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Pauline et Marc: première fois

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Pauline, la trentaine, plus bien fichue et très portée sur le sexe. Je bosse comme surveillante dans un collège, depuis deux ans maintenant. Quand je suis arrivée, j’ai été accueilli par Marc, un autre surveillant, de 10 ans mon aîné et plus ancien aussi dans l’établissement. Je n’ai pas flashé immédiatement sur lui, mais au fil de nos discussions, j’ai bien senti qu’il s’intéressait à moi. Il paraissait très sage et très sérieux et pourtant avait des allusions de plus en plus marquées à mon propos, chaque fois que nous n’étions que tous les deux... Un jour, notre conversation a dérapé sur les masques à porter en club libertin, et c’est là que tout a commencé... J’ai alors compris qu’il était bien plus coquin et pervers qu’il ne le laissait paraître. J’ai décidé de le tester et de voir où cela nous mènerait...
Je m’habille toujours de façon sexy, parce que j’aime me sentir belle et faire de l’effet aux hommes comme aux femmes. Ce jour-là, un jeudi je crois, j’avais mis une robe à plis qui m’arrivait juste au-dessus du genou. Le haut formait comme un bustier et se terminait en dentelle au-dessus des seins, ce qui me donnait une petite touche sexy. Dessous, le minimum, juste un string noir très fin, qui de dos pouvait laisser croire que je ne portais rien... Pour le haut, rien. Je voulais que mes seins pointent à travers la robe. En arrivant dans le bureau, j’ai fait mine de ne pas remarquer les regards appréciateurs de Marc, qui me bouffait littéralement des yeux. J’avais élaboré un petit plan pour le pousser à se révéler. Il fallait que je l’emmène dans une salle tranquille et la réserve à l’étage conviendrait parfaitement. J’y avais préparé quelques préservatifs dans une enveloppe cachée. Une rapide recherche dans l’informatique me permit de vérifier que les salles à côté n’étaient pas occupées... Je préférais qu’on soit tranquille pour ce que je j’espérais qu’il se passe.
Je confiais donc le bureau à une collègue en laissant entendre que je devais aller vérifier un truc dans une salle, et que j’aurais peut-être besoin d’un coup de main. Je demandais donc à Marc de monter avec moi. Bien sûr, il ne se fit pas prier. Je marchais devant lui et je pense qu’il restait volontairement en retrait pour profiter de la vue. Il allait être servi. En imaginant cela, je sentais mes tétons durcir et ma chatte s’humidifier... Dans les escaliers, je me penchais légèrement en avant, pour bien faire remonter ma jupe et lui offrir la vue la plus agréable possible, en montant doucement, l’obligeant à ralentir aussi, tout en prolongeant le spectacle. À aucun moment il n’a cherché à me dépasser, alors qu’il se déplaçait plutôt rapidement d’habitude. Il était mûr pour mon plan...J’entrais dans la salle la première en lui expliquant que la veille, j’avais trouvé un truc électronique dans l’escalier et que je l’avais mis sur la table et que je voulais son avis pour savoir si que je devais en faire. Bien sûr, il n’y avait rien sur les tables... Je me penchais donc en avant, dévoilant totalement mon cul et mon sexe, en faisant mine de chercher par terre
— Ça a dû tomber, attends, je vais le trouver...
Je n’avais pas achevé ma phrase qu’il avait plaqué sa main sur mes fesses.
— Je viens de trouver quelque chose de très intéressant..., me dit-il, en me malaxant le cul, je vais chercher un peu mieux.
A peine finie sa phrase, il se met à genoux et m’embrasse le cul ! Je me mets à dégouliner. Je me cambre totalement en écartant légèrement les jambes pour qu’il me bouffe carrément la chatte. Il comprend et vient lécher mon jus qui coule maintenant abondamment. Sa langue glisse entre mes lèvres avec délice. Il voudrait attraper mon clito, mais sa position n’est pas très adaptée pour cela.
— Je n’en peux plus !, me dit-il en ouvrant sa ceinture.— Attends !
Je l’arrête, me mets à genoux devant lui, et finis de boutonner son pantalon. Je veux extraire moi-même sa bite, que je devine de belle taille au regard de la bosse qu’elle fait sous ses vêtements. Je baisse son pantalon et découvre son caleçon tendu et taché d’une belle auréole... Il a déjà giclé, mais reste bien ferme... Je retire le dernier obstacle et découvre une belle queue, chaude et douce, d’environ 20 centimètres, mais d’un diamètre honorable. Elle sent le sperme dont elle est maculée. Je ne peux résister plus longtemps et viens laper ce jus avec ma langue et le fixant dans les yeux. J’aime son sperme épais et je crois qu’il adore que je le consomme ainsi. Je plante mes yeux dans les siens et nos regards valent plus que tous les discours. Nous serons amants, je le lis dans ses yeux. C’est une sorte de dialogue muet pendant que je le suce. Sa queue remplit ma bouche et j’aime ça. Il se retient
— Je veux te faire jouir, me dit-il.
Ni une ni deux, je sors un préservatif de mon enveloppe glissée sous un placard et habille sa queue de caoutchouc. Je me redresse et hésite un instant... En levrette ? J’adore, mais pour une première, je veux le voir, je veux voir sa queue en moi, lire dans ses yeux. Alors je m’assieds au bord de la table et écarte les jambes, en prenant appui sur l’autre table avec un pied :
— Viens !
Sans même parler, il se place devant moi sans me lâcher du regard. Il frotte doucement son gland contre mes lèvres pour chercher son passage. D’une main, je lui ouvre ma vulve. Il me pénètre alors d’un coup, profondément, rapidement, en me regardant dans les yeux. Je ne parviens pas à retenir un petit cri de surprise et de plaisir. Sa bite en gonflée et me dilate le vagin. Elle est un peu plus grosse que celle de mon mari et je ressens mille sensations nouvelles. Il remplit tout mon sexe et je dois légèrement le compresser. Je soutiens son regard et il commence ses va-et-vient en moi. Je lis dans ses yeux qu’il éprouve lui aussi de très bonnes sensations. Je le tire avec mes mains pour qu’il vienne bien en moi. J’aime sentir son gland au fond de mon vagin. Il alterne des allers-retours très rapides qui me mettent la chatte en feu, puis des passages plus lents où il se retire totalement, frappe son gland contre mes lèvres et me pénètre d’un coup sec et à fond en moi. Après quelques minutes de ce manège, je jouis comme une folle, me mordant pour ne pas hurler.
Ma chatte dégouline de bonheur. Je vois dans son regard qu’il aime me faire jouir et que le spectacle de mon plaisir le rend fier et heureux. Il a glissé ses mains sous mes fesses pour mieux me prendre et nos bouches se touchent. Nous sommes liés par nos orifices et c’est délicieux. Sa respiration a changé et je sens qu’il ne va pas tarder à venir. Je me retire rapidement et me jette sur sa queue, retire le préservatif et la prend en bouche. Juste à temps, car je sens des jets chauds au fond de ma gorge. J’avale sa semence avec gourmandise puis viens jouer avec ma langue pour extraire les dernières gouttes de ce nectar...
— Fin pour aujourd’hui, lui dis-je. Mais je crois qu’on pourra remettre ça.-Quand tu veux ! me confirme-t-il l’œil brillant.
Je réajuste ma robe, pendant qu’il remet ses vêtements. Le temps de retourner au bureau nous élaborons un alibi que personne ne nous demande finalement.
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