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Ma Pause

Chapitre 1

Gay
Il venait d’avoir 18 ans... Ces paroles de Dalida résonnent en moi aujourd’hui lorsque je repense à cette histoire... J’en ai 27 aujourd’hui. Cela s’est passé il y a seulement neuf ans finalement.J’avais dix-huit ans, j’étais étudiant en BTS, et c’était ma pause déjeuner.
Cette pause était pour moi particulière, car j’avais rendez-vous avec un mec rencontré sur Grindr entre midi et deux pendant ma pause.
L’homme que j’ai rencontré avait 23 ans. Grand de taille, mince et roux. Il se disait hétéro, mais voulait une première expérience gay. Il n’était pas prêt à sauter complètement le pas, il voulait pour l’instant une expérience soft.
Là où j’ai été surpris, c’est qu’il m’a proposé d’aller dans les toilettes des mecs de la gare pas loin du lycée. Selon lui, l’une des toilettes de cette gare serait un lieu de rencontre pour gay... Je n’en connaissais absolument pas l’existence... Je ne m’étais d’ailleurs jamais penché sur les différents lieux de rencontres de ma ville. Et pourtant, il y en a un bon nombre. Aujourd’hui, je connais la plupart des endroits, mais à l’époque, mes relations sexuelles se résumaient à mes trois camarades de lycée à qui je servais de plan cul régulier, l’un de mes frères adoptifs, et deux pères de famille dont l’un était parent d’un des camarades de ma classe... Ce même mec qui tentait en vain de me harceler... Ironie du sort...
Et enfin, j’ai commencé à fréquenter Grindr. Je peux vous dire que cette application est encore aujourd’hui l’une de mes favorites.
Ces toilettes ne sont plus un lieu de rencontre aujourd’hui, des travaux ont notamment été menés afin de ne plus laisser d’espace entre le sol et la séparation entre chaque toilette. La porte de ces toilettes ne laisse rien entrevoir, en revanche, les séparations sur les côtés étaient suffisamment hautes pour passer en dessous. On ne voyait bien sûr pas l’intimité d’une personne assise sur la cuvette hein. En revanche, un mec qui se mettait à genoux, forcément on pouvait tout voir.
Ce jour-là, l’homme m’a entraîné dans ces toilettes. Nous sommes partis dans les premières cabines devant la sortie, histoire d’être attentif aux sons et être en alerte. Une fois la porte refermée derrière moi, c’était bon pour moi. J’avais verrouillé ma proie. Je me suis alors retourné vers lui de mon regard malicieux et me suis approché jusqu’à le plaquer contre le mur. Je me suis mis à l’aise en enlevant mon tee-shirt et me mettant donc torse nu. Il faisait au moins une tête et demie de plus que moi et mon pauvre mètre soixante-neuf. Je me suis approché pour l’embrasser, il a eu un mouvement de recul. Il ne voulait visiblement pas embrasser. Il m’a expliqué qu’il ne se sentait pas prêt pour embrasser un autre mec.
Dommage... Mais j’ai respecté sa décision. Du coup, ça me laissait l’occasion d’entrer dans le vif du sujet. Toujours collé à lui, j’ai posé ma main sur son ventre avant de descendre vers son Jean. J’ai commencé à stimuler cette petite bosse qui s’accentuait à travers son Jean. Puis je suis remonté au niveau de la ceinture afin de la défaire. Je lui ai lancé un regard rapide pour savoir si je devais continuer, ce à quoi il a répondu par un hochement de tête. À partir de là, ma main a pénétré dans cette zone inconnue. Poilue dans un premier temps, puis j’ai reconnu l’objet de mon fantasme que je sentais tout chaud : son sexe que je pouvais toucher de mes mains. Toujours ma main dans son boxer, j’ai réussi à toucher ses testicules puis à masser sa queue que je sentais en érection.
Je me suis ensuite mis à genoux peu à peu. Je lui ai descendu son pantalon en même temps que son boxer tel un cadeau que j’étais en train de déballer. J’étais face à son intimité. Couronnée de jolis poils roux, une bonne queue a jaillit de son sous-vêtement et s’est mise à rebondir face à moi. Un gland tout rose qui semblait me défier, m’appeler, m’hypnotiser. Ce n’était pas la plus grande queue que j’avais vue, mais c’était déjà très excitant. J’adore être soumis, et être à genoux devant un mec qui vous regarde de haut, pendant que vous êtes en train de le sucer est pour moi l’une des meilleures preuves de soumission. La fellation est l’une de mes pratiques favorites, juste pour cette sensation. J’ai donc attrapé ce membre et sans hésitation. Ma langue a glissé de ses testicules vers son sommet. Ma bouche entoura alors son gland et j’ai commencé à m’amuser avec en son tournoyant avec ma langue dessus.
Puis j’ai aspiré son sexe petit à petit, doucement, je savourais centimètre après centimètre.
Mon regard se posait vers lui de temps en temps, histoire de le jauger, voir s’il ne me fuyait pas du regard. Voir s’il me regardait bien comme la chienne que j’étais. Lui me fixait, semblait apprécier le moment. Pendant que j’accélérais mon mouvement, je kiffais presque autant que lui. Dans ma bouche, je sentais bien la forme de son sexe. Les veines, sa queue n’était pas lisse. J’avais l’impression de sucer quelque chose de duveteux. Un peu comme une peau de pêche, mais beaucoup moins velu bien sûr. C’était agréable en bouche.
J’ai tété ce sexe pendant de longues minutes. Lui se mettait de plus en plus à l’aise. Il a aussi enlevé son haut, laissant alors apparaître son beau torse légèrement velu et dont les muscles semblaient se dessiner. Le sentant à l’aise, je me suis retiré et ai pris une grande inspiration puis me suis enfoncé profondément son dard jusqu’à la gorge. Je savais déjà faire des gorges profondes. Ma bouche atteignant sa base. Je suis resté figé quelques secondes avant de m’extirper. Je voulais lui en mettre plein la vue, lui rendre ce moment inoubliable. Lui faire comprendre qu’aucune fille ne lui ferait pareil.
J’ai continué encore pendant une bonne dizaine de minutes à prendre soin de son sexe. Il ne fallait néanmoins pas faire trop de bruits. De temps en temps, une personne entrait dans les urinoirs avant de ressortir rapidement, personne ne nous a remarqués... Enfin, c’est ce que je croyais à ce moment...
J’ai senti tout comme lui qu’il allait venir, il s’est mit alors à se masturber frénétiquement au-dessus de mon visage, je m’étais mis en attente, la bouche ouverte, la langue tirée, j’attendais mon dû, ma récompense. Et là, enfin, dans un râle de plaisir étouffé, ce fut de longs jets de sa semence qui sont allés s’échouer contre ma langue, mon visage. J’en avais même sur l’œil. Pas dedans bien sûr. Je me suis délecté de son sperme, j’ai essuyé les restes sur mon visage avec mon doigt afin de le déguster. Je ne voulais pas en perdre une seule goutte. J’ai enfoncé une nouvelle fois sa bite dans ma bouche afin de la nettoyer. D’en extraire les dernières gouttes.
Mon partenaire s’est rhabillé, il a pensé que j’allais le suivre, mais non, je voulais rester, j’avais besoin de mon petit plaisir solitaire suite à ce qu’il venait de se passer. On s’est alors dit au revoir. Je l’ai entendu sortir des toilettes pendant que moi je restais assis sur la cuvette. Je me suis levé pour baisser mon pantalon puis j’ai commencé alors à me caresser...
To Be Continued
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