Nous retournons vers nos bungalows en nous tenant par la main. Je me sens bien, heureux…heureuse en fait ! Avant de nous séparer, elle se tourne vers et m’embrasse à pleine bouche en me serrant contre elle. — Va vite te doucher ma chérie…tu sens le foutre et le champagne de Marie ! Marie se trouve justement sur notre terrasse, avec Michel. Ils m’accueillent avec un grand sourire. Michel bande comme un âne. — Marie vient de me raconter sa rencontre de ce matin… - Et cela a l’air de t’avoir plu on dirait ! je file sous la douche ! Je les laisse à leur discussion, espérant bien que Marie excite encore d’avantage Michel pour qu’il vienne me prendre… je deviens vraiment accro à la queue mais je sens que j’apprécie de plus en plus d’être traité…traitée en femelle. Je laisse couler l’eau chaude sur mon corps tout en me regardant dans le miroir couvrant le mur de notre petite salle de bain. J’ai une taille assez fine en fait et quand je me cambre, j’aime la courbe de mon dos qui met bien mes fesses en valeur. Je pince doucement mes tétons. J’adore ça ! Cela fait longtemps que je les ‘’travaille’’. J’avais trouvé un article sur internet pour étirer les tétons avec une petite pompe fabriquée une seringue. C’est assez efficace et mes tétons réagissent vites et durcissent bien en s’allongeant un peu. Michel me surprend plongée dans mes pensées. — A quoi penses-tu chérie ? demande-t-il en me rejoignant sous la douche tout en saisissant ma queue bien bandée Il se colle à moi en m’embrassant. — Marie vient de me faire un portait bien sympathique de toi… Il me colle contre la paroi, poussant sa bite entre mes cuisses. — En moins de deux jours, tu t’es fait une sacré réputation … Il donne des coups de bassin en le frottant sur le mien. Je passe mes bras au-dessus de ses épaules et je relève une jambe. Il m’attrape le genou. En me hissant sur la pointe du pied, je place ma chatte devant son gland qui trouve vite son chemin. Il prend possession de mes fesses. Je me laisse descendre sur son pieu. La tête en arrière, je savoure cet instant, prisonnière de cet homme, empalée sur son membre puissant qui me laboure les chairs intimes, masse ma prostate à chaque passage de son gland. Ma queue serrée entre nos ventre suinte de plaisir, préte à exploser de nouveau. Il se retire doucement pour revenir à la charge.
— J’ai envie de t’exploser le cul….te défoncer ta chatte de femelle….. - Hooo ouiiii… Lorsqu’ ‘il sort de ma rondelle, elle reste ouverte, laissant un grand vide. Je l’accueille alors avec un long gémissement de bonheur. Mais il interrompt ce moment d’extase. Je lui murmure à l’oreille : — S’il te plait…..fini moi….ne me laisse pas comme ça… - Ce sera encore meilleur après…. Allons manger maintenant ! Il se dégage et sort de la douche. Je le regarde s’essuyer. Instinctivement ma main saisit ma queue tendue. — Tut tut ! interdit de se toucher ! - Tu me rends dingue ! - Et ce n’est pas fini. Si tu n’arrives pas à te contenir, je te mets une cage ! Je m’essuie rapidement et le rejoins sur la terrasse. — Prend les serviettes, on ira à la plage directement Il nous emmène vers la paillote au bord du plan d’eau où nous déjeunons de crudité dans un coin de la terrasse. Les vacanciers déambulent sur les berges, viennent manger. Marie passe rapidement accompagné de ses deux acolytes de la réception. Quand elle nous aperçoit, elle s’approche avec un grand sourire et nous embrasse sur la bouche tous les deux. Eric et Jacques nous tape sur la main. Ce dernier reste plus près de moi. Alors que Marie propose à Michel de passer prendre un verre ce soir, je n’ai d’yeux que pour la queue de Jacques qui se trouve en face de mon visage. A demi bandée, elle est déjà de belle taille. Circoncis, bronzé, ce membre est magnifique. Je lève les yeux un instant et je vois qu’il me regarde avec un sourire charmeur. — On vous attend vers 20 heures, dit Marie, et Paule pourra satisfaire Jacques, ajoute-t-elle en m’attrapant le téton. - Tu es incroyable, me dit Michel en les regardant s’éloigner, tu aurais vu tes yeux ! - Tu as vu cette bite ! je veux y gouter ! - Ne t’inquiète pas ! tu vas y passer. Sur la plage, nous trouvons des transats de libre sous un parasol. — Passe quand même de la crème, me dit Michel— Je n’arrive pas dans le dos ! lui dis-je en lui tendant le tube Il la passe dans mon dos puis descend sur les fesses en les malaxant. Je me cambre légèrement en les relevant un peu. Ses doigts huileux passent entre mes fesses, frôle ma rondelle. Il joue à en faire le tour, descendre le long du périnée pour me saisir les couilles, puis revient vers mon sillon. Ses doigts finissent par s’y glisser. Les yeux fermés, je me laisse faire, sans me préoccuper des autres alors que deux gars viennent de prendre place sur les transats devant nous. Les caresses de Michel sur mon postérieur ne les laissent pas indifférent. Ils bandent bien fort surtout qu’ils se mettent à se branler mutuellement. Michel insiste maintenant sur mon trou où il vient de glisser deux doigts. Je relève encore un peu mon bassin surtout qu’il vient de passer un bras sous mon ventre pour glisser un autre doigt. Je me sens ouverte, dilatée. Je résiste pour ne pas me caresser. Doucement les caresses s’arrétent. — Tu ne vas pas me laisser encore une fois dans cet état ! lui dis-je en me retournant Les deux mecs me regardent avec un grand sourire, leur queue dressée et humide de désir. Je reste sans voix devant ces deux bites magnifiquement dressées. Je suis dans un tel état d’excitation que je ferais n’importe quoi ! — Vas donc te baigner chérie, me dit Michel, ça te calmera un peu— Mais je peux peut être … - Non non ! pas maintenant, allé, vas à l’eau ! Je reviens m’allonger prés de Michel apres avoir nagé un peu. Les deux gars sont partis. Nous passons le reste de l’après-midi à nous prélasser sur nos transats, non sans nous mettre de la crème de temps en temps, l’occasion pour Michel de me faire remonter en pression. — Il va être l’heure de retrouver Marie, me lance Michel en se levant, allons-y ! Je me lève à mon tour avec une belle érection. J’ai bandé presque toute l’après-midi, excitée par Michel avec ses caresses. J’ai l’impression de mouiller du cul tellement j’aimerai me faire prendre. Nous passons au bungalow poser nos affaires. Je tente de décider Michel à me prendre là, vite fait, avant d’aller à notre rendez-vous mais il reste de marbre…ou presque. Il bande lui aussi comme un fou et il me laisse le prendre en bouche quelques instant. — Ne nous mettons pas en retard ! allons-y ! Marie nous attend devant son bungalow avec Eric et Jacques qui sont installés sur une banquette. — Ha , vous voilà ! j’en connais deux qui ont eu du mal à vous attendre ! Eric et Jacques me font signe de les rejoindre. Ils bandent déjà tres fort. Je m’assois entre les deux en les prenant en main directement. Assise entre ces deux mâles en rut !! la soirée s’annonce bien.
