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Si tu perds, je te ...

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
Si tu perds, je te...
— OK si tu perds, je te prends comme une grosse cochonne que tu es, je te retourne sur la table et je t’enfonce 2 doigts dans le cul sans préliminaires. — ... ?!— Ça t’excite en plus ça hein, je suis sûr que tu mouilles déjà... Reste concentrée, ça serait dommage de le faire bouger ce mikado...
Je me concentre vraiment, j’aime gagner, c’est les dernières piques, si j’y arrive, je les enchaîne toutes et j’ai gagné. Mais je bouillonne à l’intérieur après avoir entendu tes mots, après avoir vu ton visage se déformer par le désir, à regarder ta langue frémir, et passer sur tes lèvres. Je prends la pièce, les autres ne bougent pas ! Je crie de joie ! Je vais pour prendre les autres, mais dans ma précipitation, j’en bouscule plusieurs à la fois...
— Ah elle était trop pressée ma petite coquine ! Et voilà c’est perdu.
Tu m’attrapes violemment par le bras pour me mettre debout. Tu me retournes.
— Non attends...
Tu soulèves ma jupe, tu baisses ma culotte juste assez pour accéder à mon cul et à ma chatte. Tu fourres 2 doigts dans ma chatte, sauvagement, tu les retires et tu commences à me les enfoncer dans le cul. Avec ton autre main, tu me plaques le ventre contre la table, je sens les baguettes du mikado contre ma poitrine, tu appuies si fort sur mes omoplates que je ne peux pas bouger les bras. Et tu m’enfonces tes doigts.
— Ahh ! — Tu aimes ça salope quand je te prends comme ça ? Vite et fort ? — Ouiiii.— Tu aimes quand ça coince pour rentrer ?— J’aime quand je suis ta salope, j’aime quand tu fais ce que tu veux de moi ! Mon corps est à toi, prends-le ! — Ah voilà c’est ça que je veux entendre. Tourne ta tête vers moi.
Tu me regardes dans les yeux, tu approches ta bouche très près de moi, et tu me murmures.
— Maintenant je ne veux plus rien entendre... — Mmmm.
J’ai les yeux qui s’embrument.Tu sors tout doucement les doigts de mon cul, je miaule comme une chatte en chaleur.
— Oh tu en voudrais encore ? Quel dommage !
Tu te places de l’autre côté de la table, tu arraches mon haut d’un seul geste. Je ne porte rien dessous, mes seins sont à nu sur la table, certaines piques encore sur la table rentrent dans ma peau.
— Je ne veux plus que tu voies non plus !
Tu attaches mon écharpe qui traînait sur mes yeux, c’est le noir total pour moi
— Ne bouge pas, je reviens avec du matériel. Je ne veux vraiment pas que tu bouges, si je vois que tu as bougé ne serait – ce qu’un pied, je te fouette au sang.— Mmm !
Tu t’en vas et tu me laisses haletante et immobile. Tu reviens chargé, je l’entends, mais je ne le vois pas. Tu ne reviens pas seul non plus.
— Antoine vient d’arriver, j’avais complètement oublié qu’il devait passer boire un verre.
Je l’entends qui arrive derrière moi, je le connais déjà, il passe ses mains sur mes fesses et me donne une petite claque.
— Toujours aussi beau ce cul !
Tu écartes violemment mes jambes pour que mes cuisses s’ouvrent et tu commences à m’attacher les jambes aux pieds de la table, je gémis. Antoine se place devant ma tête, il essaie de mettre ses doigts dans ma bouche.
— Elle ne doit pas parler et ni bouger. — Ahhh, tu veux pas lever cette consigne ? J’ai très envie qu’elle lèche mes doigts... — Pas encore, va nous chercher des bières plutôt.
Antoine part à la cuisine, il revient avec 2 bières qu’il fait glisser le long de mon dos. Le froid me tend, je gémis de douleur de retenir le moindre mouvement. Mais la surprise est forte, et j’ai bougé...
— Tu as bougé, je vais devoir te fouetter !
Tu fais claquer le martinet dans l’air.
— hummmmm !
Je râle de plaisir, d’envie contenue. Oui je le veux ce fouet sur mon cul.Et tu frappes ! Tu me fouettes plusieurs fois, très vite et très fort.
— Antoine ! Viens, embrasse-moi ce cul tout rouge !
Antoine s’exécute immédiatement. Il s’accroupit et me lèche les fesses, la fente. Il remonte les bières le long de mes cuisses, il place la partie charnue contre ma chatte, et commence à caresser mon clitoris avec le froid du verre.
— Ouvre la bouche !
J’ouvre immédiatement la bouche. C’est ta bite qui s’enfourne dans ma bouche.
— Suce salope !
Et je te suce, vite, fort, je t’avale, je te pompe, je suis goulue et avide de ton liquide, ses quelques gouttes de chaleur sont un délice, je t’aspire autant que possible.
— Oh oui petite salope, tu aimes ça en plus !
Pendant ce temps Antoine s’est relevé et déshabillé. Il a posé son sexe sur mon cul, juste au-dessus du coccyx. Il ouvre les bières, t’en donne une, je t’entends boire une grande gorgée. Tu commences à râler de plaisir. J’ai toujours les mains fermement clouées à la table, je ne veux pas bouger, je ne bouge que ma tête. Antoine place son sexe à l’entrée de mon sexe, je mouille, ça dégouline par terre, ça dégouline sur son sexe, il s’enduit le sexe de ma mouille, tend sa main vers ta bouche. Tu l’ouvres pour me goûter.
— Humm toujours ce petit goût anis.— Je peux ?
Antoine fait le geste d’enfoncer sa bite dans mon cul.
— Embrasse-moi d’abord, viens goûter l’anis offert par cette grosse chienne !
Antoine se déplace, je ne sens plus la chaleur de son sexe contre mon cul, j’en crève d’envie d’avoir sa bite dans mon cul. Il t’étreint fermement, il t’embrasse en t’attrapant les cheveux, et met toute sa fougue quand il te fourre sa langue entre tes dents. Ton sexe s’érige dans ma bouche. Il est difficile à contenir, il tape contre mon palais.
— Humm ce goût...— Maintenant tu peux prendre notre petite pute !
Antoine revient vers mon cul, il fourre sa main entière dans ma chatte qui s’ouvre immédiatement. Il s’enduit le sexe et me pénètre tout doucement le cul en une seule fois. Arrivé au fond, il attend quelques secondes, il essaie d’aller plus loin, il me cambre, il plaque fermement ses mains sur mes fesses, m’agrippe la taille. Je vous entends trinquer, le bruit des bouteilles en verre s’entrechoquent et vous les posez sur mon dos, en longueur, elles roulent un peu avec le mouvement de ma bouche sur ta bite. Du liquide s’en échappe et se répand sur mon dos. Tu te penches vers moi.
— Tu es une bonne soumise, tu peux bouger maintenant... Mets-moi un doigt dans le cul et continue de me sucer cochonne !
Antoine est toujours bien au fond de moi, il bouge un peu, en faisant des cercles avec son bassin. Il assure sa prise, et d’un coup, se met à me pilonner, je gémis. Son geste fait rentrer d’un seul coup mon doigt dans ton cul, c’est un peu fort et tu es surpris.
— Ahhhh !
Tu me fouettes alors quelques coups.
— Salope !
Je continue de te sucer, et de te branler le cul pendant qu’Antoine prend sérieusement le mien. Ma chatte tape contre le rebord de la table, mon clitoris est surstimulé par ses coups, mon dos se zèbre de rouge, tu fouettes les bras et les mains d’Antoine qui sont sur mes fesses.
— Oh oui fouette-moi ! Vas-y plus fort !
Il hurle pendant que le fouette, il me défonce le cul si fort que ta bite n’est plus pour moi qu’un énorme tuyau qu’il faut absolument avaler entièrement, je t’attire vers moi de toute la force de mon doigt dans ton cul, tu gémis, il grogne, je te suce, tu me fouettes, tu le fouettes, tous les deux vous faites des va-et-vient vers mon corps, la table se déplace, de ta main libre tu enfonces ma tête sur ton sexe, tu jettes le fouet qui s’écrase lourdement au sol, tu mets tes doigts dans la bouche d’Antoine qui glisse sa langue dans la fente que tu lui offres, tu jouis de tous ces contacts humides, tu déverses ton sperme au fond de ma gorge, il jouit de tes doigts, de tes yeux qui convulsent, il envoie son sperme au plus profond de mon anus, j’ai vos deux foutres bien profonds en moi, je déglutis de plaisir.
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