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Pauline à Marseille

Chapitre 4

Trash
Tout d’abord elle ne réalisa pas bien ce qu’elle voyait ; le palier était sombre, car le seul éclairage provenait de son studio. Puis elle distingua la silhouette d’un gigantesque Noir. Comme il était vêtu d’un jean et d’un tee-shirt noirs, seuls ses yeux luisants et ses dents révélées par son sourire carnassier contrastaient.   — Recule, laisse-moi entrer. — Mais je… Bon, d’accord.   Pauline recula sans se retourner, traînant des pieds. Craintive, elle fixait le visage fermé de son invité, cherchant à savoir ce qu’il lui réservait. D’emblée, elle fut troublée par sa beauté sauvage, sa peau si noire qu’elle mangeait la lumière, en semblant bleutée. Jamel paraissait avoir dans les vingt ans, ses cheveux noirs mi-longs brillaient et lui donnaient envie de plonger ses doigts dans leur luxuriance. Ce qu’elle ne risquait pas de faire : il la dominait d’une bonne tête. Ses bras sans le moindre poil à la musculature puissante devaient être capables de la briser en deux s’il lui en prenait l’envie, ses biceps étant plus gros que ses cuisses à elle.   Alors elle se contenta de reculer au milieu de la pièce pendant qu’il fermait la porte à clé derrière lui ; elle nota d’ailleurs qu’il empochait la clé avant de poser le sac à dos contenant les courses qu’elle avait faites une heure plus tôt, une éternité plus tôt.   — Alors c’est toi, Pauline ? Je ne t’imaginais pas ainsi. Si jolie, si fraîche. Je m’attendais à une zonarde junky au look gothique… Raté. Bon, déshabille-toi. — Mais… On devait discuter. — Et alors ? Tu ne peux pas discuter quand tu es nue ? — Non. Enfin si, mais… — Bon, alors exécution.   Devant l’air inflexible du géant, la jeune fille capitula et baissa les yeux en rougissant violemment. Pour la deuxième fois de la journée elle allait se retrouver nue devant un inconnu. Elle soupira si fort que le black ricana.   — Fais pas cette tête, on dirait que tu aimes pas montrer ton cul. Après ce que tu as fait chez Jacky, c’est rien… — Ouais, c’est ça. Je n’ai pas l’habitude de me déshabiller devant n’importe qui. — Je suis pas n’importe qui, je m’appelle Jamel, je suis celui qui va défoncer tous tes trous avec mon démonte-pneu.   Pauline allait faire passer son maillot par-dessus sa tête quand elle entendit ces mots. Elle se figea et déglutit difficilement. Tous ses trous… Il n’allait quand même pas… Mortifiée, elle baissa la tête et retint un gémissement. Oh si, il allait le faire, et elle n’était pas de taille à l’en empêcher. Mais aurait-elle envie de l’en empêcher ? Son corps lui criait le contraire. Elle déglutit difficilement et enleva son vêtement, dévoilant sa poitrine aux mamelons turgescents. La jeune fille plia soigneusement son grand tee-shirt et le déposa sur le vieux fauteuil qui lui servait de desserte.   Tordant nerveusement ses doigts, elle revint face au jeune homme et s’immobilisa, tête baissée pour masquer sa confusion.  
 — Tu attends quoi pour virer ta culotte ? — Oui, bien sûr, je…   À nouveau empourprée, Pauline fit prestement glisser son dernier et fragile rempart sur ses cuisses, l’enjamba et le posa sur le fauteuil. Puis elle tenta de se faire aussi petite que possible, mordant furieusement sa lèvre inférieure.   — Tu vas te tenir droite, oui ? Je veux voir la marchandise avant de l’utiliser, moi. Allez, vite. Tu montrais plus d’enthousiasme à montrer ton cul dans le bar, tout à l’heure !   Mortifiée, Pauline sentit une rougeur cuisante gagner jusqu’au bout de ses oreilles tellement elle avait honte. Mais elle obéit et se redressa tant bien que mal.   — C’est mieux. Écarte bien les jambes, tu seras plus stable. Là, encore un peu, que je vois mieux ta tirelire. Tu es une vraie blonde… Tu ne t’épiles pas ? — Non, je… Je n’ai pas beaucoup de poils... — C’est vrai. Mais il faudra y passer, Jacky m’en a parlé. Bon, voyons ça… Putain, tu es trempée ! Il a raison, Jacky, tu es une chaudasse.   Pauline se demanda si elle pouvait encore rougir tellement la honte la submergeait ; elle ‘avait pu retenir un petit cri quand deux doigts avaient plongé avec dextérité entre ses lèvres intimes. Ses mains vinrent entourer l’épais poignet de Jamel qui la réprimanda aussitôt :    — Les mains dans le dos, vite, ou je te dérouille. Jacky m’a expliqué que tu aimais ça, mais je peux être très méchant. — Pardon mais… Oh, c’est trop, faites doucement ! Doucement s’il vous plaît !   Jamel avait joint trois doigts pour les enfoncer jusqu’à la jointure dans l’étroit fourreau, arrachant des protestations timides à la jeune fille. Malgré tout, elle laissa ses mains dans son dos, n’osant pas contrarier son nouveau tourmenteur. Presque machinalement elle écarta un peu plus les cuisses en projetant son ventre en avant, comme pour s’offrir à Jamel. Qui se redressa en ricanant, conscient du désarroi de la jolie blonde.   — Bon, ouvre ton sac : il n’y a plus tes papiers ni ton fric, mais tu trouveras du lubrifiant et quelques autres trucs exprès pour toi.   Monsieur Jacky lui avait pris ses papiers ? Elle n’avait pas d’argent, il voulait qu’elle dépende entièrement de lui… Secouant la tête, Pauline ouvrit son sac et en sortit ses courses, deux yaourts, du coca et des pommes, ainsi qu’un tube de lubrifiant, des paires de menottes et un collier en acier, une sorte de cagoule en cuir noir, des chaînes et un gros objet ovoïde rouge qu’elle examina avec méfiance.   — C’est un plug, j’ai choisi un gros : une fois que je t’aurai bien enculée il entrera tout seul.   Pauline se retourna pour protester mais resta figée quand elle s’aperçut que Jamel s’était déshabillé entièrement : c’était un colosse taillé en athlète dont la présence emplissait la petite pièce et dont la virilité dressée époustoufla la jeune fille. Et provoqua un émoi certain dans son bas-ventre malgré la crainte de devoir accueillir en elle.   « Mon Dieu, il est énorme ! Je ne savais pas que ça pouvait exister ; et il envisage de me pénétrer par-derrière… Il va m’estropier, c’est certain ! »   Une fois de plus son corps la trahit et elle dut s’asseoir sur le lit, ses jambes ne la portant plus. Pétrifiée, elle ne réagit qu’en ouvrant grand la bouche quand Jamel s’approcha d’elle, gobant docilement le gland.   — Petite salope, tu aimes sucer ? Tu vas être servie. Sans les mains ! aboya-t-il quand Pauline voulut saisir sa verge dressée. Continue avec la bouche et applique-toi, sinon j’avertirai Jacky que tu n’es pas obéissante. Et crois-moi, tu n’as pas envie de savoir ce qu’il te fera si tu le mets en colère.   Tant bien que mal, la jeune fille commença sa fellation, attentive aux directives de Jamel qui la guidait de la voix et d’une main posée sur sa nuque. Parfois il la forçait à avancer, forçant légèrement sa luette et provoquant une salivation importante proche de la nausée.
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