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Pause coquine sur l'autoroute

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Fatiguée, Luna s’arrêta sur une aire d’autoroute. Elle se gara aux côtés d’un énorme camion, disparaissant complètement aux yeux de tous. Elle pourrait faire un petit somme tranquille. Elle se glissa côté passager, fit reculer le siège et bascula le dossier en arrière.
La chaleur encore étouffante malgré l’heure avancée de la nuit l’empêchait de s’endormir vraiment. Une seule chose pouvait l’aider à se détendre assez pour rejoindre Morphée. Elle se caressa l’intérieur des cuisses, souleva sa jupe et fit glisser sa culotte sur le tapis. Humidifiant son majeur, elle le posa directement sur son clitoris. Elle desserra les cuisses légèrement et, soupirant d’aise, commença ses allées et venues délicates du bout du doigt. Gémissant, elle finit par s’abandonner et écarter ses jambes franchement, glissant son majeur du clitoris à l’entrée de son vagin, entrant une phalange avant de remonter, et de recommencer. La salive n’était plus nécessaire. Elle commençait à mouiller suffisamment pour lubrifier son doigt et descendre jusqu’à son anus. Elle le titilla, pressant dessus, sans entrer. Elle remonta ses pieds sur le siège pour faciliter l’accès jusqu’à son petit trou.
Elle ouvrit les yeux, et sursauta. Elle reposa ses pieds et redescendit sa jupe. Un homme l’observait par la fenêtre, une bosse à l’entrejambe, indiquant que le spectacle était à son goût. Il ne la quittait pas du regard. Il déboutonna son pantalon, caressa son sexe à travers son boxer, puis fit glisser le sous-vêtement. Son pénis était large et déjà bien rigide.
Elle frémit. Elle n’osait pas regarder le visage de l’homme. L’excitation remontait déjà en voyant ce gland luisant tendu vers elle. Elle reprit ses caresses. Mue par un instinct sauvage, elle eut envie de le sucer. Elle remit le contact pour baisser la vitre. Elle n’eut pas besoin de lui faire un dessin, il s’était déjà avancé de sorte que son sexe soit à portée de ses lèvres. Elle ne réfléchit pas, et le prit en bouche. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle était en train de faire.
La fatigue avait disparu, laissant place à une envie de sexe dévastante. Elle gémit en enfonçant la queue de l’inconnu dans sa gorge. Un grognement primaire lui répondit. La fellation était au goût de Monsieur. Elle fit quelques allers-retours aussi profondément qu’elle le pouvait. Sa langue caressait la peau douce et parfumée, ses lèvres glissaient, sa glotte accueillait le gland en butée.
— Je veux pas jouir dans ta bouche. Je veux goûter à ta chatte. Viens.
La voix était rauque. Elle obéit sans réfléchir. Elle aussi elle voulait qu’il la prenne. Et qu’il la prenne fort de préférence. Elle ouvrit la portière et le suivit jusqu’au camion voisin. Il lui fit escalader les marches en lui poussant les fesses nues. Elle arriva derrière les sièges, sur un matelas relativement grand. Elle se figea. Un autre homme était déjà couché, endormi.
— Putain c’est quoi ce délire ? Laisse-moi partir !— Nan ma belle, trop tard pour ça. Tu vas t’allonger et être bien sage. On va réveiller mon pote pour qu’il puisse profiter de ton cul.
Il était devant la portière qu’il venait de refermer. Elle ne voyait pas comment s’échapper de cette situation, mais son besoin inassouvi et la belle queue tendue sous ses yeux maintenaient son envie de sexe si forte qu’elle se demanda si elle aussi n’allait pas profiter de cette situation. OK, elle n’avait pas planifié ça comme ça, mais deux bites pour elle, c’était une occasion de réaliser un vieux fantasme.
— T’as pas l’air de vouloir partir finalement, ricane-t-il. T’es une belle chaudasse en fait. Hum ça m’excite ça.— Mike, c’est qui celle-là ?
Ah. Le pote se réveillait. Le dénommé Mike attrapa Luna par les hanches et la retourna pour la mettre à quatre pattes, dos à lui, et face à l’autre, ahuri.
— Celle-là, elle était en train de se masturber dans sa voiture juste à côté de nous. J’ai pensé qu’on pourrait l’aider. T’en penses quoi Raph ?
— T’as lu dans mes pensées mec, ça fait plusieurs jours qu’on est parti, j’étais en manque. Et toi ma belle, t’en penses quoi ? T’as envie de te faire démonter par deux inconnus ?— Ça me dirait bien oui.
Elle avait répondu sans réfléchir, le cerveau en mode pilote automatique. Elle n’avait pas envie de parler. Elle avait envie de baiser. Toujours à quatre pattes, elle s’approcha du type qui avait déjà viré la couette. Il dormait à poil et sa semi-érection continuait de grossir à mesure qu’elle s’approchait. Quand elle se pencha pour lécher le sexe maintenant tout à fait réveillé, il grogna de satisfaction.
— Oh putain c’est bon ça. Vas-y p’tite pute, suce-moi bien.
Bizarrement, les insultes l’excitèrent encore plus. Elle sentit son vagin se lubrifier encore et gémit en enfonçant le sexe de Raph dans sa bouche. Les deux mains de Mike furent d’un coup sur ses fesses et elle sentit son gland qui cherchait l’ouverture humide. Elle gémit plus fort quand le sexe la pénétra de quelques centimètres. Elle s’avança un peu pour qu’il suive le mouvement, puis elle recula brusquement pour s’empaler sur le sexe de Mike.
— Ah tu veux la jouer comme ça !
Il l’agrippa fermement par les hanches, se retira, et la reprit sauvagement. Il la prit de plus en plus loin, de plus en plus fort. Elle subit les assauts avec délice, les gémissements se faisant de plus en plus fort autour du sexe de Raph. Elle le sentit se tendre, la veine palpiter.
Mike lui tira les cheveux en arrière, l’arrachant à sa fellation. Luna et Raph gémirent de frustration.
— Viens la baiser Raph.
Mike s’allongea sur le matelas et attrapa Luna au passage pour la positionner à califourchon sur lui. Il lui caressa les seins, puis attrapa ses épaules pour qu’elle s’allonge sur lui. Raph eut le champ libre pour lui lécher l’anus. Elle grogna de plaisir sous les caresses humides qui s’infiltraient dans son petit trou. C’était trop bon. Elle ne tint plus, toute cette tension devait redescendre d’une façon ou d’une autre.
— Prenez-moi les gars. Prenez-moi tous les deux en même temps.
Mike reprit sa place au chaud dans le vagin de Luna et attendit que Raph soit en position. Elle sentit le gland mouillé écarter doucement son anus. Il ressortit. Rentra doucement, un centimètre de plus. Ressortit. C’était une torture. Il fit encore quelques allers-retours pour bien lubrifier le conduit, puis la prit jusqu’au fond.
Ils étaient tous les deux en elle, immobiles. Mike bougea doucement, Raph tenta de se caler au même rythme. Quand l’un sortait, l’autre rentrait. C’était divin. Son clitoris se frotta au bassin de Mike, la stimulant, l’excitant. Elle gémit, puis cria de plaisir, de douleur, de frustration.
— Baisez-moi les gars. Baisez-moi plus fort !
Son clitoris gonflé prit le contrôle de son cerveau. Elle ne savait plus où elle était ni avec qui. Elle s’en foutait, elle voulait juste qu’ils la prennent de toutes leurs forces et qu’ils la fassent jouir. Elle écarta encore plus les jambes et rétroversa le bassin pour amplifier les frottements sur son clitoris.
— Hum, hum, oui putain oui !
Elle sentait les bites qui la pilonnaient. Elle sentait ses chairs qui se contractaient. Elle sentit son clitoris qui allait exploser.
— Je vais éjaculer !
Elle ne savait pas qui avait parlé. Mais elle sentit les queues se durcir encore. Ils allaient éjaculer tous les deux. Elle se laissa emporter par l’orgasme qui dura plusieurs secondes, par vagues. Son corps encore contracté reçut des giclées de sperme. Mike s’était retiré et éjacula sur son ventre. Raph s’était calé bien au fond de son cul pour décharger.
Ils retombèrent tous les deux sur Mike.
***Luna attendit d’entendre les ronflements pour redescendre discrètement du camion. Elle remonta dans sa voiture, elle avait encore de la route...
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