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Pauvre Nico !

Chapitre 7

Cécile s'occupe bien de sa grande soeur...

Trash
Quand Nicolas pénètra dans la chambre de Marc et Cécile, il vit cette dernière accroupie, nue en porte-jarretelles, fichée sur un énorme godemichet animé d’un mouvement circulaire. Sa tante se faisait littéralement défoncer l’anus, mais elle semblait adorer cela. Elle souriait les yeux fermés, et tentait de produire des plaintes extatiques malgré la masse de chair qui lui obstruait jusqu’à la gorge !Marc avait sa queue dans la bouche de sa femme, qui le suçait tres servilement. Mais Cécile n’avait pas trop le choix, elle avait les deux bras relevés au-dessus de sa tête, et ses mains étaient liées par des cordelettes à la tringle à rideaux, 2 mètres au-dessus d’elle !Cécile était donc soumise aux caprices sexuels pervers de son mari, qui semblait avoir retourné la situation, et réintegré sa femme dans son orbite de débauche. Pour la punir de s’être foutu de sa gueule, il n’avait trouvé que cela comme punition !

Il avait compris que faire enculer sa femme par un gode mobile assez conséquent, n’allait certes pas la terrifier ! Mais c’était la position de soumission absolue qui l’excitait, et qui, pensait-il serait la punition de sa femme : être ainsi offerte en pâture à son jeune amant et neveu, dans cette position plus qu’avilissante. Marc savourait le fait que le jeune Nicolas puisse voir sa nouvelle amante et maîtresse, dominée par son mari, et obligée de se soumettre à ses caprices les plus pervers ! 
Pourtant Cécile avait un sourire de triomphe, et non pas une attitude honteuse. Car en définitive, elle avait réussi à concrétiser son plan à elle !! Faire venir sa sœur, la maman de Nicolas…dans un dessein fatidique connu d’elle seule! Et que son mari n’était même pas capable de subodorer !! Seul Nico savait, au vu des vidéos qu’elle lui avait montrées, ce qui attendait sa mère. Ou du moins d’après la teneur des enregistrements qu’il avait visionnés avec un mélange d’effroi et d’excitation, il pouvait concevoir à quoi sa mère allait être exposée... Et pourtant il ne pouvait rien dire. Il était trop accro à sa tante, à son corps sublime et à toutes ses parties, à sa sexualité débridée, aux parties de cul qu’elle lui avait accordées, ces dernières 24 heures, pour oser contrecarrer sa tante, en prévenant son mari ou bien sa mère ! Tant pis, sa mère serait l’agneau sacrificiel !!D’un autre côté il était extrêmement curieux...cela pouvait avoir des développements amusants, voire excitants !!!

De plus, voir sa tante dans cette position l’excitait encore plus, il n’avait vraiment pas envie de terminer le jeu, de faire foirer le coup, même si sa mère allait payer pour ses turpitudes à lui. Et bien tant pis !D’autre part, il était un peu curieux de savoir jusqu’où sa tante irait avec sa mère ?? Qu’allait-il bien sortir du cerveau perturbé de sa tante et de ses pensées nauséeuses ?? C’est son oncle qui allait être étonné. Il ne connaissait rien de la phase sombre de sa femme !!!
“ Allez, viens, te fais pas prier, viens te faire sucer la queue par cette salope ! Ce trou à bite ne demande que ça !! C’est une putain domestique, une trainée, ma femme !! Une salope qui se fait baiser par son neveu dans le dos de son mari, quand il est au boulot. Vous m’avez trahi tous les deux, pourtant je t’avais prêté ma femme la nuit dernière. Tu ne pouvais pas attendre que je rentre, pour baiser de nouveau avec ma femme !! Merde alors. Bon, c’est pas grave, on va la défoncer tous les deux. Profite bien, salope, demain tu n’auras plus la vedette, c’est ta salope de sœur qui aura tous les honneurs !!
— Je l’attends avec impatience !! Lui répondit-elle...et in petto : Ah ça, tu peux le dire, songea Cécile !!

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Alice, la maman de Nicolas, celle qui n’arrêtait pas de se plaindre, malgré sa plastique plus qu’avantageuse, ses succés constants avec les hommes, et la richesse de son mari, qui lui passait tous ses caprices, arriva dans son Austin mini décapotable à la mode…elle avait mis le paquet, un chemisier blanc très léger, ajouré sur les côtés, une mini jupe noire très moulante et des bas couture blanc. 
Un sourire éclatant, sa chevelure de feu ébouriffée par le vent. Une déesse !! Rien ne lui résisitait. Cécile la regardait avec à la fois de la jalousie, de l’envie et de la haine, qu’elle arrivait bien à dissimuler !
Elle embrassa son beau-frère presque sur les lèvres, en l’enlaçant, et jeta un regard de défi à sa soeur :
“ Alors ma chérie, tu t’es bien occupée de mon fils ? On dirait qu’il a repris goût à la vie !! Mais en as-tu fait autant avec ton pauvre mari ??
— Ah ça tu peux le dire...les deux !! Et je vais bien m’occuper de toi aussi ma chère soeur !!
— Ah bon, je n’ai besoin de rien moi !!
— On verra !! Même pas de mon mari ??
— Oh, c’est du passé ça, et cela n’a été qu’un petit flirt, tu m’en veux encore pour ça ??
— Maaaaaiiiiiiisssss nooooooonnnn ma chérie, s’écria Cecile dans un rictus de haine.
— Bon c’est très bien alors… Marc tu me montres vos installations de serres ?? Où sont- elles situées ?? "

"Et allez, ça commence,  elle ne perd rien pour attendre cette pute !!! " Pensa Cécile, qui se remémora le petit film qu’elle s’était vue remettre par son neveu, qui avait craqué les codes de sa mère. On y voyait sa grande soeur baiser avec son mari de façon très vulgaire...Marc l’avait même fistée...elle attendit avec stoïcisme que les deux "tourtereaux " rentrassent à la maison...

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L’atmosphère fut assez étrange, les jours suivants, dans la maison, lourde, sournoise...Nicolas s’attendait toujours à une explosion de sa tante envers sa mère, une discorde, une dispute entre femmes, mais rien. Le calme avant la tempête. Cécile se tenait coite, et ne sourcillait même pas aux "agressions" de drague parfois lourdes que sa grande soeur imposait à son mari devant ses yeux...
Pourtant il y avait bien quelques incidents bizarres...Alice avait plein de petits bobos. Tantôt elle s’égratignait le mollet avec un clou qui dépassait malencontreusement de l’encadrement de sa porte. Une autre fois, elle se brulait avec un couvert négligemment abandonné prés de la cuisinière.Un matin, elle se prit une assiette sur le pied, en ouvrant un placard dans la cuisine, objet qui avait bien failli lui casser un métatarse...Mais à chaque fois Cécile la soignait avec solicitude, et lui prodiguait les plus grands soins et son affection ! Alice qui connaissait la rancoeur de sa soeur à son égard en restait comme hébétée !

Marc, quant à lui, était heureux, il profitait des douces attentions de sa belle-soeur, une main sur la bite, sous la table pendant qu’ils mangeaient...ou bien c’était lui qui profitait de l’absence de culotte de sa belle-soeur, pour lui mettre la main sur la foune !!! Cette dernière ne pipait mots, mais faisait comprendre son plaisir par de grands sourires.Quant à sa femme, elle redoublait d’activité sexuelle au lit, et cela en était fini des parties de cul avec leur neveu !!Celui-ci ne pouvait pas épancher sa soif de sexe durant l’absence du mari, car sa mère étant toujours à la maison avec sa tante, les choses étaient plus compliquées !! Et cela faisait bien rire Marc, il n’aurait peut-être pas dû vivre sur son petit nuage !!

Un matin, alors qu’il avait pris Nicolas avec lui, pour l’aider à ramener une cargaison de crotin de cheval, Alice eut un nouveau malheur ! Alors qu’elle était dans le jardin, à cueillir des fraises, une branche de roncier à mûres se détendit soudain, et vint méchamment la cingler sous sa robe assez légère. C’est en pleurs, le tissu blanc de la robe imbibé de sang, qu’elle revint à la maison.

Cécile l’emmena rapidement dans la salle de bain et la fit déshabiller...évidemement Alice était entièrment nue sous sa robe. Cécile ne sourcilla pas, et la fit assoir sur une chaise, les pieds en appui sur une autre, et les cuisses bien écartées. Elle saisit du coton, l’imbiba d’alcool à 90 degrès et sans façon l’appliqua sur la grande estafilade d’au moins 20 centimètres, qui décorait l’intérieur de la cuisse gauche d’Alice. Celle-ci voulut arrêter son geste :
" De l’alcool, tu n’as pas autre chose...tu es sûre que..." Dit elle, avant de pousser un terrible hurlement dû à la piqure de l’alcool sur la plaie.
— Ce doit être extrémement douloureux, ma chérie, répliqua Cécile, le regard brillant. Mais il faut en passer par là. Les ronces peuvent faire infecter très rapidement la blessure. Comme tu n’as pas de chance...
— Mais tu es cinglée ?  ça fait trop mal ! "
A ce moment, le flacon lui échappa des mains et se déversa sur la cuisse nue d’Alice. Le liquide s’écoula partout, jusque dans la fourche de ses cuisses, et vint humidifier son pubis bien taillé en bande de poils roux, et ses nymphes si fragiles !
"  Aiiiiiiieeeee, mais tu es conne ou quoi ?
— Je suis désolée, je suis tellement maladroite, pardonne-moi !!
— Putain, mais quelle imbécile, je comprends pourquoi ton mari... dit-elle, avant de se ratrapper.
— Mon mari...quoi ?? Avoue que cela doit être vachement plus pratique, de te faire tripoter partout et tout le temps, nue sous ta robe...Alors ma chérie, il faut qu’on parle entre femmes. J’ai un truc très interessant à te montrer, tu vas adorer, ça te concerne !!
Tu sais que tu es trop bien gaulée, dit-elle en faisant voyager un doigt sur sa cuisse, tout en posant un pansement. Je crois qu’il va y avoir du nouveau entre nous !!! "
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