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La pension de tous les vices

Chapitre 4

Monsieur Frédéric

Erotique
LA PENSION DE TOUS LES VICES.

Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos pensionnaires.Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une trentaine d’années aux mains baladeuses.Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur. Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.Les demoiselles Jeanne et Sylvie, deux lesbiennes qui ne s’en cachent pas.Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un coureur de première.Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans, pas mal de ma personne.
Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont établis entre les hôtes de la pension.

Micheline et Monsieur Frédéric
 Monsieur Frédéric est un « vieux beau » comme on dit mais il est plutôt moche.Longtemps j’ai repoussé ses avances jusqu’au jour ou j’ai découvert son « anatomie ». Il est hideux, bedonnant avec sa petite taille et de gros bourrelets de graisse. Il n’y a qu’une chose qui pèse en sa faveur et qui me trouble, il a un épi d’une taille impressionnante que je n’ai pratiquement jamais vu défaillant.Ses possibilités génésiques sont tout bonnement fantastiques. Il m’est arrivé de le subir complètement épuisée de ses effractions multiplesDepuis je lui fais ce petit plaisir de temps en temps car ce n’est pas de tout repos.
— Bonjour monsieur Frédéric.
-Bonjour Micheline, Comme d’habitude il suit son petit rituel, se préparant avant mon arrivée..Il est en robe de chambre, une bosse immense en déforme le devant. Il défait la ceinture et laisse tomber le rempart qui me cachait la seule chose de beau en lui. Un sexe que ne renieraient pas les meilleurs acteurs pornos. Je touche son flanc. Je m’agenouille et pose mes mains sur ses fesses pour le tirer vers moi puis le saisit à pleins doigts. Ma langue tournoie autour de ses testicules et à la base de son sexe. J’ai extrêmement envie de l’engloutir, de le sucer, de tout lécher mais je retiens mes ardeurs. Ses mains caressent mes cheveux et mes épaules. Il n’a pas accès à plus pour le moment. Son sexe est dressé à quelques centimètres de ma bouche. Il est très gros et très dur, et de grosses veines pulsent sous la peau ultrafine.  Je dois avouer qu’aucun homme ne me trouble comme Monsieur Frédéric. Par rapport à lui, tous les autres sont ridicules. Il m’a avoué que ça a fait le malheur de son ménage, sa femme ne pouvait supporter qu’il soit aussi puissant prétendant qu’il lui faisait trop mal et qu’il était odieux de la forcer à subir un tel supplice.Il me relève pour me conduire vers le lit et se met sur moi, me pénétrant avec une grande délicatesse. Chaque millimètre de ma chair intime subit le contact de cette verge exceptionnelle. Il m’emplit toute et je dois reconnaître que j’aime ça, je ne peux le nier. Je me cambre même, ramenant mes jambes sur son corps massif, nouant mes chevilles sur ses reins. Ce simple geste emporte l’abandon de Monsieur Frédéric qui se vide aussitôt de son suc brûlant me faisant défaillir sous ce plaisir sublime.Sans marquer aucune pause, il recommence à me besogner en soufflant fortement, réveillant ma sensualité. Une plus grande lucidité me fait imaginer le jeu de ce piston de forge qui me dilate, provoquant l’émoi de mon ventre et le gonflement presque douloureux de ma poitrine.
Dans mes reins, coule un fleuve de feu qui me ravage au plus profond de mon être.Et de nouveau Monsieur Frédéric se vide abondamment en moi, me gorgeant d’un bouillonnement qui n’en finit plus.Il se laisse aller sur le dos, haletant, attendant tranquillement car il sait que je vais être encore attiré par ce qu’il a de plus beau chez lui. Il est très vite exténué car l’exercice n’est pas son fort.Mon regard ne peut s’écarter de ce bulbe nu qui s’épanouit toujours sur le ventre de Monsieur Frédéric.Nos yeux se rencontrent, il attend tranquillement que je vienne m’occuper de son offrande.Ses fruits gonflés à l’enveloppe velue palpitent autour de cette virilité toujours dressée. Je les emprisonne dans mes doigts, j’ai l’impression que deux petits animaux s’affolent sous mes caresses. Je change de position pour que ma langue râpeuse enveloppe cet endroit si délicat.Il soulève sa tête pour regarder ma jolie bouche gober les deux œufs accrochés à cette barre impressionnante. Ma salive les oint comme pour les inciter à élaborer encore plus de semence.Puis mes doigts reprennent leur bien pendant que mes lèvres brûlantes glissent le long de cette hampe interminable jusqu’au bourgeon violet que j’absorbe difficilement.Jusqu’à maintenant, il m’avait toujours imposé cette exigence, forçant de ses mains pour que ma bouche s’écrase sur son désir. Je ne me refusais pas mais aujourd’hui il a la preuve que malgré sa laideur, je le considère comme un partenaire de lit exceptionnel et cela lui suffit.
Ne pouvant demeurer plus longtemps sans réagir, esclave de cette euphorie qui le gagne, il lance son bas-ventre en avant, au-devant de mon affolante bouche qui le mène inexorablement au plaisir. Il essaie de retenir la vague impérieuse de sa volupté, se délectant de me voir œuvrer sur son épi. Comment peut-il comprendre que je ne le préfère pas à un jeune et beau garçon.J’entre le plus loin possible son sexe dans ma bouche et entreprends de bouger lentement et doucement la tête. Tout en continuant de sucer la verge raidie, je lui malaxe doucement les couilles velues déclenchant dans son bas-ventre une onde de volupté. Son gland, devenu extrêmement sensible du fait de sa congestion sanguine maximum, lui transmet les plus infimes de mes prestations; des chocs répétés de ma langue à la chaleur humide de ma bouche dans laquelle il manœuvre en pilotage automatique.Je me demande si je vais cette fois abattre sa superbe. L’explosion qui se précise va encore projeter hors de son corps une énergie considérable qui, j’en suis sûre, sera difficile de renouveler dans un bref délai.
-Micheline !!!Crie-t-il d’une voix de gorge, sentant de nouveau qu’il va m’honorer.De longs traits fusent dans ma bouche avide, me comblant de fierté. Je laisse ma tête reposer sur son ventre, sans lâcher prise, mes lèvres serrées sur cette lance infatigable.Il me caresse les cheveux, se demandant pourquoi il a fallu si longtemps pour enfin connaître l’extase d’un tel plaisir.
Au milieu de son corps, l’impressionnant morceau de chair est toujours aussi dur attendant patiemment que je m’en occupe à nouveau…..
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