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En pension chez tante Germaine

Chapitre 5

Inceste
Les jours passent... Avec tante Germaine, nos relations intimes sont rythmées en fonction des horaires de travail de mon oncle Marcel. Celui-ci, un soir, nous informe que le prochain week-end il doit aller aider un camarade de travail à déménager. Tante se fait préciser le temps de son absence:"- Samedi matin, Didier passera me prendre en allant chercher le camion qu’il a loué... Comme ses meubles sont prêts à charger, je pense que le déménagement se fera dans la journée... Deux autres camarades doivent venir nous aider... Sa femme et ses enfants sont chez sa mère, le soir je coucherai là-bas, sur un matelas par terre, pour pouvoir l’aider à remonter ses meubles et déballer les cartons... Nous en aurons bien pour la journée... Quand on aura fini, il me ramènera...— Si tu ne prends pas la voiture, j’irai porter la robe et les pantalons chez Odette...Je lui téléphonerai pour nous faire inviter à manger...Joseph et moi..."Ce samedi matin, mon oncle parti, avec tante nous préparons les différents vêtements qu’elle doit livrer chez sa cliente et amie Odette...J’ai aperçu cette dame deux ou trois fois quand elle venait faire les essayages des habits que ma tante lui confectionnait... A sa première visite, comme j’étais le sujet de leurs bavardages, j’ai surpris et écouté leur conversation... J’ai longtemps pensé que c’était les propos d’Odette qui avaient réveillé la libido de tante Germaine...Après avoir roulé une dizaine de minutes, il devait être environ onze heures quand nous arrivons chez l’amie de tante... Nous sommes reçus chaleureusement et Odette est enchantée que je sois venu... Elle manifeste sa joie en m’embrassant aux coins des lèvres tout en me serrant contre son opulente poitrine...Nous entrons dans la salle à manger ou les couverts sont déjà mis sur la table... Du coté salon, sur une table basse, sont sorties quelques bouteilles d’apéritif et diverses petites friandises... Odette nous invite à nous asseoir dans les fauteuils et nous propose à boire... Nous ayant servi, elle prend place dans le canapé en face de moi... Portant une robe légère (que je trouvais un peu courte vu l’âge de la personne), elle gardait les genoux serrés pour me cacher ce qu’il y avait dessous... Mais, tout en discutant de choses et d’autres, chaque fois qu’elle s’avançait pour prendre quelques amuses bouche, Odette se "décontractait" et m’offrait l’occasion d’apercevoir d’avantage ses cuisses... Jusqu’au moment ou je fixais mes yeux sur la blancheur de sa culotte... S’étant aperçu de la direction de mon regard, nullement gênée, Odette prenait un malin plaisir, dans un mouvement qui semblait naturel, à croiser et décroiser ses jambes dans un mouvement large, ce qui m’offrait l’occasion de mieux voir sa culotte dont une brune pilosité bien fournie débordait de chaque coté... Je pensais, innocemment que ce mouvement était dû au hasard... Comme je dirigeais de mon regard vers le sien, Odette se mit à faire dépasser le bout de sa langue entre ses lèvres fermées et le faire aller d’un coté à l’autre de sa bouche... Face à un telle provocation, la réaction de mon sexe ne se fait pas attendre... J’ai un mal fou à dissimuler la bosse de mon pantalon... Après quelques minutes de ce manège provocateur, Odette se lève et dit à ma tante: "- Germaine, si nous allions essayer ces pantalons et cette nouvelle robe? — Tu as raison... Joseph, tu veux bien aller chercher la housse qui est dans la voiture? ...Tu seras gentil..."Je deviens rouge de confusion car je suis persuadé qu’Odette voulait me faire lever pour lui confirmer, bien involontairement, mon érection... Avant de me mettre debout, je bois une gorgée d’apéritif et fais semblant d’avaler de travers... C’est plié en deux et toussant que je me précipite vers la voiture...A mon retour, j’entends les deux femmes parler dans une autre pièce de la maison... Guidé par leur conversation, je les trouve dans une chambre... Je dépose la housse contenant les vêtements sur le lit et rejoins le fauteuil de la salle à manger ou ma queue commence à perdre de sa vigueur... J’entends Odette s’exclamer au déballage des habits... Soudain tante pousse un cri, son juron préféré:"Carogne !!!... je perds la tête... ce n’est possible! ... — Ce n’est pas grave - dit Odette - Je ne suis pas pressée de la mettre cette robe...— Ah non! -s’exclame tante - je vais aller la chercher de suite..."Tout en discutant, les deux amies sont revenues dans la salle à manger... Odette est vêtue de la nouvelle robe que tante lui a confectionnée... Mais, sans ceinture, elle semble avoir enfilé un sac de patates..."- Joseph, j’ai oubliée la ceinture de la robe... D’un coup de voiture, je vais aller la chercher... Tu restes là et si Odette à besoin, tu l’aides...— Germaine, je te dis que ça peut attendre, je ne suis pas pressée... -dit Odette.— Je veux te la voir dessus cette robe... et s’il y a une dernière retouche à faire, ça n’attendra pas...— Tu es têtue... Prends ton temps... Soit prudente, vas pas avoir un accident pour un bout d’étoffe oublié..."Tante partie, Odette s’approche de moi, me tend mon verre et me propose de me resservir... Se faisant, elle se penche, me mettant ainsi, à hauteur de mes yeux l’ouverture du col de la robe... Je ne peux que voir son soutien gorge bien rempli par ses deux seins à la peau blanche... Avant de s’asseoir, Odette prend quelques cacahuètes et pose ses fesses en bordure du divan...Engageant le conversation sur diverses banalités, elle recommence ses positions provocatrices... Elle me fixe d’un regard "ensorceleur" tout en laissant ses cuisses de plus en plus ouvertes... Soudain, échappant une cacahuète sur sa robe, elle se lève, pose son verre et dit, tout en déboutonnant son vêtement : "- Ce serait dommage de faire une tâche la première fois que je la mets..."Faisant glisser les manches le long de ses bras, la robe tombe à ses pieds et Odette se retrouve vêtue seulement de sa culotte et de son soutien gorge... Me tournant le dos, elle se baisse pour ramasser son habit, elle me présente son postérieur aux fesses bien rondes entre lesquelles se perd le tissu de la culotte...Jetant la robe sur le canapé, vient s’asseoir sur un bras de mon fauteuil et, posant la main sur la bosse de mon pantalon, me dit:
"- C’est moi qui te fais cet effet? ...— Ou -ou- oui, Odette... Vous n’arrêtez pas de m’allumer... — Depuis le temps que je suis veuve, j’ai envie de me faire baiser... Me faire défoncer par un jeune... Et je crois que tu es bien monté d’après ce que je sens dans ma main... J’ai envie depuis la première fois que je t’ai vu chez Germaine...— C’est ma tante... Elle ne va pas tarder à revenir... Vous me gênez Odette... Vous pourriez être ma mère...— Et alors! Je ne suis pas ta mère... et à bander comme tu bandes, je suis encore désirable... Ce n’est pas l’envie de me sauter qui te manque..." Oh oui, elle avait envie… envie de se faire fourrer par ma grosse queue, raide, dans sa motte, de la sentir lui écarter les muqueuses, de sentir ses cuisses s’ouvrir et son ventre se creuser pour augmenter la pénétration. Je fantasmait sur cette main qui faisait grossir ma queue à travers mon pantalon et mon slip. Je m’imaginais enfonçant mes doigts dans sa chatte…Cette chatte qui devait couler telle une source, cette chatte qui donnerait du plaisir à se faire caresser par mes mains crapuleuses…Cette chatte qui ne reculait plus devant une bite qui avance…J’étais tétanisé, pris entre l’envie de repousser Odette, et le plaisir qui monte dans mon bas ventre... Estomaqué, je reste muet. Odette en profite pour accentuer son attaque... Constatant que sa main collée sur mon pantalon renforçait mon érection, elle poursuivit:"- Mais c’est vrai que tu dois avoir une belle bite dis donc toi! ... Elle ne doivent pas s’ennuyer avec toi les filles..."Joignant le geste à la parole, elle s’agenouille devant moi, fait sauter rapidement les boutons de mon pantalon, découvre ma bite en la faisant passer sur le coté de mon slip... Toujours aussi rapide, elle commence à me caresser, serrant vigoureusement ma bite entre son pouce et son index... Je suis surpris, un peu pris au piège, mais ravi... Odette semble aimer ce qu’elle fait... Je décide de m’abandonner au plaisir et de la laisser faire...Elle continue à me caresser puis à me sucer, toujours agenouillée devant moi, léchant doucement dans le sens de la longueur ma bite de la pointe de sa langue, alternant sa langue et ses doigts... Mon sexe continue à grossir ce qui semble la réjouir. Elle offre à mes mains ses deux gros seins qui tendent le soutien gorge en gonflant de plaisir... Je défais l’agrafe, libérant ainsi les mamelles qui viennent se poser sur mes genoux... Je commence à malaxer ces chairs étonnamment fermes aux pointes turgescentes ...
Emportés par nos élans lubriques, nous sommes coupés du monde extérieur... Nous n’avons pas entendu arriver la voiture de tante Germaine... Elle manifeste sa présence en s’écriant depuis la porte de la salle à manger:"- Eh bien! Il ne faut pas vous embêter vous deux!... Odette! je ne peux pas te faire confiance... Tu n’as pas honte, une vieille comme toi aller me débaucher mon neveux?..."Statufiés de surprise, nous restons sans mouvement... Si tante voulait nous reprocher notre attitude, le ton n’y était pas vraiment... Très vite on sentait qu’elle était plus troublée qu’outrer..."- Germaine mon amie, tu sais que j’aime les plaisirs sexuels... Comment voulais-tu que je reste insensible devant ce jeune homme?...- Je sais bien que rien ne t’arrête pour t’envoyer en l’air... Mais tout de même, tu aurais pu avoir un peu de retenue... Joseph est encore ignorant de ces choses-là... Dans sa campagne, il n’a pas beaucoup l’occasion de fréquenter des filles...— Justement, je te l’ai déjà dis, c’était le devoir des tante d’initier leurs neveux... Pour cela, elles peuvent se faire aider de leurs amies...— Qui te dit que je n’ai pas commencé à faire son éducation?..."L’intervention de tante ayant coupé tout élan lubrique, Odette et moi nous nous levons pour retrouver une position et une tenue plus convenable... Après avoir remis sa robe, enfin ceinturée et ajustée par son amie, Odette nous invite à passer à table... Le repas est bon... Odette a mis les petits plats dans les grands... Elle n’est pas avare sur le vin millésimé qu’elle nous sert... Le temps, les souvenirs de famille, les banalités de la vie sont les sujets principaux de nos conversations... Cette douce ambiance fait qu’après le dessert, étant passés au salon pour prendre le café, un légère somnolence me prend...Voyant cela, Odette me dit:"- Va t’allonger sur mon lit... Une petite sieste te fera du bien..."Ne pouvant résister d’avantage, j’obtempère... Je m’allonge sur ce lit ou je retrouve le parfum de son occupante habituelle... Cette odeur me rappelle ce bref moment d’intimité interrompu par tante. A ce souvenir, un début d’érection tend le devant de mon pantalon...Dans un demi sommeil, j’entends les deux femmes qui rangent et font la vaisselle tout en discutant... Leur travail fini, elles viennent voir dans la chambre si je dors... Confortablement allongé sur le dos, je fais semblant d’être dans un un profond sommeil... Oubliant que cette position accentue le "chapiteau" de ma braguette dont ma queue en est le mât...Voyant ça, Odette dit à Germaine : "- Regarde comme il bande... Il doit rêver à quelques belles filles...— Tu parles!, avec ce que tu as commencé à lui faire, et que tu n’as pas fini..., il est resté sur sa faim...— C’est de ta faute... Tu es revenue trop tôt...— Peut-être... Mais tu n’étais pas obligée de vouloir le pomper aussitôt que j’ai eu le dos tourné...— Que veux-tu... Il y a si longtemps que je n’ai pas fait de galipettes, je n’ai pas pu résister à l’envie de me faire sauter... Il est jeune et vigoureux... Je m’en faisais toute une joie... — En plus tu as pu voir comme la nature l’a bien pourvu... — Oh oui! ... Il est monté comme un âne...— Tu en a trop envie... Et on ne peut pas le laisser comme ça... A toi ça ne te fait pas peur une grosse bite... Et puis tu n’as pas baisé depuis longtemps ... ça te ferai plaisir? »J’étais suffisamment lucide pour comprendre que ces deux commères et complices sont excitées par leurs commentaires et imaginant ce que cachait mon pantalon... La tension dans mon bas ventre se fait plus forte, l’érection plus dure... Le désir de sauter ces deux femmes plus irrésistible...Je ne bouge toujours pas malgré la difficulté de maintenir la régularité de ma respiration... Quel n’est pas mon étonnement d’entendre Odette répondre:«Si tu veux, d’accord... Si Joseph en a envie»J’essaye de ne pas paraître trop enthousiaste: "Oui, bien sûr que je suis d’accord..." Pensais-je dans ma tête... Entrouvrant légèrement les paupières, je vois Odette se déshabiller rapidement au milieu de la pièce... Son corps est encore désirable bien qu’un peu enrobé... Des jambes longues, une taille bien marquée au dessus de hanches s’évasant généreusement, des seins lourds qui, s’ils commencent à souffrir des effets de la pesanteur sont rendus désirables par leur volume, leurs formes harmonieuses, leur douceur apparente et les deux formidables tétons dardant leur turgescence au milieu de larges aréoles.Elle porte sa nudité avec beaucoup de naturel, nullement gênée devant ma tante...Elle prend place doucement sur le lit... Au moment où elle lève la jambe pour monter, je peux admirer sa noire toison, très différente de celle de Germaine par sa finesse et son épaisseur, qui me cache ses lèvres intimes...En s’allongeant contre moi, elle ne peut s’empêcher de faire bouger le lit... J’en profite pour faire semblant d’émerger d’un profond sommeil... Tout aussi comédien, je ne cache pas ma surprise de voir Odette nue allongée à mon coté... Je regarde tante Germaine qui, un franc sourire aux lèvres, me dit:"- Quand on commence quelque chose, la moindre des choses, c’est de la finir... Il y a si longtemps qu’Odette n’a pas eu d’homme qu’elle n’a pas pu s’empêcher de commencer à te pomper... Autant qu’elle finisse de te vider les couilles..."Je suis plus que surpris de l’attitude, du ton de sa voix et surtout des propos obscènes de tante... Je pense qu’elle doit être très excitée... Cet état n’a pas échappé à Odette qui en rajoute:"- Germaine, rien ne t’empêche de venir nous rejoindre... Allez, déshabilles-toi et viens..."Comme si elle n’attendait que cette invitation, en un tour de main, tante se dénude et vient s’allonger à coté de moi... Me voilà pris entre ces deux femelles en chaleur... Odette commence: "- Comme j’ai tellement envie, je suis prête... " Elle s’enduit les doigts de salive qu’elle dépose entre les lèvres de sa chatte...Elle attrape ma queue qu’elle positionne elle-même à l’entrée et, plaquant une main sur chacune de ses cuisses, elle écarte autant qu’elle peux, ouvrant ainsi l’entrée de son puits d’amour déjà bien humide ... Ne voulant pas être émasculé, d’un coup de reins, en un quart de tour, je me positionne entre ses cuisses largement ouvertes... "- Vas-y, rentre dedans maintenant... Doucement...»J’appuie ma queue qui éprouve une légère résistance à l’entrée du vagin... Je suis dans la place...«Oui, tu y es..., continue..., doucement!...»Les mains d’Odette quittent ses cuisses. Je sens ses doigts entourer ma verge, me palper les couilles, puis s’activer en avant de moi«Excuse moi, il faut que je me touche... Germaine, je le sens progresser, il me remplit»Mon ventre bute contre le sien... Je sens ma queue baigner agréablement déjà dans ce jus tiède qui remplit ce fourreau si accueillant... "- Ah!!!, tu es au fond ... Dieu que tu es long.... Cela fait longtemps que je n’ai pas été comblée aussi profondément par la queue d’un homme... Retire toi jusqu’au gland... Attention, ne sors pas! Reviens sur le même rythme... Oui, c’est bon, ça commence à venir... Ah, Germaine, tu ne sais pas ce que tu manques!... J’ai eu un peu mal au début... C’est comme une brûlure... Mais après que la chaleur est agréablement douce... -Elle gémit- "- Vas-y, plus vite maintenant... Aaaah! Je suis prête!...Je suis ouverte, tu sens comme je suis ouverte?... Allez! vas-y à fond!... Germaine, il me défonce la choune... Quelle sensation! Je le sens durcir encore... Il va jouir...-Je sens ses doigts s’activer dans sa chatte- Moi aussi je vais jouir... je jouiiiis !... s’écrit-elleLa phrase se transforme en une longue plainte au moment où j’explose en longues et interminables giclées au fond de son vagin... Je m’affaisse sur son ventre et nous restons ainsi soudés, l’un à l’autre, plusieurs minutes tant la jouissance était intense. Tante ne dit rien et me caresse les cheveux... J’hésite à la regarder mais quand je m’y risque, je ne trouve rien de ce que je peux craindre... Elle a une expression... recueillie! (Elle me confiera plus tard qu’elle s’est chatouillée et faite jouir aussi)... Je débande et je sens que le conduit vaginal m’expulse. D’un mouvement de reins, Odette me fait comprendre que je commence à lui peser... Elle m’attrape la queue commence à la nettoyer à petits coups de langue, lui redonnant un semblant de vigueur..."- Du calme, ce n’est qu’un petit brin de toilette... Mais Germaine n’a pas joui, elle... Tu ne peux pas la laisser ainsi... Tu vas la baiser aussi..."Elle attire tante à la place qu’elle occupait tout à l’heure et lui dépose un petit bisou sur la chatte... Ce geste qui fit rire Odette qui me dit:«Vas-y Joseph, comme j’ai bien aimé... Fais-en autant à ta tante..."Germaine n’est pas longue à jouir... Quand je lève les yeux, je vois ceux, attentifs, d’Odette qui me suivent.... Son regard se détache du ventre de tante que je commence à fouiller de mes doigts et qui commence à gémir. J’ignore laquelle des deux attire l’autre, mais je vois leurs bouches se rapprocher et leurs langues se mêler.Après quoi, avec beaucoup de naturel, Odette se redresse, ramasse ses affaires et sort en disant :"- Bon les amis, je vous laisse. Amusez-vous bien!...»
Puis, le reste de la journée passe, en grignotant des biscuits, boire quelques boissons reconstituantes. Nous avons continué à nous faire plaisir... Tante s’acharne à me faire bander, afin que je puisse contenter son amie qui me force à changer d’orifice suivant son bon plaisir... De même, me laissant reprendre quelques forces, les deux femmes ne se privent pas pour se donner du plaisir, se doigtant, se masturbant, se léchant et se mangeant la chatte, se caressant la poitrine, s’embrassant passionnément... Les orgasmes féminins s’enchaînent les uns derrière les autres... Témoin d’une telle orgie, excité comme jamais, j’ai bien du éjaculer une dizaine de fois dans l’après-midi... Cette journée est mémorable...
C’est à la tombée de la nuit que nous prenons le chemin du retour. En cours de route, tante arrête la voiture sur un petit parking... M’embrassant sur les deux joues, elle me dit :"- Joseph, je dois t’avouer quelque chose... Odette est ma seule meilleure amie... Je ferais n’importe quoi pour lui faire plaisir... Firmin, son mari était ingénieur dans la recherche pétrolière. Il était souvent absent... Odette, trés portée sur le sexe,n tu as du le comprendre, s’ennuyait toute seule. Elle a eu quelques aventure extra conjugales... Quand Firmin l’a appris, il n’a rien dit, fait aucun reproche... Il s’est vengé autrement... Connaissant les risques de son métier et les risques des voyages en avion, il avait les moyens de contracter une bonne assurance vie au bénéfice de son épouse... Quand il est mort, dans l’incendie d’un puit de pétrole, Odette a touchée une grosse somme qui la met à l’abri du besoin pour le reste de ses jours... Mais il y a une condition: il ne doit pas y avoir un autre homme qui partage le reste de sa vie, même pas un amant... Voilà comment son mari s’est vengé de son infidélité... Elle est devenu ma cliente et, petit à petit, nous avons sympathisé... De confidences en confidences, j’ai eu "pitié" d’elle... Nos embrassades sont devenues de plus en plus osées... Nos accolades de plus en plus "intimes". Les essayages étaient une bonne excuse pour qu’elle se déshabille plus qu’il ne fallait... Et bien d’autres petites choses encore auxquelles je ne restais pas insensible... Te dire comment c’est arrivé, je n’en sais rien... Mais un jour, nous nous sommes retrouvée nues, dans les bras l’une de l’autre... Nous nous sommes embrassée, caressés les seins puis le minou... Nous nous sommes léchée et faites jouir comme seules deux femmes savent faire... Bref, nous sommes devenues deux gouïnes sans pour autant rejeter les hommes... Moi j’avais ton oncle, mais Odette n’avais personne et ne pouvait avoir personne. Alors elle s’est procurés quelques godemichés ou se sert de légumes comme les concombres ou les courgettes pour se faire jouir... Moi je n’ai jamais osé...— Pourquoi tu me dis tout ça tante?— Parce-que bientôt tu vas partir à l’armée et que je veux te remercier des bons moments que nous avons passés ensemble... Je veux surtout te remercier pour Odette qui a pu, grâce à toi, connaître, peut-être pour la dernière fois, la joie de se faire baiser par un homme... Je te dis ça aussi pour que tu gardes le secret de nos relations....— Tante, tu peux me faire confiance, trahir ce secret, c’est te trahir, c’est trahir Odette, c’est me trahir... Tu es la femme qui m’a fait découvrir les joies et les plaisirs du sexe, qui m’a initié... Tu m’as tout donné, ton savoir, ton corps, ton amie, tout... Je n’oublierai jamais... On n’oublie jamais les premières fois...— Merci Joseph..."Tante remet la voiture en route, et nous rentrons tranquillement... A bout de force, j’ai sombré dans un lourd sommeil qui, celui-là, n’était pas feint...
Encore aujourd’hui, environ quarante ans après, en écrivant ces lignes, j’ai une pensée émue pour cette femme qui a quitté ce monde depuis quelques années...
Petikokinx-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
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