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Peggy, petite cochonne d'un vieux

Chapitre 1

Divers
Peggy est une fille de 30 ans , elle a le charme que seule une vraie gentillesse donne aux femmes et ses formes sont généreuses ; ses seins donnaient vraiment envie d’être touchés et caressés. Elle était déçu par son ex précèdent, un sale con, décidant de tirer un trait elle multipliait les contacts sur des sites internet. Depuis quelque temps elle discutait avec un garçon qui lui semblait gentil mais elle ignorait qu’il avait une idée perverse derrière la tête ; qui n’en a pas vous me direz?Au bout de quelques discussions sur le net il lui demanda de se voir en CAM et elle accepta sans la moindre arrière pensée ; elle était pressée de voir ce gentil garçon « directement » ; le rendez vous était prévu à 21h00 le lundi soir.C’est quand même un peu fébrile qu’elle se connecta sur skype, elle était relativement timide en fait.— Bonjour ça va ? lui dit l’homme de 39 ans ; l’âge ne la dérangeait pas ; au contraire elle avait toujours fantasmé sur les mecs plus âgés qu’elle.— Oui et toi ? dit-elle timidement.Elle fut troublé par sa voix et elle le trouvait plein de charme, elle avait envie de le voir car il lui inspirait confiance. De banalités en banalités sur leurs boulots…. Il lui dit qu’il était en contact avec d’autres filles mais que c’est elle qu’il préférait, pour sa photo mais aussi parce qu’il aimait les filles avec des formes généreuses, c’est alors qu’il lui dit :— J’aimerais te voir un peu plus pour être sûr de mon choix, j’aimerais vraiment beaucoup voir tes seins.. Je vais te montrer mon torse tu ne seras pas déçu !
C’est alors qu’il lui montre son torse, c’est vrai qu’il est bien fait se dit-elle ; ne voulant pas laissant passer l’occasion de le voir et pour le remercier elle dégrafa lentement son soutien-gorge. Ses deux seins lourds et fermes pointaient devant la caméra et elle les soulevait pour lui montrer, elle les caressait doucement et finit même par se pincer un peu les tétons devant lui ; ça l’excitait à vrai dire ; elle ne se reconnaissait pas trop en faisant ça , elle la fille timide mais elle voulait vraiment le voir.
— Alors ça te plaît ? lui dit-elle.— Bien sûr ils sont très beaux, j’espère que je pourrais bientôt en voir plus… dit-il plein d’envie.
Elle avait fait son effet mais elle préférait en rester là, ils décidèrent de se « reparler » via Skype un autre soir dans la semaine ; elle devait se coucher car elle devait se lever tôt, son travail d’assistante maternelle à la crèche commençait très tôt à 6h00.
C’est toute joyeuse et repensant encore à sa soirée webcam qu’elle retourna au travail en pensant à ce gentil garçon au torse musclé qui brûlait d’envie pour elle, il s’appelle Marc. Lors d’une courte pause elle voulut voir ses mails et s’aperçut qu’il y avait un message d’un destinataire qu’elle ne connaissait pas et le directeur de la crèche était en copie ! Ce mail s’intitulait « ma petite cochonne ». C’est quoi ce titre ? se dit-elle ébahie.De plus il y avait une pièce jointe, elle vit que c’était un fichier vidéo, elle l’ouvrit et fut sidérée de se voir exhibant sa poitrine et se la caressant. Elle comprit que Marc, s’il s’appelait vraiment comme ça , lui avait envoyé ce mail. Comment avait-il eu son mail ? Et pourquoi l’envoyer à son patron ? Elle se posait plein de questions et c’est angoissée qu’elle continua son travail, espérant que ce mail ne soit pas parvenu à son patron. Tout se déroula normalement jusqu’à la fermeture de la crèche et elle partit en dernier ; juste avant de partir pourtant, son patron vint la voir pour lui demander de passer à son bureau ; ils n’étaient plus que tous les deux. Son directeur est un vieux cochon dans la soixantaine qui part à la retraite à la fin de l’année ; elle sait ça car il aime raconter parfois des blagues coquines voire un peu vulgaires à ses assistantes mais c’est le patron alors on ne lui dit rien, de plus il est toujours très courtois devant les parents des petits. En plus le surprend souvent à regarder ses formes généreuses mais il garde toujours ses distances alors elle ne dit rien.

Ce qu’elle ne sait pas c’est que Marc et lui sont de connivence et qu’ils se sont mis d’accord pour la piéger, maintenant c’est au directeur de refermer ce piège sur son assistante maternelle qu’il sait célibataire pour l’instant et il compte bien profiter de son poste pour la soumettre à tous ses fantasmes. Il compte bien profiter de sa dernière année pour rattraper le temps perdu avec sa petite Peggy, depuis le temps qu’il fantasme sur ses formes.— Bonjour Peggy, asseyez-vous ; lui dit le directeur.Je suis gêné car j’ai reçu un mail ou vous vous exhibez. Vous savez pourtant que dans notre travail ce genre d’attitude est inacceptable lui sermonne t’il.Elle ne peut que baisser la tête, rouge de honte.— Que vont penser les parents et vos collègues quand ils verront ça ?— Je ne sais pas… poursuit Peggy, hésitante.— Eh bien je vais vous le dire : ils voudront que vous arrêtiez de vous occuper de leurs enfants et je devrai vous licencier afin de préserver l’image de cet établissement ; on ne peut pas garder quelqu’un qui peut s’exhiber de cette façon ! Et je ne parle même pas de votre réputation, ce sera dur de retrouver quoi que ce soit dans ce domaine. C’est ce que vous voulez ? dit le directeur.— Non, non , bien sûr ; j’ai besoin de ce travail. Je ne sais plus quoi faire. Dit Peggy affolée.— Allons , allons ; je peux vous aider. Je connais ce garçon, Marc, vous ne l’intéressez pas vraiment vous savez, ce n’est qu’un jeu pour lui sur internet , il me doit quelques services et il m’a envoyé cette vidéo.Après vous avoir reconnu je lui ai laissé votre mail pour qu’il nous l’envoie à tous les deux.Je peux tout arranger et lui dire de l’enlever d’internet car vous pouvez être sûre que sinon beaucoup y auront accès sinon. Vous voulez ?— Oh oui ! Merci, dit Peggy soulagée.— Si vous voulez mais ce sera sous condition ma jolie ; vous savez que je vous trouve jolie n’est-ce pas ? En plus en voyant la vidéo on voit bien que vous êtes une petite cochonne, pas vrai ?— Non, non, je n’aurais pas dû faire ça. Je regrette, dit Peggy au bord des larmes maintenant.— Malheureusement il est trop tard pour les regrets. Vous savez ma femme et moi on ne s’entend plus depuis un bon moment et on ne fait plus rien ; vous me comprenez. Pourtant j’ai de gros besoins de ce côté-là alors si vous voulez que tout s’arrange il va falloir y mettre un peu du votre. Vous êtes prête à ça car sinon vous savez ce que je ne pourrai rien pour vous ; les assistantes se bousculent pour rentrer ici ; je ne vois pas pourquoi je prendrais des risques pour vous.Elle savait ce que sous-entendait ses propos et ce vieux cochon attendait sa réponse.— Mais je ne peux pas faire ça, je suis une fille respectable, pas une « salope » ! dit Peggy.— A vous de voir ; vous aurez votre lettre de licenciement demain et je laisse la vidéo sur internet.— Non, non, pas ça supplia t’elle .Il ne montrait aucune pitié et elle dût finalement se résoudre à dire :— Bon d’accord, se résigna t’elle.— C’est parfait ma petite cochonne ; je t’appellerai ma petite cochonne quand on sera tous les deux. Tu n’as pas le choix. Tu feras ce que je dis comme la bonne cochonne que t’es ? Dis le : je serai votre petite cochonne Monsieur. Il la tutoyait maintenant sans la moindre gêne.— Je serai votre petite cochonne Monsieur , dit-elle la tête baissée. — Allez ma petite cochonne, montre moi tes seins et caresse les comme sur internet. Et applique toi, tu vas me les montrer pour me faire bander bien dur.Elle enleva ce qu’elle portait en haut et dégrafa son soutien-gorge faisant ainsi apparaître ses deux gros seins.— Voilà c’est bien ; je vais bien m’en occuper de tes seins ma petite pute, viens mettre ma queue entre tes seins et branle moi avec pour que je sois vraiment dur. Allez mets toi à genou devant moi et viens sortir ma queue de mon pantalon. Tout de suite ; obéis petite chienne. Désormais tes seins ne seront là que pour me faire bander afin d’être bien dur. Allez tu sais ce que t’as à faire ! lui dit-il d’un ton ferme et sans ménagement.Elle se baissa donc et sortit sa queue ; elle était déjà bien dure. Elle ne s’attendait pas à ça mais sa queue était d’un calibre impressionnant, grande et vraiment grosse pourtant elle devenait encore plus grosse et dure quand elle l’a mise entre ses seins le branlant doucement.— Hum c’est bon c’est bien chaud et doux entre tes seins ; tu la sens bien ma grosse queue entre tes miches ; tu comprends maintenant que j’ai besoin d’être vidé régulièrement. Dis le : Oui Monsieur, vous avez besoin d’être vidé régulièrement !— Oui Monsieur, vous avez besoin d’être vidé régulièrement ; dit-elle occupée encore à branler sa queue avec ses seins.— C’est bien ! Tu commences à comprendre ta place. Maintenant lèche la, commence par les couilles et mets les aussi dans la bouche de petite salope, allez ! Tiens ma queue en même temps.Elle s’exécuta sans rechigner et c’est pendant 5 longues minutes qu’elle lui malaxa les couilles, lui suçant et lui léchant les couilles dans un bruit de succion très distinct.— J’ai les couilles pleines ma cochonne ; tu vois comme elles sont grosses mais c’est fini la frustration pour moi car tu vas être mon vide-couille personnel ! Dis le ! cria le vieux pervers.— Je serai votre vide-couille personnel Monsieur. Dit-elle résignée à son sort car elle voulait garder son travail et sa réputation.— Il va falloir que t’apprennes à me sucer plus discrètement car tu vas y être souvent sous mon bureau pour t’en occuper et même pendant ta journée de travail. Allez c’est bien lèche le reste de ma queue rien qu’avec ta langue ma cochonne ; je ne veux pas que tu suces pour l’instant ; il faut que t’apprennes à l’apprécier d’abord.Elle ne se reconnaissait pas ; elle était là en train de lécher la queue dure comme du bois de ce vieux cochon pendant qu’il prenait un plaisir pervers à lui malaxer les seins et à lui triturer les tétons.Profitant de ce moment il appela sa femme qui était à la maison car il maintenait malgré tout un semblant de relation avec elle :— Allo chérie ; ne m’attends pas je dois finir un gros dossier, ne m’attends pas je rentrerai tard. Il raccrocha alors.Voilà ma cochonne je suis tout à toi ; allez c’est bon il est grand temps que tu me vides et je ne veux pas de discussion ; tu vas me lécher le gland d’abord et je te dirai quand la mettre dans ta bouche ! Allez lèche mon gland et fais en bien le tour avec ta langue comme pour la nettoyer.Elle n’avait pas le choix et lui léchait le gland avec application pendant de longues minutes.— Allez action ; mets la bien dans ta bouche et suce avec vigueur comme si ta vie en dépendait. Et fais ça sans les mains je veux que tu pompes bien à fond ; je ne veux venir qu’avec ta bouche pour l’instant. Chaque chose en son temps et j’ai tout mon temps. Il faut que t’apprennes à faire chaque chose comme je veux ma petite pute !Il devenait vraiment vulgaire et elle se sentait vraiment humilié d’être ainsi en train de monter et descendre sur sa queue qu’elle avait du mal à mettre entièrement dans sa bouche ; il la maintenait fermement et parfois lui maintenait bien à fond de la bouche tapant contre sa gorge pendant qu’elle pompait avidement ; elle était maintenant résignée à son sort et l’avalait presque entièrement sentant ses couilles contre son menton.— C’est bien ; tu deviens une vraie pro et tu n’as fini de t’entraîner ma belle. Hum oui je vais venir alors tu vas tout avaler ma cochonne. Hum oui je viens… Il lui cracha un flot de sperme dans la bouche ; elle avait du mal à tout retenir dans sa bouche alors elle devait avaler rapidement tout ce qu’il lui envoyait.— Allez garde là bien en bouche et continue à sucer, je ne suis pas encore vidé.Elle dût rester encore de longues minutes à pomper tout ce qui sortait de sa queue ; il vint encore plusieurs fois dans sa bouche et elle buvait tout avec application habituée à sa nouvelle position de vide-couilles. — C’est très bien ; j’ai les couilles vides. Tu vas me remercier maintenant de t’avoir donné ma semence ; allez petite pute !— Merci de m’avoir donné votre semence Monsieur, dit-elle après avoir sucé sa queue qui était maintenant devenue un peu plus molle.— Ne t’en fais pas ma petite pute tu vas en boire des litres, tu peux me croire ! Je n’ai plus besoin de me branler maintenant ; tu vas être mon vide-couille perso et tu ne t’occuperas que de ma queue maintenant ; je sais que t’es célibataire alors fini d’aller sur internet ; je veux que tu ne serves qu’à moi et à qui je dirai. Dis ma cochonne : je suis votre vide-couilles et je ne viderai que vos couilles et ceux que vous voudrez ! lui dit fermement le vieux cochon.— Oui Monsieur , je serai votre vide-couilles et à ceux que vous voudrez.Elle était maintenant complètement soumise à sa perversité et à ses envies et ça ne faisait que commencer pour elle car dans sa lubricité il avait décidé de lui présenter des vieux et des moins vieux qui eux aussi voudraient se les faire vider et bien plus encore.Il avait même décidé de lui trouver des clients réguliers qui paieraient pour se faire éponger bien à fond ; il avait en tête deux vieux prêtres bien cochons avec qui il échangeait des photos de petites jeunettes.Ce qu’elle ignorait c’est qu’il avait filmé toute la scène et on la voyait bien en train de lui lécher la queue et le vider bien à fond ; sa jouissance se voyait bien à l’image. Il voulait envoyer les images à ces deux prêtres qui n’en demandaient pas tant. Ca les intéresserait sûrement de savoir qu’il disposait d’un vide-couilles comme elle… — Allez relève toi et rhabille toi ! Pour l’instant il faut que t’apprennes à aimer mon jus alors ne t’en fais pas demain tu viendras plus tôt pour me vider ma petite pute car je n’en ai pas fini avec toi !Elle rentrait chez elle pleine de sa semence mais ce n’était qu’un début ; qu’est-ce qu’il pouvait lui réserver encore…. Il avait plein de projets pour elle en tête et comptait bien arrondir sa future retraite avec tout l’argent qu’elle allait lui rapporter. Il avait même mis une annonce sur tout un tas de sites disant : « Je suis une cochonne soumise à mon vieux maître et je cherche couilles à vider avec ardeur pour lui faire plaisir ». Elle allait devoir s’habituer à se mettre à genou et à pomper toutes les queues qu’on lui présenterait devant le visage et les clients ne se contenteraient sûrement pas que de ça. C’est lui qui déciderait et ça l’excitait beaucoup. Il lui avait d’ailleurs prévu une séance d’épilation complète afin qu’elle soit bien lisse de partout et prête pour tous les actes. Il en bandait d’avance et ne manqua pas de la mettre à poil le soir même dans son bureau. Il avait du temps de libre, beaucoup de temps, alors sentir sa petite bouche sur sa queue ne pouvait que l’amuser. Il avait tout son temps pour lui apprendre à accepter tout le reste.Mais ça c’est une autre histoire.SEB, lundi 9 juin 2014.
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