Bonjour, chers lecteurs, je vous prie d’excuser le retard de publication (un peu plus qu’un an), mais disons que j’ai eu une année assez mouvementée. Trêve de bavardage, replongeons-nous dans l’histoire. Chapitre 2: Confessions.En fermant la porte de la chambre, j’étais partagé par plusieurs sentiments: l’excitation due au baiser que je venais de partager avec ma sœur, la peur de confronter ma sœur après ce qui vient de se passer, je savais parfaitement à cet instant que ce que nous allons dire ou faire allait décider du sort de noter relation entre frère et sœur à tout jamais, on pouvait soi en rester là et on mettait ce qui venait de se passer sur le compte de l’ivresse, soit continuer ce que nous avons commencé ce soir et franchir le cap de l’inceste. En plus, je ne savais pas vraiment ce que je voulais, d’une part, j’avais peur de perdre ma sœur à tout jamais, d’autre part, cette femme ne laisse personne de marbre avec son visage enfantin et son corps de déesse grecque. J’ai décidé de jouer ma carte de négociation préférée : le silence (j’avais lu dans un livre de management que le silence est le meilleur moyen pour déstabiliser son adversaire surtout quand on n’a aucune idée sur ce qu’il a comme atout). J’ai respiré profondément et me suis tourné vers elle pour la fixer du regard. Alors que je m’attendais de voir une petite fille déstabilisée par mon silence ou peut-être une femme pleine de désir qui attend mon feu vert pour me sauter dessus, j’étais de marbre devant son regard persan, mes yeux et mes pensées. Un moment de silence, puis elle s’est avancée vers moi. Il ne restait que quelques centimètres entre nos visages. J’ai fermé les yeux en attendant un baiser aussi voluptueux et intense que celui de tout à l’heure, mais elle a fini par me chuchoter: — Le jeu est terminé grand frère, ravale ta salive et trouve une solution pour trouver où dormir, parce que tu ne dormiras pas dans le grand lit ce soir. J’étais tellement bouleversé que je ne savais même pas comment je me suis retrouvé sur le pont du bateau, j’étais perdu dans mes idées, sauf que mes idées n’étaient pas claires. Heureusement que j’avais mon paquet de cigarettes dans la poche, cela me permettrait de souffler un coup, j’essayais d’allumer ma cigarette, mais avec le vent qui de mer, c’était juste impossible avec mon allumette à deux sous, je maudissais le vendeur qui m’avait vendu ça à deux euros (d’ailleurs, j’avais compris pourquoi les marins avaient un penchant pour la pipe). Alors que j’allais la cigarette à la mer, une main salvatrice s’est tendu, un briquet à la main, je me suis tourné et s’était Amine: — Merci mec, j’aillais jeter cette putain de cigarette si t’étais pas venu.— Ravi de savoir que j’ai pu sauver ta soirée. La mienne est déjà foutue.— Attends, mais qu’est-ce que tu fais dehors toi ? Quand vous êtes sortis de la chambre, je me suis dit que votre soirée ne faisait que commencer.— Je peux te retourner la question, tu sais ? Bon, disons qu’on n’a pas réussi à franchir le pas.— Parce que tu es encore puceau ?— Elle oui, mais pas moi.— Raconte un peu pour voir.— D’accord, de toutes les façons, on a que ça à faire. Quand on est sorti de votre chambre, on était tout excités et j’étais presque sûr que j’allais enfin pouvoir coucher avec ma fiancée, arrivés à notre chambre, on a commencé à nous embrasser, j’ai commencé à balader mes mains sur son corps et vu qu’elle n’a pas réagi, je lui ai enlevé sont haut pour toucher ses seins, aucune réaction de sa part, j’ai commencé à caresser ses seins et embrasser son cou, je suis descendu peu à peu vers son sein, je l’ai même embrassée, c’était magnifique...— Et alors ? Continue.— Rien, elle m’a giflé et s’est effondrée sur le lit en larmes.— Haha haha !!! Ah putain, tu m’as tué, toi mec, tu viens de sauver ma soirée pour la deuxième fois.— Très drôle, tu as de la chance toi, le sexe doit être un quotidien pour toi, en plus, tu as une très belle femme, excuse-moi si je dépasse mes limites, mais il faut donner à césar ce qui est à César.
— Ça ne me dérange pas, je prends ça comme un compliment, je peux aussi te le retourner, tu as une très jolie fiancée.— Merci, le problème c’est qu’elle est un peu coincée et je ne sais pas comment faire pour la décoincer, en plus avec ses parents dans les pattes ça ne va pas être facile.— Écoute, je comprends parfaitement ta frustration, mais il faut être patient avec les femmes sinon t’auras rien.— T’a pas tort, tu veux me raconter comment t’as fait l’amour la première fois à ta femme ? Peut-être que ça va m’inspirer.— Oh que oui ! Malgré les multitudes conquêtes que j’ai eues, j’ai décidé de lui raconter la fois où j’ai couché avec ma cousine (c’est vrai qu’en Tunisie, cela n’est pas considéré comme de l’inceste, mais vu qu’on a grandi ensemble avec Nadia, c’est presque de l’inceste). — Alors pour commencer, ma situation n’était pas très différente de la tienne, j’avais aussi mes beaux-parents aux pattes, ma famille possède une ferme au Kef et on avait l’habitude de passer les vacances de l’hiver là-bas, un an avant notre mariage, mes parents ont invité ma belle-famille pour passer les vacances avec nous, mon père qui était un amoureux de la chasse a su trouver les bons arguments pour convaincre mon beau-père de venir. Un matin, alors que tout le monde est parti pour une partie de chasse (les hommes aux fusils, les chiens pour récupérer le gibier, les femmes pour tenir compagnie), je me suis retrouvé seul avec Meysoun à la maison, nous nous sommes embrassés, et après quelques câlins, nous sommes montés dans ma chambre. Elle tremblait de peur et de stress, bien que ce n’était pas la première fois qu’on se retrouve seuls dans une chambre. Mais on savait tous les deux que cette fois-ci, nous allions dépasser le cap des simples baisers, on s’est posé sur le lit et on a repris nos baisers, j’ai commencé à descendre vers son cou en caressant son corps sans toucher ses seins pour ne pas la brusquer. Quand je suis arrivé au niveau de ses seins et que j’ai voulu les caresser, sa main a retiré la mienne puis elle a remonté ma tête pour reprendre nos baisers. J’ai compris qu’elle avait peur, alors je suis redescendu vers son cou, et au lieu d’aller vers ses seins, je suis remonté vers son oreille et je lui ai chuchoté que je l’aimais et que j’avais envie d’elle, à ces mots, j’ai entendu un soupir, un appel à l’assaut, un genre de feu vert. J’ai compris que toutes les portes étaient ouvertes à condition que j’y allais doucement. Je suis redescendu vers ses seins, j’ai déboutonné son chemisier et j’avais le saint Grale devant mes yeux à portée de main, je savais qu’elle était assez sensible aux caresses, alors si je lui touchais les seins, j’avais le droit à un pass pour le pays des plaisirs. J’ai pris un sein d’une main et j’ai mis l’autre dans ma bouche, et elle, elle continua à râler de plaisir, elle m’a aidé à enlever mon pull, je suis encore descendu vers son ventre, tout en l’embrassant, j’ai commencé à déboutonner son pantalon, à peine j’ai commencé à baisser son pantalon et sa culotte qu’elle s’est éloignée de moi dans un moment de panique, je suis allé vers elle doucement, je l’ai prise dans mes bras pour la calmer, puis je lui ai chuchoté que je l’aimais et que si elle voulait, nous pouvions tout arrêter. Elle m’a regardé avec des yeux mouillés, mais plein de désir, et m’a embrassé passionnément, ses mains ont descendu mon pantalon et mon slip et à la vue de mon sexe, elle était étonnée (ce qui a nourri mon orgueil). Elle a commencé à caresser mon sexe maladroitement et je sentais qu’elle hésitait un peu. J’ai repris ses seins dans ma bouche et j’ai retenté le coup avec son pantalon. Bingo, cette fois-ci, elle s’est un peu levée pour m’aider dans ma tâche, j’ai descendu ma main vers sa chatte qui mouillait et j’ai commencé mes caresses. Ses gémissements on repris de plus belle jusqu’à un moment où elle m’a poussé pour me coucher. Dans ses yeux, la petite fille pucelle qui avait peur a disparu pour laisser place à une femme en pleine chaleur. Elle m’a enjambé en gardant mon sexe à la main, l’a positionné à l’entrée de sa chatte et a commencé, a descendu, elle avait un peu mal au début, surtout quand son hymen a fini par céder. Je l’ai tenue par les fesses pour commencer les va-et-vient, mais à ma grande surprise, c’était elle qui voulait contrôler le rythme. Elle a commencé à me chevaucher lentement, et puis elle a accéléré le rythme jusqu’à ce qu’on a joui ensemble. On a essayé beaucoup de positions cette après-midi et c’était le début d’une vie sexuelle bien chargée. (il fallait changer Maysoun par Nadia, mes beaux-parents par mon oncle et ma tante pour trouver la vraie histoire) — ouah !!! Bravo mec, j’ai compris ce que veut dire, aller doucement avec les femmes. Je suis sûr que ça va fonctionner avec Safa.— Oui, j’en suis sûr, vas-y profite de cette nuit pour la rassurer et mets-la à l’aise.— Chef oui chef !!! Allez bonne nuit Ahmet.— Bonne nuit Amine.
