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En pension chez tante Germaine

Chapitre 2

Inceste
En pension chez tante Germaine (2)Arrivée dans la chambre, tante va fouiller dans le bas de son armoire. Elle trouve un petit livre qu’elle me tend:"- Tiens,... c’est un manuel d’éducation sexuelle écrit par deux médecins pour leurs enfants.... Viens, nous allons le feuilleter..."Nous nous asseyons sur le bord du lit... Tante me fait voir que son livre comporte plusieurs chapitres illustrés de nombreux dessins. Les dernières pages constituent un lexique des mots employés.Elle passe très rapidement sur la description des organes génitaux et leur fonctionnement, la grossesse et l’accouchement, pour s’attarder sur le lexique, ce qui me permet d’apprendre un nouveau vocabulaire. C’est surtout le chapitre "Accouplement" et le sous-chapitre "Préliminaires" qui intéressent tante... La lecture, les dessins, les commentaires de tante ne me laissent pas indifférent... Je bande comme jamais... Je sens ma bite raide et chaude plaquée contre mon ventre...."- Ce livre, je te le prête..., tu pourras le lire plus tranquillement - me dit-elle en me tendant le manuel - maintenant, nous allons passer à la pratique..."Se levant, ma tante fait passer mon tee-shirt dessus de ma tête ... Tout penaud, je reste planté devant elle...Poussant un petit sifflement d’admiration, elle contemple mon torse nu, bronzé et musclé...-" Oh! carogne!*... C’est vrai que tu ferais un bon rugbyman..."Disant cela, de ses mains douces et légères, elle me caresse doucement de la tête à la taille. Puis, passant deux doigts sous l’élastique retenant mon pantalon, elle le fait descendre tout en s’accroupissant. Quand mon sexe se trouve à nu, d’un réflexe, j’essaie de le cacher avec mes mains...-" Laisse donc ça... Tu ferais mieux de te servir de tes mains pour me déshabiller" - dit ma tante en se relevant... A mon tour et tout tremblant, je défais les quelques boutons pour ouvrir son peignoir... Je reste figé de voir que tante est bien nue dessous... Sa fente est cachée par une épaisse toison brune et frisée... A cette vue, je comprends mieux pourquoi on appelle le sexe des femmes "une chatte"...Se trémoussant des épaules, elle finit de faire tomber son unique vêtement au sol..."- Tu as déjà vu une femme nue?— Non, avouais je confus.— C’est vrai? Je suis la première aussi?— Ou...oui.— Mon trésor! Regarde bien, je vais te montrer." Me souriant malicieusement, tante fait deux pas en arrière, lentement. Si je ne suis pas victime d’une attaque cardiaque devant le spectacle qui s’offre à mon regard c’est que mon coeur est solide. Me faisant face, tante s’expose dans toute sa nudité. Nudité d’une femme « mure », légèrement empâtée, qui est bien sûr loin des canons de la beauté, mais qui offre au "profane" que je suis un tableau terriblement excitant.Se rendant compte de mon état d’ébahissement, me souriant toujours:"- Je te plais, me demanda t’elle?... Tu me trouves jolie?"Qu’aurais je pu répondre devant pareil spectacle. Bien sûr les seins opulents, du fait de leur grosseur et de l’âge de tante, ont tendance à s’avachir légèrement. Les hanches, larges et évasées, ressemblent plus à des jarres qu’à des flûtes à champagne. Avec son ventre, un peu rebondi, tante Germaine aurait pu servir de modèle au peintre Rubens, célèbre pour ses tableaux de nus bien en chair... Mes yeux extasiés étaient loin de faire une quelconque comparaison, moi qui découvre la nudité féminine autrement que celle fugitive de ma mère ou celle toute nouvelle de ma soeur.
Je me sens bizarrement en sueur. Ce qui en fait m’attire particulièrement dans ce corps dénudé et d’où je ne peux détacher mes yeux, c’était ce triangle, formé par des milliers de bouclettes brunes, délimitant et cachant en même temps ce mystérieux sexe féminin. Je meurs d’envie d’y plonger mes doigts, de découvrir ce qui, depuis le début du monde, attire tant les hommes. Mais comme j’esquisse un geste en direction de l’objet de mes désirs, tante me stoppe... Ayant empaumé ses lourdes mamelles, elle les presse sensuellement l’une contre l’autre:"- Regarde comment caresser les seins d’une femme, me prévint-elle. Tu vois?... Toujours en douceur. C’est très sensible les seins d’une femme!... Tu dois toujours te le rappeler. Tu pourras les embrasser... Tu pourras aussi sucer les bouts... Tu pourras même les mordiller, mais délicatement..." Le spectacle de ma tante, se caressant les seins, joint aux conseils que celle-ci me donne ne font qu’empirer le désir qui me taraude le bas ventre depuis que nous sommes dans la chambre.Presque machinalement je pose une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion.Me fixant, les yeux étrangement brillants, tante approche une chaise pour y déposer un pied... Ses cuisses largement ouvertes m’offrent une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarte les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante."- Ça t’excite, me demande t’elle vicieusement?... Tu as envie de moi?... Regarde comme ma chatte a aussi envie de toi... Tu vois comme je suis mouillée, c’est que moi aussi j’ai envie de toi... J’ai envie que tu me fasses l’amour."Alors pris subitement d’une ferveur païenne, je tombe à genoux à ses pieds... "-Tu veux embrasser ma petite chatte?" - Me demande tante, se trompant sur mon geste...Je savais, pour en avoir parlé avec mes copains au CFA (Centre de Formation des Apprentis), que ce genre de baiser se pratiquait entre amants. Mais n’ayant embrassé qu’une fille (ma soeur) sur la bouche...Je ne savais pas vraiment comment je devais m’y prendre pour embrasser ce sexe si bien offert. Heureusement, tante, aussi follement excitée que moi m’agrippe la tête et pousse mon visage contre sa vulve extrêmement poilue."- Embrasse mon petit minou!" - me commanda t’elle d’une voix hachée.Je pose ma bouche contre les lèvres humides de ce sexe féminin tant espéré. Une odeur épicée me monte aux narines. A part celle de ma soeur, c’est la première fois que je vois une chatte de si près. Même si j’en ai souvent rêvé, je me trouve totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m’y prendre. Heureusement pour moi, tante comprenant mon manque d’expérience, me guide, prise par sa passion dévorante. M’agrippant par la nuque, elle appuie fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente:"- Embrasse ma chatte, - mon chéri, m’encourage t’elle d’une voix rauque-. Tu sens comme je mouille?... Pour le sentir, je le sens... Mes lèvres baignent dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lance à l’eau. Timidement d’abord, ayant peur de mal faire, je commence à embrasser cette vulve ruisselante et béante, la couvrant de petits baisers appuyés."- Oui, c’est bien mon chéri, - m’encourage tante -. Lèche la bien... Ouiiii..., c’est bien... Huummm!!!". Obéissant, je m’exécute, tachant de faire de mon mieux. Je promène ma langue sur toute la longueur de la longue fente suintante d’un jus chaud, au goût épicé."- C’est bien!!! Tu sens comme tu me fais mouiller?... Enfonce ta langue à l’intérieur maintenant... "- Oh!!! Oui, vas-yyyyy, lèche-moi bien!!! Suce-moi bien mon bouton!!! Fais-le exploser!!!" - m’encourage mon initiatrice -.Puisqu’elle a l’air d’aimer ce que je lui fais, je m’enhardis et enfonce ma langue, comme elle me le demande, à l’intérieur de cette faille de chairs chaudes, humides et gluantes largement ouverte. Aussitôt, tante se met à pousser des petits gémissements, en agitant son bas-ventre, m’écrasant le visage de sa vulve broussailleuse. Comme j’essaye de me dégager pour échapper à cet étouffement, je sens ses deux mains me saisir la tête pour l’immobiliser. Puis agitant son bas-ventre d’avant en arrière, elle entreprend de frotter avec fougue sa fente contre ma bouche et mon menton. "- Ahhh!!! comme c’est bon, - gémissait elle ... Aaahh tu me fais mouiller mon trésor... Tu es un amour....En effet, je ne tarde pas à m’apercevoir que son sexe est de plus en plus dégoulinant de sécrétion. Sans que je ne puisse rien faire, tante Germaine me maintient solidement contre sa vulve. J’ai très vite la bouche pleine d’un liquide brûlant, gluant, et assez salé. Maintenu comme je le suis, je suis bien obligé d’avaler cette liqueur qui sourdait des profondeurs du sexe féminin. D’abord inquiet quand au goût que pouvait bien avoir ce nectar, je finis par le savourer. Au bout d’un long moment de cette danse du ventre, tante cesse tout mouvement, s’immobilise brusquement, tandis qu’une douce plainte jaillit de sa gorge, brisant le silence de la chambre. Puis au bout de quelques secondes, elle me libère:"- C’était rudement bon, tu sais, - me dit-elle dans un sourire-. Tu m’as bien fait jouir... Tu t’en es rendu compte?— Mmmm...— Tu n’as pas envie de me faire l’amour, de me baiser? - me demande soudain tante?... Tu ne veux pas enfoncer ta grosse et longue queue dans ma chatte?... Regarde comme ta bite serait bien à l’intérieur de mon ventre!... Viens, m’invita t’elle d’une voix enrouée. J’ai trop envie de ta queue... Tu va bien me baiser..." Je ne savais vraiment pas quoi répondre, ne sachant évidemment pas qu’elles étaient les réactions d’une femme ayant joui... La bouche et le menton abondamment trempés par tout le liquide qui s’était échappé de la vulve de ma sensuelle tante, le sexe effroyablement bandé, je m’assois sur le bord du lit, curieux de connaître la suite des événements...Au bas de mon ventre, ma verge se dresse toujours orgueilleusement, tandis qu’une douleur me tord les entrailles. Sans un mot, tante grimpe sur le lit et s’allonge sur le dos. Là, me fixant avec une intensité que je ne lui connais pas, elle écarte largement ses cuisses charnues, me dévoilant son sexe abondamment poilu...
La suite est une autre histoire...*carogne! : Ma tante employait très souvent ce mot comme juron. On peut le traduire par "charogne!". Trouvant ce mot grossier voire insultant, je ne l’emploie pas dans la transcription de ces moments inoubliables. Pour contrefaire tante, nous l’avons surnommée "tante Carole". S’il m’arrive, dans les histoires, de confondre son prénom qui est Germaine et ce surnom, je vous remercie de rectifier vous-même...A bientôt...
Petikokin
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