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Un père enchanté sous chantage

Chapitre 2

Divers
Chapitre 2
Cet anus qu’il pénétrait il y a encore peu. 

Les corps son faible. Il faut les nourrir. C’est en bas, dans le bistrot qu’ils vont se rassasier d’une bonne assiette. L’un contre l’autre, une colle invisible ne semble plus vouloir se séparer. Là, un père furieux entre, les voit, pose ses poings sur la table avec violence, fixant les amoureux. Ces amoureux qui se serrent encore davantage, Chris qui serre sa belle dans ses bras, protecteur d’une colère paternelle. Il fixe le couple, voyant Chris protéger sa douce compagne. Un père qui comprend le pourquoi de l’absence de son trésor asiatique. Un père qui lit l’amour qui les unit et dont il n’a pas les armes et l’envie pour le détruire. Il se sait vaincu. Il avise le patron de l’estaminet, commande une bouteille de son meilleur rouge. Dans le bistrot c’est la stupeur, comment se fait-il que cette homme, ce PDG, ce riche, vienne se perdre dans ce ridicule bistrot de campagne. 

« Je l’aime papa. »

« Je le vois bien. Ma chérie, la prochaine fois, ne me laisse pas dans l’ignorance, c’est pire que tout de ne pas savoir. »

« C’est de ma faute, monsieur, hier, j’avais trop bu et elle m’a accompagné chez moi et... »

« Si vous avez été heureux, c’est tout ce qui compte. Jeune homme, je ne veux qu’une chose en plus de son bonheur, c’est qu’elle soit protégée. »

Chris se lève d’un bond. « Monsieur, il ne vaudrait mieux pas que quelqu’un lève la main sur Isabelle, il risquerait gros avec moi. »

Le père sourit, ce n’est pas à ce genre de protection qu’il pensait. Mais ce jeune homme l’impressionne par sa carrure son double mètre. La bouteille arrive, le patron la débouche, remplit trois verre. Le père goûte ce vin, fait une petite moue approbative, il le trouve à son gout ce petit rouge du pays. Le père présente son verre à Chris qui, un peu intimidé, cogne son verre avec l’autre. On trinque enfin, trois verres qui raisonnent de ce moment convivial, le père lève le sien à son trésor, Chris l’imite. Isabelle trinque à ses deux amours, son père et à ce homme qui vient de la combler. Pendant qu’ils mangent d’un bon coup de fourchette, le père discute vin avec le patron, offre une tournée de cet excellent vin, fait la connaissance de ces villageois fort sympathique. Il se rend compte qu’il n’a rien à craindre d’eux, ce serait même le contraire. Autour d’une petite table, un jeune couple se gausse de voir ce père découvrir le monde qui l’entoure, ces agriculteurs, ces paysans, ces vignerons. On parle terre, culture et deux jeunes gens continue de se gausser de voir se père découvrir encore et encore.

Chris paie, le couple s’éclipse en toute discrétion. C’est elle qui guide son amant, elle profite de ce père dans cet estaminet pour l’emmener dans sa chambre et reprendre là où ils en étaient restés. Dans l’entrée, Chris découvre dans quoi le père de sa belle Isabelle travaille, les armes. Il commence à comprendre l’insistance de ce père sur le mot protéger. Chris qui n’aime pas les armes, lui qui a fait son temps comme infirmier, sans autre arme que son couteau suisse, un cadeau de son grand-père pour son bac. Isabelle n’en a cure, elle l’emmène dans sa chambre, courant dans l’escalier qui mène à sa chambre. Une chambre qui impressionne Chris par sa grandeur, son luxe, lui, le petit ouvrier ferrailleur. Elle le veut et le montre en déshabillant son amant avec empressement. Cette fois, il est encore obligé de s’abandonner. Sur le gravier, devant la maison, une limousine revient, un homme en sort, chantant à tue-tête des airs anciens. Un père voit cette lumière transpirer par les volets de cette chambre, celle de son trésor. Hurlant, il leur souhaite la bonne nuit et trébuche sur la première marche. Il est ivre. Dans la chambre, empalée, Isabelle a déjà le souffle aussi court que puissant. Les mains de Chris parcourent ce corps sans répit, passant des seins si ferme à ces fesses tout aussi ferme. Il ose une toute petite tape sur cette fesse qui semble lui faire de l’œil. Elle le fixe, se mordant sa lèvre inférieur, belle invitation à continuer se dit Chris. Il claque encore, légèrement plus fort. Cette claque enflamme davantage Isabelle qui se penche sur cette poitrine velue. Chris claque encore. Un j’aime vient enrichir son envie de ce corps, un continue aussi lascif que libidineux vient encore l’encourager.

Chris claque encore, forçant ces gifles sur ce cul qui aiment ça, cela s’entend dans la respiration qui se bloque à chacune des baffes qui s’abattent sur sa croupe. Il change, giflant alternativement la gauche et la droite et elle s’envole rejoindre la voie lactée des plaisirs de la chair. Sa bouche sur celle de son amant, elle se confie, elle encourage son amant. Il la retourne, la couche sur son ventre plat, relève cette croupe si belle, s’enfonce lentement dans cet anus à peine lubrifié. Elle sent cette brûlure encore attiser ce feu qui brûle en elle. Isabelle apprécie cette petite brûlure, somme toute. Il s’enfonce, il ne semble que rien ne peut retenir ce pieu aussi long et épais qui dilate cette rosette plissée. Elle le sent bien en elle, bien au fond de son fondement. Une main s’abat sur ses fesses, elle pousse un petit gémissement avec ce mot ; encore. Il pilonne ce cul somptueux, le fesse parfois, augmentant encore la force de ses coups. Elle aime, le lui hurle presque. Il frappe alors plus fort encore, toujours en contrôlant sa force, il sait qu’il pourrait frapper plus fort, mais cela pourrait la faire fuir s’il ne se contrôlait pas. Il connait sa force, c’est là son point fort. Son bassin va et vient, cognant contre ce cul avec vigueur. Isabelle ressent cela comme une double fessée et explose encore, réveillant son père qui, encore ivre, un verre à la main, s’était assoupi dans son bureau.

Chris continue, pilonne, va et vient, fesse et sa belle de jouir encore et encore. Puis, il relâche tout, ne se retient plus et lâche le peu qui lui reste entre les fesses d’Isabelle. Il tombe sur son dos, cette fois, c’était la dernière. Il se tourne sur le côté, sa queue encore enfoncée et mole dans ce cul si désirable. Il enveloppe Isabelle dans ses bras, remonte le drap. Il leur faut dormir, récupérer. De bécot en bécot, le couple sombre enfin.

Dans la nuit, Chris se relève en sursaut, des bruits d’arme à feu plein la tête. Il transpire à grosse goutte. Près de lui, Isabelle dort d’un profond sommeil. Il s’assoit sur le bord du lit. Son temps dans l’armée lui revient en mémoire. Ces exercices à munition réelle, leurs dégâts faites à ces murs de béton, ces maisons sur ces terrains d’entrainement. Peu à peu, ses visions d’horreur, de peur, s’estompent, il se recouche, serrant Isabelle qui soupir fortement en serrant les mains de son amant. Le jour est levé, une odeur de tresse au beurre, de café fort, de confiture éveillent Chris. Il sourit en découvrant Isabelle portant une sorte de tenue de servante à l’ancienne. Du reste, Isabelle la joue servante du château en préparant une tartine pour Chris, remplissant sa tasse de café chaud et fort. Elle lui tend la tasse en lui faisant une génuflexion. Il sourit encore quand il la prend dans ses bras et ose enfin lui avouer tout son amour, lui racontant depuis quand il l’aime, depuis quand son cœur s’est enflammé pour ne jamais s’éteindre pour elle, elle qui remplissait ses nuit de doux rêves. Leur bouche se soude, une main masculine se perd sous la robe noire de cette belle servante. Oh surprise, la petite ne porte rien de plus que cette robe. En l’espace d’un instant, il la retourne et plonge sa tête sous cette robe ancienne. Isabelle ressent vite les effets que lui procure cette bouche, cette langue en elle. Son corps est en alerte, cherchant la moindre occasion pour le laisser exprimer son excitation, son bonheur. Puis, tout s’arrête, Chris retire sa tête de sous cette jupe, fixe Isabelle. 

« Et si je t’enlevais, que j’attache dans une cave sombre pour aller demander une rançon énorme à ton père, toi ! »

Isabelle sourit en secouant sa tête, elle se penche sur son amant, l’embrasse en le traitant de fou. Comme prit dans un moment de folie, Chris replonge sous cette robe, ne laissant aucune chance à Isabelle que celle de jouir encore et encore. Chris retrousse la robe noire, enfonce son chibre dans ce sexe détrempé de cyprine, comme ce drap sous elle. Il va et vient, les jambes de sa belle contre sa poitrine, il lèche suce les pieds, orteil après orteil. Pour Isabelle, c’est plus qu’elle n’en espérait, jamais homme ne s’était montrer plus avenant que Chris et elle le clame. Il l’emporte, la transporte, l’enlève, la dépose enfin dans les jardins du nirvana des plaisirs de la chair. Isabelle est comme ivre de plaisir quand, dans son corps cet orgasme rebondit de toute part avant de s’exprimer à l’air, libéré du fond de ses entrailles. En elle, se déverse, par vague successive, le foutre de son amant. Elle ressent cela comme des vague de plaisir venant s’échouer sur les plages de son corps. 

Il se retire, heureux, il joue à celui qui se la pète. Il rit, jubile, comme prit de folie, une folie amoureuse, il saute, ressaute sur ce lit. Passant d’un côté à l’autre du corps étendu sans force d’Isabelle. Isabelle qui sourit, finit par dire de voir son amant jouer au fou, au fou amoureux. Puis, il revient vers elle, s’agenouille près du lit, prend un pied, l’embrasse avec une infinie tendresse. Isabelle ne peut rien faire, elle ne peut lutter contre cet homme désireux de la voir jouir, de la trouve encore plus belle dans l’extase. À croire qu’il veut l’assassiner à coup d’orgasme démesuré et elle aime cette idée. Il remonte le long de ce corps, prenant de la confiture qu’il étale sur ce corps d’une bonne couche, il ajoute du beurre, une goutte de lait qui noie ce nombril. Il lèche, savoure ce corps qui ondule déjà. Elle voudrait crier, hurler, implorer sa grâce, elle s’en défend pourtant, ce qu’elle vit est au-delà de tout. Fou de ce corps, Chris continue, lave ce corps de sa langue n’oubliant rien des moindres recoins de ce corps, même cet anus sur lequel il dépose un peu de confiture avant de longuement le lécher, le pénétrer de sa seule langue. Fou, il l’est, fou d’amour. Il pourrait y avoir dix Isabelle, il les aimerait pareille, se dédoublant s’il le fallait. Elle jouit encore, cette fois, elle demande grâce, son petit corps est à bout de force. Il éjacule encore une fois, inondant son visage, ce visage d’ange à la peau bronzée et si douce. Lentement, il vient lécher ce visage, un coup de langue, un baiser, c’est son tarif et ce montant plait à sa belle. Maintenant, le couple s’étend, l’un contre l’autre, face à face, il prend un peu de repos. Déjà midi sonne au carillon d’une pendule. Ils ne cessent pourtant de se bécoter. Isabelle se hisse sur le corps de Chris.

« Tu étais sérieux quand tu disais vouloir m’enlever, m’enferme pour me demander en guise de rançon ? »

« Si tu penses à l’argent de ton père, je n’en veux pas, je t’ai toi. Mais je te voudrais pour toujours. L’enlèvement, toi comme rançon me semblait une bonne idée. Violer sa rançon dans une sombre cave infestée de rats aux aguets. Lui faire subir les derniers outrages. Ne lui donner pour toute pitance que mon sperme. Le violer de toute part. Oui, que je voudrais t’enlever ainsi et disparaître sur une île d’où tu ne pourrais plus m’échapper. Ne te laissant qu’une solution, jouir en te laissant aimer. »

« WAOW, tout un programme, tu sais, il pourrait bien me plaire. » elle donne lui offre sa bouche. 

« Ouais, l’idée est bonne, me faire subir les derniers outrages, me violer, ne plus n’avoir que des plaisirs interdits loin du monde, sur cette île. Dis, tu la verrais où cette île ? »

« Un jour, sur une carte du Brésil, j’ai découvert un petit chapelet d’île, l’île principale fait environ 18 km carré et elle se nomme Ilha Fernando de Noronha, du nom d’un juif portugais convertit, le pauvre, au catholicisme. On y trouve presque tout, si on n’est pas trop difficile. Mais pour toi, en tant que ma prisonnière jusqu’à la remise de ma rançon, rien que mon foutre pour vivre, rien de plus et du matin au soir. Grrrrrrr ! »

« Méchant garçon, je va tout dire à mon papounet, NA ! »

« Oh la vilaine rapporteuse ! »

Chris se met à chatouiller Isabelle qui ne peut lui échapper. Puis, il s’arrête, embrasse sa belle, remplit une tasse d’un café devenu tiède. Il en déverse la moitié dans la bouche de sa belle qui le boit sans perdre de vue les yeux bruns de son amant. 

« Je voudrais tellement ne plus te quitter, ça fait si longtemps que j’en rêve. » la voix de Chris est emprunte de tendresse, d’émotion. 

Isabelle se redresse sur ses coudes, le fixe, caresse ses cheveux. Elle hésite, approche son visage du sien, hésite encore, les lèvres s’effleurent, se caressent. Les bouches se soudent encore, les corps roulent sur le lit. En bas, un père se lève avec peine, sa tête lui fait mal, c’est à peine s’il parvient dans sa salle de bain prendre un cachet pour calmer sa tête. En haut, dans une chambre, un garçon de 27 ans fait l’amour à une jeune fille en fleur de 24 ans.

Un père qui sait sa fille présente et accompagnée par ce jeune homme. Sa tête raisonne encore de sa beuverie de la veille et pourtant, même s’il craint que sa fille ne vive là qu’une passade, il se surprend à sourire, se souvenant de sa jeunesse. Si Chris pouvait lire dans la tête de ce père, il se presserait de lui demander sa main, genou à terre. Mais là, c’est à tout autre chose qu’il pense, donner de lui à sa belle. Cependant, sournoisement, un indésirable se glisse dans leur corps enlacé, la fatigue, cette fatigue qui vous enveloppe de son voile, le sommeil. 

En sursaut, Chris se lève, sa montre lui indique cinq heures du matin. Il griffonne un mot, s’enfile dans la salle de bain, se douche en vitesse. Sans se raser, il s’habille rapidement et s’envole à toute jambe chez lui, prendre sa vieille voiture. Au boulot, il peine à se mettre en route, la tête encore sur le corps d’Isabelle, perdu dans ses pensées. Il lui faut un coup de coude pour le ramener à la réalité du moment. 

Sa journée terminée, il rentre, s’offre une bière chez Pierre-Jules, le patron du bistrot qui lui en raconte de belles sur le père d’Isabelle, cette nuit passée à boire sans fin. Si Chris écoute, il n’en oublie pas de rire des exploits de ce père. Il m’attend pas son pote Paul, il monte se doucher, regarde l’état de son appartement, il est aussi dévaster qu’après le passage d’un cyclone. Un coup de sonnette, la porte qui s’ouvre, elle est là, belle, sublime. Il s’avance lentement vers elle, sa elle, son Isabelle. Il l’enlace avec tendresse. Il se fixe longuement, les lèvres s’effleurent, se frôlent pour se souder dans un baiser sans fin.

Très vite, ils reprennent leurs amours là, au moment où ce traître de sommeil, cette fourbe fatigue les endormaient. Ce sera encore pire pour son appartement, s’ils s’ébattent comme cette première journée de passion, cela ne sera plus que ruine. Peu importe, là, il ne pense à plus rien qu’à elle, sa belle, sa douce, son amour. Oui, cette fois, si elle est venue, c’est pour ne plus repartir. Elle le lui prouve, allant prendre un petit sac de voyage et le déposer près de lui. Rougissante, elle lui demande si elle peut rester. Rester, ce mot raisonne dans la tête de Chris comme une longue lettre enflammée par l’amour qu’elle lui porte. Il la soulève, la porte dans ce lit tout aussi dévasté par leurs ébat furieux. Il glisse sur ce corps, se glisse là où il est certain de la faire prendre son plaisir. Il va l’aimer, si sa journée de labeur ne l’a pas épuisé, il va s’épuiser en la faisant jouir et jouir, lui-même dans ce corps qu’il s’offre à lui sans plus aucune limite.

Leurs exploits amoureux s’entendent loin à la ronde. Tous savent maintenant. Plus aucun autre garçon n’osera faire de l’œil à Isabelle. Ils se donnent entièrement l’un à l’autre. Plus rien ne peut, ne pourra les séparer pense Pierre-Jules en fermant son bistrot. Il sourit, lui aussi, pense à ses jeunes années libertines. Dans la nuit, pendant qu’ils restaurent sur ce lit défait, presque détruit. 

« Comment tu ferais pour m’enlever ? »

«  Déjà, je te mettrais une cagoule, une en laine qui gratte, na ! Ensuite, je te mettrais dans le coffre de ma bagnole, toute ficelée. Sur ta bouche, je collerais un gros sparadrap pour ne pas que tu puisses me dire de rouler plus vite. Enfin, là où je t’emmènerai, personne ne pourrait savoir où tu te trouves. »

« Et c’est loin ? »

« Si je te le dis, tout est perdu et je vais au bagne. »

« Oh, vilain garçon ! » Elle lui sourit, prenant sa queue dans ses douces mains. « Toi, au bagne, regarde ce que pourrait te faire subir ta gardienne, cette garce sadique, la même garce perverse que moi, regarde et pense bien à ton supplice mécréant. »

Ses mots se taisent, sa bouche se remplit de ce chibre déjà tendu. Chris sent son supplice, l’apprécie, guidant de ses mains le rythme à donner à cette fellation. Parfois, son côté pervers, que tente d’extraire Isabelle du corps de son amant, prend le dessus sur ses envies, il bloque la tête de sa belle, obligée de garder cette bite tout au fond de sa gorge, écrasant sa luette. Mais elle adore quand il se met à la bousculer. Peut-être ce manque de punition corporelle, celle que son père adoptif s’est toujours refusé de lui donner. Mais là n’est pas le propos. Elle imagine son enlèvement, ça tourne en boucle dans sa tête. Elle se voit entravée, les mains sadiques autant perverses s’abattre sur son corps, le rougissant de douleurs jouissives. Chris relâche son étreinte, Isabelle plaque ses mains entre ses cuisses, le choc est brutal et pourtant, elle explose de bonheur, entraînant son amant qui jouit sur son visage, lui lâchant tout ce qu’il a. Cela a pour conséquence d’exagérer son bonheur de jouir, de rendre cet orgasme encore plus violent que tous les autres. Elle se découvre, son corps est en éveil, le plaisir devient une addiction. Elle aime cet homme, se dit prête à tout pour le garder, à tout. 

Chris se rend compte qu’ils viennent, non pas de faire l’amour, un amour avec ce grand A majuscule, mais qu’ils ont baisé et qu’il va encore la baiser, l’enculer, l’animal vient de se réveiller. Cela devient sauvage, brutal quand il fesse, ils explosent encore alors que toute la bourgade dort depuis belle lurette. Épuisé, ils se regardent, s’avouent aimer cette autre manière de prendre son pied. Les mots deviennent crus, presque vulgaires. Plus ils en rajoutent, plus l’envie se fait jour de repousser plus loin leurs limites. Il l’encule avec encore plus de violence et elle crie de joie, de bonheur quand il ajoute de belles grosses et puissantes claques sur ses fesses quémandeuses. Elle jouit, il jouit, ils s’endorment, lui en elle, dans son fondement.
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