Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 1 Commentaire

Pauline à Marseille

Chapitre 5

Histoire médaillée
Trash
La nuque cassée, Pauline le suppliait de ses yeux rougis et larmoyants quand il s’enfonçait trop profondément dans sa gorge douloureuse, mais jamais elle n’essayait de repousser Jamel. Elle comprenait qu’il valait mieux obéir et garder les poignets croisés dans le dos.   Enfin son suborneur estima qu’il avait assez profité de la bouche accueillante et il s’écarta, laissant Pauline reprendre son souffle. Haletante, elle recracha un trop-plein de salive qui s’écoula sur sa poitrine, se demandant ce qui allait se passer maintenant. Elle comprit quand elle vit le colosse déboucher le tube de lubrifiant et verser une grosse noix de gel translucide sur son épaisse colonne noire.   — Tu n’es pas terrible comme suceuse, tu as intérêt à t’améliorer rapidement. En attendant, je vais tester ton cul ; tu es du genre à être trop étroite, c’est pourquoi je me lubrifie. Bientôt, je veux pouvoir t’enculer à sec.   La jeune fille fut horrifiée par ces propos ; elle se rendait compte qu’en entrant dans le bar de Jacky elle avait mis le doigt dans un engrenage qui risquait fort de la broyer. Le pire étant qu’elle ne savait absolument pas comment sortir de cette spirale infernale. D’ailleurs le voulait-elle vraiment ? Son ventre était noué par l’appréhension et en même temps son sexe ruisselait, ses tétons pointaient effrontément…   — Bon, tourne-toi, je vais te casser le cul. Et tais-toi, si tu cries je serai obligé de t’attacher et de te bâillonner. Et je deviendrai vraiment brutal.   Blême, Pauline ne put que hocher la tête, trop choquée pour répondre de vive voix. Elle se positionna sous les ordres de Jamel, tête sur le lit, cuisses ouvertes ; comble de l’infamie, elle dut écarter ses fesses à deux mains pour mieux offrir son intimité. Elle laissa échapper un gémissement quand le colosse graissa copieusement sa rosette avant de la forcer de deux doigts joints. Elle reçut aussitôt une violente claque sur la fesse gauche.   — Je t’ai dit de la fermer, ce n’est peut-être pas assez clair pour toi ? Je vais te faire voir qui commande ici.   Pauline faillit hurler quand le gigantesque Noir la sodomisa d’une poussée brutale et sans concession. Les larmes jaillirent de ses yeux sous la douleur incommensurable. Les ongles plantés dans ses paumes, les dents serrées à en casser l’émail, elle avait l’impression qu’une poutre l’avait pénétrée pour la pourfendre sans pitié, plongeant plus loin en elle qu’elle ne le croyait possible.   — Arrêtez, doucement je vous en prie, supplia-t-elle d’une voix cassée. — Eh ! C’est toi qui as voulu tout ça, tu es allée chez Jacky pour t’encanailler, rappelle-toi ! — Oh ! C’est vrai, mais je ne pensais pas… Aïe ! Vous allez me déchirer ! — Penses-tu ! Tu es jeune, ton cul est plus souple que tu ne le penses. Il est fait pour être embroché.   Sourd aux supplications de la jeune fille, Jamel continua son entreprise de démolition à coups de reins réguliers et profonds ; La sueur ruisselait sur son torse et coulait sur le dos de Pauline dont la peau claire brillait. Fasciné, le grand Noir regardait son volumineux mandrin coulisser de mieux en mieux dans l’anus distendu de sa victime qui ne protestait plus.   Elle poussait de petits gémissements qui devaient autant au plaisir qu’à la douleur. En ricanant intérieurement, Jamel caressa les flancs et les fesses encore bien rouges des coups reçus plus tôt, il étala les gouttes de sueur et remonta jusqu’aux omoplates et aux épaules qu’il pétrit. En réponse, Pauline se cambra et s’offrit sans pudeur. Le colosse en profita pour accélérer la cadence, pilonnant les reins vaincus avec délectation.  
 Puis il recula et sortit complètement son épieu luisant dont il empoigna la base, regardant fasciné l’anus de Pauline palpiter et se refermer lentement, comme à regret.   — Alors, Dis-moi maintenant que tu ne veux plus de ma bite. — Vous êtes une brute, geignit la blondinette. Vous m’avez fait mal ! — Bien sûr que tu as eu mal. Mais tu as aimé ça, non ? — Oui, avoua-t-elle d’une petite voix contrite. — Alors demande-moi de revenir, supplie-moi de te démolir le cul. — Vous êtes fou si vous imaginez… Oh !   Le Black avait plongé deux doigts dans le pertuis trempé et brûlant de Pauline qui ne put que constater sa défaite. Submergée par la honte mais incapable de fuir la lubrique intrusion, elle gémit.   — J’attends, petite chienne. Tu en as autant envie que moi, sinon plus. Supplie-moi de t’enculer. — Oui… Enculez-moi, s’il vous plaît, démolissez mon cul, je vous en supplie. — Tu veux que j’y aille doucement ou violemment ? — Pas doucement, j’ai envie que vous soyez brutal, comme tout à l’heure. — Je peux l’être encore plus, si tu veux, proposa-t-il, certain maintenant de sa victoire sans appel. En te claquant les fesses, en tordant tes nichons. Mais après, tu viendras me sucer et nettoyer ma bite.   Complètement vaincue, Pauline acquiesça en hochant la tête. Jamel n’en demandait pas plus, il présenta son gland complètement congestionné devant l’anus à peine refermé et le fora d’un coup de reins puissant et sans appel. Il partit alors dans un assaut viril, sortant complètement pour revenir avec encore plus de force. En même temps il frappait alternativement les fesses de sa victime, les amenant à une teinte rouge vif.   Sans qu’il ait à lui demander, Pauline souleva son torse, bien cambrée, pour qu’il puisse empoigner ses tétons gonflés et les tordre sans pitié. La jeune fille se mordait les lèvres pour ne pas crier, quelques larmes coulant sur ses joues. Mais elle ne chercha pas à échapper à son suborneur qui en profita de manière éhontée en accélérant encore le rythme. Lorsqu’il sentit monter la jouissance il se planta si fort que Pauline bascula en avant, tombant à plat sur le lit. Fiché en elle, il se vida à longs traits, ce qui provoqua un orgasme dévastateur chez la jeune fille.   Jamel mit plusieurs minutes à reprendre son souffle, écrasant Pauline sous sa masse sans qu’elle se plaigne ; puis il bascula sur le dos et s’étira, son sexe n’ayant rien perdu de sa vigueur ou presque. Dès qu’elle eut retrouvé ses esprits, La jeune fille se souvint de ce qu’elle avait promis et se redressa pour saisir la base de la verge qu’elle contempla un instant. Elle avait réussi à l’accueillir dans les reins, elle avait même joui alors qu’il la pilonnait, distendant ses muscles sphincters au-delà de ce qu’elle croyait possible. Et il était toujours aussi majestueux, prêt à recommencer.   Mais elle, l’était-elle ? Un sentiment de honte la submergea quand elle réalisa que oui, elle avait envie que Jamel la plie encore à ses quatre volontés, qu’il la pénètre par où il le souhaitait. Pour masquer son trouble elle baissa la tête en avant et ouvrit largement la bouche pour engloutir le gland décalotté. Il sentait fort, mais elle refusa de s’appesantir sur cela, se concentrant sur la douceur de la peau, la vigueur et la tension qui habitaient l’épaisse colonne de chair. Laquelle durcit sous sa langue et ses caresses, tellement qu’elle envisagea un instant l’enjamber et la chevaucher.   — Non, avertit Jamel. C’est non. Tu as un quart-d’heure pour te laver et manger. Après quoi je vais te préparer pour la nuit. Exécution.   Joignant le geste à la parole, il repoussa la jeune fille et l’expédia dans la petite salle d’eau. Dix-huit minutes plus tard Pauline était douchée et avait mangé sur le pouce (un bout de fromage et deux pommes). Toujours nue, elle s’immobilisa devant le lit dont Jamel n’avait pas bougé. Il lui montra du doigt ce que Jacky avait glissé dans le sac à dos et elle lui apporta le tout, disposant sur le drap froissé les menottes et autres articles.
Diffuse en direct !
Regarder son live