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Pauvre Nico !

Chapitre 3

Une approche " psychologique " !

Voyeur / Exhibition
— Dis donc, t’aurais pas envie de mettre un porte-jarretelles sous ta robe grise qui m’excite tant ?— Pourquoi, en quelle occasion ?— Pour faire plaisir à notre hôte par exemple. Je crois savoir qu’il te trouve très à son goût. — Voyons Marc, c’est mon neveu !— Il n’en est pas moins un jeune homme de 23 ans, qui aime les jolies femmes. Sur l’historique de l’ordinateur, j’ai remarqué qu’il était allé voir des catalogues de lingerie fine. S’il voyait la lisière d’un de tes bas... peut-être que ce serait bon pour son moral ?— Tu ne veux pas que je le serve toute nue, en porte-jarretelles, non plus ! Tu ne vas pas recommencer avec tes idées de partage et de candaulisme ! Tu sais ce que j’en pense !— Mais non voyons. En bon mari que je suis, il est hors de question que tu te déplaces dans une tenue inconvenante devant ton neveu... pas comme ta salope de sœur devant moi... tu te souviens l’épisode de la culotte blanche ? Toi, tu es une femme intègre ! De toute façon, je t’interdirais toute attitude inconvenante en face de lui. Je suis le protecteur de ta vertu !— Tu m’interdirais ? Dis donc sale macho, tu te prends pour qui ? Mon père ? J’ai pas besoin de faire la pute, mais je peux montrer que je suis une femme agréable, pour un jeune homme désespéré comme lui, et pas frigide non plus. Combien de fois tu me l’as sorti cet adjectif !— Remarque, à tout prendre, si tu baisais avec lui... ce ne serait pas de l’échangisme, ça resterait dans la famille ! Non ?! Et puis, qu’aurait-il a échangé avec moi contre toi ?— Ma salope de sœur par exemple... sa mère ! Je sais pourquoi tu parles de ça... tu n’aurais pas envie de te la faire, par hasard... pendant que Nico baiserait avec moi ?? Non ?— Voyons, que vas-tu chercher ? Je ne suis pas comme ça ! ”

Je sentais que cela tournait au vinaigre ; de vieilles tensions refaisaient surface, des rancœurs non oubliées, des frustrations sexuelles de ma part, qui m’avaient parfois fait employer des mots très durs envers Cécile, la jalousie toujours vive entre Cécile et sa grande sœur, vis-à-vis de moi... je sentais que le vent tournait du bon côté. J’enfonçai le clou.
— Ben oui frigide... enfin, c’est peut-être un peu fort comme terme, mais avoue que tu es quand même un peu coincée comme gonzesse. Regarde hier. Pas moyen de faire l’amour depuis 3 semaines. Je veux bien que tu prennes soin de Nico, mais tu me laisses un peu de côté en ce moment.— Mais ma parole, tu es jaloux ! Je rêve ! Tu imagines que moi et mon neveu ? Que j’ai envie de coucher avec lui, rien que pour emmerder ma salope de grande sœur ?— Pfouh ! Venant de toi, “coinssos” comme tu l’es, aucune chance !— Putain, t’es vraiment un connard. Tu ne changes pas. Tu vas voir si je suis coincée !— Je verrai rien du tout ! Tu serais incapable de t’exhiber devant lui ! Tu vois bien, je demande simplement que tu mettes un porte-jarretelles sous ta robe, qu’il n’est pas censé voir du tout, et tu te refermes comme une huître !— Je l’allume quand je veux !— Eh bien, vas-y, prouve-le ! Fais nous bander un peu !— Je n’ai pas besoin que tu me donnes des conseils... je fais ce que je veux ! Si j’ai envie de le servir à poil, je le ferai, un point c’est tout ! Et je ne porte aucun intérêt à tes envies de candaulisme, ou au contraire à tes interdits de petit mari bourgeois jaloux !”— Faudrait savoir, pensais-je goguenard... ma femme avait toujours eu beaucoup de difficultés, pour prendre des décisions claires et abouties !

Cécile était écarlate, touchée au vif, dévalorisée, honteuse, car elle savait que j’avais raison d’une certaine façon. Son inaptitude à la sexualité avait toujours été une pierre d’achoppement entre nous. Elle quitta le salon, monta les escaliers et se réfugia dans notre chambre, dont elle claqua la porte.Enfermée depuis 30 minutes, je tapai à la porte.
— Casse-toi, je veux pas te voir !— C’est pour le dîner, ton cher petit protégé va avoir faim dans trois heures. Sa petite maman par intérim devrait lui préparer la béquée. Ah, au fait, ton petit ange, regarde ce qu’il fait quand il est aux toilettes. " Et je glissai une enveloppe format A4 sous la porte de la chambre.
Elle contenait la photo de Cécile en guêpière, porte-jarretelles, la chatte à l’air, la bottine posée sur la chaise. Sur un coin, une traînée de sperme séché, blanchâtre. J’avais demandé à Nico d’en répandre un peu dessus, pour mettre le point final à mon plan machiavélique.
— Alors, ça t’excite qu’il fantasme sur toi comme ça ?! Regarde la petite traînée sur le coin supérieur gauche ! Il se serait pas branlé en te matant à poil et en porte-jarretelles ? “
Pas de réponse... il fallait laisser ma femme digérer l’information ! Puis, laissant la situation mûrir, et Cécile décider de la conduite à tenir, j’emmenai le jeune Nicolas travailler à la serre. Il était 9h00 et nous devions rentrer à midi trente. Quelle serait la surprise ???

Une fois attablés, je me demande quel genre de petit spectacle va nous jouer mon épouse...Aurait-elle le culot d’arriver complètement nue, ou bien en guêpière et bas, la chatte à l’air, comme sur la photo qui avait tant plu à son neveu ?

Mais non, la voici qui porte la robe serrée grise, la fermeture éclair sur le côté, avec 5 boutons qui vont de la poitrine au col.Elle porte les bottines noires de la photo, sur laquelle s’est épanchée la fougue de son neveu... et les bas résille idem.Elle est maquillée très femme fatale. OK, c’est bien parti pour un grand numéro de bourgeoise salope ! Elle nous propose d’abord de prendre un apéro au salon, faisant asseoir Nico sur le sofa face à son fauteuil... et moi à ses côtés, elle, restant seule sur ledit fauteuil.Si exhibition il y a... avec une certaine jouissance dans la vengeance qu’elle désire m’asséner, je serai le voyeur involontaire de sa volonté de femme libre !Attention, accrochez vos ceintures !

Cécile a négligemment laissé ouvert deux boutons de plus, que les trois réglementaires, ce qui fait qu’en nous servant nos verres, en se baissant, le regard de mon neveu peut se poser sur ses seins...Celui-ci se dandine un peu sur le sofa, à la fois surexcité et mal à l’aise.Personnellement, j’attends la suite avec impatience ; ma femme se pose sur le fauteuil en face de nous, les genoux bien serrés. Nicolas qui ne peut s’empêcher de regarder ses jambes, bien découvertes par la robe courte il est vrai, est un peu désappointé... mais prenant son verre sur la petite table à sa gauche, le corps de Cécile s’étire et non seulement les lisières des bas apparaissent, mais en plus elle a desserré les cuisses, laissant voir le petit triangle de poils blonds.
Nicolas est aux anges... Puis ma femme croise les jambes, ses jarretelles apparaissent. M’adressant un regard de gourmandise et de défi, elle semble dire : " vous auriez envie de me baiser, là, maintenant, tous les deux ?! " Et elle écarte les cuisses au maximum, avec vue intégrale sur sa petite chatte luisante. Pas de doute, cette “exhibe” la fait mouiller, la salope !
Nous passons à table...à un moment, elle fait tomber sa serviette, demandant à Nico de la lui ramasser.Il ne faut pas être grand clerc, pour imaginer que ma femme a les cuisses bien écartées, la jupe relevée jusqu’au porte-jarretelles, pour laisser admirer sa vulve toute mouillée au petit Nicolas...
Le sourire béat de mon neveu, et le discret coup d’œil que je jette, en faisant tomber ma fourchette me confirme la chose.Ma femme a effectivement les cuisses écartées, la robe relevée au-dessus du porte-jarretelles, et elle a la moule à l’air. Putain, c’est vraiment trop excitant de penser qu’elle peut s’exhiber ainsi devant son propre neveu ! Je ne sais pas si le "plan" marchera, mais j’ai vraiment trop envie que mon neveu se la tape, devant moi. Qu’est-ce que je donnerai pour qu’il avance sa main, et lui mette les doigts dans sa chatte bouillante !
Ma femme a dû lire dans mes pensées, car elle attrape la main de Nico et la présente directement sur son pubis ! Nico caresse le triangle de poils, puis dirige un doigt hésitant vers le sexe ouvert et baveux de mon épouse... et avec beaucoup d’excitation, je vois le doigt rentrer dans la vulve, écarter les grandes lèvres du sexe de ma femme ! Mais comme Cécile s’est rendu compte que je ramasse ma fourchette, elle serre les cuisses... fin du jeu pour Nico. Il n’a pas eu le temps de pénétrer la grotte sacrée... partie remise !
Alors reprenant possession de "mon territoire", je plaque une main sur le pubis découvert, en laissant des doigts intrusifs visiter la fente accueillante.Sur le coup, ma femme reste interloquée, mais ne se rebiffe pas, et au contraire, me facilite l’intromission, en écartant un peu plus les cuisses... je passe le reste du repas avec deux doigts enfoncés dans ce fourreau chaud et humide.

En quittant Nicolas et devant ma femme, je présente mes doigts gluants devant son visage. Il comprend et renifle avec délectation la mouille de sa tante. Passant à côté de ma femme, je lui glisse à l’oreille :— T’es sur la bonne voie pour te faire prendre comme une putain...
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