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Payer une dette par amour

Chapitre 2

Trash
En arrivant à la maison, Ernest me tendit un petit sac. A l’intérieur, j’y retrouvais mon pantalon, mon chemisier et mes sous-vêtements troqués l’avant-veille pour une tenue moins chaste.
« Change-toi... Ton Gérard n’a pas à profiter des cadeaux de Monsieur Charles... »
Habituée maintenant au regard d’Ernest, je me suis mise à nue sur la banquette arrière de la voiture. Puis j’ai enfilé mes vêtements. Je me sentais bien mieux dans cette tenue « normale » plutôt que dans la tenue de prostituée offerte par Charles. Pour autant, je ne me sentais pas moins sale d’avoir accepté ce marché et les caprices de cet homme à qui l’amour de ma vie devait de l’argent. Une fois changée, je suis sortie de la voiture. « A vendredi! » me lança Ernest avant de quitter les lieux. Seule, j’avançais vers la porte d’entrée espérant de toute mon âme la douceur de Gérard.
« Ah, te voilà ma chérie !— Oui...— Pas trop dur ?— Tu veux savoir ?— Je ne sais pas... »
A cet instant, je me jurais de donner à Gérard plus que ce que les autres m’avaient pris ce week-end. Je voulais me faire pardonner mon abandon mais sans qu’il ne sache ce que j’avais fait. C’est alors qu’il me serra dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche. L’aurait-il fait s’il avait sur que ma bouche avait donné du plaisir à d’autres sexes ce week-end ? Je ne pourrais le savoir mais cette idée commençait à me hanter.
Je poussais Gérard jusqu’au canapé et l’y assis. Je me suis agenouillée devant lui et ai commencé à ouvrir sa braguette. Charles m’avait contrainte à sucer sa verge et celle d’un inconnu. J’allais me donner corps et âme dans celle que je m’apprêtais à faire à Gérard. Son magnifique sexe tendu s’offrait à moi, avide de caresses. Je commençais par le lécher tendrement sur toute sa longueur, caressant ses testicules de ma langue amoureuse. Puis mes lèvres commencèrent à l’embrasser, partant de ses boules poilues jusqu’à son gland. Je pris son gland en bouche pour le suçoter tout en y faisant tournoyer ma langue. Mes mains branlaient ce sexe avec douceur. Petit à petit, je fis descendre mes lèvres le long de sa verge tout en léchant ce qui entrait dans ma bouche. Les soupirs de Gérard me laissaient penser qu’il aimait, comme d’habitude, cette caresse. Je ne lui accordais que peu mais il la réclamait souvent. Là, il n’eut pas besoin de me demander. Je lui offrais de bonne grâce.
Lorsqu’il fut entièrement dans ma bouche je commençais à monter et descendre le long de sa verge. Cette fellation, je la voulais douce mais puissante. J’allais et venait le long de son sexe avec vigueur. Il gémissait de plus en plus fort. Je me décidais à tenter une nouveauté. Prenant mon courage à deux mains, j’enfonçais sa verge au plus profond de ma bouche. Son gland finit par atteindre le fond de ma gorge provoquant une sensation désagréable mais je voulais le contenter au mieux. J’accentuais la pénétration de son sexe dans ma bouche et tentais de sortir ma langue pour lécher ses boules. Cette tentative fut infructueuse mais, au regard que me lançait Gérard, mon abandon lui plaisait. Je fis alors aller et venir son gland dans ma bouche afin qu’il frappe à chaque fois au fond de ma gorge. Gérard exprimait bruyamment son plaisir. Puis il me dit qu’il allait jouir. Enserrant fermement sa verge dans ma bouche et l’enfonçant au plus profond de ma gorge, je lui fis comprendre que je voulais lui offrir un cadeau jusque là refusé. Il se déversa dans ma bouche m’emplissant la gorge de son sperme abondant. J’avalais tout sa semence avec avidité puis nettoyais son sexe des dernières traces de son plaisir. Quand mes lèvres ou ma bouche touchait son gland, il était pris d’un spasme. J’étais heureuse de l’avoir rendu heureux...
« Je t’aime, me dit Gérard, le regard encore perdu dans le plaisir que je venais de lui donner— Moi aussi... De plus en plus fort...— Tu as faim ?— Oui, mais c’est moi qui m’occupe de tout... et de toi...— Non. Tu as dû avoir un week-end difficile.— Justement, je veux m’occuper de toi pour en rendre la fin heureuse. Laisse-moi te montrer à quel point je suis tienne.— Comme tu voudras... Je t’aime... »

J’aillais chercher un paire de chaussures à talon haut puis me rendis dans la chambre. Là, je me dénudais entièrement. J’enfilais une de mes nuisettes courtes et la paire de chaussures puis retournais dans le salon où Gérard m’accueillis avec un sourire immense.
« Tu es très...— Sexy ?— Oui...— Ça te déplait ?— Oh non...— Tu as le droit de toucher si tu veux... »
Charles et Sofia m’avaient mise dans une tenue des plus vulgaires et m’avaient tripotée autant qu’ils le pouvaient. Mon homme aurait droit au même traitement toute la semaine. La seule différence, c’est qu’avec lui, j’avais envie d’être touchée, caressée et même masturbée à tout moment. Et Gérard ne s’en priva pas. Pour le repas, je pris le temps de rester auprès de lui après l’avoir servi pour qu’il puisse me tripoter. Puis, toute la soirée, il me caressa le sexe, les seins et surtout les fesses. Son doigt glissa même à quelques reprises le long de la raie de mes fesses. Le soir venu, au moment d’aller au lit, j’ai rejoins mon amour qui était déjà au lit. Debout devant lui, j’ai retiré ma nuisette et me suis allongée à ses côtés entièrement nue. Il se blottit contre moi mais épuisée par le week-end, je me suis endormie en très peu de temps.
« Bonjour ma belle. »
La douce voix de Gérard venait de me réveiller. Sa douce main était sur mon sein et descendit doucement vers mon sexe.
« J’aime beaucoup la nouvelle coupe de ton sexe.— Je n’ai pas arrêté de penser à toi en le faisant.— Tu n’as pas besoin de me mentir...— C’est vrai. C’est Charles qui me l’a fait tailler comme ça... »
Gérard m’embrassa en me caressant puis me dit que nous devions nous lever. Une fois le petit déjeuner avalé et préparée, je me suis rendue au travail. Toute la journée, je n’eus à l’esprit que ce que j’allais offrir à l’amour de ma vie. Aussi, quand je suis rentrée, je suis partie tout de suite dans la chambre. J’ai revêtu un string, une nuisette et la paire de chaussures mise la veille.
Quelques minutes plus tard, j’entendis la voiture de Gérard et me mis en position, à quatre pattes sur le canapé. Lorsqu’il entra dans le salon, il s’approcha de moi et je sentis sa main sur mes fesses.
« Bonsoir chérie... et bon soir joli cul.— Bonsoir mon amour.— Qu’est-ce qui me vaut l’honneur ?— C’est moi qui serais honorée de te sentir en moi...— Mais tu es déjà prête, me dit-il en passant sa main sous mon string. »
Il descendit alors mon string à mi-cuisses puis j’ai entendu la boucle de sa ceinture et sa braguette. Quelques instants plus tard, il montait avec moi sur le canapé. Son gland glissa le long de ma fente pour s’humidifier. Puis, malgré ma position qui rendait plus étroite l’entrée de mon sexe, il entra en moi. Il commença à aller et venir doucement entre mes lèvres gonflées de désir.
« Tu ne m’as pas vraiment répondu. Qu’est-ce qui me vaut l’honneur ? Tu n’as pas trop l’habitude de te comporter comme ça...— Parce que je t’aime et je veux être à toi autant que tu me désires.— Il ne doit pas y avoir que ça...— Peut-être est-ce parce que je suis une vilaine fille coquine— Vilaine ?— Les filles vilaines, ça mérite une punition... »
En disant cette phrase, je me mis une petite claque sur les fesses, espérant qu’il saisisse le message. Il sembla comprendre parce qu’il se permit de me claquer lui aussi. Ses mains douces flattèrent ma croupe avec avidité puis elles s’abattirent de nouveau violemment sur celle-ci. Tout en continuant à me prendre, il me claquait les fesses de plus en plus fort. Ses coups de butoir s’intensifiaient eux-aussi. Il semblait prendre beaucoup de plaisir à cette pénétration accompagnée des fessées. Tout à coup, un orgasme puissant me secoua. Gérard continua son traitement ne me laissant pas de repos. Après quelques secondes de pénétration supplémentaire, il finit par sortir de mon sexe pour jouir bruyamment en arrosant mes fesses de son sperme. Il remonta alors mon string et remit en place ma nuisette, la collant contre mes fesses avec son sperme frais.
« On mange quoi ce soir ?— Je ne sais pas...— Tu pourrais commencer par un petit apéritif. »
Il prononça cette phrase en présenta devant ma bouche son sexe couvert de mon plaisir et avec des traces du sien. Tendrement, je le nettoyais sa verge. Puis je servis mon homme durent toute la soirée. Comme la veille, je dormis nue avec mon homme qui apprécia le contact de ma peau directement contre la sienne.
Le lendemain, après une longue journée de travail, je rentrais à la maison pour préparer ma surprise à mon homme. Durant la journée, je m’étais rendue dans un magasin de lingerie et avait acheté un porte-jarretelles et une paire de bas. En rentrant, j’avais enfilé cet achat avec une ensemble de lingerie culotte et soutien-gorge sous un peignoir léger.
Quand Gérard rentra, quelques trop longues heures plus tard, son regard en me voyant me glaça le sang.
« C’est quoi cette tenue ?— C’est pour toi mon amour...— Ça ne va pas mieux... On dirait une pute !— Tu préfères que je me change ?— Non, tu veux passer pour une pute, reste comme ça... »
Abasourdie par sa réaction alors qu’il était la raison pour laquelle je m’étais mise dans cette situation, je décidais de faire face et de le servir comme j’avais fait jusque là. Il accepta ma servitude à son égard mais ne me toucha pas. Il s’éloigna même de moi quand nous sommes partis au lit.
Le lendemain fut une journée difficile car je n’osais plus rien faire et il ne me toucha pas. J’étais juste partagée entre l’envie de lui et mon besoin de le servir au mieux, de le rendre heureux.
Lorsque le jeudi soir arriva, je me rendis compte que c’était la dernière soirée que je passais en sa compagnie étant donné qu’Ernest viendrai me chercher le lendemain soir. Penaude, je demandais à mon homme lorsqu’il rentra du travail, ce qu’il voulait que je fasse pour lui.
« Ta tenue de mardi soir...— Oui...— Celle de... enfin, tu vois...— Oui...— Tu veux bien la remettre ?— Je croyais qu’elle ne te plaisait pas.— Non, c’est juste que je n’ai pas compris pourquoi tu faisais ça. T’habiller de la sorte.— C’était pour toi, parce que je voulais que tu me désires... Je vais me changer, pour toi... »
Heureuse, j’allais me changer enfilant les mêmes vêtements que mardi soir. Ainsi, en porte-jarretelles, bas, culotte et soutien-gorge, je me présentais de nouveau à lui. En me voyant arriver, il dégrafa sa ceinture et sa braguette et sortit son sexe.
« Suce-moi... Tu fais ça si bien... »
Fière de l’avoir ainsi contenté en début de semaine, je tombais à genoux devant lui. Tout doucement, amoureusement, je commençais à choyer sa verge qui ne tarda pas à se tendre. Je suçotais et léchait le doux sexe de cet homme que j’aimais tant. Je voulais lui laisser le plus doux des souvenirs, qu’il pense à ma bouche en ayant une érection à chaque fois. Quand il fut assez choyé, je me décidais à employer les grands moyens pour le faire jouir. Comme je l’avais fait dimanche soir en rentrant, j’enfonçais la verge de mon homme de plus en plus loin dans ma bouche. Il frappa au fond de ma gorge. D’une main ferme, il me bloqua dans cette position qui m’étouffa presque. Il ne me relâcha que pour que je reprenne mon souffle puis m’enfonça de nouveau son sexe au fond de ma gorge. Ensuite, il me laissa jouer avec sa verge. Je léchais son sexe puis le sucer document avant de l’enfoncer au fond de ma bouche. J’alternais ces différents traitements afin de maintenir Gérard dans un immense état d’excitation sans le faire jouir. Je voulais qu’il joue avec ma bouche le plus longtemps possible. Mais comme toute bonne chose a une fin, il ne put se retenir indéfiniment. Alors qu’il maintenait son sexe bien au fond de ma bouche, il fut pris d’un orgasme. Il inonda ma bouche de son sperme chaud accentuant ma sensation d’étouffement. J’avalais tout son plaisir avec délectation. Le sperme de mon homme était comme la récompense de mes efforts pour lui donner du plaisir. Quand il fut bien propre, je le laissais sortir de ma bouche...
« Tu as fait le repas j’espère... Ce n’est pas le tout de m’avaler mais ça ne nourrit assez ni l’un ni l’autre... » dit-il avec un sourire coquin.
Je filais à la cuisine pour lui préparer son repas. Il ne manqua pas de me rejoindre dans la cuisine pour me tripoter pendant la préparation. Il fit de même pendant le repas, au moment où je le servais mais aussi après pendant que nous regardions sagement la télé avant d’aller au lit. Ses doigts entrèrent même à plusieurs reprises dans mon sexe comme pour en tester l’humidité. Et c’est par une cinglante tape sur les fesses qu’il m’invita à aller au lit avec lui. J’aurais bien aimé qu’il me prenne mais il s’endormit très vite.
Je me suis réveillée en sursaut durant la nuit réalisant qu’il n’avait pas eu droit à mes fesses durant la semaine. Il me fut impossible de m’endormir, scrutant son réveil pour lui offrir cette sodomie avant de devoir le quitter pour retrouver ce pervers de Charles, sa vicieuse femme et toute la bande de cochons qui gravitait autour d’eux. Aussi, quand il se réveilla, je me mis de telle sorte qu’il se blottisse dans mon dos.
Lorsqu’il se mit à bander, je sentis sa main caresser mon sexe. Il avait envie, tant mieux, il n’allait pas être déçu. Il comprit vite mon accord et commença à présenter son sexe à l’entrée du mien. J’attrapais alors son sexe et le fit glisser vers l’entrée de mon anus.
« Par là mon chéri...— Tu veux que je...— Oui, je veux que tu m’encules.— Mais il faut que je te prépare, non ?— Normalement oui mais pousse fort, tu rentreras. »
Un peu étonné, il attrapa son sexe à pleine main pour le guider vers mon petit trou. Il poussa très fort et son gland finit par faire céder mon anus. Une vive douleur me prit. J’eus l’impression d’être déchirée. Je tentais de retenir au mieux mes cris mais je n’en fus pas capable. Des larmes trahirent aussi ma douleur.
« Tu veux que j’arrête ?— Non, surtout pas... » pleurais-je.
Gérard, perturbé par cette situation, commença tout de même doucement à s’enfoncer en moi de toute sa longueur. J’avais mal mais je luttais pour le laisser faire. Quand il fut totalement en moi, il resta figé quelques instants. Ce repos fut salvateur car la douleur s’atténua petit à petit. Celle-ci reprit un peu quand il se mit à bouger en moi doucement. Il allait et venait dans mon anus avec tendresse, s’inquiétant de mon état. Même si la douleur était toujours présente, j’acceptais mieux son sexe en moi.
« Tu peux y aller plus fort... Je t’aime... »
Gérard ne se fit pas prier et intensifia ses coups de butoir. Je sentais sa verge me ramoner l’anus et je commençais à prendre plaisir à cette sodomie non préparée. De toute sa longueur, il s’enfonçait entre mes fesses puis en ressortait, ne laissant en moi que son gland. Mes gémissements se mirent à trahir mon plaisir. Il m’accompagna dans celui-ci en gémissant et haletant lui aussi. Jamais sa verge ne m’avait parue plus épaisse et plus longue. J’avais l’impression d’une énorme tige entre mes fesses. Elle me procurait autant de douleur que de plaisir. Toujours avide de ma vue, Gérard réclame une levrette pour bien voir sa « bite dans le cul de la femme de sa vie ». Obéissante et heureuse d’être vue comme telle, je pris position.
Il dut sortir de moi pendant le changement de position. J’eus un peu peur de son retour en moi. Il positionna son gland chaud et poussa fort pour le faire entrer. Il ne fut pas long à faire céder mon petit trou et réinvestit mon anus très vite. Il reprit ses coup de butoir mais avec plus de force et de puissance. Il commença à me claquer les fesses tout en me pénétrant. Aussi, je sentais qu’il ne serait pas long à venir. J’attendais avec impatience la sensation de son sperme au fond de mon cul. D’ailleurs cette sensation arriva très vite. M’agrippant par les hanches, il s’enfonça bien au fond de moi et, dans un râle presque animal, il déversa son plaisir au fond de mon cul. J’eus l’impression qu’il allait me remplir tellement son orgasme était long. Lorsqu’il sortit de moi, j’eus l’impression d’un grand vide.
Me tournant vers le réveil, je compris qu’il était temps de se lever pour une nouvelle journée de travail avant la venue d’Ernest. J’allais sous la douche. Gérard m’y rejoins pour voir son sperme couler le long de mes cuisses. Une fois lavée et le repas avalé, je m’apprêtais à partir au travail. Gérard me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement.
« A dimanche soir...— Je rentre ce soir quand même ?— Non, Ernest viendra te chercher au travail...— Comment tu le sais ?— Charles me l’a dit hier quand il est passé au bureau.— Et vous avez parlé de quoi ?— Du week-end dernier et un peu du prochain.— Alors tu sais ce qu’il m’a fait faire ?— Oui, dans les détails...— Tu m’en veux ? Balbutiais-je— Non, pas vraiment. Je suis ravi que tu acceptes ça pour moi et que tu me permettes d’avoir ce qu’il t’a forcée à lui donner... »
Il m’embrassa de nouveau et partit au travail, partagée entre la honte de savoir mon homme au courant et la fierté de lui donner tout mon corps et toute mon âme.
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