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Pauline - Années étudiantes

Chapitre 12

Inceste
Chapitre 12
• Je t’ai dit que cette robe te va très bien ?• Pas moins de dix fois environ.• Tu ne veux pas me dire qui te l’a offerte ?• Un ami.• Elle a dû couter cher.• Je ne sais pas. Tu peux m’aider à enlever le nœud ?
Nous étions chez ma tante pour fêter Noël en famille. Mon père m’avait proposée de rester à sa nouvelle maison au cas où je ne me sentais pas trop, fatiguée que la police m’appelle 3 fois par jours pour que je fasse une déposition. Mais, je préférais m’éloigner un peu. Et puis, ça faisait longtemps que je n’avais pas vu mon cousin Adrien qui présentait enfin sa petite copine à la famille.
Mes grands-parents étaient de la partie aussi. Et du coup, faute de place dans la maison, je dormais avec mon père. Il était deux heures du matin, en pleine nuit de Noël, les paquets ouverts. Mon père sortit du lit, nu, défit la ficelle de la robe. C’était bien parce que j’avais fait une promesse à André que je la portais, parce que je n’en avais pas eu envie. Je n’avais pas envie de grand-chose d’ailleurs.
La robe glissa sur le sol, mon père me pris par les hanches et se colla à moi, sa verge était dure. Il m’embrassa dans le cou... Geste qui m’a plus d’une fois électrisée dans le passé, mais pas cette nuit. Ca ne me faisait ni chaud, ni froid. Je me suis doucement détachée de lui, je ne voulais pas le brusquer. J’ai ramassé ma robe que j’ai posée sur la chaise, il est allé m’attendre dans le lit. Je lui demandais• Qu’est-ce qui t’excite comme ça ?• Toi. Vraiment, tu étais très jolie.• Ce n’est pas plutôt la copine d’Adrien... Merde, elle s’appelle comment déjà ?• Charlotte... Heu, non. Disons qu’elle a de quoi exciter les mecs mais... Toi, c’était le raffinement, et elle... Le très bas de gamme.• Ha oui ? T’as pas aimé sa micro-jupe ultra moulante ? T’étais juste en face d’elle à l’apéro, tu devais avoir une vue parfaite sur sa petite chatte.• Comment sais-tu qu’elle n’avait pas de culotte ?• Tout le monde l’a vu, même papy qui commence à ne plus voir clair. Tu sais ce qu’il m’a dit ? "Qu’elle ne porte pas de culotte c’est une chose, mais elle n’est pas obligée de tout montrer à tout le monde..."
Ca le fit rire, mais pas longtemps lorsqu’il me vit enfiler un tee-shirt et un string pour dormir. Il ne dit alors rien, je me suis couchée dans ce petit lit, j’ai éteint la lumière en lui disant "bonne nuit". Il a attendu quelques secondes avant de me demander• Tu m’en veux toujours ?• De quoi ?
• Ben... D’avoir été aussi brutal l’autre fois. T’as encore mal ?• Je sens encore un peu, mais je ne t’en veux pas. C’est moi qui t’es demandée de le faire de toute façon.• Alors, qu’est-ce qui se passe ? Même lorsque t’étais avec Thomas tu n’étais pas si sage.• Je ne sais pas, je n’ai pas envie, c’est tout. Je n’ai même pas envie de me toucher.• … Ha... Bon, lorsqu’on sera à la maison, n’ouvre pas ton cadeau alors, il faut que je le change.• Celui que tu ne voulais pas amener ? Pourquoi, il y a quoi dedans ?• Je n’avais pas trop d’idées, j’avoue... Et comme l’autre fois au téléphone tu m’as dit que ça serait bien que tu ais quelques...• Sextoys ? Tu m’offres des sextoys ?... Je crois que tu as vraiment besoin d’une petite copine mon papa chérie. Tu ne baises pas assez.• Plus depuis plus de deux ans maintenant...• Pas besoin de changer le cadeau. Ca me reviendra, c’est juste passager.
Je me suis tournée de mon côté, je commençais à m’assoupir, mais des petits gémissements provenant de la chambre d’à côté me firent rouvrir les yeux. Ceux-ci devinrent plus fort, m’empêchant de dormir. Et après plusieurs minutes, je demandais :• Papa, tu dors ?• Non, pas vraiment.• Tu crois qu’ils en ont encore pour longtemps.• J’espère que non.• … C’est pas terrible en isolation phonique. Tu crois qu’elle peut encore monter dans les aigus ?• … Ha, on dirait bien que oui.
Il y eut quelques couinements qui ont dû réveiller toute la maison, pour peu que certains arrivaient à dormir. Elle venait de jouir, enfin, j’allais pouvoir dormir. "J’adore quand tu utilises ta langue comme ça. Enfonce là moi bien au fond maintenant". Et mon père qui me chuchota• Bon... On n’a pas l’image, mais c’est tout comme on dirait.• Merde... Et c’est reparti pour un tour.
Je cherchais une position pour moins les entendre. En tournant dans le lit, ma jambe a touché mon père, un peu haut... J’ai cru que... J’ai vérifié avec ma main• Tu bandes ?• Ben, j’avais déjà bien envie tout à l’heure, alors c’est sûr que ça ne m’aide pas à me calmer.• Tu peux te masturber si tu veux.• J’y ai pensé, mais je préfère que tu sois endormie... Ca me gêne sinon.• Tu veux que je te masturbe ?• Je croyais que tu n’en avais pas envie.• Non, je n’ai pas envie de faire l’amour, mais ça ne me gêne pas de te branler... Comme ça, ça te va ?• Oui, c’est parfait.• Alors, laisse-toi faire.
Il alluma la lampe de chevet, il voulait me regarder en même temps. Et je l’ai masturbé, doucement, accélérant petit à petit... C’était vraiment que pour lui, car cela ne me donnait pas plus d’envies. Heureusement, il ne mit pas très longtemps à éjaculer, dont les premiers jets atteignirent sa poitrine.
Je l’ai essuyé avec mon tee-shirt que j’ai au préalable enlevé. On s’est remis dans le noir, il me prit dans ses bras et s’est endormi. A côté, les gémissements n’avaient pas encore cessés.
Je n’ai pas beaucoup dormi à cause de Charlotte et Damien. Malgré tout, je me suis levée tôt. J’avais envie de courir. Mon père ouvrit un œil alors que je finissais de me préparer• Pauline, t’es déjà debout ? Il est quelle heure ?• A peu prêt huit heures, je crois. Je vais me dégourdir les jambes.• Ok. Protège-toi bien, il fait certainement froid dehors... Tu trouveras ton écharpe dans mon sac, tu l’avais oubliée.• Ha... Je l’avais laissée pour la laver. Mais du coup, c’est une bonne idée.
Il faisait effectivement froid. Je portais mon leggings de sport, un débardeur avec un pull dessous, une veste de running chaude, des gants, un bonnet, mon écharpe... Et ce n’était pas de trop. Je suis donc partie, mon corps se réchauffait à chaque foulée, mais mon nez était de plus en plus gelé. J’ai attaché mon écharpe de façon à protéger le bas de mon visage. Elle ne sentait pas très bon, mais c’était indispensable.
J’ai emprunté une petite allée qui longeait un bois, j’avançais, je commençais à avoir des pensées... Des fantasmes... Avec cet homme dans le train... Ca devenait puissant, j’étais de plus en plus excitée. Je ne comprenais pas pourquoi ça arrivait là, comme ça... A cause de mon cousin et sa copine, ou de mon père ? Mais, ça ne m’avait fait aucun effet pourtant.
Je continuais à courir, c’était censé me vider l’esprit. Mais non, ça ne se passait pas comme ça. Mon esprit divaguait, l’homme du train était là, il m’embrassait, me caressait, me touchait de partout. Il m’enfonçait dans le bois, me déshabillait, me prit contre un arbre. C’était si bon, ça me faisait tellement de bien. Je jouis… Je jouis…
Et je repris mes esprits. Je regardais autour de moi, j’étais dans le bois, entre les arbres, assise sur un tapis de feuilles mortes, mon legging descendu jusqu’aux chevilles, ma veste ouverte, mon pull et mon haut remontés au-dessus de la poitrine. Je regardais autour de moi, personne, et heureusement. Je me suis rhabillée précipitamment et ai regardé l’heure… Presque dix heures… Ce n’était pas possible, j’avais couru à peine trente minutes avant cette subite envie… Je me serais masturbée pendant près d’une heure ?
Je suis repartie dans le sens inverse, il était temps que je rentre. Je ne comprenais pas ce qu’il s’était passé, je me souvenais juste de mon fantasme et des orgasmes multiples que l’inconnu m’avait offerte. Je restais cependant consciente que seuls mes doigts et mes mains avaient touché mon corps.
En approchant de la maison, j’ai croisé mon père, ma tante, mon oncle et mes grands-parents qui partaient se faire une petite balade. • Pauline, tu viens avec nous ? On va jusqu’à l’église et on revient.• Je vais surtout me prendre une bonne douche. Et les amoureux ?• Ils se levaient à peine lorsqu’on est parti… Bon, ben à tout à l’heure.
Mon père m’interpella avant de se quitter :• T’es sortie sans être plus couverte ?• Hein... Heu... T’inquiètes, mon bonnet et mes gants sont dans mes poches. Mais, t’as raison, je vais les remettre.• T’avais pas pris l’écharpe ?• … Ha, je crois l’avoir perdue.• Rentre vite pour te mettre au chaud. Je n’ai pas envie que tu tombes malade.• Yes, sir !
La maison de ma tante est bien protégée de la rue grâce à sa haie. Mais, une fois dans le jardin, les grandes baies vitrées ne dissimulent rien de ce qu’il se passe l’intérieur. Et justement, je vis Charlotte à poil sur le canapé, et mon cousin à genoux devant elle entrain de lui brouter la chatte.
Mais, j’avais froid, j’avais envie de prendre une douche, et ils m’avaient déjà emmerdée une bonne partie de la nuit. Alors, je m’en fichais, et je suis entrée. J’entendis se précipiter, je savais que Charlotte s’était cachée, et mon cousin se tenait debout bien droit comme un piquet avec son tee-shirt de nuit et en caleçon, les mains devant son sexe, certainement pour cacher son érection. Et je leur dis "je vous signale qu’on voit tout de dehors".
Là, la tête de Charlotte sortit de derrière le dossier du canapé, les pommettes rouges. Et elle me demanda• On voit vraiment tout ?• Jusqu’à ton grain de beauté à côté de ton nombril.• … Et ben, c’est peut-être le moment de te dire merci alors.• Pardon ?• Oui, namour m’a dit que c’est toi qui lui a appris à lécher aussi bien et plein d’autres trucs aussi, je ne m’en lasse pas.• Ha... Il t’en a parlé.
Je fusillais mon cousin du regard. Ca devait rester un secret. Et j’ai ajouté• C’est gênant.• Super excitant tu veux dire.
"De plus en plus gênant", me suis-je dit. Surtout qu’elle s’était mise debout à me montrer sa nudité totale, ses petits seins, ses hanches larges, son air niais. Et elle ajouta "Depuis qu’il m’en a parlée, je fantasme à mort sur vous deux. J’ai envie de vous voir faire l’amour, et puis je pourrais participer aussi...".
Je ne l’écoutais même plus, je retirais mes chaussures, enlevais ma veste et leur dit "faites ce que vous voulez, mais sans moi. Je vais me prendre une bonne douche". Je partis, j’entendis juste Charlotte dire "ben, elle est pas aussi cochonne que tu disais...".
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