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un père aimant

Chapitre 1

Gay
J’avais un peu plus de dix-huit ans et je vivais seul avec mon père, depuis que ma mère nous avait quitté. J’étais très attiré par les hommes, mais n’avait pas encore eu de relations sexuelles. Je me contentai de me branler devant des revues porno gay, matant des culs et des bites de mecs excitants. Je rangeais ces revues dans mon armoire, sous une pile de draps. Une fin d’après-midi, quand je rentrai à la maison, je la trouvai déserte. Je pensai que mon père avait été retardé et je montai dans ma chambre dans l’intention de me branler un peu sur ces revues. La porte était ouverte, et je m’arrêtai sur le seuil, interdit. Mon père était assis, me tournant le dos. Il regardait une de mes revues. De dos, aux mouvements de son bras droit, je sus qu’il se branlait.Je redescendis tout doucement. J’étais interrogateur sur la suite. Mon père avait trouvé mes revues et savait donc que j’étais attiré par les hommes. Ca ne devait pas lui plaire. Mais, d’un autre côté, il se branlait sur ces revues. Je décidais de claquer violemment la porte d’entrée, pour faire savoir que j’étais rentré, et partit boire un verre dans la cuisine. Mon père descendit et me rejoignit, faisant comme s’il n’avait rien découvert. Je soupirai intérieurement. Il n’y aurait pas de drame, et en plus, je savais qu’on partageait la même attirance pour les hommes. Je montai dans ma chambre. Tout était en ordre, mes revues bien rangées. Dans la nuit, je fus réveillé par le poids du corps de mon père se glissant dans mon lit. Je dormais sur le côté, et il s’était glissé derrière moi. Je sentis sa main me caresser doucement les fesses à travers mon pyjama. L’érotisme de la situation me fit bander. Une de ses mains passa devant moi et défit le bouton qui retenait le pantalon du pyjama. La main repassa derrière, se glissa sous le pantalon et me caressa la raie du cul. Un doigt trouva mon anus et le tripota doucement. J’entendais mon père haleter. Il se branlait en me touchant le cul. Feignant de bouger dans mon sommeil, je me mis à plat ventre en faisant glisser mon pantalon, tout en écartant les cuisses. Une main saisit le haut du pantalon, et le baissa. J’étais cul nu. La main se glissa entre mes cuisses et caressa mes couilles. Puis remonta vers mon trou du cul. Elle appuya dessus. Il y avait longtemps que je me donnais du plaisir en m’enfilant des carottes. Mon trou était bien souple, et le doigt pénétra en douceur, et commença à bouger doucement dans mon cul. Mon père haleta plus fort, et retira son doigt. Il avait joui. Il repartit dans son litJe restai stupéfait. J’avais beaucoup aimé, et je bandais encore, tout excité. Une idée perverse me traversa l’esprit. J’allais aller dans sa chambre lui rendre la pareille. Je me glissai dans sa chambre, puis dans son lit. Je tendis ma main vers son cul, et sursautait au contact : mon père était cul nu ! Une seule explication possible. Il avait dû deviner que je ne dormais pas quand il me tripotait, et, pensant que j’allais lui rendre la pareille, me facilitait les choses. Je glissai doucement ma main le long de sa raie du cul et atteignit son anus. Je bandais à mort ! Ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait aller tripoter le cul de son père, qui visiblement ne demandait que ça. Puisqu’il était à poil, je passai ma main par devant et lui pelotai les couilles. Je sentis au passage que, bien que venant d’éjaculer, il bandait à nouveau. Je caressai doucement sa bite qui frémit. Je retirai ma main mouillait un doigt et allai presser son anus. Il était moins assoupli que le mien, et je dus insister pour pénétrer, mais j’y arrivai. Son absence de réaction montrait qu’il ne dormait pas. Je lui doigtai le cul, en me branlant, finit par jouir, et retournai dans ma chambre.Le lendemain matin, en descendant pour le petit déjeuner, je redoutai une réaction. Il n’y en eût pas. Comme s’il ne s’était rien passé. L’après-midi, pressentant qu’il se passerait des choses la nuit suivante, je passai un bon moment à me travailler le trou avec mes carottes. Le soir, j’allai me coucher tôt, prétextant être fatigué. Je me lubrifiai copieusement le cul, et m’allongeait sous les draps, à plat ventre, cuisses écartées, sans pantalon de pyjama. J’oubliais intentionnellement d’éteindre ma lampe de chevet. Quand j’entendis mon père monter, je me mis à ronfler assez bruyamment. Mon père fila se mettre en pyjama, puis revint dans ma chambre, ou je ronflais toujours. Quand il souleva les draps, il resta un moment interdit. Puis se remémora la nuit passée. Ce qui s’était passé, montrait un accord consenti et implicite, dont nous ne parlerions pas.Mon père se glissa donc à côté de moi. Il me mit vite un doigt au trou. Il le trouva préparé à un point qui appelait une véritable pénétration. Il se coucha doucement sur moi. Je sentis sa bite en érection coulisser le long de ma raie du cul. Puis l’extrémité s’arrêta en face de mon trou, et appuya doucement. J’étais si bien préparé que le bout rentra tout seul. Je grimaçai un peu car c’était la première fois. Il dût sentir ma crispation, car il s’arrêta. Puis progressa tout doucement. Je ne ronflais plus, je sentais une vague de désir et d’excitation, en sentant cette queue me pénétrer, me caresser et me chatouiller les intérieurs. Je me dominai pour ne pas trahir mon excitation. Il commença à me ramoner par de lents va-et-vient. Mon plaisir montait, montait... Il accéléra doucement le rythme. J’éjaculai sous moi. Je ne tardais pas à le sentir gicler dans mon cul. Il se dégagea doucement, prit soin d’éteindre la lumière, et regagna sa chambre. Epuisé par ma tension nerveuse, mais rempli de bonheur, je m’endormis aussitôt.Le lendemain matin, bien sûr, il ne s’était rien passé... Cette situation commençait à me peser. Aussi, en fin d’après-midi, après m’être bien préparé, je grimpai dans ma chambre, me mis à poil, et attendis le retour de mon père. Quand j’entendis la porte d’entrée claquer, je filai m’installer sur mon lit, sur mes genoux, cuisses écartées, visage sur l’oreiller, cul bien en l’air, puis appelai mon père. Il grimpa l’escalier, et s’arrêta, surpris, à l’entrée de ma chambre.« Papa, s’il te plait, j’en ai marre de faire comme s’il ne se passait rien, dans le noir, la nuit. Viens maintenant, j’ai envie de toi »Il s’agenouilla derrière moi, sortit sa bite et la positionna contre ma raie du cul. Il se pencha sur moi, et me murmura à l’oreille :« Tu es un vrai petit cochon »« Je suis majeur et vacciné ! Et toi, comment qualifies-tu un père qui se laisse tripoter le cul par son fils, en faisant semblant de ne pas le remarquer ? »Il se redressa avec un petit rire.« Tu veux l’avoir dans ton petit cul ? Je vais te l’y mettre ! »Il s’inséra néanmoins progressivement, et en douceur. C’était encore meilleur que la nuit dernière. Je m’habituais, et m’étais bien entrainé l’après-midi. Et je n’avais plus à dissimuler mon plaisir, que j’exprimais par des gémissements. Voyant mon plaisir, il me saisit par les hanches, et m’encula plus « virilement ». Je poussai des grognements appréciateurs. Il me bourrait bien le cul, mon cochon de père. Je ne me contrôlai plus et j’éjaculai. Il s’en rendit compte, et je ne tardai pas à le sentir jouir. Il se dégagea, et s’allongea contre moi. Je me blottis contre lui, et m’assoupis. Au bout d’un moment, il me réveilla d’une bourrade« Vas t’habiller, paresseux, on va fêter ça au restaurant »En entrant dans le restaurant, je sentis une atmosphère particulière. Je réalisai qu’il n’y avait pas de femmes et que certains hommes me déshabillaient du regard. Mon père me poussa sur une banquette, et s’assit en face de moi.« Mais, ou sommes-nous ? »« T’es obtus ou quoi ? Dans un restaurant fréquenté par des gays, et je peux te dire que je suis fier de toi, vu le nombre de mecs qui ont reluqué ton cul ! »« Mais... Tu fréquentes des gays ? »« Tu sais, quand ta mère nous a quittés, il y a quatre ans, je n’ai pas voulu t’imposer une belle-mère, et je me suis tourné vers les hommes, d’autant plus facilement qu’à ton âge, j’en avais déjà fréquenté »Sur ce, le serveur vint saluer chaleureusement mon père, et prit la commande. Il me fit un clin d’œil en partant. Mon père s’esclaffa« Il est persuadé que tu es mon amant. C’est plutôt flatteur pour moi, vu mon âge »« Tu connais beaucoup de mecs ? »« Cinq ou six que je vois assez régulièrement »« Tu me les présenteras ? »« Petit cochon ! Oui, mais à deux conditions : un, je veux être là quand tu baiseras avec eux, pour voir le spectacle, et éventuellement participer, et deux, pas tout de suite, pour l’instant je te garde pour moi tout seul »Nous n’avions commandé qu’un seul plat, avec des boissons. Quand mon père voulut commander un dessert, je lui dis que je préférais rentrer. Une fois à la maison, mon père m’envoya dans ma chambre. Je m’y retrouvais, interrogateur et un peu inquiet. Qu’avais-je dit ou fait, qui lui avait déplu ? Puis je l’entendis m’appeler. Il était dans sa chambre. Je m’arrêtais sur le seuil. Mon père était à poil, sur son lit, sur le ventre, jambes écartées. Je m’avançai derrière lui, et, pour la première fois, contemplai son cul. A 45 ans, il avait un cul superbe, rebondi et musclé, avec quelques touffes de poil dépassant de sa raie, le rendant très excitant. Je me souvins de photos pornos montrant deux mecs se léchant le cul. Je me mis derrière lui, lui écartai les fesses, et commençai à le lécher. Je l’entendis me dire que c’était bon, que je continue. Je voulus ensuite essayer de lui mettre ma langue dans l’anus.« N’y mets pas ta langue, c’est plein de lubrifiant, mets y plutôt autre chose ! »Je sortis ma bite toute vibrante, et l’insérai doucement, oubliant qu’il avait une longue habitude de la chose. En rigolant, il arqua son cul et s’empala sur ma queue. Je sentis que tout m’était permis, et qu’il apprécierait. Je le saisis par les hanches, et me mis à lui bourrer le cul bien à fond. J’entendis des grognements appréciateurs. Il passa une main sous lui et me pelota les couilles. Ca m’excita au plus haut point et je le baisai comme un malade. Quand j’eus éjaculé, il me prit dans ses bras, et remonta le drap sur nous.« Assez d’émotions pour aujourd’hui. Je suis fatigué, on dort ! »Ce fût notre première nuit en commun, mais ce ne fût pas la dernière ...Fin
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