Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 172 J'aime
  • 0 Commentaire

Pension

Chapitre 1

Hétéro
La pension "Les glycines"
Nous étions dans les années 60, je venais d’avoir mon baccalauréat avec mention. Il faut dire que j’avais des parents exigeants et qu’ils ne m’ont jamais laissé le choix quant à ma scolarité, ni la bride sur le cou pour les loisirs. Leur slogan était: "Fais de bonnes études, tu nous remercieras plus tard". Aussi je passais la plupart de mon temps le nez dans mes bouquins, quelquefois j’avais le droit de regarder un peu la télé (une seule chaîne en noir et blanc) et c’était, pour moi, la seule fenêtre sur le monde extérieur. Les copains j’en avais très peu et des amis, surtout n’en parlons pas, ils étaient inexistants. Il faut dire que dès que l’on obtient de bons résultats cela paraît suspect et les autres élèves me considéraient comme un fayot et les chouchous on ne les aime guère.Dès la fin des cours je rentrais chez moi, mes parents n’auraient supporté aucun retard. Vous comprendrez que j’étais ignorant des choses de la vie et, de ce fait, j’étais bien mal armé pour les affronter. Pourtant il faudra bien que j’y face front car, pour les études supérieures, je devais fréquenter l’université de Lille, qui se situait à cinquante kilomètres de mon domicile. Ma mère, le cour déchiré de me voir m’éloigner du giron familial, dut se résoudre à me laisser partir mais ce fut elle qui se chargea de me trouver le gîte et le couvert tout du moins pour les repas du soir car le midi je mangerais au restaurant universitaire. C’est comme cela que je me suis retrouvé pensionnaire de madame Rose, propriétaire de la pension "les glycines". Pendant la visite de la pension, madame Rose vantait les vertus de son établissement, des valeurs morales auxquelles elle tenait beaucoup et qu’elle faisait respecter avec rigueur et fermeté. Ma mère fut rassurée de me laisser en de si bonnes mains. Madame Rose, une dame sans âge, petite, sèche, avec un visage anguleux le regard perçant, nous montra la salle commune où nous dînerions chaque soir. — J’ai une quinzaine de pensionnaires ajouta-t-elle d’une voix étonnamment douce par rapport à son aspect sévère, pour la plupart ce sont des personnes veuves ou veufs, mais très enjoués et bons vivants.Je fis la moue sans que ma mère ne s’en aperçoive. Je devais donc tirer un trait sur une quelconque possibilité de rencontrer une personne de mon âge quoique, alors que nous nous dirigions vers la chambre qui m’était attribuée, nous avons croisé une jeune fille, la vingtaine, vêtue d’une robe noire et d’un tablier blanc. Elle était de taille moyenne, d’une forte constitution comme les filles de la campagne, un visage poupin, le regard espiègle.— Je vous présente Toinette, c’est elle qui se charge des tâches ménagères. Pour la confection des repas, je vous la présenterais plus tard, c’est Mathilde qui s’en charge et, jusqu’à présent personne ne s’est plaint de sa cuisine. La chambre, située au premier étage, était simple et coquette, elle comportait un lit d’une personne et d’un coin indépendant qui servait de W.C et d’une partie toilette, une porte-fenêtre donnait sur un balcon qui faisait toute la longueur du bâtiment et se terminait par un escalier qui nous ramenait au rez-de-chaussée et, à l’opposé, un autre escalier qui reliait le balcon du troisième étage. — C’est l’issue de secours commenta la propriétaire, mesure de sécurité oblige, tout établissement doit en être pourvu mais, rassurez-vous, elle n’a jamais servi. Ah, j’oubliais ajouta-t-elle, à cet étage, comme aux autres d’ailleurs, il y a une salle de bain commune, réservée aux pensionnaires de l’étage.Madame Rose nous ramena vers les communs et nous présenta Mathilde. Une bonne quarantaine d’années, petite, boulotte (elle devait certainement faire honneur à la cuisine qu’elle préparait), elle respirait la joie de vivre. Boudinée dans une blouse boutonnée sur le devant, sa généreuse poitrine et ses fesses larges semblaient vouloir s’échapper de son vêtement.La visite terminée ma mère, rassurée quant au sérieux de la pension, me fit ses adieux, les yeux humides.— Soit sage mon Jacques, travaille bien surtout.Si elle savait la pauvre que c’est ici, dans cette honorable demeure, que ma vie allait basculer.Je mis une bonne semaine pour trouver mes marques. Le soir je passais le plus clair de mon temps à potasser mes cours. Quelques fois je descendais à la salle de télé mais les émissions n’étaient, en général, pas très intéressantes aussi j’avais tout loisir pour détailler les autres pensionnaires, en majorité des femmes ayant dépassées la soixantaine. Il y avait là toutes les catégories, la grande et maigre, la petite et grosse, celles qui se pomponnaient et portaient bijoux qui les faisaient ressembler à un arbre de noël, d’autres sans signes distinctifs mais, si on les regardait de plus près, avaient dû être de belles femmes et qui, ma foi, avaient de beaux restes.Sexuellement j’étais vierge autant par la pensée que par les actes. Jamais je n’avais posé les mains sur mon sexe autrement que pour faire ma toilette. Au bout d’un mois je sentis que certaines pensionnaires tentaient d’entamer un dialogue avec moi par simple curiosité je pense. Le plus souvent nous parlions de choses insignifiantes, du temps, des événements extérieurs.Puis, petit à petit les langues se déliaient. Chacune allait de son couplet en parlant des autres. Je remarquais que leurs principales préoccupations portaient sur leur vie sentimentale. Chacune reprochait à l’autre d’essayer de s’accaparer les bonnes grâces des hommes, ils n’étaient que trois, qui représentaient la gente masculine.Je n’aurais jamais soupçonné que des femmes de leurs âges pouvaient encore avoir une vie amoureuse et encore moins sexuelle. La suite me prouva le contraire.Parmi elles, la plus bavarde était Pervenche. Plus toute jeune comme les autres mais avec un charme indéniable. Une silhouette harmonieuse, un visage légèrement maquillé et toujours souriant, une magnifique chevelure blanche avec des reflets bleutés. Elle semblait ne pas porter la propriétaire dans son cour et fit plusieurs fois allusion à des attitudes et gestes pas très catholiques entre elle et la cuisinière ou la jeune Toinette.— Je pense, chuchota-t-elle, que madame Rose ait des relations contre nature si vous voyez ce que je veux dire?— Oui, je vois répondis-je pour ne pas paraître trop niais.— Vous imaginez mon petit Jacques ajouta-t-elle, je peux vous appeler par votre prénom n’est-ce pas? Vous pourriez être mon petit-fils. Vous imaginez cette bonne femme en train de faire des choses avec son personnel?Je fis une réponse évasive car je ne voyais toujours pas de quelles choses elle voulait me parler.— Si vous ne me croyez pas, insista-t-elle me voyant dubitatif, aller discrètement le soir devant la fenêtre de la chambre de Toinette, celle qui se trouve dans l’angle du 3ème. Bien entendu les volets sont clos mais vous verrez avec ces vieilles bâtisses tout n’est pas parfaitement étanche.Toute la fin de journée je ressassais les propos de Pervenche et attendais avec impatience la tombée de la nuit pour visiter ce balcon du 3ème étage et savoir enfin de quoi elle voulait parler.
Il était 21 heures et, en cette belle saison d’automne, la nuit était déjà tombée. La lune en était à son premier quartier et m’éclairait suffisamment pour que je puisse me diriger sans lampe et suffisamment sombre pour ne pas me faire remarquer.Pervenche avait raison, les volets étaient fermés mais il y avait une fente de quelques millimètres, en plein milieu d’un panneau et en y collant son oil, elle permettait de voir suffisamment l’intérieur de la chambre.Toinette était là, devant la planche à repasser. Elle avait une blouse déboutonnée qui laissait voir ses sous-vêtements composés d’un soutien-gorge blanc bien rempli ma foi et d’une culotte bien enveloppante, de la même couleur. Jusque là rien ne me parut bizarre. Je comprenais sa tenue légère étant donnée la chaleur dégagée par le fer mais je me surpris de rester à l’épier surtout parce que je n’avais jamais eu l’occasion de détailler le corps d’une femme d’aussi près. J’avoue que cela me fit une drôle de sensation d’entrer dans l’intimité des gens à leur insu. Bien m’en prit car la porte de la chambre s’ouvrit et madame Rose entra. Toinette se retourna et ne parut pas surprise de voir arriver sa patronne, au contraire, elle lui fit un grand sourire. J’ai vu qu’elles se parlaient mais je ne pouvais pas saisir le sens de leurs paroles. Madame Rose se positionna derrière son employée en la serrant très fort et en se trémoussant, frottant son ventre contre les fesses de Toinette. Ses mains empaumèrent les seins et, après les avoir malaxés, elle releva les bonnets pour caresser la poitrine nue de Toinette. Puis une de ses mains descendit et s’insinua dans la culotte pour atteindre l’entrejambe.Je n’étais pas tout à fait nigaud, je savais bien que les hommes et les femmes devaient avoir des relations charnelles pour procréer mais deux femmes cela me paraissait impensable et pourtant, sous mes yeux, une femme caressait le sexe d’une autre et cette autre avait l’air d’y trouver du plaisir. A cet instant j’aurais voulu voir la culotte disparaître afin de mieux détailler la manière dont Madame Rose s’y prenait. Mais, pour le moment, je voyais simplement Toinette se tortiller et émettre quelques petits cris. Par contre, dans mon pantalon je sentais mon sexe s’allonger et durcir. C’est une sensation que je connaissais car, chaque matin, il était toujours dans cet état mais j’étais persuadé que c’était du à mon envie de pisser car, après m’être soulagé la vessie, il revenait à sa taille normale. Mais là, c’était le spectacle qui me mettait en érection. Je ne pus m’empêcher de le saisir et de le serrer au travers de mon pantalon mais cela ne suffisait pas et je finis par ouvrir ma braguette, le dégageais du caleçon. Le contact de mes doigts directement sur ma queue me fit frissonner et, sans m’en rendre compte, d’un geste mécanique, comme si j’avais toujours su le faire, j’entamais une masturbation. Dans la chambre les cris de Toinette s’intensifièrent et son corps se raidit et fut secoué de soubresauts. Lorsque les spasmes s’évacuèrent, la bonne se retourna et embrassa madame Rose sur la bouche. Un baiser qui dura longtemps même pendant que Toinette déshabillait la propriétaire. Le corps nu et maigrichon de Madame Rose apparut. Toinette se mit alors à genoux et enfouit sa tête entre les jambes décharnées. Moi je continuai les va-et-vient sur ma bite. Ce fut bientôt au tour de Mme Rose de gémir en appuyant sur la nuque de Toinette. Elle aussi se tétanisa.C’est à ce moment qu’une main se posa sur la mienne et m’accompagna dans mes mouvements de branle. Je sursautais et poussais un "non" de protestation.— Chut.Tu vas nous faire remarquer entendis-je susurrer à mon oreille.Je reconnus la voix de Pervenche.— Je savais que j’allais te trouver ici mon petit Jacques mais je ne pensais pas te voir en pleine action. Continues à regarder moi je connais. A chaque fois que j’ai une petite envie, c’est-à-dire 2 à 3 fois par semaine, je viens faire comme toi ce soir. Qui est là ce soir?— Mme Rose et Toinette répondis-je.— Elles ont déjà joui?— Je ne sais pas c’est quoi jouir?— Quand tu auras eu ton plaisir, je t’emmènerai dans ma chambre et je te montrerai comment une femme jouit.— Mon plaisir répétai-je. Quel plaisir!— Parce que tu ne t’es jamais branlé?— C’est quoi branler?— Et bien c’est ce que tu es en train de faire. Laisses-moi faire tu vas vite comprendre. Pervenche empoigna ma queue et trouva rapidement le bon rythme, trouvant aussi les points de pression les plus excitants. Bien entendu je ne tardais pas à éjaculer, ma première éjaculation et j’ai trouvé ça formidable. Comment ai-je pu passer à côté de cela pendant tant d’années. Pervenche me donna un bisou sur le front et me dit:— Où en sont-elles ces deux gousses? Ah elles sont en 69. Elles en ont pour un bon moment. Allez, ranges-moi tout ça et suis-moi.Sa chambre se trouvait à l’opposé, elle me fit entrer et ferma ses volets mais par prudence elle tira également la tenture. Elle s’installa sur son lit et se troussa.— Viens vite dit-elle, j’ai la chatte en feu, regardes je suis trempée.Je restais figé au milieu de la pièce.— Ah, j’oubliais! C’est vrai que tu es encore puceau. Approches.Pervenche me détailla son sexe, me montra comment elle se donnait du plaisir, puis je passais au cours pratiques en me guidant les doigts. Comme l’avait fait Toinette et sa patronne, elle se mit à gémir, son corps se raidissait, son ventre se tendait, ses cuisses tremblaient.— Bon sang couinait-elle, que c’est bon de se faire reluire par une autre main. Ca y est, tu as vu une femme jouir pour la première fois. Tu es content j’espère même si ton dépucelage tu le dois à une vieille comme moi? Mais tu rebandes mon salaud et bien, pour continuer ton éducation, tu vas me baiser.Alors je l’ai baisée, j’ai éjaculé en elle puis elle m’a nettoyé la queue avec sa bouche et pendant qu’elle me suçait, elle se mit tête-bêche et je l’ai léchée aussi sans dégoût à ma grande surprise d’ailleurs. Je me suis endormi dans les bras de mon amante initiatrice. Mon temps de sommeil fut court surtout qu’au petit matin, une douce main vint flatter ma queue pour en éprouver la rigidité et, satisfaite du résultat, un corps chaud vint s’empaler sur elle.Le soir en rentrant des cours que j’eus bien du mal à suivre, Pervenche me fit comprendre qu’elle serait heureuse de m’avoir dans son lit cette nuit. Je lui fis une réponse de normand car j’aurais bien aimé pouvoir récupérer des forces. Comme elle sentait que j’hésitais à accéder à ses désirs, elle m’attira dans la remise contiguë à la cuisine et aussitôt, sa main fouinait dans mon pantalon, trouva mon membre qu’elle n’eut aucun mal à le faire se dresser. Elle entama une rapide branlette d’une main tandis que l’autre fouillait sa chatte. Nous étions l’un et l’autre au bord de l’orgasme quand la porte s’ouvrit et sur le seuil, Mathilde, la cuisinière, nous regarda avec de grands yeux étonnés. Je voulus reprendre une tenue décente mais Pervenche m’en empêcha en me serrant plus fortement la queue.— Entre Mathilde intima Pervenche, quand il y en a pour une, il y en a pour deux.Elles devaient bien se connaître ces deux-là car rapidement Mathilde entra et, tout aussi rapidement, referma la porte derrière elle.— Tu m’as caché, râla la cuisinière, que tu connaissais intimement notre jeune pensionnaire. Si j’avais su qu’il était prêt à faire des folies avec une vieille, j’aurais posé des jalons plus tôt.— Tu sais Mathilde, c’est tout frais, depuis hier soir seulement.— Ah, c’est pour cela que tu n’es pas venue me rejoindre. Je t’ai attendue une bonne partie de la nuit. J’aurai mieux fait d’aller rejoindre Rose chez Toinette, cela m’aurait évité d’avoir à me soulager toute seule. Aller, pousses-toi, j’ai envie de branler cette jeune queue et, pendant ce temps, tu pourras continuer à t’astiquer la moule.J’étais abasourdi, ainsi la respectable pension "les glycines" était un véritable lupanar. Toinette, Mme Rose, Pervenche et maintenant Mathilde, je vais maintenant regarder les autres pensionnaires d’un nouvel oil. La dextérité de la cuisinière valait bien celle de Pervenche et n’eut aucun mal à me faire cracher. Comme j’avais fermé les yeux pour savourer mon plaisir, ce n’est quand les rouvrant que je vis Pervenche qui, non seulement se branlait mais branlait Mathilde également. — Il faudra présenter notre jeune homme à Rose dit Mathilde après avoir pris son pied, je suis sûre qu’elle sera réjouie de faire sa connaissance malgré son attirance pour les femmes. Elle préfèrera certainement sentir une vraie queue dans sa chatte plutôt qu’un godemiché. Alors Pervenche, pas encore fini? Peut-être te faut-il de l’aide?— Arrêtes de dire des bêtises et viens me faire un cunni.La langue de Mathilde fut très efficace car Pervenche jouissait dans la minute qui suivit. Cette nuit là, je dormis comme un loir mais vers 6 h du matin, j’entendis frapper à ma porte.— Monsieur Jacques, c’est moi Toinette, je voudrais vous parler.La voix dut répéter trois fois la même phrase avant que je ne me décide à aller ouvrir la porte. Toinette me bouscula pour entrer et referma aussitôt la porte. Je retournais m’asseoir sur mon lit tandis que la jeune fille restait près de la sortie. Je regardais le réveil.— Que me veux-tu Toinette de si bonne heure. Ce doit être grave?— Grave non monsieur Jacques mais important pour moi et si je viens si tôt c’est pour être sûre de ne pas être vue.— Je t’écoute.— C’est délicat à dire, c’est au sujet de la soirée d’avant-hier.— Vas-y, parles!— Et bien je sais que vous étiez derrière les volets de ma chambre. Je vous ai entendu chuchoter. Je sais donc que vous nous avez espionnées, Madame Rose et moi et que cela vous a plu étant donné les traces de votre contentement laissées devant ma porte fenêtre. Mme Rose n’a rien entendu, il faut dire qu’elle est un peu dure de la feuille et je ne lui ai rien dit.En expliquant les raisons de sa visite Toinette était devenue toute rouge et moi en les entendant je devins écarlate.— Mais.Je ne voulais pas.— Je suis aussi venue vous dire que cela m’a plu de savoir que vous nous regardiez et quand Mme Rose m’a mis la main dans la culotte c’est votre présence qui m’a procuré si vite mon plaisir. Mais, au fait, avec qui parliez-vous?— Avec Pervenche, c’est elle qui.— Ca ne m’étonne pas, depuis votre arrivée elle ne me parle que de vous. Je connais ses goûts pour la chair fraîche et ici elle n’est guère gâtée. Savez-vous qu’elle a aussi un penchant pour les amours féminines?— Oui, elle m’a parlé de ses relations avec Mathilde.Je restais dans le vague, ne voulant pas avouer que j’avais eu une aventure avec elles deux.— Et s’il n’y avait que Mathilde. Elle a débauché la moitié des pensionnaires femmes de l’établissement. C’est une vraie accro du sexe.— Et vous Toinette, de quelle moitié faites-vous partie?— De celle qui a cédé à ses avances, je n’ai pas pu m’y soustraire. Elle me fit du chantage car elle connaissait mes relations avec la propriétaire, mais j’avoue que j’ai aimé ce qu’elle m’a fait et les autres fois c’est de mon plein gré que j’ai couché avec elle.— Tu es une vraie cochonne et cette nuit, avec qui l’as-tu passée?— Personne ou plutôt avec vous. Dans mon lit j’ai repensé à la soirée de la veille et je vous ai imaginé la queue à la main en route à vous branler ce que j’ai été obligée de faire moi aussi et plusieurs fois de suite. Monsieur Jacques, s.v.p., faites-moi voir votre bite.
A Suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live