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Le peintre et sa jeune modèle

Chapitre 2

attachée

Hétéro
Le lendemain matin, je sors pour acheter mon pain (oui, j’ai une vie passionnante) et je croise la mère de ma jeune modèle. Je suis embarrassé, mais elle me fait un grand sourire et m’explique que sa fille a vraiment aimé poser pour moi, elle rajoute qu’elle est heureuse de ne pas être tombée sur un pervers, et qu’elle sait qu’elle peut avoir confiance en moi... ah, sa fille ne lui a probablement pas dit comment ça s’était passé !
Je souris et lui réponds qu’elle est un formidable modèle et que j’espère la revoir bientôt pour d’autres toiles, ce qui semble la ravir ! Avec de brefs échanges courtois, je m’éclipse, bien décidé à m’amuser encore un peu (ou beaucoup) avec sa fille...

L’après-midi arrive, je commence à aimer ce rituel, à 13h30, on tape à la porte, je m’empresse d’aller ouvrir et découvre ma ravissante modèle vêtue d’une chemise blanche et d’une jupe bleu clair. Ses longs cheveux bruns, bouclés, sont délicatement posés sur ses épaules. Elle me sourit et me regarde avec ses grands yeux bleus, elle fait fondre mon cœur, un véritable ange...
Elle me demande si je veux bien la peindre encore aujourd’hui, ce qu’évidemment j’accepte avec joie, je ne pense qu’à ça depuis hier !
Nous buvons un verre puis je l’amène dans la pièce qui me sert d’atelier et lui dévoile une toile que j’ai commencée, et qui représente une cellule de prison. Elle est intriguée, je lui explique donc que j’ai le projet de la peindre comme prisonnière, que la mise en scène pourrait être fun... elle rit et accepte sans savoir ce qui l’attend.
Elle me demande donc quelle pose elle doit tenir, je lui réponds que ça va être assez facile pour elle, je vais l’attacher au plafond par les mains, elle n’aura qu’à attendre et me regarder. Je crois qu’elle frissonne lorsque je prononce le mot "attacher", elle accepte et attend donc que je mette en place la mise en scène : après avoir passé une corde au plafond, je m’approche d’elle et lui lie les mains pendant qu’elle me fixe de ses grands yeux sans dire un mot. Nous sommes très proches, je me colle exagérément contre elle pendant que je tire sur la corde pour lui faire lever les bras au maximum. Je sens sa poitrine gonfler, je tire encore pour l’obliger à se tenir sur la pointe des pieds, elle ne dit rien, elle attend sagement... je me recule et fais le tour pour admirer mon œuvre : la petite jupe bleue est remontée jusqu’à sa culotte, sa chemise blanche semble sur le point de craquer, elle respire bruyamment. Posant une main dans le bas de son dos, je lui demande comment elle se sent, elle me dit que tout va bien, mais qu’elle commence à avoir un peu chaud...
J’en profite pour lui suggérer d’ouvrir un ou deux boutons de sa chemise, elle est d’accord, du coup je m’en charge et commence par les boutons du haut. J’en déboutonne 3 et découvre qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je prends l’initiative d’en ouvrir plus et finalement j’arrête lorsqu’il ne reste plus que le bouton du bas, que je fais sauter en la regardant droit dans les yeux. On ne voit pas encore ses seins, mais on des devine aisément, pour l’instant on va s’arrêter là... Je retourne à mon chevalet et commence à la peindre.
J’essaye de m’appliquer même si j’ai déjà une belle érection, je me lève souvent pour m’approcher d’elle et tout est un bon prétexte pour la toucher : un coup je lui remets une mèche qui lui gène le visage, un coup j’ajuste sa chemise... comme elle a les mains attachées, elle ne dit rien. C’est même elle qui, à un moment, me dit que ça la démange... c’est vrai que je la vois bouger dans tous les sens depuis plusieurs minutes, je lui demande si ça va, elle me dit qu’elle a été piquée par un moustique cette nuit, et que ça la démange au niveau des cuisses, elle me demande de la détacher cette fois. Mais je lui dis que nous n’avons pas le temps pour ça, que je vais m’en charger !
Là je la vois devenir toute rouge, elle bredouille un "d’accord" pendant que je m’approche et, comme si de rien n’était, je me baisse et passe mes mains sous la jupe pour la caress... enfin, la gratter ! Je touche l’intérieur de ses cuisses, mais elle me dit que ça ne va pas ! Du coup, d’un coup sec, j’attrape sa jupe et tire dessus ! elle pousse un petit cri, se débat, mais je la rassure en lui disant que c’est pour lui "faire du bien", effectivement je vois une grosse piqûre. Je me lève, enlève complètement sa jupe, puis je cours à la salle de bain et reviens avec une crème anti-démangeaison dont je m’enduis les mains et commence à lui étaler, doucement, lentement, et en remettant plus que nécessaire et sur une large zone, me rapprochant de sa culotte. Je lève la tête, elle a les yeux fermés et la bouche ouverte, elle a l’air d’apprécier le traitement ! je décide néanmoins de me ressaisir, j’ai une toile à terminer !
Elle me demande alors de la détacher pour qu’elle puisse aller boire un verre, mais je répète que les nœuds ont été compliqués à faire, que je préfère ne pas avoir à les couper tout de suite, du coup je vais lui chercher un verre d’un blanc bien frais. Je reviens et la fais boire lentement, mais ce n’est pas évident et fatalement, l’alcool coule lentement sur son cou, son ventre, et disparaît au niveau de sa culotte. Je lui propose de nettoyer et prends une serviette en papier que j’applique délicatement sur son cou, puis je descends lentement, j’ouvre carrément sa chemise et passe sur ses seins (je ne suis pas sûr qu’il y a eu du vin, mais au cas où !), je sens ses tétons pointer...
Je descends encore, je colle ma bouche contre son nombril pour "aspirer", ce qui la surprend et la fait rire, puis, arrivé à la lisière de la culotte, je la baisse lentement, jusqu’à ses pieds, je l’enlève et la jette à côté. Cette fois aucune main ne peut m’empêcher de m’amuser, je délaisse le bout de papier et m’applique à caresser toute la zone située autour de son sexe sans jamais trop m’en approcher. Je la sens retenir son souffle tandis que j’alterne mes caresses avec ses cuisses et son sexe que j’effleure maintenant doucement.
Toujours prisonnière de mes liens, elle semble vraiment apprécier mes gestes, levant une jambe, s’ouvrant et s’offrant à moi. Je me relève lentement, pose mes mains sur ses seins et commence à l’embrasser passionnément. Elle me rend mon baiser et grimace lorsque je pince et tire un peu sur ses tétons, mais son bas-ventre fait des mouvements de va-et-vient à la recherche de ma bite emprisonnée par mon jean trop serré. Je continue de l’embrasser, j’attrape ses fesses que je pétris avec bonheur puis je me recule pour admirer ma magnifique muse, totalement à ma merci.
Sa chemise largement ouverte est son dernier rempart même si elle ne cache plus rien de sa nudité. Lentement, je me déshabille en la regardant puis, complètement nu, reviens l’embrasser. Mon sexe tendu flirte avec sa petite chatte trempée, elle remue désespérément le bassin pour que je m’introduise, mais je veux rendre ce moment inoubliable, alors je fais encore monter la pression en me collant à elle, en enfonçant un doigt dans son cul, elle gémit et se colle contre mon torse puis je décide d’abréger ses souffrances, je lui soulève les deux jambes, me positionne devant elle et l’enfile d’un coup, au plus profond d’elle. Elle est immédiatement prise d’un violent orgasme, elle jouit encore et encore, tandis que je la besogne avec force, telle une marionnette, elle ne peut que subir mes assauts, serrant ses jambes autour de mon bassin, pendant que je l’embrasse et lui mords les tétons.
Je ne tiens pas longtemps le rythme, je sens que je vais jouir, alors j’attrape un ciseau et coupe rapidement ses liens. Elle s’effondre à genoux devant moi, je m’approche et lui gicle sur le visage une impressionnante quantité de sperme !! Elle en a dans les cheveux, sur le visage, sur les seins...
Je l’attrape par les cheveux et force un peu sa bouche pour qu’elle me nettoie la bite, ce qu’elle fait sans hésitation puis elle s’affale sur le sol de mon atelier. J’en profite pour prendre rapidement une photo avec mon smartphone, elle pourra m’inspirer une future toile !
Je pars à la cuisine et reviens avec deux grands verres d’eau, je m’agenouille à ses côtés et, tout en lui caressant les seins, la remercie pour son implication. Elle reprend ses esprits lentement, boit en posant sa tête sur mon torse. Elle rigole en sentant ma bite durcir à nouveau, elle la prend d’une main et commence à la caresser lentement en me remerciant pour cette expérience incroyable. Nous nous embrassons et je m’allonge sur elle, elle guide ma bite vers sa petite chatte et je m’enfonce à nouveau en elle.
Cette fois, je prends mon temps, j’alterne de petits coups rapides et de gros coups de boutoir profonds, elle passe ses mains dans mon dos et me griffe pendant que je la fais jouir, nous roulons sur nous-mêmes, elle se retrouve au-dessus et me chevauche sauvagement, comme si je n’existais plus, je regarde ses seins ballotter dans tous les sens, je me redresse et les mordille puis je lui annonce que je vais jouir. Elle me plaque alors au sol, s’extirpe de ma bite et s’agenouille devant elle, j’adore cette fille ! Allongé, je la regarde me sucer et maintenir ma bite bien au fond de sa gorge tandis que je jouis une deuxième fois en quelques minutes à peine. Cette fois, elle avale tout en me regardant droit dans les yeux, reste encore une ou deux minutes avec ma bite dans la bouche alors que je me suis entièrement vidé puis elle se retire en souriant et en me remerciant pour ce dernier verre...
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