli. Elle comprit qu’il devait y avoir une fille là-dessous et masqua sa jalousie. Après avoir obtenu confirmation, elle conseilla à son fils de sortir protégé. Elle lui indiqua une pharmacie de nuit où il trouverait des préservatifs adaptés à sa morphologie. Après avoir raccroché, Claude fondit en larmes. Elle vivait ça comme une infidélité. Seule et angoissée, elle appela Philippe à l’aide. Il vint la retrouver et pour la première fois en 18 ans, il allait passer une nuit complète chez elle.
La pharmacie était sur leur chemin. Paul donna les précisions nécessaires et acheta ce qu’il lui fallait. Chloé qui réalisa, tout à coup que, même si elle était prévoyante, ceux qu’elle avait, dans sa chambre universitaire, ne convenaient sans doute pas. Elle fut ravie de l’initiative de Paul et l’opinion qu’elle se faisait de lui gagna encore quelques points. Si elle avait voulu sortir avec lui par curiosité, ce n’était plus le cas. Elle avait, au fil des discussions qu’ils avaient eu, découvert en lui un homme sensible, généreux et courageux. Elle avait acquis rapidement la certitude d’être en face de l’homme de sa vie et ne pensait plus depuis longtemps à la taille de son organe. Elle n’arrivait pas à s’expliquer ce sentiment. Cela s’était produit comme une décharge électrique. Elle se sentait merveilleusement bien avec ce garçon, d’une façon qu’elle n’avait encore jamais ressentie avec ses autres petits amis. Elle vivait quelque chose de plus fort et de plus intense. Paul était fait pour elle et elle était faite pour lui. Elle en était persuadée.
Depuis qu’ils avaient quitté le restaurant, ils s’embrassaient à qui mieux-mieux et c’est en se faisant des langues baveuses qu’il rentrèrent à l’internat de la rue d’Ulm. Ils ne voyaient plus rien ni personne... ils évoluaient, tels des automates, vers les escaliers et la chambre de Chloé. Pourtant, il y avait du monde dans le hall, dans l’espace télé. Même si la rencontre amicale France-Japon avait déclenché, pour des raisons mystérieuses, un intérêt quasi général, leur entrée n’échappa à personne. Et surtout pas au footeux, dont le sport favori, après la bière devant un match, était de reluquer le cul des filles... Après leur passage, les commentaires salaces allèrent bon train, surtout exprimés par Julien que Marjorie trouva, d’un coup. Beaucoup moins beau...
Chloé et Paul étaient entrés dans la petite chambre d’étudiant. Leur trajet, depuis la pharmacie, n’avait été qu’un long baiser. Chloé coinça Paul contre la porte qu’elle fermait d’un tour de verrou. Leurs bouches se dessoudèrent et elle entreprit de le déshabiller. Il allait faire de même avec elle mais elle le stoppa.
− Non., pas tout de suite, laisse-toi faire. Laisse-moi te guider... mon amour.− …− Je veux découvrir ton corps d’abord.
Pull, chemise et maillot de corps tombèrent au sol, découvrant le torse aux muscles fins et saillants. Elle approcha son nez, sa bouche pour sentir son odeur. Elle passait ses mains sur son torse, caressait ses tétons. Les lèvres de Chloé le parcouraient de baisers. Paul regardait, sans rien dire et se laissait faire. Il savourait chacune de ces sensations nouvelles. Des vagues de plaisir et de chaleur l’envahissait par moments et lui arrachaient de petits gémissements. Chloé continuait son investigation ; elle descendait vers ses abdominaux... Paul sentait bon... une odeur vraie, puissante et envoûtante. Elle n’était pas altérée par l’emploi excessif de déodorant et autre parfum bon marché. La subtile fragrance exhalait toute la masculinité de ce jeune éphèbe. Chaque centimètre de peau que ses mains, son nez et sa bouche parcouraient, déclenchait en elle une onde de désir et ne faisait qu’accroître le feu qui brûlait en elle. Arrivée à la ceinture, elle s’agenouilla et, doucement, en le regardant dans les yeux, elle lui retira ses chaussures. Elle caressa un peu ses chevilles puis lui ôta ses chaussettes. Les vêtements de Paul s’accumulaient en désordre sur le sol. Alors seulement, ses mains remontèrent le long des jambes, le long des cuisses. En se dirigeant vers la boutonnière du jean, elle passa sur la bosse impressionnante qui le déformait. Malgré l’envie qu’elle avait de tout arracher, elle officiait avec lenteur et douceur. Elle voulait faire monter encore le désir ; elle voulait que cette première fois pour Paul soit un vrai moment de plaisir pour eux deux. Les boutons du pantalon sautèrent un à un. Elle le fit descendre jusqu’à ses chevilles. Paul portait un caleçon large qui ne comprimait pas son érection. Libéré de son jean, son sexe pu prendre une position plus confortable. Chloé regarda cette bosse de tissu qui montait au-delà du nombril et laissait deviner les proportions impressionnantes de ce qu’il cachait encore. Ses mains remontèrent à l’assaut des cuisses qu’elle gratifiait en même temps de tendre baisers. Plus elle se rapprochait du bassin et plus elle pouvait sentir l’odeur du désir. Le parfum de Paul se faisait plus intense et troublait ses sens. Elle retira le dernier rempart, tirant largement sur l’élastique du caleçon pour faire passer le pénis gonflé. La colonne de chair se dévoilait enfin à sa vue. Elle n’avait encore jamais vu de sexe aussi long. Il était beau, bien lisse et régulier. Le prépuce laissait entrevoir un gland épais et rose. Elle le prit dans sa main. Ses doigts n’en faisaient pas le tour. Doucement elle tira vers le bas pour le décalotter complètement puis elle approcha son visage. Tout en le masturbant doucement, elle plongea d’abord son nez dans l’épaisse toison pour s’enivrer encore de son parfum capiteux puis sa bouche remonta la hampe turgescente qu’elle embrassait et léchait. Paul avait posé une main sur son épaule et l’autre était glissée dans sa chevelure. Son sexe vibrait sous les douces caresses et il gémissait de contentement. Quand sa langue arriva au sommet de cette chaude obélisque, Chloé ouvrit largement sa bouche et goba le gland, le suça. Sa mâchoire prenait la mesure de l’objet. Elle avait envie de savoir jusqu’où elle pourrait l’avaler. Très méticuleusement et très doucement, elle fit glisser le sexe tendu jusqu’à sa glotte puis le ressorti humide de sa salive. Elle leva son regard vers celui Paul. Ses yeux écarquillés témoignaient de sa surprise. Elle lui sourit et le reprit en bouche. Elle maintint sa progression jusqu’à ce que le gland lui remplisse la gorge. Elle renouvela l’exercice trois ou quatre fois, mais elle avait envie d’autre chose. Elle se redressa tout en continuant à le masturber doucement et l’embrassa à pleine bouche.
− Déshabille-moi mon amour, je veux sentir ta peau contre la mienne.
Paul l’embrassa à nouveau et entrepris de l’effeuiller. Il agit comme elle, avec une lenteur maîtrisée, mais se trouva un peu gauche au moment de lui ôter son soutien-gorge...
− Je... comment ça marche ce truc ?− Laisse-moi faire, je vais t’aider. (D’un geste rapide, elle défit l’agrafe dans son dos). Tu peux y aller, c’est dégrafé...− Merci...
Paul reprit ses caresses et fit glisser délicatement les bretelles le long des bras et dégagea une poitrine ronde et ferme. Ses mains caressaient les seins. Il repensa alors aux photos qu’il avait de sa mère et plus particulièrement à l’une d’elle où elle se soulève la poitrine pour se lécher un téton. Paul approcha donc sa bouche des globes laiteux qu’il massait et en embrassa les tétons, les lécha, les excita. Chloé se laissa transporter par ces caresses et se mit à geindre. Après quelques instants de ce traitement, elle appuya sur les épaules de son partenaire pour l’inciter à poursuivre. Elle voulait être nue contre lui. Paul s’agenouilla à ses pieds, lui retira ses chaussures et défit son pantalon qu’il retira rapidement. Chloé portait un string de dentelle. Paul approcha son visage et colla son nez au tissu. Il avait attrapé les côtés de la culotte mais avant de la retirer, il en lécha l’entrejambe. Puis, très délicatement et très doucement, il fit descendre le dernier vêtement. En connaisseur, il pouvait apprécier l’état d’excitation de sa copine par l’observation du fond de son string. Chloé avait une chatte ravissante. Sa toison blonde était soigneusement taillée en un petit triangle limité au pubis. Il s’approcha, embrassa son nombril puis doucement, dans une succession de baisers, il descendit jusqu’aux replis secrets. Sa langue se fraya un chemin entre les lèvres chaudes et gonflées de désir. Pour la deuxième fois de son existence, il goûtait véritablement au sexe d’une femme. Chloé haletait, sa chatte en feu inondait la bouche de Paul qui se saoulait de son jus, s’enivrait de son odeur. Sa langue agile parcourrait les replis, s’enfonçait dans la chair ou remontait plus haut vers le petit bouton érectile... Appuyée, le dos sur la porte de sa chambre, Chloé savourait son plaisir, jouissait sans retenue.
− Oh oui, Paul ! C’est trop bon ! Aaaaaah !... Bouffe ma chatte !... Aaaaaah ! Oh ouiii !− …− T’arrêtes pas !... Aaaaaaah ! Aah oui, comme ça !... Aaaaaaah ! Aaaaah oui putain ! Aaaaah !... Ah, ta langue ! Aaaaa... Aaaaah ouiii !... Aaaaaaaaaaah ! Putain, Paul, j’vais... Aaah ! J’vais jouir Paul ! Tu m’fais jouir ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Chloé tremblait de tout son être. Jamais une langue ne l’avait portée si loin, si vite. Paul se redressa et la prit dans ses bras pour la soutenir. Ses lèvres et son menton étaient trempés du plaisir de sa compagne. Ils s’embrassèrent amoureusement. Le barreau de chaise qui butait sur son estomac rappela à Chloé qu’ils n’en étaient encore qu’aux préliminaires. Elle attrapa le pieu de chair et tira Paul vers son lit. « Viens mon chéri, il est temps de passer à autre chose... allonge-toi, je vais te chevaucher... laisse-moi faire » Paul s’allongea et Chloé l’enfourcha. Maintenant sa bite d’une main et s’écartant la chatte de l’autre, elle présenta le gland à l’entrée de son vagin. Paul avait posé ses mains sur ses hanches, mais n’intervenait pas. Il observait, incrédule. Le gland appuyait sur la vulve et disparaissait progressivement. Le sexe gourmand s’écartait pour laisser pénétrer l’imposant pénis. La progression était lente et contrôlée.
− Oh la vache !... Mmmmmmm, qu’est ce que c’est gros... Oooooooooo...− Oh mon dieu... oooooooooh, Chloé, tu y es presque... Oooooooh ! Oh oui Chloé.− Ooh ! Ooooooooooooooh ouiiiiiiih ! Oh c’est bon ! Oooooooooooooooooooooh ! J’ai... j’ai jamais été aussi remplie bordel ! Oooooooooooooooooooooooooooooooooooooh, ne bouge pas, laisse moi faire. Oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooh !
Elle se coucha sur lui et l’embrassa. Elle faisait onduler son bassin et contractait ses muscles internes autour du sexe qui lui remplissait le ventre. La pénétration avait été beaucoup plus facile qu’elle ne l’aurait pensée au début et elle sentait que son corps s’adaptait peu à peu à cette nouvelle dimension. Chaque mouvement, chaque contraction lui déclenchait un orgasme. Elle n’avait jamais rien ressenti de tel. Elle réalisa que les capotes étaient restées dans la poche du jean de Paul. Elle considéra que ce n’était pas grave, elle savait où elle en était, elle prenait la pilule et Paul n’avait encore jamais trempé sa queue nulle part. Ce n’était donc pas un rapport à risque... Elle voulait le sentir exploser en elle, être pleine de sa semence...
− Aaaaah Paul, c’est... c’est trop bon tu... Aaaaah ! Tu me fais jouir Paul !...− Ooooh... Oh Chloé, ooooooh !... Laisse-moi bouger un peu en toi... Ooooh !− Oooh Paul, doucement, aaah ! Fais-le doucement ! Je... Aaaaaaaaah ! Aaah oui ! Comme ça Paul ! Oh c’est bon ! Aaaah ! Pas plus vite... Comme ça Aaaaah ! Ah ouii ! Aaaah ! Aaaaah ! Ah ouii ! Aaaaah ! Ah ouii ! Aaaaah ! (Le con de Chloé était maintenant parfaitement adapté au membre de son amant). Aaaaah ! Ah ouii ! Aaaah ! Aaah c’est bon ! Aaaah ! Plus fort ! Aaaaah ! Encore ! Baise-moi fort, maintenant. Aaaaah! (encouragé par son ami, Paul accéléra ses mouvements). Ah, ouii ! Oh, Oui, encore Aaaah ! Ouii ! Oh, Oui ! Aaaah ! Ah, ouii ! Aaaah ! Oui, encore Aaaah ! Ah, ouii ! Baise moii ! Aaaaah ! Encoooore Aaaah ! Ah, ouiiiiih ! Aaaaaaaaaaah ! Je jouiiiiiiis ! Aaaaaaaaah ! Ah je jouis putain ! Aaaaaaaaaaaaaaaah ! Lâche-toi ! Aaaaaaaaah ! Viens ! Viens avec moi ! Aaaaaaaaaaaah !− Putain j’tiens plus Chloé ! Aaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !− Oh c’est bon ! Aaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !− Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !− …− …− Chloé ?− Oui mon chéri ?− J’ai pas... tu prends la pilule ? j’ai pas mis de capote !− Je sais, Paul, on a oublié. Ça peut arriver mais t’inquiètes pas... je prends la pilule et je suis saine. Tu ne risques rien avec moi.− Je ne pensais pas à ça... je pensais à toi.− C’est gentil... et quand je sens ce que tu m’as balancé dans la chatte, je me dis que c’est mieux de prendre la pilule... Et si y avait pas ta bite pour faire bouchon, je suis sûre que ce serait la cataracte.− Tu veux que je me retire ?− Surtout pas ! C’est trop bon ! Pour une fois que j’en ai une qui me remplit même quand elle est mole, je la garde ! En plus, je trouve que le gars qu’est au bout ne gâche rien. Beau, intelligent, tendre et drôle de ce que j’ai pu en juger aujourd’hui... Je crois que tu me plais beaucoup, monsieur Paul Chaillot... Je vais juste étendre mes jambes car là c’est plus trop confortable, mais tu bouges pas de moi.− Promis ! J’y suis, j’y reste... Et, toi aussi, tu me plais, mademoiselle Chloé Hérault, je regrette de ne pas avoir discuté avec toi plus tôt. Tu es ravissante, intelligente, volontaire et très généreuse. Tu viens de me faire le plus beau cadeau de ma vie, comme ça... le premier jour.
Ils échangèrent un long baiser. Elle restait allongée sur lui, son pieu mollissant enfoncé dans sa chatte, et savourait son bonheur. Ils se câlinaient doucement, en silence. Paul repensait à ce qu’il venait de vivre, à la vision de son sexe pénétrant celui de Chloé. Elle était elle-même plongée dans des pensées du même type et machinalement, elle se mit à contracter ses muscles vaginaux. Elle aimait sentir ce pénis en elle. Ces petites contractions réveillèrent le désir de Paul qui se concentra sur la sensation que lui procurait le doux fourreau chaud et humide... son dard grossissait de nouveau, doucement mais sûrement. Il ne tarda pas à retrouver toute sa superbe...
− Oh, tu bandes encore ?!− Effectivement... je crois que c’est le deuxième effet Chloé. T’es trop belle, trop douce... je me sens si bien contre toi... Je ne peux pas m’en empêcher...− Ce serait dommage...
Ils s’embrassèrent, roulèrent sur eux-mêmes et Paul se retrouva au-dessus. Il attrapa les jambes de Chloé qu’il écarta largement et commença de petits va-et-vient, arrachant à chaque poussée un gémissement de sa partenaire. Les mouvements se firent bientôt plus rapides et profonds. Elle en réclamait davantage. Il s’enfonçait avec plus d’assurance, Chloé criait, hurlait de plaisir, lui demandait de la baiser de lui labourer la chatte. Elle jouissait, un orgasme en entraînant un autre... Paul se montrait plus endurant. Il lui demanda de se branler le clitoris en même temps, elle ne réfléchit pas et obéit. Paul la pilonnait avec plus d’énergie. Elle sentait monter en elle quelque chose de nouveau, d’intense. Elle redressa sa tête pour regarder ce qu’il se passait. Elle ne pouvait plus retenir sa main qui branlait frénétiquement son petit bouton et puis ce fut comme une vague, un tsunami. Tout son corps se contracta et elle éjacula ! Des abords de son vagin, trois jets puissants furent émis successivement, éclaboussant tout et déclenchant la jouissance de Paul qui se vida en elle pour la seconde fois. Ils s’écroulèrent de nouveau, terrassés par ce dernier orgasme partagé. Elle tremblait comme si elle avait froid et Paul la sera dans ses bras puissants. Elle se sentait bien... Ils restèrent ainsi quelques minutes avant qu’elle ne puisse dire un mot.
− Tu... tu m’as fait quoi ? Qu’est ce que j’ai fait ? J’ai pissé ?− Non, tu n’as pas pissé, tu as éjaculé, mais j’étais pas certain que ce soit possible... C’est une idée qui m’est venue, mais qui ne reposait bien évidemment sur aucune connaissance pratique...− J’ai éjaculé... mais comment tu connaissais ce genre de truc ? Je croyais que t’étais puceau...− Et bien effectivement, jusqu’à ce soir, j’étais puceau mais c’est parce qu’on est puceau qu’on n’a pas le droit de lire et de s’informer sur les choses du sexe... J’ai même lu des rapports médicaux très sérieux sur la question... Et comme c’est un truc qui m’excite, je me suis pas mal documenté.− Tu lis des rapports médicaux ? Tu les trouves où ?− Chez moi, y en a des wagons entiers. Ma mère médecin, elle a un cabinet de consultation pas très loin, elle dirige un service d’urologie à Cochin et participe à divers travaux de recherche. Elle enseigne également un peu...− Waow, classe ! ça a l’air d’être une pointure... et ton père, il fait quoi ?− … J’ai pas de père... ma mère est tombée enceinte à 17 ans, ses parents l’ont mise à la rue, je ne les connais pas non plus. Heureusement, elle a été aidée par son amant. Ils sont ensemble depuis un peu avant ma naissance, mais Philippe est marié alors il n’a jamais vécu avec nous. C’est un gars sympa et très généreux. C’est mon parrain aussi, mais je le considère un peu comme mon père. Il est médecin aussi, en médecine générale et Professeur en gynécologie obstétricienne. C’est une pointure comme ma mère.− Pardon,... je ne voulais pas te demander tout ça ou te faire de peine...− Non, y a pas de mal. Je suis né de père inconnu dans une famille limitée à ma mère et moi, c’est comme ça. C’est la vie et je ne m’en sors pas si mal finalement.− Tu t’en sors même très bien... Et, ça marche comment alors ce que tu m’as fait.− Et bien une méthode pour y arriver et qu’on a appliqué consiste à exciter, en même temps le clitoris et des zones érogènes internes situées à l’avant du vagin. Parfois ça ne marche pas. Il y a un débat pour savoir si toutes les femmes peuvent, ou non, y parvenir. Moi je crois que oui mais c’est un avis très personnel et qui ne repose objectivement que sur mon fantasme, je crois, mais bon... Je t’ai demandé de te branler le clitoris et moi je me suis concentré sur le frottement de mon pénis sur ces zones. En fait, c’était pas très facile car je frotte partout de toute façon...− Je te le confirme tu frottes partout... et c’est franchement trop bon. Et ton truc aussi, c’était magique ! Tu te rends compte, je sors avec un puceau et c’est lui qui m’apprend des choses nouvelles...− Je t’ai appris une chose, toi tu m’en as appris plein. Tu m’as appris à prendre mon temps, à déshabiller une femme, à enlever un soutif, mais je dois encore pratiquer. Tu m’as appris à lécher une chatte et surtout à rentrer mon gros engin et à le bouger dedans.− Pour l’étape soutif, compte sur moi pour te faire pratiquer ça quotidiennement... Pour le reste, lécher, t’as fait ça tout seul et très bien d’ailleurs et pénétrer une chatte c’est quand même relativement instinctif. Mais c’est vrai que tu as été un bon élève, attentif et attentionné... Par contre, je te ferais remarquer que tu n’es rentré qu’une fois en moi et en plus c’est moi qu’ai géré l’opération.− C’est vrai et je ne suis toujours pas ressorti, mais j’y suis bien.− Mais là, c’est peut-être pas très poétique, mais il faut que j’aille pisser.
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