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J'ai payé mon loyer en nature

Chapitre 1

Hétéro
Voici comment j’ai laissé mon propriétaire jouir dans mon ventre après qu’il m’eût forcé à lui exhiber ma chatte, les jambes bloquées sur les accoudoirs d’un fauteuil de mon salon, en compensation de plusieurs mois de loyer en retard.Cela faisait trois mois que je n’avais pas payé mon loyer aussi, il a commencé à menacer de me mettre à la porte. Les promesses ne suffisaient plus aussi lorsque je l’ai vu venir vers mon appartement, alors que je n’avais pas un sou en poche, j’ai vraiment commencé à flipper. Que faire, ce n’était pas mon genre de m’enfuir en douce pour ne revenir qu’après son départ, mes parents ne m’avaient pas habitués à ce genre de comportement. Dans ma famille, on assume ses responsabilités quel qu’en soit le prix. Il était vraiment pas content et à peine entré, il me demanda de rassembler mes affaires car il était temps de partir puisque je n’avais pas pu honorer mes engagements.Je réalisais que j’allais me retrouver à la rue d’une minute à l’autre aussi, je le suppliais de ne pas faire çà, mais voyant qu’il commençait à prendre quelques unes de mes affaires pour les mettre dehors, je m’agrippais à lui en lui promettant que je ferais tout ce qu’il voudrait s’il acceptait de patienter, le temps que je me refasse une santé financière.Mes paroles semblèrent l’intéresser car il posa mes affaires avant de me dire :Bon, il y aurait bien une solution, mais c’est à toi de voir.Dites ce que vous voulez que je fasse, je ne veux pas me retrouver à la rue.L’homme ferma la porte puis se dirigea vers un des fauteuils du salon. Il s’y assied puis me dit :Viens par ici.Je prenais place à mon tour sur le canapé en face de lui.Il me regarda, me détailla avant de me lancer :T’es vraiment un beau brin de fille tu sais. Si tu voulais être gentille, on pourrait régler cette histoire de loyer.Je réalisais tout à coup ce que je lui avais laissé entrevoir en disant que j’étais prête à faire tout ce qu’il voulait. Je ne savais pas comment réagir, quoi dire. Mon propriétaire me sentant hésitante, renchérit d’une voix autoritaire :Décides-toi ma jolie. Quand je me lèverais de ce fauteuil, l’arrangement ne tiendra plus.Je le regardais dans les yeux. Il s’apprêtait à se lever pour partir. J’essayais de réfléchir à toute vitesse, mettre un peu d’ordre dans mon esprit. Il se levait déjà. Affolée, je m’entendis lui dire :Arrêtez, arrêtez, c’est d’accord. Qu’est-ce que vous attendez de moi ?Tout s’enchaîna alors très vite. Brisée, il me parlait, je m’exécutais comme une automate.C’est ainsi que je me suis retrouvée, les deux jambes sur les accoudoirs de mon fauteuil, la jupe relevée jusqu’à la taille, mon proprio, à genoux entre mes cuisses, le regard vissé vers mon entrejambe protégé par une minuscule culotte en coton.Ecartes ton slip sur le côté que je puisse voir ta chatoune.J’obéissais. Je détournais mon regard de celui chargé de désir de mon propriétaire. Je réalisais tout à coup que cet avilissement m’excitait. En effet, des fourmillements caractéristiques se manifestaient dans mon bas-ventre. Le fait de ne pas avoir d’autre alternative que d’obéir, me laissait entrevoir un côté obscur de ma personnalité dont j’ignorais l’existence.T’as une jolie petite moule. Çà me donne envie de la sucer.Joignant le geste à la parole, il avait déjà plongé vers mon entrejambe. J’essayais d’échapper au contact de la langue s’insinuant entre mes lèvres mais c’était peine perdue. Ses deux mains fermement posées à plat sur l’intérieur de mes cuisses, m’empêchaient tout mouvement. Visiblement habitué à pratiquer cette caresse, l’homme ne mit pas longtemps à débusquer mon clitoris qu’il se mit à lécher, sucer, le faire rouler sous sa langue jusqu’à le faire bander comme une petite bite. J’essayais désespérément de penser à autre chose, des trucs désagréables mais sans succès. Les spasmes de mon bouton se propageait dans tout mon corps, de mon bas-ventre à mes reins pour remonter le long de ma colonne vertébrale et atteindre mon cerveau. Je m’en voulais de céder à l’appel du plaisir, ne pas être capable de résister, refuser ces sensations qui inexorablement s’emparaient de mon corps, mon esprit, ma volonté.Il m’avait enfiler un puis deux de ses doigts dans la chatte. Ils coulissaient sans difficultés en émettant des bruits obscènes mais excitants. En quelques secondes, je n’étais plus qu’un sexe, un gros sexe fait pour jouir.Je ne voulais pas qu’il m’entende gémir, prendre du plaisir sous ses doigts, sa langue. Je saisissais un coussin derrière moi que j’enfonçais dans ma bouche en y plantant mes dents pour étouffer les sons qui s’échappaient de ma gorge. Le plaisir était trop fort, les spasmes de mon fourreau plus puissants, j’aillais jouir, il me suçait trop bien. Le salaud jubilait, mon sexe parlait pour moi, serrant ses doigts comme dans un étau à chaque vague de plaisir. Je me mis à jouir quand il se mit à gratter l’intérieur de mon vagin de plus en plus vite. Fier de lui, il m’encourageait à me laisser aller.Jouis ma chérie, jouis, laisses-toi aller.Un puissant orgasme me submergeait tandis qu’il se redressait pour me regarder jouir en souriant.Oui. C’est bien ma chérie. Ouiiiiiiiiiiii. T’es encore plus belle dans la jouissance.Tous mes sens basculaient. Je perdais pied, ma vue se brouillait. J’essayais désespérément de garder les yeux ouverts pour soutenir son regard mais impossible, la jouissance était trop forte. Je sombrais rapidement entre deux eaux. Les endorphines prenaient possession de moi. Je m’abandonnais aux habiles caresses de mon proprio sur mon ventre, l’intérieur de mes cuisses, mes genoux, mes seins, c’était bon. Je m’abandonnais au bien-être de la jouissance, c’était fait de toute manière, autant en profiter pleinement. Je ne sais combien de temps je restais déconnectée du monde des vivants. Quand j’ouvrais enfin les yeux, il était là, entre mes jambes, un énorme chibre à faire peur dans sa main.Je n’avais ni la force ni l’envie de résister mais la taille de son engin me fit ouvrir des yeux ronds comme des billes sous l’effet de la surprise ce qui le fit sourire.T’as bien joui tout à l’heure ma chérie. J’suis sûr que tu vas aimer ça aussi.Dans une seconde il allait m’embrocher. Je sentais déjà son gland dans l’entrée de ma vulve. Je fermais les yeux dans l’attente de l’estocade. Le morceau de chair s’enfonçait en moi, glissant dans mon fourreau inondé de mes secrétions intimes. Une lente progression, une lente possession que je n’aurais jamais imaginé quelques instants plus tôt. Hummmmmmmmmmmmm. T’es trop bonne. Ils en ont de la chance tes petits copains.Ses commentaires résonnaient dans mes oreilles en même temps que le bruit de ses cuisses qui maintenant claquaient en cadence contre mes fesses. Il me possédait, avait fait de moi, sa petite pute. Au lieu de me débattre, d’essayer de me dégager de cette queue qui me bourrait le ventre, j’acceptais cet avilissement d’offrir mon corps, ma petite chatte à un homme qui aurait pu être mon grand-père.Sa grosse queue me faisait un bien fou. Il me fourrait en me donnant d’énormes coups de reins, son gland venant butter contre ma matrice à chaque fois. Là encore j’essayais de détourner mon regard du sien pour qu’il ne lise pas dans mes yeux la montée du plaisir car j’en avais, c’était vachement bon. L’homme savait se servir de son chibre alternant les coups puissants et ceux plus en profondeur très lents. Je m’entendis gémir lorsqu’il se mit à me branler le bouton avec l’un de ses doigts. Il allait encore me faire partir, le salaud, et il le savait. Tout mon corps le renseignait. Tu vas encore jouir ma jolie. On peut dire que t’aime la bite, toi ! Si ça se trouve, t’as fait exprès de ne pas payer ton loyer pour t’en prendre plein la chatoune, espèce de coquine.J’avais beau faire non de la tête, c’était vrai, un nouvel orgasme se préparait. J’avais beau lutter, me concentrer sur autre chose, des vagues successives, de plus en plus rapprochées, fortes m’envahissaient le ventre, les reins. J’allais jouir d’une seconde à l’autre. Ce salaud me faisait trop de bien. Quand il me traita de petite pute adorée, j’explosais bruyamment, faisant fi de mon désir de ne rien lui montrer de mon plaisir.Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh salaud, salaud, vous me faites jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.Oui ma petite pute que j’adore. Ouiiiiiiiiiiii. Jouis ma chérie, jouis. T’es trop belle quand tu prends ton pied.Mon orgasme redoublait de violence en l’entendant m’appeler sa petite pute. Incapable de me contrôler, les yeux grands ouverts, presque hébétée par la violence du plaisir, je le vis en train de me sourire, son sexe entièrement enfoncé dans le mien, me tenant par les hanches, satisfait. Son regard lubrique sur mon corps, mon sexe, prolongeait mon plaisir, j’aimais cette façon qu’il avait de me désirer, me posséder. Et ça me faisait peur.
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