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Pauline - années adulte

Chapitre 1

Erotique
Chapitre 1
• Désolé Nathalie, mais là, je n’y arrive vraiment pas.• Je vois ça. Elle reste toute molle.• Tu auras eu au moins mon cuni.• … Pardon, mais j’ai simulé.• Vraiment ? • Ben, tu n’avais pas la tête à ça. Et pourtant, j’adore lorsque tu utilises ta langue et tes doigts. Mais, j’ai bien senti que tu étais ailleurs. Fais pas cette tête, je te promets que j’ai très rarement simulé avec toi.
Elle se glissa dans mon dos, plaqua ses seins contre ma peau, glissa ses mains contre mon torse qui descendirent sur mon ventre pour aller entre mes cuisses.• Tu veux que j’essaie tout de même de la faire monter ?• Je ne pense pas que tu réussisses. • Qu’est-ce qui te stresse comme ça ? C’est parce que tu vas faire passer l’entretien annuel de Pauline cet après-midi ?• … Pourquoi tu me parles d’elle ?• Ne réponds pas par une question. Il est peut-être temps que tu sois franc avec elle.• Je ne comprends pas de quoi tu parles.• Ne t’énerve pas, s’il te plait. Je te parle en ami. Crève l’abcès. Tu veux savoir pourquoi je te garde en amant ?• Parce que tu adores mes cuni.• Oui, mais pas seulement. Avec toi c’est simple, il n’y a pas de saint valentin, pas de petits cadeaux, pas de sentiments amoureux, juste de la baise. Et depuis deux ans qu’on couche ensemble, j’ai bien compris que ce n’est pas à moi que tu penses, mais à elle. La situation me convien, sauf que Pauline ne semble pas aller très bien depuis quelques temps et ça t’affecte aussi et je m’inquiète pour toi.• … Je… C’est gentil, mais ce n’est pas la peine, je suis un grand bonhomme… Je dois faire quoi alors ?• Ne pas te défiler comme l’an dernier en laissant André prendre ta place. Profite de ce moment en tête à tête pour lui dire ce que tu penses vraiment d’elle.• Je n’ai jamais été fort à ça.
Elle se détacha de moi pour rire, puis m’embrassa dans le cou, sur la joue, et sortit du lit de cette chambre d’hôtel pour se plaquer dos au mur face à moi. Nathalie était une jolie femme, approchant de la quarante, mais vraiment très bien faite et très attirante. Elle pouvait faire tomber tous les hommes de la terre à ses pieds d’un claquement de doigt. Mais, elle avait raison, ce n’était pas d’elle dont j’avais envie. Ca n’a jamais été d’elle d’ailleurs.
Je savais très bien ce qui l’avait amusée. Elle se souvenait de la fois où j’étais allé dans son bureau, hésitant, pour lui demander de coucher ensemble. J’avais été maladroit, mais elle avait accepté. Je n’aurai certainement jamais osé lui proposer ça si, quelques mois avant, lors d’une petite soirée, un peu éméchés tous les deux, elle m’avait pris à part pour m’embrasser chaudement. J’avais été surpris et flatté. Mais ce n’était pas allé plus loin, bien qu’elle aurait aimé. A ce moment-là, je n’avais pas la tête à ça, avec mon divorce, le problème de garde d’enfants…
• Dis-moi Yvan, en toute franchise, depuis combien de temps tu penses à elle ?• Depuis la première fois que je l’ai vue… Une semaine après je te demandais de coucher ensemble.• Pourquoi ne pas lui avoir proposé à elle ?• Je… Mais… Si elle avait dit non ?• Je ne t’ai jamais vu avoir peur de quoi que ce soit, même lorsque tu t’es fritté avec le DG. Mais, tu as eu peur qu’elle te dise non ? T’es tu au moins demandé ce qu’il se serait passé si elle avait dit oui ?• … Je préfère garder l’espoir plutôt que d’être déçu. De tout façon, elle a un copain.• Ils ne sont plus ensembles, et ce depuis quelques semaines.• Vraiment ?• Tu es fou d’une fille, mais tu ne sais rien d’elle ? • Je préfère en savoir le moins possible, c’est déjà difficile de la voir tous les jours… Tu crois que c’est pour ça qu’elle ne va pas bien ?• Demande lui tout à l’heure. Tente ta chance avant qu’un autre ne le fasse… Je te préviens, même si ça fera du mal à moi aussi, si tu ne lui dis rien cet après-midi, je ne coucherai plus jamais avec toi.• Et ton mari sera frustré aussi car tu n’auras plus rien à lui raconter le soir.• Bon, je vais me prendre une douche, il va falloir retourner au boulot, il est déjà treize heures.
Elle se dirigea vers la salle de bain après avoir récupéré un nœud dans son sac pour s’attacher les cheveux. Je me suis levé à mon tour pour lui proposer qu’on la prenne ensemble. Elle accepta, comme à chaque fois. J’ai alors profité pour lui demander• Tu penses quoi de Pauline ?• Uniquement ce que je vois d’elle… Gentille, jolie, bosseuse.• Tu rigoles ? C’est tout ? D’habitude, rien qu’en regardant une personne tu es capable de tout savoir d’elle. Tiens, avec Magalie…• Mon dont ne fonctionne pas avec tout le monde. Je lui ai fait passer son entretien d’embauche à ta Pauline et j’ai été un peu déstabilisée sur le fait que j’étais totalement incapable de ressentir la moindre chose sur elle.• Et sur moi ? Tu as senti quoi ?• Rien non plus, mais il suffit de regarder tes yeux pour savoir ce que tu penses.
Je n’ai pas fait l’entretien annuel de Pauline. Je l’ai annulé au dernier moment, appelé en urgence pour une réunion. Quelque part, j’étais soulagé de ne pas avoir à l’affronter. J’avais toujours réussi jusque-là à ne jamais me retrouver seul avec elle. Et lors de cette réunion, on m’a annoncé une nouvelle qui me permettrait que ça n’arrive jamais. Il fallait juste que j’attende deux mois que les choses se fassent… Comment une aussi jolie fille, bien plus jeune que moi, pourrait être attiré par moi ? Je comprenais le point de vue de Nathalie, mais je n’avais pas le courage de parler à Pauline.
Sorti de réunion, presque tout le monde était déjà parti. Et moi non plus, je n’ai pas tardé, même si d’habitude je ne quitte pas mon bureau avant 21 heures. Mais, il s’était mis à neiger. Il y a quelques années de ça, j’avais déjà fait l’expérience de conduire ma moto avec les routes couvertes de neige ; après trois chutes idiotes, j’avais abandonné pour dormir à un hôtel pas loin. Je n’avais pas envie de retenter cette aventure, et encore moins du fait que je possédais cette Ducati neuve depuis à peine un mois. Le sol n’était pas encore blanc, je suis parti du travail.
La neige tombait de plus en plus fortement et collait déjà bien au sol suite à ces deux semaines de températures négatives. Je mis quasiment une heure pour arriver à mon immeuble alors qu’il me faut à peine vingt minutes en temps normal. Je roulais doucement, certes, mais c’était surtout embouteillé de partout, et même les deux roues avaient du mal à passer.
A peine la moto garée, je vis Pauline à l’entrée de mon immeuble. Elle semblait être là depuis longtemps, elle semblait gelée. J’aurais bien aimé passé par la porte de derrière pour ne pas l’affronter, mais elle m’avait vu.
• Pauline, qu’est-ce que tu fais là ?• J’espère que ta super réunion importante était bien… J’attendais cet entretien depuis longtemps pour que je puisse enfin te dire un truc, mais tu as encore trouvé le moyen de m’éviter.• Je suis désolé, je n’ai pas eu le choix. Mais, tu peux me le dire…• Je ne viendrai pas au travail demain, ni plus jamais en fait. Je ne supporte plus de te voir tous les jours et j’ai des problèmes personnels à résoudre aussi.• … Je suis désolé d’entendre ça… Si ça peut te faire changer d’avis, je change de poste. La réunion était pour m’annoncer une promotion, je deviens directeur des programmes et je rentre au comité de direction. On se verra ainsi beaucoup moins.• Tu prends la place de Robert ? Je suis contente pour toi, tu le mérites vraiment. Mais non, ça ne me fait pas changer d’avis… Je ne sais pas ce que tu as contre moi, je ne le saurai jamais d’ailleurs, mais avant que je ne parte, sache juste que…
Et elle posa ses lèvres sur les miennes.
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