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Pauline, esclave sexuelle

Chapitre 2

Trash
Petit rappel:
Pauline, la soeur de mon meilleur ami s’était jeté sur moi, un soir ouù elle avait trop bu.
Le lendemain :
TOC TOC TOC
— Ouvre, c’est Pauline. Je voudrais te présenter mes excuses pour hier.— J’arrive, mais tu n’as pas à t’excuser, ce n’est rien.
Je redoutais ce moment même si c’était moi qui le lui avait imposé. Je me levai et allai ouvrir la porte. Je ne portai qu’un boxer, mais c’est comme un maillot de bain, non ?
J’ouvris la porte, elle était en peignoir et entra.
— Alors, comment vas-tu ? lui demandais-je ?
A ce moment- là, elle baissa mon boxer, se mit à genoux et commença à me suçer sans que je puisse réagir. À ce moment-là, même si j’avais voulu la repousser, je n’en n’aurais pas été capable, c’était trop bon. Une chose est sure, ce n’était pas la première bite qu’elle suçait.
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Mon Dieu, elle suce trop bien, pensais-je. Dans ma tête, il n’était même plus question de la repousser, mais je commençais à imaginer tout ce que j’avais envie de lui faire.
Elle retira sa bouche de ma queue et me dit :
— Ça fait des années que je fantasme sur toi et je me suis tapé tous les gars possibles pour essayer de t’oublier. Impossible, je suis à toi, entièrement à toi.
À ces mots, ma bite devint plus dure que jamais et les sentiments les plus perverts passèrent à travers mon esprit.
— À moi, tu dis ... et tu ferais ce que je te demande de faire ?— Tout ce que tu veux, répondit-elle.
Je pris ses cheveux et dirigeai sa bouche sur ma bite.
— Alors, suce, salope ! Je ne t’ai jamais dit d’arrêter. Et tu as intérêt à t’appliquer.
Elle me prit au plus profond de sa gorge, des larmes coulaient sur ses joues. Elle continua à me sucer pendant quelques minutes. J’avais envie de jouir, je pris ses cheveux et maintint sa tête. Tout mon foutre alla se loger au fond de sa gorge et j’appuyai sur sa tête jusqu’à qu’elle avale.
Elle me regarda un sourire satisfait. Je lui dis :
— Va voir tes courriels cet après-midi et suis les instructions, si tu es d’accord. Si tu ne l’es pas, on peut s’arrêter là, mais c’est la première et dernière fois que je te le dis.
Je rentre chez moi et ma bite est dure comme du béton. J’imagine ce que je vais dire et imposer à Pauline.
À mon arrivée, je ne prends même pas le temps de manger quelque chose, je me mets derrière mon ordinateur et commence à rédiger l’e-mail.
"Pauline,
Tu m’as prouvé ces dernières heures tes talents dans un domaine qui m’intéresse beaucoup. Je vais commencer par t’acheter de la lingerie que tu devras porter à chacune de nos rencontres, un manteau qui sera la seule chose que tu devras porter par-dessus la lingerie et une laisse que tu devras également porter à chacune de nos rencontres. Chaque fois, tu devras t’agenouiller et me sucer et guise de salutation. Tu m’appelleras "Maître" et je pourrais t’appeler par tous les noms. Si tu acceptes, tu ne seras plus qu’un sac à foutre à mes yeux. Je ne te ferai aucun mal, à part dans le but de te faire jouir, mais tu devras me le demander. "
J’envoie le courriel et une minute après, je reçois un texto sur mon portable. C’est Pauline : "J’accepte toutes les conditions, Maître, puis-je venir vous faire du bien, vous me manquez déjà.
Ma réponse : "Non, tu devras te retenir le temps que j’aille acheter ta lingerie, mais rendez-vous à 19h chez moi ce soir. Interdiction de te toucher et mets ce que tu as de plus provoquant dans ta garde-robe".
Je ne perds pas une seconde et sors directement, saute dans ma voiture et file dans un sex-shop. J’achète une laisse, une bonne dizaine de porte-jarretelles, bas et soutien-gorges 105C,quelques paires de chaussures à talons, un plug anal qu’elle devra porter et un oeuf vibrant (pour plus tard).
Le soir venu, à 19h tapantes, la sonnerie de mon appartement retentit. J’ouvre :
— Bonsoir, Maître.— Bonsoir
Je ferme la porte et elle se met à genoux, sors ma bite et se mets à sucer avec envie. Pendant ce temps, j’ouvre sa veste, elle a mis un énorme décolleté sans rien dessous. En bas, un legging presque transparent car je peux voir sa chatte à travers.
Je prends sa tête et la force à avaler l’entier de ma bite. Je jouis au fond de sa gorge.
— Merci, Maître— C’est bien, tu auras le droit de jouir ce soir.
Je prends la laisse et la mets autour de son cou. Je sors le plug anal.
— Il y a une chose que je ne t’ai pas dit, tu vas devoir préparer ton cul et le maintenir à ma disposition. Dès que possible, tu devras porter ceci au maximum du moment où tu quitteras cette pièce jusqu’au moment où je te l’enlèverai. De plus, sous le manteau, tu devras porter cette laisse.-Oui, Maître— Tu prends la pilule— Oui, Maître
Je la traîne par la laisse jusqu’au lit. Je la fait se coucher sur le dos et lui retire son legging. Elle est trempée, j’introduis deux doigt dans sa chatte et elle se met à gémir. J’entame un cuni et je la sens bouger son bassin pour venir à ma bouche. Elle gémit de plus en plus fort, mais je m’arrête avant qu’elle jouisse. Je ressors ma bite et l’enfonce au plus profond de sa chatte. Elle jouit instantanément. Je la pilonne pendant de longues minutes où elle jouit plusieurs fois.
— Merci, Maître. OOhh, Baisez-moi plus fort !— Espèce de sale pute— Oh oui, Maître, je suis votre pute.
Elle jouit une dernière fois et je sens sa chatte compresser ma bite.
— À genoux, salope
Elle s’exécute et je jouis sur son visage et ses habits, une quantité monstrueuse de sperme.
— Voilà, interdiction de te laver jusque chez toi, tu peux prendre le sperme avec les doigts et l’avaler c’est tout.— Bien, Maître— Demain, même heure, et tu mettras une des tenues qui sont dans le sac.— Oui, Maître, j’ai hâte, dit-elle avec le sourire
Elle s’habille et s’en va.
Je me réjouis car je sais que je peux dorénavant lui demander n’importe quoi.
A SUIVRE
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