J’erre dans la rue depuis des heures quand mes yeux se posent sur une drôle de devanture, celle du Red Devil. Je jette des coups d’oeil à la porte entrouverte, mais tout est éteint, je m’apprête à repartir quand j’entends deux voix d’hommes, me semble-t-il s’échapper de l’entrebaillement. Je décide d’entrer.
Je tatônne sur quelques mètres quand tout à coup une poigne ferme m’aggripe, tout d’abord j’essaie de me dégager, ne voyant pas mon agresseur, je ne sais comment réagir. S’il est musclé, mon agilité me sera bien plus utile que ma maigre force procurée par mon entrainement quotidien, mais s’il est petit et rapide… Soudainement, toutes ces réflexions cessent, mes instincts défensifs s’estompent dans un délicieux mélange boisé, accompagné de ma respiration haletante. Je m’abandonne à ces mains qui remontent lentement le long de mon bras pour aller caresser mon visage. Ses lèvres s’approchent de mon cou en l’effleurant tout juste puis elles se mettent à me dévorer, alternant avec des coups de langue et quelques morsures affreusement délicieuses.. Sa main libre commence à malaxer mes seins par-dessus mon chemisier provoquant en moi de sublimes frissons. J’essaie de me dégager pour caresser son torse mais il m’en empêche voulant garder tout contrôle. Je me sens frustrée de ne pouvoir toucher mon agresseur, expert, quand je sens un deuxième individu prendre mes fesses fermement dans ses mains. Il frotte ensuite son entrejambe contre mon petit cul après m’avoir vidée de tous mes vêtements et me faisant déjà sentir une bosse affamée. Mes soupirs sont de moins en moins espacés et de plus en plus forts. Le premier attrape ma culotte et m’ordonne de la lécher, trempée de mouille avant de me l’enfourner dans la bouche. Dans une parfaite synchronicité, ils m’enfoncent tous deux un doigt dans chacun de mes orifices intimes me procurant un bien fou. J’aimerais rester des heures comme ça. Ayant du mal à tenir sur mes jambes, l’un deux me plaque contre un mur et commence à me baiser sauvagement. Je n’en peux plus de gémir et de ne pouvoir le toucher, alors je tente le tout pour le tout et arrive à l’embrasser. Voyant qu’il ne me repousse pas, je descends ma bouche le long de son torse en griffant son dos. En même temps, j’entends l’autre se branler en faisant taper ses couilles contre lui et je sens qu’il va bientôt venir ce qui me fait mouiller d’autant plus. Celui qui me faisait l’amour me retourne et me fait mettre à quatre pattes puis m’ordonne de lécher le sol. Hésitant un peu, doutant de la propreté du sol, il me plaque la tête contre le sol et commence à me donner des fessées, la suivante étant toujours plus forte que la précédente. Devinant mon cul rouge comme jamais, je m’applique à lécher le sol et me reçois en pleine figure la giclée de celui qui se branlait. Je veux m’essuyer mais le premier m’attrape les poignets et m’oblige à le sucer. Je commence par titiller son gland en donnant de petits coups de langue, puis je le prends en bouche et fais des va-et-vient avec ma tête, puis il se met à me baiser la bouche, et finit en éclatant dans ma cavité buccale.
Comblée, je finis en jouissant fortement. Reprenant mes esprits, je réalise que je suis maintenant toute seule, je me rhabille à tâton, et me jure de revenir dans la semaine.
