Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 128 J'aime
  • 1 Commentaire

Pauline l'exhibitionniste

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
PAULINE L’EXHIBITIONNISTE
CHAPITRE 1
Cette histoire est vraie et s’est passée au début de ma vie professionnelle. J’étais maître-auxiliaire et révisais les épreuves du concours de l’agrégation économie-gestion. Nous habitions dans un appartement situé au quatrième étage d’un immeuble HLM. Ma femme était adjointe au chef de rayon d’un hyper situé à une quinzaine de kilomètres de chez nous.
Je m’accorde une pause en prenant un café au bord de la fenêtre du séjour. Mes yeux sont attirés par une jeune femme que j’aperçois dans l’immeuble d’en face en petite culotte et topless. Les bâtiments sont très proches et forment un u. C’est au deuxième étage, l’appartement n’a aucun rideau. Elle vient de s’asseoir dans la cuisine et prend son petit-déjeuner. Je prends une paire de jumelles, entrouvre la fenêtre et détaille sa physionomie.
Elle doit avoir une trentaine d’années. De longs cheveux blonds descendent jusqu’au milieu de son dos. Mon regard s’attarde sur sa poitrine. Ses seins de taille moyenne sont en forme de poire avec de larges aréoles et de petits tétons pointus. Soudain, elle tourne la tête et regarde dans ma direction. Croyant être vu, je me cache. Puis c’est plus fort que moi, je reprends ma surveillance. Elle est en train de pincer le téton d’un sein puis fait de même avec l’autre. Toujours à moitié nue, elle se lève et débarrasse la table du petit-déjeuner.
Je détaille le reste de son anatomie. Ses hanches sont bien dessinées et assez larges avec des fesses plutôt grosses, galbées par sa culotte. Je fais un gros plan sur son cul, elle essuie maintenant la table et me fait face dévoilant son pubis. Elle porte une culotte blanche gainant son ventre. Elle part dans une autre pièce. Je la perds de vue.
Comme nous, elle habite un F3 et la disposition des pièces est identique à celles de notre appart. Ma vue porte donc sur les fenêtres de la cuisine, la salle de bain et une des deux chambres avec balcon. Elle arrive dans la salle de bain qui dispose d’une grande fenêtre avec des vitres brouillées. Je distingue la forme de son corps qui va-et-vient dans la pièce. Elle se fixe devant le lavabo et enlève sa culotte qu’elle pose sur le bord de la baignoire. Puis elle se tourne et se rapproche de la fenêtre. Je distingue très bien le petit triangle foncé formé par la touffe de poils sur son pubis. Je n’en peux plus de me masturber et une giclée de sperme jaillit dans ma main.
Le soir venu, il est 22h30 et nous décidons ma femme et moi d’aller nous coucher. Je passe par le séjour et jette un œil vers l’appart de ma voisine d’en face. Elle a dû regarder les mêmes émissions que nous, car je la vois arriver dans la chambre vêtue d’un long peignoir de satin clair. Il glisse le long de son corps et tombe par terre. Elle est de dos et complètement nue, son cul est magnifique. Elle part dans l’autre chambre qui est hors de ma vue. Je rejoins mon épouse qui est déjà au lit.
— Tu en mets du temps pour venir te coucher.— J’avais encore un truc à regarder.
Françoise lit toujours avant de s’endormir. J’essaie de me concentrer sur un magazine de bagnole, mais j’ai la queue en feu et les joues rouges d’excitation. Elle s’en aperçoit et passe sa main sous la couette.
— Je ne sais pas ce qui te met dans cet état là, mais je compte bien en profiter.
En matière de sexe, nous partageons les mêmes envies et c’est souvent elle qui donne le top départ. Elle me masturbe, mais je l’arrête rapidement afin de ne pas éjaculer tout de suite. Je lèche son minou rasé en ticket de métro puis la prends en missionnaire avec ma bite raidie par la vision du cul de ma voisine. Après quelques va-et-vient, mon sperme envahit sa grotte. Elle se met sur le ventre, passe sa main dans son entrejambe et se caresse le clitoris. Des petits gémissements de plaisir accompagnent les contorsions de son corps. Dans un râle, elle atteint la jouissance recherchée.
— Dis donc, tu en avais envie.— C’est vrai, mais toi aussi !
Le lendemain matin, je vais à mon poste d’observation et là : rien, personne. Ma voisine d’en face est sûrement partie au boulot et hier lundi c’était certainement son jour de repos. Je potasse les annales du CAPES toute la journée. Le soir venu, avant de me coucher, j’épie la chambre qui doit certainement lui servir de dressing. Même chose que la veille, elle entre dans la pièce et enlève son peignoir avant de passer totalement nue dans l’autre chambre.
Je me dépêche de rejoindre Françoise dans le lit. Au bout de quelques jours, ma femme s’est aperçue de mon petit manège et me surprend en train de regarder à la fenêtre.
— Ah, je comprends maintenant ! — Comment ça ?— C’est la voisine d’en face qui te met dans cet état là le soir.
Je ne réponds pas et vais me coucher, un peu honteux de m’être fait surprendre. Je laisse passer quelques jours et un soir, je retourne à la fenêtre. J’attends impatient de voir venir la voisine. Soudain, elle arrive et comme d’habitude retire son long peignoir. Elle éteint la lumière, mais bizarrement reste dans la pièce. C’est la pleine lune et l’on voit dans la chambre presque comme en plein jour. Mes yeux s’habituent à l’obscurité et je distingue des formes qui bougent. Elle vient de s’adosser au mur et ne bouge plus. Un homme au crâne rasé s’est placé devant elle. Il l’embrasse puis la retourne contre le mur.
— Alors, c’est intéressant ?
Françoise est derrière moi et je ne l’ai pas entendue venir.
— A toi de me dire.
Je lui passe les jumelles. A la vue du couple en train de faire l’amour, elle pose les jumelles et saisit ma queue à pleine main pour la masturber. En face, il l’a prise par-derrière et le spectacle continue.
— Tu veux que je me place comme elle ?
Sans attendre ma réponse, elle pose ses deux mains sur le rebord de la fenêtre. Je me positionne derrière elle et ma verge pénètre dans son vagin. Je l’enfonce sans aucune peine tant elle mouille. J’accélère la cadence tandis que la voisine a pris appui sur l’arrière d’une chaise afin de se faire limer plus profondément. Le rayon de lune éclaire la queue de son partenaire qui va-et-vient entre ses fesses. Françoise est subjuguée par ce qu’elle voit.
— Il est passé à l’étape suivante, je crois qu’il est en train de la sodomiser.— Tu me l’as toujours refusée.— Ce soir, je veux bien essayer.
Comme la voisine, elle écarte un peu plus ses jambes, passe son doigt dans le sillon de ses fesses et enfonce délicatement son index dans son anus. Ça m’excite terriblement. Puis elle prend ma queue et l’aide à passer le sphincter. Je la pénètre petit à petit jusqu’au plus profond de ses entrailles. Au bout de quelques va-et-vient, j’éjacule sur ses fesses.
— Merci la voisine ! — La prochaine fois, ça sera avec de la vaseline ! J’ai mal au cul.
Les semaines passent et je continue à jouer les voyeurs pour le plus grand plaisir de Françoise pour qui je suis devenu un amant insatiable. De temps en temps, je l’appelle, elle regarde avec moi et nous faisons l’amour comme des bêtes.Mais le plus souvent, je me masturbe en solitaire.
Comme la fois où en pleine journée, je la vois passer de la salle de bain à la chambre avec un panier de linge à la main. Elle ouvre la porte-fenêtre de la chambre et étend son linge dehors sur le balcon. Cette fois, je l’observe sans les jumelles, car je tremble trop d’excitation. Elle est en string rouge et soutif assorti. Le soutien-gorge semble trop petit tant ses seins débordent des bonnets. Le soleil inonde le balcon et c’est la première fois que je la vois aussi distinctement. Sa peau est très blanche, elle a un petit ventre rond à la hauteur du nombril. Elle me tourne maintenant le dos et je suis hypnotisé par ses grosses fesses bien larges cachant le string qui disparaît dans sa raie. Il ne me faut pas longtemps pour que j’éjacule.
Un jour que je me baladais en centre-ville, je tombe sur notre exhibitionniste. Elle est en train de refaire la vitrine d’une boutique de prêt-à-porter en habillant les mannequins. Elle m’a vu et avec un grand sourire, me fait signe d’entrer.
— Bonjour, je vous reconnais, vous êtes le voisin du quatrième en face de chez nous, et moi je travaille ici.— Je ne voudrais pas déranger, il est midi passé et vous allez bientôt fermer.— On ne ferme pas pendant le midi, mais si vous voulez on peut se voir pendant ma pause déjeuner.— Et bien d’accord, je suis libre ce midi, on peut casser la croûte ensemble.— OK, je vous rejoins chez Paul là-bas à l’angle de la rue.
Pauline est plus grande que je ne le pensais. Très maquillé, son visage ressemble à celui d’une poupée russe. Elle a rassemblé ses cheveux blonds en une longue natte tressée courant le long de son dos. Nous parlons de choses et d’autres. J’apprends que j’ai sa nièce parmi mes élèves. Son copain travaille souvent tard le soir, car il possède un bar à bière dans une ancienne grange qu’il a aménagée. J’en ai entendu parler et il paraît que ça ne désemplit pas. Mais les rumeurs disent également que le soir, cela se transforme en bar fréquenté principalement par une clientèle gay. Puis la conversation prend une autre tournure.
— Alors, ça vous plaît de me regarder me déshabiller ? — Disons que ça ne m’aide pas dans mes révisions.— Moi j’aime bien qu’on me regarde. Toute petite, je voulais être actrice.— Vous avez mis du piment dans notre couple. — Ah ? — Ma femme a beaucoup apprécié la prestation de votre ami l’autre soir dans votre dressing.— Ah, je ne savais pas que vous nous observiez ce soir-là, et encore moins votre femme.— Elle a beaucoup aimé.— On avait pourtant fermé la lumière.— C’était la pleine lune et on voyait comme en plein jour.— Et cela l’a excitée, elle aussi ? — Oh que oui, et peut-être encore plus que moi.— Il faut absolument qu’on organise quelque chose ensemble avec Cyrille, mon copain.— Pourquoi pas.— Son bar ferme plus tôt le lundi alors disons lundi prochain en fin de journée.— J’en parle à Françoise, mais ça ne devrait pas poser de problème, vers quelle heure ? — 21 heures, ça vous va ?— OK, d’accord.
Finalement Françoise n’était pas libre, car elle devait préparer l’inventaire de son rayon. Notre voisine a quitté son appartement quelque temps après, sans que nous ayons réussi à trouver une autre date. Un soir, nous nous sommes décidés à aller dans ce bar à bière en espérant renouer le contact. Nous avons aperçu Cyrille derrière son comptoir et avons commandé chacun une bière faite maison. Il ne pouvait pas nous reconnaître, car Pauline ne nous l’avait jamais présenté. Le crâne complètement rasé, un piercing à l’oreille, il a des tatouages partout. Françoise le trouve plutôt bel homme et regrette d’avoir raté l’opportunité de mieux le connaître.

CHAPITRE 2
Finalement, j’ai raté le concours de l’agrégation. Je me suis orienté vers un autre métier et nous avons changé de région. Depuis ce rendez-vous manqué avec Cyrille et Pauline, j’ai souvent des pensées érotiques les mettant en scène. L’autre nuit, j’ai rêvé que Françoise avait réussi à se libérer et que le rendez-vous avait effectivement eu lieu. Nous nous rendons donc dans ce bar à bière où Pauline nous présente Cyrille.
Une fois le dernier client parti, il a fermé les portes de son établissement et nous a fait goûter des bières un peu plus fortes. Au bout de quelques dégustations, Françoise peu habituée à boire de la bière est à moitié saoule. Elle s’adresse à Cyrille en lui tenant le bras.
— Ça nous a vachement excités de voir Pauline se faire prendre par-derrière, pas vrai Georges ?
Un peu gêné, je fais semblant de ne pas comprendre tout de suite.
— Tu parles de l’autre soir ? — Ah c’est vous qui habitez en face ? Excusez-moi je n’avais pas fait le rapprochement.— Oui, nous sommes au quatrième.— Pauline m’a raconté que cela avait mis du piment dans votre couple.— Je suis vraiment contente qu’on puisse se rencontrer, vous formez un si beau couple.— Et ce n’est pas un hasard si Pauline vous a demandé de venir à la fermeture, n’est-ce pas ? dit Cyrille en retirant son tee-shirt, découvrant un torse musclé parcouru de tatouages. Pauline rajoute.
— Nous voir faire l’amour ne leur suffit pas, ce soir, vous voulez participer, pas vrai ? — Mmm.
J’avoue que je suis pris de court. Je ne m’attendais pas à ce que les choses aillent si vite. À moitié dans les vapes, Françoise ne s’est pas rendu compte que son chemisier est largement ouvert sur sa poitrine découvrant totalement un bonnet de son soutien-gorge. Elle est très sexy et il n’en faut pas plus à Cyrille pour se lever et se placer derrière elle. Ses mains s’engouffrent dans le chemisier et empaument les seins de Françoise. Tandis qu’elle minaude, il se penche et lui chuchote à l’oreille.
— Ce soir, on va exaucer vos vœux.
Pauline aide ma femme à se lever, elle vacille et manque de tomber.
— On va leur faire un strip-tease.
Tour à tour, les femmes enlèvent leurs vêtements. Françoise avec son petit coup dans le nez a du mal à les retirer. Heureusement, Pauline est là pour l’aider. Elle en profite d’ailleurs pour la caresser sur tout le corps.
— À vous maintenant !
Cyrille et moi sommes plus pudiques et avons gardé nos sous-vêtements. Je suis en shorty pendant que Cyrille s’exhibe en caleçon fantaisie.
Pauline s’agenouille devant moi, abaisse mon shorty et saisit ma queue. Elle la lèche, la suce et l’engloutit dans sa bouche. Cyrille a allongé Françoise sur une table et lui broute le minou. Elle ne réagit pas du tout. Je la connais, quand elle a trop bu, il faut qu’elle cuve un moment avant de refaire surface.
— Désolé Cyrille, tu n’y peux rien ! L’alcool lui fait toujours cet effet-là.
Il lâche l’affaire et se dirige vers nous. Il présente son sexe à Pauline qui a maintenant deux bites à s’occuper. Pendant qu’elle branle une queue, elle suce l’autre. Elle nous invite ensuite à nous diriger vers le bar devant lequel il y a un tapis. Elle s’y allonge sur le dos.
Cyrille lui caresse les seins pendant que je lèche sa fente cachée derrière sa petite touffe blonde. J’écarte ses petites lèvres et mordille son clitoris. Mes doigts pénètrent dans son vagin et s’enfoncent de plus en plus profondément. Pendant que ma langue malmène son petit bouton.
— Oui, là !
Cyrille a retiré son caleçon. Il est debout et se branle en nous observant.
— Viens, allonge-toi à côté de nous.
Elle se redresse et enjambe Cyrille. Il tient sa bite droite. Lentement Pauline s’empale sur ce membre tendu et commence à le chevaucher. Ses seins ballottent dans tous les sens. Je suis à genoux devant eux et me masturbe.
— J’ai envie que tu me prennes par-derrière !
Elle a vraiment un beau cul. J’écarte ses fesses, enfonce un doigt humecté de salive. Petits à petits, d’autres doigts forcent son sphincter. Son petit trou est maintenant suffisamment dilaté pour accueillir ma queue. Je l’encule d’une traite. Elle aime ça, car ses coups de reins me le rendent bien. Il ne me faut pas longtemps pour que j’éjacule sur ses fesses. Elle reprend ses montées et descentes sur la pine de Cyrille. Il la prend par les hanches et ralentit la chevauchée endiablée de Pauline. Elle a compris qu’il était temps pour elle de se lever.
— Viens !
Elle me pousse vers une table et s’agenouille pour me nettoyer la queue.
— Retourne-toi.
Je pose mes mains sur la table. Toujours accroupie, elle me malaxe les bourses et remonte sur mes fesses.
— Baisse-toi un peu.
Elle m’écarte les fesses et glisse sa langue dans le sillon et me lèche la raie. Elle s’interrompt un instant pour me poser la question.
— Alors ?— Continue !— Je vais mettre un doigt, tu me dis d’arrêter si ça te fait mal.
Après m’avoir planté son doigt dans l’anus, elle reprend avec sa langue qui maintenant rentre dans mon petit trou. Je recommence à bander. Tout à coup, elle se retire et Cyrille prend sa place. Et avant que j’ai pu dire quoi que ce soit, il m’encule.
— Traîtresse ! — Tu aurais accepté ? — Peut-être pas.— J’avais envie de voir deux hommes entre eux.
Il va et vient dans mon cul et je bande comme un âne. D’un coup, je vois ma femme qui émerge de ses vapeurs d’alcool et vient vers nous. Pauline se met en travers de sa route et l’embrasse fougueusement. Deux hommes et maintenant deux femmes entre elles. Cyrille se retire et la queue toujours bien droite se dirige vers Françoise et Pauline, toutes deux allongées sur le tapis en position 69.
Ma femme est sur Pauline. Cyrille doit adorer les culs, car il se met au-dessus de ses fesses. Il les masse, glisse son doigt dans la raie puis s’attarde sur son petit trou. Il saisit sa verge et la guide dans son trou. Petit à petit, elle s’enfonce. Françoise hurle de douleur.
Ses cris sont soudain couverts par le vrombissement de moteurs de motos.
— Police ouvrez !— C’est fermé ! répond Cyrille avant de compléter sa phrase.— Je t’ai reconnu Nono, patiente un peu, je vais t’ouvrir !
Pauline nous explique que Nono est l’associé de Cyrille pour le bar. C’est lui qui a avancé l’argent pour l’achat de la grange et les transformations. Nous nous rhabillons vite fait et une douzaine d’hommes font irruption dans la pièce. Habillés de cuir, ils sont pour la plupart tatoués avec des cheveux hirsutes. Il n’y a apparemment aucune femme dans la bande.
Cyrille donne ses consignes.
— Je ne suis pas censé être ouvert à cette heure-ci, j’espère que vous avez mis vos bécanes derrière.— Tu nous connais.— Bon, installez-vous, on va s’organiser.
Pauline propose qu’on aille en cuisine préparer des plateaux de saucisson et des assortiments de fromage pendant que Cyrille sert les bières. Françoise dont les grands-parents ont tenu un café préfère rester en salle à aider Cyrille. Me voilà donc avec Pauline à couper des rondelles de saucisson et des tranches de fromage.
— Elle est chaude ta femme ce soir !— Pourquoi tu dis ça ?— Regarde son sac à main.
Le sac est posé sur une chaise dans la cuisine, il est ouvert et je vois son soutien-gorge à l’intérieur. J’imagine l’effet produit par les seins pointus de Françoise dansant sous son chemisier de satin. Les plateaux sont presque prêts quand j’entends des acclamations en provenance de la salle. Pauline va voir puis revient dans la cuisine.
— Ils ont lancé le jeu de la bouteille !
Elle m’explique que cela consiste à faire des enchères sur la personne qui enfoncera le plus loin possible le goulot d’une canette de bière dans son trou.
— Viens, tu ne vas pas être déçu.
J’avance vers l’attroupement qui s’est fait autour de l’individu faisant l’objet d’enchères. Ce n’est autre que Françoise. Jeans et culotte aux chevilles, elle est accroupie sur une canette de bière posée à même le sol. Le goulot est complètement entré, on en est à cent euros. Ma femme grimace, la bouteille s’introduit lentement. Les gars sont très excités. Ils ont sorti leur braquemart et se masturbent. Au fur et à mesure que la bouteille s’enfonce, les enchères montent. Elles sont à présent arrivées à trois-cents euros. Françoise n’en peut plus.
— C’est bon, j’arrête !— Les gars vous êtes d’accord pour cinq-cents si elle la rentre complètement ?
Tout le monde est d’accord avec la proposition de Nono. Pauline vient au secours de ma femme.
— Allonge-toi sur la table, je vais t’aider !
Françoise est perdue et ne sait pas si elle doit continuer ou s’arrêter. Nos regards se croisent, je lui fais signe que je suis d’accord. Avec l’aide de Pauline, elle se relève et enlève le reste de ses vêtements. Nue, allongée sur la table, les jambes repliées, les cuisses écartées, Pauline lui enfonce la canette. Petit à petit, elle disparaît complètement dans le vagin de Françoise. Pauline s’exclame en levant les bras.
— On a gagné ! Les gars, vous lui devez cinq-cents balles.
Les gars en question sont des fils à papa, bourrés de fric. Pour eux cinq cents euros divisés par une douzaine de mecs, ce n’est pas grand-chose. Nono prend la parole de façon solennelle en s’avançant vers Pauline.
— On double la mise si tu lui mets dans le cul !
Françoise se rebiffe.
— Pas question !— Tant pis, mais merci quand même pour ta prestation.
Nono ne s’avoue pas vaincu pour autant et propose la même chose à Pauline. Après quelques palabres avec Cyrille, Pauline rejoint Nono.
— Mille euros, c’est ça ?— Non, on doublait pour Françoise, mais pour toi c’est cinq-cents !— Ah ?— À moins que tu arrives à te mettre une canette dans chaque trou.— Et là, c’est mille euros ?— Oui, mille pour deux bouteilles.
Pauline se déshabille et prend une noix de beurre sur le plateau de fromage le plus proche. Elle se badigeonne la fente de son pubis avant de faire la même chose dans le sillon de ses fesses. Elle dispose la première canette par terre.
— Non pas là ! Sur la table, il faut que tout le monde puisse voir.
Elle monte sur la table et s’empale sur la première bouteille. Françoise présente la deuxième canette au second orifice et l’aide à trouver le chemin. Pour ceux qui n’avaient pas éjaculé quand ma femme faisait son numéro, ils ne vont pas tarder à envoyer la purée. La canette disparaît progressivement dans les grosses fesses de Pauline. Ça m’excite tellement que ma bite me fait mal tant elle est dure. Je me réveille avec une grosse giclée de sperme sur mon ventre. Mon rêve vient de se terminer.
Diffuse en direct !
Regarder son live